Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 93 J'aime
  • 5 Commentaires

Léa, ou la fille aux plaisirs interdits

Chapitre 3

Erotique
Je sors de mes pensées le magnifique cul bien rond que j’imaginais Léa dénuder devant moi. Je me rend à la porte de la salle de bains.
— Oui?— Vous allez me trouver idiote, je n’ai plus rien à me mettre sur le dos! Me dit-elle dans un grand éclat de rire.— C’est pourtant vrai! Tous tes vêtements sont dans la machine à laver! Attends, je t’apporte un peignoir tout de suite.— Merci!
Je quitte vers ma chambre à coucher pour lui rapporter de quoi se vêtir. En fouillant dans le placard à la recherche de mon peignoir, j’aperçois une de mes chemises blanches. Une idée perverse me traverse l’esprit. Elle serait magnifique et très érotique dans cette chemise. J’ai envie de voir les formes de son corps. Mon cœur se met à battre plus fort.
Je retourne vers la salle de bains et frappe doucement à la porte.
— Voilà Léa, j’ai ce qu’il te faut. Je suis désolé, mais je n’ai pas de peignoir. Une de mes chemises, ça t’irait?
Elle entrouvre la porte. Je revois son visage souriant avec ses cheveux tous mouillés, ça lui fait une drôle de frimousse.
— Ce sera parfait. Je suis désolée, je vous dérange n’est-ce pas? — Mais non, penses-tu. Ça me fait plaisir. Dépêche-toi, ton sandwich t’attend.— J’en ai pour une seconde.
En prenant la chemise, sa main effleure la mienne. Je sens un frisson et nos regards se croisent l’instant d’une fraction de seconde.
Je retourne à la cuisine pour l’attendre. Mon cœur bat la chamade, ma gorge s’assèche. Mais que m’arrive-t-il? Serait-ce regard d’une fraction de seconde qui me met dans cet état? Il s’est passé quelque chose pendant ce court laps de temps. Un regard que je ne saurais interpréter.
Je m’assois au comptoir-lunch sur un des deux tabourets. J’entends la porte de la salle de bains s’ouvrir. Elle sera là dans 2 secondes. Est-ce que je me retourne? Est-ce que je reste assis comme un imbécile, lui tournant le dos? Ce n’est pas vraiment poli. J’essaie de calmer ma respiration qui s’est emballée soudainement et je me retourne.
Elle est là devant moi, magnifique créature sauvage. Ses cheveux mouillés tombent sur ses épaules et par devant, jusqu’au haut de ses seins qui forment deux belles grosses boursouflures dans ma chemise. Mon œil aiguisé remarque tout de suite ses tétons qui pointent et qui déforment le fin tissu de mon vêtement qu’elle porte admirablement bien.
J’aperçois aussi la couleur foncée de ses mamelons qui forment 2 auréoles contrastant avec le blanc immaculé de la chemise, qui descend jusqu’au haut de ses cuisses bien bronzées. Elle est à couper le souffle. Elle me regarde encore avec ce sourire si charmeur. D’être ainsi vêtue, devant un homme qu’elle ne connait pas, ne semble pas la déranger outre mesure.
— Eh bien, ça ne me va pas trop mal, n’est-ce pas? Dit-elle en tournant sur elle-même tel un mannequin.— Oui, tu as l’air à l’aise. Dès que la machine à laver s’arrêtera, on mettra tes vêtements dans le sèche linge. En attendant, viens manger, tout est prêt.
J’essaie de ne pas la dévisager quand elle passe près de moi pour se rendre à l’autre tabouret. Je remarque que sa poitrine valse à chaque pas qu’elle fait. Ses nichons d’une belle grosseur rebondissent sous la chemise. Le déplacement d’air qui la suit de près, rempli mes narines d’un doux parfum.
Elle s’assoit et je remarque que le vêtement qui lui sert de peignoir remonte un peu plus haut sur ses cuisses et laisse voir le début de ses fesses. Je n’ai qu’une envie, les caresser. Sa peau a l’air tellement douce.
— Ça l’air délicieux, me dit-elle avec un grand sourire. Vous ne mangez pas avec moi?— Non, j’ai mangé un peu plus tôt et comme je suis à la retraite et que je bouge moins, je dois faire attention à ma ligne.— Vous êtes très bien comme ça. Vous avez quel âge?— 55 ans.— Vrai? Je vous en donnais tout au plus 40!— Merci. Mais tu sais, la retraite à 40 ans, c’est rare! Et toi, tu as quel âge?— Je vais avoir 24 ans le mois prochain.— Tu vas à l’université?— Oui, mais j’ai pris une année sabbatique pour voyager.
Elle saisit son sandwich à deux mains et en prend une grande bouchée. Je la regarde, amusé de la voir manger avec autant d’apétit.
— Mmmm… c’est vraiment délicieux. — Merci. Tu voudrais quelque chose à boire? Je peux t’offrir de l’eau, du lait ou du jus de fruit.— Un grand verre de jus de fruit ferait mon bonheur. Merci!
Je me déplace de l’autre côté du comptoir lunch où se trouve le frigo. Je prend la bouteille de jus de fruit et lui en verse un grand verre. Je reste de mon côté du comptoir pour lui tendre. Je remarque quelque chose que je n’avais pas tout à l’heure, les trois premiers boutons de la chemise ne sont pas attachés, ce qui fait ouvrir l’encolure et laisse voir le haut de ses seins. J’essaie de ne pas fixer mon regard à cet endroit de peur de me faire surprendre.
— Et vous faites quoi de vos journées Gérard?
La question me prend un peu par surprise, non pas du fait de la question elle-même, mais du fait qu’elle me sort de ma stupeur devant son décolleté. Sans réfléchir, je lance :
— J’écris. — Ah bon! Vous écrivexz quoi? Un roman érotique? Hahahahaha!
Je me sens devenir rouge jusqu’aux oreilles. Je baffouille.
— Ben… euh… non, pas spécialement… enfin je… des récits…
Comme un con, j’essaie de me dépêtrer. Elle s’amuse de mon malaise.
— Des récits cochons? Sans blague! J’adore ce genre de récits!!
Là, je suis sur le cul. Il n’y a pas une demi-heure que je connais cette jeune fille, que déjà nous tombons dans la confidence.
— Tu n’es pas un peu jeune pour lire ce genre de choses?— Et vous, vous n’êtes pas un peu trop vieux pour en écrire? Je vais avoir 24 ans quand-même! — Je suis désolé. Vois-tu, j’ai une fille de ton âge et je l’imagine mal consulter ce genre de littérature. Tu dois sûrement me trouver vieux jeu?— Mais non, détendez-vous, je vous taquinais. Hahaha!
Sa franchise et son sens de l’humour et surtout son rire me font du bien. Je ne saurais dire pourquoi. Peut-être que la vie avec ma femme me pesait sans que je m’en rende compte. La présence de Léa me fait du bien. Elle est rafraîchissante.
— Vous me faites lire?— Te faire lire quoi?— Bien, vos récits cochons!— Bien, je ne sais pas… ça me… On ne se connaît pas après-tout.— Vous les avez déjà fait lire à quelqu’un?
Je ne sais pas pourquoi je lui dis tout ça. On dirait que je ne veux rien lui cacher. Je me sens libre d’être moi-même. Je me lance.
— Je les publie sur un site d’histoires érotiques, mais personne que je connais ne les a déjà lus. — Allez! J’aimerais les lire!
Il se passe quelque chose de bizarre. Cette fille que je ne connais pas, me rend tellement à l’aise, qu’on dirait que nous nous sommes toujours connus. J’aime de plus en plus sa présence.
Elle continue de manger avec appétit. De la mayonnaise provenant du sandwich se retrouve sur sa joue, près de la commissure de ses lèvres.
— Oh, tu as de la mayo sur ta joue. Attends, je te donne une serviette en papier.— Non, pas la peine.
Elle sort la langue et du bout, va recueillir le condiment égaré. Une belle langue assez longue et pointue et qui semble assez agile.
— Et voilà, pas plus compliqué que ça! Dit-elle en me lançant un magnifique sourire.
Je suis sous le charme de cette belle jeune femme pleine de vie.
Elle termine son repas, puis s’étire, les bras au-dessus de sa tête rejetée par en arrière pendant quelques secondes, ce qui colle le tissu de la chemise sur ses gros seins dont les tétons sont toujours pointés. J’aurais bien aimé voir ses cuisses, puisqu’en s’étirant de la sorte, elles ont sûrement été découvertes par le chemise qui remontait. Mais le comptoir lunch cache cette partie de son corps à ma vue. Mon sang ne fait qu’un tour. Une autre idée me traverse l’esprit : est-ce qu’elle s’épile la chatte? Gérard, tu n’es qu’un vieux cochon!
Je fixe sa poitrine en essayant d’en voir un peu plus, jusqu’à ce qu’elle termine son étirement. J’ai failli me faire surprendre en train de la reluquer. À la dernière seconde, je ramasse l’assiette qui contenait son sandwich, pour me donner une raison de détourner mon regard.
— Merci Gérard, c’était délicieux! — Tu as mangé à ta faim?— Oui, je suis rassasiée. Mais là, vous noyez le poisson!— Que veux-tu dire?— Eh bien! Vos récits! Vous pensiez que j’avais oublié?— Ah oui… mes récits… Allons voir d’abord si la machine à laver a fini son travail. — Mais après, vous me ferez lire, promis?— Bon, ça va, promis! Mais tu sais, je ne suis qu’un amateur.— Je suis certaine que vous écrivez très bien. Un homme de votre âge doit avoir plein de choses à raconter sur le sujet!— Bof, peut-être. Allez, suis-moi, nous allons mettre tes vêtements dans le sèche linge.
Elle descend de son tabouret et s’étire encore une fois, les bras bien haut au-dessus de sa tête, la poitrine vers l’avant et le cul ressorti. Cette fois-ci, je vois son corps au complet et la chemise remonte jusqu’au bas de ses fesses. Je vois ses cuisses musclées et son petit cul rond et bombé fait une bosse dans le bas de la chemise. Mon cœur se met à battre un peu plus vite. Que j’aimerais la caresser tout doucement. Son magnifique corps doit être tout chaud.
Diffuse en direct !
Regarder son live