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Léa, ou la fille aux plaisirs interdits

Chapitre 1

Erotique
Quelques chapitres s’ajouteront, ce qui explique le début qui semblera lent pour certains.
Je me nomme Gérard, j’ai 55 ans et je viens de me retraiter dernièrement du domaine du marketing. Je suis marié depuis 28 ans, nous avons 2 enfants, un garçon de 24 ans, Javier et une charmante fille de 22 ans, Jade.
Estelle, ma femme, a 49 ans. C’est une belle femme, très sexy avec les formes là où il faut et encore très ferme. Mais côté sexe, c’est plutôt banal. La position du missionnaire la plupart du temps et quelques rares fois, assise sur moi, elle s’empale sur ma bite, qui n’est pas dénuée d’intérêt. Une queue de quelques 23 centimètres de chaire douce, toujours rasée de près et qui devient dure comme le roc une fois excitée. Et Dieu sait qu’il n’en faut pas beaucoup pour faire se dresser la bête.
Estelle n’a jamais été très portée sur la chose sexuelle. Bien sûr, elle lèche et suce ma queue, mais jamais bien longtemps. On dirait que ça la répugne, et qu’elle veut seulement me faire plaisir pendant quelques instants et ensuite, rayer cette « tâche de sa liste ». J’en voudrais plus, bien entendu, mais je n’ai jamais osé lui demander. Évidemment, inutile de penser à lui éjaculer dans la bouche!
Elle n’est pas une adepte du cunni non plus. Elle n’aime pas se faire brouter le minou. Elle trouve ça dégoûtant. Je l’ai fait jouir à quelques occasions dans nos jeunes années, mais elle trouve ça sale. Pourtant, c’est une des choses que j’aime le plus faire à une femme. J’adore glisser ma langue entre ces lèvres humides, les écarter, faire pénétrer ma langue dans un petit vagin bien serré, lécher un anus tout doucement, y pousser ma langue fureteuse en caressant le clitoris d’un doigt.
Mais voilà, tout ça est bien rare dans notre lit. Estelle travaille depuis toujours dans ce bureau d’avocats réputé. Elle est souvent fatiguée et depuis quelques années déjà, nos rapports sexuels se sont espacés. Nous nous aimons toujours mais, l’étincelle sexuelle s’est affaiblie.
Je lui ai toujours été fidèle et elle aussi envers moi… enfin, je crois bien. De toute façon, je ne vois pas pour quelle raison elle m’aurait trompé, elle ne raffole pas du sexe et de plus, je suis toujours attentionné et doux avec elle. Non, décidément, l’idée qu’elle se soit déjà fait sauter ailleurs qu’à la maison, est à écarter.
J’ai bien pensé à quelques reprises d’aller « voir ailleurs » mais, à mon âge… on dirait que j’ai perdu l’assurance de ma jeunesse. Je ne suis plus le jeune loup qui folâtrait avec toutes les filles lors des soirées bien arrosées que nous avions étant jeunes.
J’adore le sexe. Bien sûr, j’aimerais expérimenter un peu plus, être un peu plus « actif » mais de peur de déplaire à Estelle, je me tiens tranquille.
Depuis le début de ma retraite, étant toujours seul à la maison, les enfants sont aux études à l’extérieur, je me masturbe de 5 à 6 fois par semaine, chose que je ne pouvais pas faire en étant au boulot. Je le fais souvent en regardant du porno sur internet, en le cachant à Estelle bien sûr. Mais tout ça est bien banal et devient vite ennuyant.
Un jour, en surfant de site porno en site porno, j’ai découvert un site de récits érotiques. J’ai commencé à lire quelques histoires et très vite, un feu s’est allumé en moi. Je m’imaginais être le « héros » de ces histoires excitantes. Je me voyais en train de bourrer la petite chatte bien serrée et bien humide de la cochonne à quatre pattes devant moi, que je tenais par les hanches et à qui j’administrais de durs coups de bassins et qui finissait par me supplier de l’enculer. Ou encore, me faire sucer par 2 jolies salopes, à qui je remplissais la bouche de mon sperme chaud. Ou bien encore, pousser ma grosse queue entre deux gros nichons bien fermes et éjaculer au visage de la propriétaire du buste en question.
En somme, mon imaginaire s’est enflammé en lisant toutes ces cochonneries. J’adorais. Je me branlais souvent en lisant ces récits.
Du coup, j’ai pensé que je pourrais peut-être, moi aussi, écrire ce que j’avais dans la tête. Tous mes fantasmes prendraient vie en quelque sorte. Cela me réjouissais de penser que d’autres pourraient se branler en me lisant, autant des hommes que des femmes.
Je me suis donc attelé à la tâche et j’ai pondu quelques textes que j’ai soumis aux administrateurs du site en question. Les histoires étaient cotées par les lecteurs, par un système de points, il ne m’a pas fallu longtemps pour en engranger quelques-uns, ce qui m’a encouragé à continuer. Mes histoires pouvaient donc plaire à quelqu’un!
Et je me retrouve donc, en cet après-midi inhabituellement pluvieux et frais du mois d’août. Je suis à mon bureau au sous-sol de la maison que nous possédons depuis notre mariage. Nous habitons le centre d’un petit village, traversé par une route assez passante.
Donc, je suis à mon bureau, en train d’écrire un autre récit cochon. Je suis seul, Estelle est à son travail.
J’écris depuis une bonne heure déjà, mais l’inspiration vient moins facilement aujourd’hui. Je décide donc de prendre une pause et d’aller fumer une cigarette à l’extérieur. Le temps est frais. J’allume ma cigarette, prends quelques bouffées qui me font du bien. D’ailleurs, il faudrait que j’arrête cette mauvaise habitude.
Une fine pluie se met alors à tomber. Je me réfugie sous l’abri d’auto pour me protéger. Je regarde distraitement passer les voitures sur la route en tirant des bouffées de ma cigarette. Soudain, c’est le déluge. Un orage éclate et la pluie tombe comme vache qui pisse. Je suis bien protégé sous mon abri. Du coin de l’œil, à ma gauche, je vois arriver une jeune fille à pieds, elle se dirige vers moi en courant. Elle est trempée de la tête aux pieds. Elle me sourit en m’apercevant.
— Bonjour! Me dit-elle avec un grand sourire. Je peux m’abriter ici le temps que l’orage cesse?
Elle est jolie, pas un top model, mais elle a du charme. Elle n’est pas très grande, 1m60 environ, de longs cheveux châtains, foncés par la pluie, qui tombent sur ses épaules et jusque sur sa poitrine. Elle porte une chemise blanche qu’elle a nouée au-dessus de son nombril et qui est ouverte au haut, laissant entrevoir la naissance de seins assez gros. Ses fesses rondes sont moulées dans un short de sport de couleur noire, assez court. Elle est bien bronzée. Elle porte également un sac sur son dos, comme une auto stoppeuse ou une randonneuse. Elle me regarde toujours avec ses yeux coquins et son sourire qui laisse apparaître de belles dents d’un blanc immaculé. Elle doit avoir dans les 22 ou 23 ans.
— Salut! Mais bien sûr, sans problème, abrite-toi. — Merci… Quel temps hein?— Ouais, on se croirait en plein mois d’octobre.
Elle semble très amicale et dégage quelque chose que je ne saurais identifier. Une aura particulière. Je me sens tout de suite à l’aise avec elle.
Suite bientôt
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