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Leçon à ma jeune voisine

Chapitre 1

Hétéro
Je n’avais jamais eu une sexualité débridée et j’avais atteint la quarantaine aux côtés d’une compagne douce et sage. Notre vie sexuelle était épanouie, satisfaisante sans être envahissante. Ma conjointe avait deux ans de moins que moi. Elle avait abandonné la lingerie affriolante des premières années pour des sous-vêtements de coton plus confortables. J’avais, pour ma part, cessé de regarder les magazines érotiques qui m’excitaient quelques années plus tôt. Je me plaisais à croire que nous nous étions assagis et que nous pouvions considérer la sexualité débridée des jeunes âmes avec une certaine condescendance, comme de vieux sages qui ont dépassé ce stade depuis fort longtemps. Puis, un été, tout a changé …
Les vacances arrivaient enfin. Ma conjointe avait décidé de partir en Italie avec des collègues de bureau, un voyage qui l’aiderait à faire la paix avec son monde intérieur, disait-elle. J’avais décidé de rester à la maison, de prendre un peu de temps pour jardiner et lire. Je n’avais jamais passé beaucoup de temps dans le jardin et le travail de débroussaillage s’annonçait ardu. Je fis la connaissance de Julia dans ces circonstances.
Julia avait seize ans. Elle habitait à côté avec ses parents. C’était une jeune fille dynamique et téméraire, au caractère bien trempé. Je l’entendais souvent se disputer avec ses parents, leur adressant plus de grossièretés que n’en contenait mon vocabulaire. Un matin, alors qu’elle se baignait dans la piscine de son jardin, elle m’interpella à travers la clôture, me faisant signe de m’approcher. J’obtempérai aussitôt. Julia sortit alors de la piscine, ses longs cheveux noirs dégoulinant sur ses épaules bronzées.
« Pourquoi vous ne me matez jamais ? me demanda-t-elle de but en blanc.
— Je te demande pardon ?
— L’autre voisin, de l’autre côté, il passe son temps à regarder mon cul en s’astiquant le manche. Je l’ai vu l’autre fois, il l’avait sorti de son froc en pensant que je ne m’en rendrais pas compte. Vous ne me trouvez pas excitante, vous ?
— Non, répondis-je très franchement.
— Vous allez voir, ça va changer. Encore quelques jours et vous voudrez me défoncer. »
Elle partit aussitôt, replongeant dans la piscine sans un regard pour moi. J’étais pantois devant son arrogance et son insolence. Je la quittai des yeux aussitôt pour rentrer à l’intérieur de ma demeure. J’étais en colère, je ne savais trop exactement pourquoi.
Le lendemain, alors que j’arrachais des mauvaises herbes, je vis Julia sortir de chez elle. Elle ne semblait pas m’avoir remarqué. Elle portait un bikini de couleur noir. Elle s’avança vers la piscine en dénouant son haut, révélant à mes yeux une poitrine de taille moyenne qui semblait très ferme. Je laissais mes yeux tomber sur ses petites auréoles brunes aux mamelons durcis. Julia empoigna l’un de ses seins et le caressa sensuellement tandis qu’elle se défaisait du bas de son bikini. Des fesses bien rondes et une chatte … sublime, de belles lèvres roses et humides. Je tentai tant bien que mal de détacher mon regard de son corps d’adolescente. Seulement, elle s’étendit sur une chaise longue et commença à caresser son sexe. Avec son pouce, elle frotta ses lèvres intimes, puis laissa deux doigts glisser dans sa chatte. Elle se mit à gémir assez fort puis à murmurer. Je me penchai pour entendre ses mots. Julia les dit alors plus fort :
« Oh oui, c’est bon Arnaud, dévore ma chatte ! »
Plus aucun doute. Elle savait que j’étais là. Elle venait de prononcer mon nom. Cette petite salope prenait plaisir à se masturber devant moi, à savoir que je la regardais se caresser. Mon sexe était raide dans mon jeans, très serré, presque douloureux. Une sorte de pudeur m’empêcha cependant de le sortir de là. De l’autre côté de la clôture, ma voisine continuait son spectacle.
« Vas y putain, mets-la moi, plus fort ! Défonce ma chatte ! Oh oui, ce qu’elle est grosse ! Ah vas y, continue, t’es trop bon ! »

N’en pouvant plus, je posai ma main sur ma queue, la caressai au travers de l’épais tissu. J’avais mal tellement cette petite m’excitait. J’étais honteux de ne lui opposer aucune résistance, aucune indifférence. En même temps, les pensées qui germaient en moi étaient de plus en plus violentes. Je voulais la baiser bien fort pour la punir de son arrogance. Je voulais la baiser jusqu’à ce qu’elle me supplie d’arrêter. Je voulais la prendre par derrière et voir ses petits seins tressauter pendant que je la défonçais. Elle cessa son spectacle dès qu’elle entendit ses parents arriver. Julia se rhabilla et gagna l’intérieur de sa maison.
Le lendemain, le voisin dont Julia m’avait parlé vint sonner à ma porte. Je lui demandai aussitôt le motif de sa visite. Il me répondit que c’était Julia. Je le laissai entrer et nous nous assîmes au salon.
« Elle se croit tout permis, me dit-il en soupirant. Elle est insatiable cette gamine. Je ne peux pas m’en empêcher, j’ai vraiment envie de la baiser. Julia est en train de foutre mon mariage en l’air. Ma femme a appris que je m’étais branlé en la regardant.
— Pourquoi me dire ça à moi ? »
Le voisin sortit quelques clichés où l’on voyait clairement Julia s’adonner à la masturbation dans son jardin. Les photos ne dataient pas d’hier. Julia avait les jambes écartées. Elle était assise sur la pelouse, un doigt enfoncé entre ses lèvres intimes.
« Vous pouvez bien la faire chanter pour moi ? Il faut qu’elle cesse son petit jeu avant que ma femme ne devienne dingue. Menacez-la avec les clichés, dites-lui que si elle n’arrête pas, vous allez les montrer à ses parents. Je ne peux pas le faire. Ma femme va me tuer si elle l’apprend. »
Je considérai les photos et acceptai aussitôt. Ce n’était pas plus mal pour moi non plus. Je devais arrêter de me laisser avoir comme un adolescent en pleine puberté. La petite devait cesser de me provoquer. Dès le lendemain, alors qu’elle s’apprêtait à se déshabiller pour me provoquer une nouvelle fois, je lui fis signe de s’avancer jusqu’à moi. Je lui montrai alors une des photos que le voisin avait prises d’elle. Julia sembla alors décontenancée.
« Il y en a encore dix autres chez moi. Je crois que toi et moi, on sait pertinemment que tu ne veux pas que de telles photos se retrouvent entre les mains de tes parents, n’est-ce pas ? »
Elle secoua aussitôt la tête. Julia avait perdu toute sa belle assurance et sans que je ne puisse me l’expliquer, cela m’excita énormément. Je sentis mon sexe se durcir à nouveau dans mon jeans, s’appropriant tout l’espace et me serrant douloureusement. Pris d’une audace nouvelle, je m’emparai de la main de la jeune fille à travers le grillage et la posai sur mon sexe. Celle-ci voulut se rétracter, mais je la tins fermement.
« Fais ce que je te dis si tu ne veux pas que tes parents découvrent la salope que tu es. Viens tout de suite dans mon jardin. »
Julia s’exécuta aussitôt. Elle enjamba la clôture sans difficulté et se mit face à moi. Elle portait le même bikini noir que la veille. Je m’emparai de sa poitrine à deux mains et malaxai sèchement ses seins. Julia n’osait pas bouger. De crainte d’être vu, je lui ordonnai de me suivre à l’intérieur. Elle obtempéra. Je m’assis au salon et la laissai prendre place devant moi.
« Déshabille-toi.»
D’une main tremblante, Julia dénoua son haut et le laissa tomber au sol. Je vis enfin de près sa poitrine. Elle semblait ne pas avoir fini de grandir et elle annonçait très probablement une taille plus imposante. Je posai ma bouche sur son mamelon, le léchai avant de le mordiller plus franchement. J’avais posé mes mains sur les hanches de Julia que je sentais trembloter, de froid ou de peur, peut-être d’excitation. Je fis tomber le bas de son maillot au sol et dirigeai aussitôt ma main vers sa chatte, cherchant son clitoris entre ses lèvres intimes. Elle ne mouillait pas, ce qui m’étonnait étant donné son attitude de petite salope de la veille. Je posai ensuite mes doigts à l’entrée de la bouche de Julia et l’obligeai à bien les lécher. C’est avec des doigts mouillés de sa salive que j’entrepris de caresser son clitoris qui s’érigea rapidement. Je l’entendis haleter de plus en plus fort. C’est alors que j’entrepris de poser ma bouche au niveau de sa chatte, affamé par son parfum d’excitation grandissant. Julia eut un mouvement de recul.
« Non ! Ne faites pas ça !
— Tu m’as demandé de dévorer ta chatte hier. Apprécie au lieu de geindre ! »
Je donnai aussitôt de grands coups de langue sur son clitoris puis l’aspirai entre mes lèvres. Julia poussa un gémissement, tenta encore de se reculer tandis que je la ramenai plus fermement vers moi pour bien enfoncer ma langue dans son intimité. Elle se débattit un peu, mais elle était faible dans mes bras. Je sentis rapidement ses parois vaginales se serrer autour de ma langue. Elle jouit en se mordant la lèvre inférieure très fort, en donnant un coup de bassin vers moi.Je profitai de son émoi pour déboutonner mon pantalon et en sortir mon sexe bien dur.
« Suce-moi maintenant. »
La petite s’agenouilla aussitôt devant moi, posa ses lèvres timides sur mon gland. Elle le goba sans assurance et fit aller sa bouche sur sa longueur. J’étais très excité, mais Julia avait une très mauvaise méthode. Elle devait le faire pour la toute première fois, ce qui me poussa à donner des coups de hanches assez secs.
« Serre les lèvres, allez. Sers-toi de ta langue ! Plus vite ! »
Aussitôt, ses lèvres se serrèrent sur ma queue, sa langue s’activa autour de mon gland. Elle semblait hésitante, mais c’était déjà meilleur. J’enfonçai mon sexe toujours plus loin dans sa bouche. Julia ressentit le besoin de poser sa main sur ma queue à un moment et me masturba, peut-être instinctivement. Excité comme jamais, je ne tardai pas à me décharger entre ses lèvres sans l’avertir. La jeune fille déglutit, mit un certain temps à avaler la grande quantité de foutre. Je profitai de sa surprise pour changer sa position et la placer à quatre pattes devant moi, élevant son bassin d’une main autoritaire. Julia ne se débattit pas et tandis que je passai deux doigts sur son sexe, je me rendis compte que ses lèvres étaient trempées, bien plus mouillées qu’elles ne l’avaient été auparavant.
« T’as aimé ça, petite salope, hein ? Me sucer la queue … Ta chatte en redemande maintenant. »
Elle ne répondit pas, mais la manière dont elle remuait son bassin afin que sa chatte se frotte à mes doigts me parut assez suggestive. Ma queue prit un très court laps de temps à reprendre sa forme, à durcir et grossir comme jamais. Je crois ne jamais avoir été aussi excité par une telle situation. La jeune fille, soumise devant moi, les jambes écartées, sa chatte rose et dégoulinante, m’excitait à m’en rendre dingue. Je posai mon gland turgescent sur ses lèvres, les frottant pour l’exciter davantage. Julia eut du mal à contenir quelques soupirs d’aise puis de frustration.
« Que veux-tu ? Lui demandais-je en continuant de la chauffer comme jamais.
— Je veux … que tu le fasses, que tu …
— Que je quoi ? La coupais-je.
— Que tu me la mettes …
— Allez, mets y un peu du tiens, tu n’es pas sincère, pétasse.
— Je … veux que tu me défonces avec ta grosse queue. Je veux que tu me baises fort ! »
Il n’en fallut pas davantage pour que je m’empare de ses hanches et que je la pénètre d’un mouvement brut. Il y eut une résistance au moment de la pénétration. La petite salope était encore vierge. Elle serra les dents, retint tardivement un cri de douleur. Tandis que mon sexe coulissait dans sa chatte serrée, je perçus un peu de sang.
« Attends, retire-là ! Ça fait mal et … Ahhhh »
J’étais trop excité pour ralentir ma cadence. Sa chatte était dégoulinante, serrée comme jamais. La petite me rendait dingue, bestial. Tandis que je la pilonnais entre ses cris de douleur et de plaisir, je libérai l’une de mes mains pour frotter assez sèchement son clitoris. Ce simple geste sembla la libérer de ses inhibitions. Elle se mit à gémir bien fort, à me dire que ma queue était grosse, qu’elle la remplissait bien. Je pris peu de temps à me libérer et à lui projeter mon foutre dans les entrailles, mais je l’avais baisé avec une telle violence que la petite semblait vidée, peut-être satisfaite. Elle s’effondra sur le sol, ses cuisses recouvertes de cyprine, un peu rougie. Tandis qu’elle gisait là, un peu amorphe, je lui lançai au visage quelques photos compromettantes.
« Je pensais qu’il y en avait plus, me dit-elle en regardant les photos.
— Il y en a plus.
— Je les veux toutes !
— Pas si vite, demoiselle. Moi, je n’ai pas fini de m’amuser avec toi et visiblement, tu as pris un pied d’enfer aujourd’hui. Tu vas devoir revenir satisfaire mes couilles pour avoir le reste des photos, c’est clair ? »
Elle eut un petit sourire qu’elle s’empressa de cacher sous un air outré, en colère. Julia sortit de mon domicile sans un autre mot, claquant la porte au passage.
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