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Léa, ou la fille aux plaisirs interdits

Chapitre 4

Erotique
Nous nous rendons à la machine à laver qui termine son cycle, comme nous arrivons. J’ouvre le couvercle de la machine pour prendre les vêtements et les mettre dans le sèche-linge.
— Non, laissez-moi faire Gérard, je vous ai assez dérangé comme ça. Dit-elle en faisant un mouvement pour enfoncer son bras droit dans la cuve de lavage pour prendre ses fringues trempées.
Du coup, je n’ai pas le temps de m’écarter et son sein gauche s’écrase sur le haut de mon bras droit, juste sous la manche de mon t-shirt. Je ne saurais trop dire si mon sang s’est glacé ou s’il s’est transformé en lave brûlante, mais toujours est-il, qu’il n’a fait qu’un tour pour alimenter mon cœur qui s’était probablement arrêté de battre pendant une fraction de seconde et qui maintenant, battait à tout rompre.
Cette pression de son gros nichon ferme sur mon bras, n’a duré tout au plus qu’une demi-seconde, mais il m’a semblé avoir senti son téton tout dur s’enfoncer dans ma peau… ou était-ce mon imagination? Peu importe, une chaleur bienfaisante m’envahit. Une chaleur que je n’avais ressentie depuis longtemps. Ma gorge s’assèche encore plus qu’elle ne l’était une minute auparavant. Je m’écarte de son chemin avant de défaillir.
Léa, de sa main droite, cueille ses vêtements par petits paquets et les places sur sa poitrine où sa main gauche vient les y maintenir le temps qu’elle vide complètement de son contenu, la machine à laver.
— Ahhhh… tout est prore maintenant! Et ça sent bon en plus. Me dit-elle avec ce sourire qui, quoi qu’il arrive, restera gravé dans ma mémoire à tout jamais.
J’essaie de répondre une banalité mais la première syllabe de mon mot… est muette… Comme si j’avais avalé de la farine.
— (Mer)veilleux!
Heureusement, elle ne se rend compte de rien. Mais moi, je me rends compte qu’elle se penche en se tournant sur sa droite, pour atteindre la porte frontale du sèche-linge, l’ouvre et y enfourne sa cargaison.
Penchée de cette façon, le chemise qui couvre son petit cul rond se relève quelque peu et j’aperçois au haut des ses cuisses collées ensemble, un losange ouvert, situé juste sous sa chatte. Ma queue qui commence sérieusement à durcir, y serait bien au chaud.
Je m’imagine pendant un bref instant, debout derrière elle, la tenant par les hanches, ma bite en tre ses cuisses que j’imagine douces et chaudes et elle, les collant d’avantage ensemble pour enserrer mon sexe au maximum. Il me semble que je sens la chaleur de sa petite chatte humide sur le dessus de ma queue qui fait des va-et-vient dans ce losange sexuel.
Puis, elle se tourne face à la machine, prenant appui avec ses mains sur le dessus de l’appareil et, son corps penché légèrement vers l’avant, tente de déchiffrer les informations du panneau frontal, sur le fonctionnement du bidule. Je ne peux m’empêcher d’admirer son petit cul.
— Comment est-ce que ça fonctionne Gérard?
— Attends, laisses-moi t’aider. Lui dis-je en la prenant légèrement par la taille pour l’écarter doucement, me donnant ainsi accès aux commandes de l’appareil que je connais bien.
Sa taille est fine, plus fine que ne laisse voir le vêtement ample qu’elle porte. Il me semble que mes mains s’attardent sur son corps chaud, comme si la scène se passait au ralenti. Mon geste était calculé… je voulais la toucher. Non pas d’un geste déplacé ni vulgaire, ni tendre, ni brusque… mais d’un geste que j’ai voulu le plus anodin possible. J’actionne l’appareil.
— Ça y est, c’est en marche! Dit-elle en se tournant face à moi, les mains sur les hanches et le regard toujours porté sur le tableau de bord de la machine.
Évidemment, mon regard se porte sur ses gros seins. La pile de vêtements humides, lavés à l’eau froide, qu’elle y a tenue quelques instants un peu avant, a mouillé la chemise, rendant le tissu blanc presque transparent, le collant sur ses seins comme une deuxième peau et maintenant, je peux voir parfaitement l’auréole brunâtre, d’environ 4 cm, de ses mamelons. Ses tétons semblent vouloir défoncer le fin tissu, tellement ils pointent.
Elle retourne son visage vers moi, et me regarde avec un sourire triomphant. Une fois de plus, j’ai failli me faire surprendre à reluquer ses nichons. Avec le temps et l’âge, on développe une espèce de sixième sens pour détourner le regard au bon moment, afin de pas passer pour un vieux cochon. Mais je dois lutter pour continuer de la regarder dans les yeux.
— Alors, on y va?— Ah oui, les récits. — Bien oui, les récits!
Cette fille est incroyable. En toute innocence, vêtue d’une simple chemise blanche semi transparente, elle demande à un homme qu’elle ne connais pas et qui pourrait être son père par surcroît, de lui faire lire des récits cochons. La situation se prêterait bien à l’écriture d’un autre récit, que je devrais mettre dans la section « fantasme » du site érotique, car personne ne voudrait croire à une telle histoire.
Quoi qu’il en soit, je suis en pleine érection. Je suis bien heureux d’avoir un t-shirt assez long, qui cache le trouble dans lequel elle me met. Je tente de retrouver mes esprits ennivrés devant tant de beauté et de sensualité. Mon cœur bat à tout rompre.
Comment vais-je réagir quand nous serons dans mon bureau et qu’elle lira mes récits? Car de toute évidence, elle aime lire ce genre de choses pour exciter son esprit, pour se masturber ou, que sais-je? Sûrement pas pour décortiquer la grammaire ou examiner si le bon temps de verbe a été utilisé. J’ai un peu peur de la situation, mais en même temps, elle m’excite au plus haut point.
— Bon, très bien, une promesse, c’est une promesse. C’est par là.
Je lui indique l’escalier qui mène au sous-sol, où se trouve mon bureau. Elle me précède.
Une fois arrivés au sous-sol, je la suis en la dirigeant de ma voix que je tente de garder la plus claire possible. Ma gorge est sèche et mon estomac se serre. Mes yeux se portent sur son petit cul rebondi pendant tout le court trajet jusqu’à mon bureau.
— C’est la porte à droite.
Je m’imagine la prenant par la taille et me collant contre elle. Ma verge dure se colle sur ses fesses fermes. Elle ondule du bassin. J’enfouis mon visage dans ses cheveux mouillés pour embrasser son cou et mes mains se rejoignent sur son ventre plat pour ensuite remonter prendre ses gros seins fermes. Je les masse et les caresse doucement en lui léchant le cou et ensuite le lobe de l’oreille. Je l’entends gémir. Ses tétons pointent. Ma queue va éclater.
— Oh Gérard!
Suite bientôt
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