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Léa, ou la fille aux plaisirs interdits

Chapitre 2

Erotique
Elle semble très amicale et dégage quelque chose que je ne saurais identifier. Une aura particulière. Je me sens tout de suite à l’aise avec elle.
— Vous voudriez me vendre une ou deux cigarettes?— Oui, sans problème. Mais tu es jeune, tu devrais cesser cette habitude.— Bof, je ne fume pas beaucoup… juste une de temps en temps.
Je sors mon paquet et lui tend deux cigarettes. Elle retire son sac de sur son dos, le dépose par terre. L’espace d’un instant, sans le vouloir, j’ai aperçu sa poitrine quand elle s’est penchée pour fouiller dans une des pochettes du sac à dos, d’où elle en ressort un dollar qu’elle me tend.
Ses nichons semblent assez gros et fermes. Ils sont enveloppés dans un soutien-gorge très coloré, ce qui semble être plutôt un haut de bikini, ce qui expliquerait la chemise ouverte et nouée au nombril. De tout façon, elle ne semble pas être une pute ni une dévergondée pour se promener ainsi vêtue. Un bikini est fait pour être vu, donc, pas de problème.
Mon estomac s’est tout de même noué en voyant le galbe de ses seins trempés par l’averse. Un peu allumé par mon écriture de récit cochon, même si l’inspiration n’y est pas, mes yeux sont toujours bien ouverts quand une charmante jeune fille est dans les parages. Avec le temps, l’âge et ma vie sexuelle frustrante, l’écriture de mes récits qui enflamment mon imaginaire, je deviens un peu plus vicieux à chaque jour. Mais jamais je ne ferais quelque chose de déplacé envers la gent féminine.
— D’où tu arrives comme ça?— Eh bien, je traverse le pays en stop. Un camionneur m’a fait monter dans son camion et nous avons fait près de 300 bornes ensemble. J’ai demandé qu’il me laisse à l’entrée de ce petit village pour aller chercher de quoi manger mais je n’ai rien trouvé. J’ai décidé de continuer un moment à pied pour me dégourdir les jambes. Je n’imaginais pas que l’orage était si près — Dis-moi, ça ne t’effraie pas de faire du stop toute seule? — Oh non! Je suis prudente et je sais me défendre, dit-elle avec un large sourire très plaisant à regarder.— Très bien, mais fais gaffe, il serait dommage qu’il t’arrive quelque chose de fâcheux. — Merci, vous êtes gentil. Je serai prudente, promis. Vous avez du feu?— Oui, bien sûr. Comment tu t’appelles? M’informais-je en approchant la flamme de mon briquet du bout de sa cigarette.— Léa. Et vous?— Gérard.— Enchantée!
Nous échangeons une poignée de main amicale. Sa main est toute menue et douce. Des idées érotiques traversent mon esprit. Je l’imagine, cette petite main sur ma queue bien dressée, ses doigts peinant à en faire le tour. Elle me branle doucement en me regardant dans les yeux.
— Bon, eh bien, j’y vais. Merci pour votre hospitalité et pour les cigarettes.
Je ne veux pas qu’elle reparte tout de suite. Elle a éveillé un désir en moi. J’aime sa compagnie même si ne nous connaissons que depuis quelques courtes minutes. Cette fille m’attire. Son magnétisme est incroyablement fort. Je dois réagir pour la retenir, même si dans ma tête, rien d’explicitement sexuel n’est en train de se dessiner… enfin, rien de réalisable, j’entends. J’aime seulement sa compagnie. Elle est d’un commerce très agréable, enjouée et je la trouve de plus en plus attirante.
— Mais tu es toute trempée, tu ne vas pas repartir comme ça?— J’ai l’habitude vous savez, Gérard.
De l’entendre prononcer mon nom me fait un petit quelque chose que je ne saurais définir. Peut-être est-ce le fait que peu de jeunes filles le fassent. Et surtout, ce sourire enjôleur me fait craquer.
— Tu vas attraper froid, tu seras malade et ça gâcheras ton voyage.
J’ai l’impression de parler à ma fille. En fait, elles à peu près le même âge qu’elle j’imagine.
— Vous êtes gentil. Vous avez un plan miracle pour qu’il cesse de pleuvoir?— Hahaha! Non, bien sûr. Mais tu as des vêtements de rechange? Tu pourrais passer à l’intérieur pour te sécher un peu et les enfiler.— J’aimerais bien, mais tous mes vêtements sont sales. Est-ce qu’il y a une laverie automatique dans un si petit village?— Non, malheureusement. Mais je peux mettre tous tes vêtements dans le lave-linge ici, dans la maison, après on les fera sécher et ensuite, tu pourras repartir, si ça ne bouscule pas trop ton horaire.— Vrai? J’accepte! Ça me dépannerait beaucoup. Toutes mes fringues ont besoin d’un bon lavage. Et pour mon horaire, eh bien, je n’en n’ai pas. Hahaha! Serait-ce abuser si j’utilisais votre douche?— Pas du tout. Ça me fait plaisir. Et ensuite, je te préparerai un petit goûter que tu pourras manger pendant que tes vêtements sont dans le sèche-linge.— Vous êtes vraiment gentil Gérard. Vous m’indiquez la douche? Je me déshabille en vitesse et je vous passe ce que j’ai sur le dos.— Parfait. Suis-moi.
Nous écrasons notre mégot et nous entrons dans la maison. Je lui indique où se doucher. La machine à laver et le sèche-linge sont dans la pièce attenante à la salle de bains. Elle sort tous ses vêtements de son sac à dos et les mets dans le lave-linge. Nous nous dirigeons vers la douche.
— Tu as des serviettes propres ici, dans cette armoire. Le savon et le shampoing sont là aussi. Bon, je te laisse.— Merci. J’en ai pour cinq minutes. Restez près de la porte, je vous passerai mes vêtements mouillés.— Sans problème!
J’attends environ trente secondes. Elle ouvre la porte et me tend ce qu’elle avait sur le dos. Je ne vois que son visage dans l’embrasure de la porte et un bout de son épaule dénudée… et toujours ce sourire…
— Merci encore, vous êtes gentil.— Tu aimerais quoi pour manger? Un sandwich, ça t’irait? Jambon, tomate, laitue?— Mmmmm, ça semble délicieux. Oui, merci, ça ira très bien. — Parfait. Je prépare le tout et je t’attends dans la cuisine.
Je mets ses vêtements mouillés dans la machine à laver avec le reste de ses affaires. Je tombe sur son soutien-gorge. C’est bien un haut de bikini multicolore. Mon œil ne m’avait pas trompé. Je ne peux m’empêcher de regarder la taille sur l’étiquette. 85C. Je touche aux bonnets en m’imaginant ses seins à l’intérieur. Une drôle de sensation m’envahit. Mon cœur se met à battre plus vite. Ma gorge s’assèche… Allons Gérard, un peu de contrôle!
Je jette le soutien-gorge dans la machine à laver, suit ensuite le short noir et la chemise blanche… sans tenir compte du mélange des couleurs avec le blanc. Mais il n’y a pas de petite culotte. Mon estomac se serre à l’idée de la voir descendre son short en découvrant son beau petit cul rond. Encore une fois, mon esprit s’embrouille. Je dois me contrôler.
J’ajoute le savon à la lessive et met la machine en marche. Je me rends ensuite dans la cuisine, préparer un sandwich pour Léa. J’installe l’assiette sur le comptoir lunch où il y a deux tabourets. Je pourrai m’installer à côté d’elle pendant qu’elle mange pour continuer de discuter.
Après cinq minutes, j’entends l’eau de la douche s’arrêter de couler. Je ne sais pas pourquoi, mais je suis fébrile en l’attendant.
Après quelques instants, je l’entends qui m’appelle.
— Gérard?
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