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La leçon

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Lors de mes recherche sur Internet j’ai trouvé sur un site marchand toute une panoplie de produits qui paraît-il sont en mesure de faire tomber les femmes en pâmoison et littéralement les faire s’offrir sans pudeur. D’un naturel sceptique je ne croyais pas trop à ces machins alors un jour il m’est venu l’idée de vérifier.
Pour corser la chose, mon épouse ayant toujours exprimer un profond dégoût pour les africains, je me suis mis dans la tête de trouver un nègre, noir de chez noir, bien monté, auquel, si ces produits étaient à la hauteur de leurs prétentions elle s’offrirait d’elle même.
C’est dans cet état d’esprit que je fis la connaissance de N’goa, lors d’un passage dans une grande surface d’articles sportifs. Sa carrure athlétique m’inclinait à penser qu’il avait tout, ce que je souhaitais « offrir » à ma tendre, mais très raciste épouse.Il ne me fallut pas longtemps, pour sympathiser avec N’goa, mais soucieux de la bonne réussite de mon plan, j’attendis quand même quelques temps pour lui expliquer ce que j’attendais de lui et l’inviter à déjeuner.
Dès la veille du soir convenu je commençais à mélanger à la boisson et aux aliments de ma femme les « aphrodisiaques » que je m’étais procurés. Le matin au réveil, Marianne, c’est le nom de mon épouse, était toute « câline », je n’en continuais pas moins, à lui administrer sournoisement, mon régime de préparation, pour la chauffer à fond.
À mon grand étonnement, et au grand étonnement de N’goa que j’avais instruit de ses préjugés raciaux Marianne l’embrassa spontanément, pour l’accueillir. Discrètement je pulvérisais sur la nuque de notre invité un léger spray d’un parfum composé de phéromone dont le fabricant vantait les qualité d’attirance sexuelles ! Au cours du repas que nous prîmes sur la terrasse, je fis boire copieusement ma femme, veillant à remplir son verre de Merlot, chaque fois qu’elle venait d’y toucher.
N’goa, participait à fond et c’est avec impatience que j’attendais le moment de proposer à tout le monde une petite sieste digestive, au bord de notre piscine. N’goa que je n’avais intentionnellement pas prévenu de ce détail déclara gêné qu’il n’avait pas de maillot de bain. Marianne me semblant bien « partie », je proposai donc, pour que nous soyons tous sur un pied d’égalité de nous contenter de notre seule nudité. Ma douce ne pipa pas et envoya littéralement valser toutes ses fringues que je m’empressais d’enfermer à l’écart .N’goa en profita pour prendre Marianne dans se bras et la descendit doucement dans le bassin. Ils nagèrent de concert un aller et retour, et Marianne comme à son habitude, lorsque qu’elle se baignait nue alla se se placer dans l’angle ou se trouvait la buse de la nage à contre courant, car elle appréciait les sensations que lui procurait le jet d’eau sous pression entre ses cuisses!
Au bout d’environ cinq minutes elle nous rejoignit sur la plage et vint s’allonger sur le draps de bain que j’avais intentionnellement disposé entre N’goa, et moi. Marianne se trouvant ainsi, calée entre nous, le moment me sembla propice pour passer aux choses sérieuses, je commençais donc à caresser ma femme de plus en plus insidieusement, de façon à l’obliger à écarter les cuisses. Mais cette fois c’est N’goa qui allait ouvrer ! Et à voir la trique de ce brave, pour son « dépucelage nègre » Marianne la raciste n’allait certainement pas être déçue ! Mes préliminaires terminés je passais donc le relais à notre invité. Marianne comme à son habitude fermait les yeux, elle ne vit donc pas le membre qui s’insérait en elle délicatement mais fermement. Pour prévenir toute rébellion de sa part je m’étais placé derrière elle, prêt à intervenir, tout en filmant la scène sur notre caméscope : gros plan sur le braquemart maousse qui s’insinuait dans son intimité. N’goa s’arrêta à « mi-chemin », marquant une pose et au bout de quelques secondes estoqua sa partenaire. Au moment ou son gland buta sur l’utérus de Marianne, ma femme ouvrit ses paupières, sa première réaction fut « Oh ! » suivi d’un soupir. Puis comme elle tentait,mollement de se dégager N’goa lui emprisonna les poignets la maintenant plaqué fermement sur le sol. Il commença sa besogne accélérant la cadence comme je le lui avais demandé, il « défonçait » maintenant le petit cul de la « blanche » avec méthode et application, se retirant presque totalement ,laissant juste le bout de son gland dans la fente, puis enfonçant violemment sa pine bien à fond dans le vagin martelant sans répit son utérus. Pour obtenir le meilleur « rendement » j’avais été chercher et placé deux coussins sous les reins de Marianne, pour maintenir sa motte bien offerte au labourage méthodique, acharné et sans répit de l’athlétique sénégalais ! je filmais en gros plan et au plus près les aller et venue de l’engin monstrueux qui possédait mon épouse. Au bout de dix minutes elle avait abandonnée toute forme de réticence et accompagnait même son « dompteur » par des mouvements lascifs, elle se tortillait de plaisir !. Comme convenu N’goa la traitait de tous les qualificatifs les « pute », « radasse », « salope », « truie », « pouffiasse » alternaient avec les promesses style « tu vas me vider les couilles » « je vais te défoncer ton petit trou » « tu vas goûter au jus de nègre », et « tu vas redemander du radis noir ma salope, c’est sûr ! »
Il avait maintenant pris appui sur ses seins qu’il triturait sans douceur, elle « feulait » soumise, vaincue. N’goa jugeant le moment venu, d’autant qu’elle se trémoussait de plus en plus, à chaque glissement alternatif de la hampe du mâle frottant son clitoris émoustillé.Elle jouissait d’être possédée. M’ba la sentant totalement sous sa coupe, dégagea son énorme mandrin gluant de jouine, le plaça sur les lèvre et intima « allez ouvre la bouche salope ». Elle obéit, il esquissa deux ou trois aller venu, puis la pénétra jusqu’à ce que ses couilles butent tout contre les lèvres,il lui maintint la tête plaquée fermement etje devinais aux spasmes de son corps qu’il « lâchait la purée ». J’étais certain que le gland avait dépassé la glotte de ma chère et tendre, et qu’elle ingurgitait bien le liquide séminal de son étalon noir. Elle étouffait, son visage était cramoisi lorsqu’il la laissa se reculer un peu, juste ce qu’il fallait pour qu’elle puisse déglutir sa semence. Il se retira laissant son énorme gland, vibrant comme un pendule devant Marianne. « J’étais propre avant de te baiser salope, alors nettoie moi ça proprement, lèche moi radasse ! ». Exécution docile de l’intéressée.
« Alors c’était comment ma Puce » m’enquis-je ? Comme elle se passait langue goulûment sur se lèvres pour « savourer » les dernières traces de sperme. « Prête à remettre le couvert mon amour ? Il faut en profiter, N’goa est célibataire, il est en manque tu sais ! »
J’allais chercher un café , pour ma femme, que bien entendu j’avais « amélioré » et demandais à M’ba ce qui lui ferait plaisir. « Je vais te limer toute la nuit, mais d’abord tu va me faire le plaisir de te raser la touffe !
Ce disant il s’empara de la bombe de mousse à raser et du rasoir que j’avais préparé pour la suite des réjouissance. Quand je pense que je n’étais jamais arrivé à imposer cette « toilette » à ma femme en dix ans de mariage, j’étais un peu jaloux de l’autorité de N’goa.Après lui avoir copieusement enduit la crinière de mousse, il inséra index et annulaire gauche dans la fente de Marianne, pour bien tendre les replis des grandes lèvres et commença le « débroussaillage ». Lorsqu’il eut fini, le pubis de ma femme était aussi glabre qu’à sa naissance. Les lèvres ressortaient bien,cela m’excitait et je me promis de tout faire pour l’obliger à entretenir cette « calvitie » là, d’autant que M’ba m’avait assuré qu’à la repousse la « barbe naissante » augmentait le plaisir du mâle lors du « frottement sur le couilles ! »
« Bon ma gazelle, on y va » dit N’goa et s’allongeant à la place qu’elle avait occupé lors de leur premier et long accouplement , il l’amena à califourchon, en position tête bêche, au dessus de lui. Sans attendre il plaqua ses grosse lèvre sur sa vulve offerte. Instinctivement l’instinct de femelle inassouvie de la femme, la fit s’emparer du gland de son partenaire qu’elle excita de la pointe de la langue avant d’engloutir tout ce quelle pouvait du chibre et commencer à le téter, elle devait tout aussi instinctivement savoir comment caresser la paire de balloches, car elle s’y employa presque aussitôt. Je filmais la scène alternant les gros plans sur chacun des partenaires. Manifestement le goût de la « semence noire » avait du être une révélation pour ma femme car elle suçait le mandrin de N’goa avec l’ardeur d’un nourrisson au sein !
Au bout d’une bonne demi-heure, pensant que le dénouement était proche , j’enduisit l’oillet de Marianne de vaseline, et la sachant bien occupé, j’introduit mon index droit bien « envaseliné » dans son anus. Vu la « taille de l’engin » de M’ba cette précaution me semblait indispensable.Comme sa seule réaction avait été de tendre sa croupe, comme le font les chattes en chaleurs, l’idée me pris soudain de précéder« notre invité » et sitôt dit sitôt fait, je sodomisais « la trayeuse ». La vue du spectacles que j’avais organisé m’ayant beaucoup excité en moins de dix minutes d’aller et venues dans l’étroit boyau culier de Marianne je déchargeais mon plaisir. N’goa qui avait compris qu’il était inutile de « finasser » plus longtemps se laissa aller et inonda pour la seconde fois le gosier de Marianne de son « jus de nègre ». Tout comme la première fois, il la maintint fermement sur son chibre pour être certain qu’elle avale bien en totalité sa semence. Marianne qui n’était plus, au mieux, qu’une pute prise en sandwich, s’étouffait à engamer le « sirop de corps d’homme » de N’goa.Sitôt sa petite affaire faite, il se releva souplement et vint me relayer. Il empoigna Marianne par ses nibards et força l’entrée de son cul. D’un mouvement lent mais puissant pour assurer au passage la lubrification de sa hampe que par gentillesse il venait d’enduire de vaseline il l’empala sans coup férir. Au hurlement de douleur de ma femme je compris que ma « préparation » était de la pure fantaisie. N’goa fit deux ou trois coulissement toujours aussi lentement , sans doute pour s’assurer que la gaine rectales s’adaptait bien à la taille de son braquemart, puis augmenta progressivement la cadence. Il avait relâché le sein droit de Marianne et pour,flatter entre son pouce son annulaire et son majeur le clitoris de Marianne.Je n’ai jamais compris pourquoi mes frères excisent nos femmes, me confia-t-il, elles ont bien le droit à un peu de plaisir!
Marianne ahanant sous les coups de boutoirs de N’goa je vins me placer sous elle dans la position qu’avait occupé M’ba à la phase précédente, avec une vue imprenable sur le mandrin géant qui élargissait le fondement de mon épouse, je remplaçais les doigts de N’goa par ma langue. C’était une sensation nouvelle que de bouffer sa chatte « toute nue », surtout qu’avec ce qu’elle avait dans le cul elle écartait bien le cuisses cette salope en chaleur ! Comme ce qui lui arrivait l’accaparait entièrement, je dus lui rabattre la tête avec mes jambes, pour l’obliger à me faire connaître les sensations qu’elle avait sans hésitation donné à notre ami. Enfin elle se mit à ouvrer, et là encore j’avoue que je ne tins pas la comparaison, car au bout de quelques minute, les trois jets de sperme marital que je lui lâchais et quelle avala néanmoins sans barguigner ne soutenaient pas la comparaison avec notre étalon!
J’abandonnais mon poste et allais me chercher une bière, espérant bien que N’goa aurait la bienséance d’attendre ma présence pour ensemencer le troufignon de ma femme !L’après midi touchait à sa fin quand il explosa. En fait comme je me doutais de l’imminence de l’épilogue j’avais commencé à me branler face à la tête de Marianne et j’eu juste le temps de lui barbouiller les yeux de mes ridicules giclées de sperme.
N’go l’aida à se relever, deux coulées de sa semences suintait de l’anus encore tout dilaté de ma Marianne, qui se recoucha immédiatement, en position fotale sur le grand drap de bain où tout s’était passé. À mon grand étonnement elle se mit à sucer son pouce gauche et à se masturber de l’autre main.
À la nuit tombante nous transportâmes une Marianne béate, souriant aux anges, dans notre lit et je l’abandonnais au bon plaisir de son étalon nègre.
Bien qu’elle fut d’habitude une lève tôt, Marianne ne s’éveilla que vers dix heures du matin le lendemain. Ils arrivèrent N’goa et elle, main dans la main. À l’évidence le noir seyait parfaitement à mon épouse....
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