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Les actrices

Chapitre 3

L'amateur et le professionnel

Avec plusieurs hommes
Le lendemain matin, je me suis réveillé de bonne humeur. Mélanie dormait toujours à mes côtés, mais avait repoussé les draps pendant la nuit. Il faut dire qu’en ce début de mois de juin, les nuits commençaient à être chaudes. Elle était allongé sur le côté, dos à moi jambes repliées, m’offrant ainsi une magnifique vue sur son sublime postérieur, à peine couvert par la nuisette. Je suis resté quelques instants à admirer le spectacle, jusqu’à ce que je me décide à venir effleurer la peau délicate de ses cuisses du bout de mes doigts.Dans son sommeil, Mélanie sembla néanmoins apprécier la caresse car je remarquai des frissons parcourant son corps au fur et à mesure que ma main parcourait ses courbes. Encouragé par cette réaction, je me risquai à descendre ma main vers son sexe, à titiller délicatement ses lèvres d’amour puis à la doigter délicatement, un doigt puis deux. En réaction, Mélanie eut quelques mouvements de bassin approbateur et, toujours endormi, parvint cependant à émettre quelques soupirs de satisfaction. A l’aide de ma deuxième main, et tout en continuant à la doigter, je lui prodiguai alors toutes une série de caresses plus délicates les unes que les autres, pour le plus grand bonheur de ma charmante dormeuse.C’est à cet instant que j’ai eu une idée quelque peu tordue : pourquoi ne pas réveiller cette sublime jeune femme de la plus agréable des manières? Dans la position où elle était, il me serait en effet facile de lui faire tendrement l’amour. Cette idée m’excita tellement que les effets ne se firent pas attendre plus longtemps, et j’eus très rapidement une bonne érection. Mélanie n’étant pas assez mouillée, le lubrifiant fut de nouveau mis à contribution puis, une fois appliqué, je me plaçai derrière ma partenaire, une main sur la cuisse l’autre caressant les cheveux et ma verge à l’entrée de sa grotte d’amour.La pénétration se fit sans difficulté. Néanmoins, afin d’être sûr et certain de ne provoquer aucune douleur, j’y suis allé très lentement, centimètre après centimètre. Une fois bien au fond, j’ai commencé une série de va-et-vient très profond mais assez lent, attentif à la moindre réaction de Mélanie. Celle-ci ondulait légèrement au rythme des pénétrations, et au bout de quelques minutes, je sentis son vagin se contracter. Cette jouissance s’accompagna d’un profond soupir de satisfaction, et je vis le corps de Mélanie se cambrer et sa main venir chercher mes hanches pour m’inciter à continuer la manœuvre : elle venait de se réveiller grâce à un orgasme. Bien qu’ayant atteint mon objectif, je ne souhaitais pas m’arrêter là et, encouragé par ma partenaire, je commençai à accélérer le rythme, tout en profitant de son réveil pour passer un bras sous sa nuque et ainsi venir lui caresser les seins en glissant ma main sous sa nuisette. Sous l’effet de l’excitation, elle se cambra encore plus, facilitant la pénétration. Elle ne fut pas très longue à connaître un nouvel orgasme, qui fut pour moi un peu douloureux, car elle planta involontairement ses ongles dans ma cuisse.
Suite à cette jouissance, Mélanie se retira, me fit rouler sur le dos, retira sa nuisette et vint sans attendre me chevaucher. Elle prit ainsi le contrôle des opérations, et se mit à aller et venir sur ma verge, sans trop se presser mais s’arrangeant pour avoir une pénétration maximale à chaque descente, et se cambrant au maximum pour profiter au mieux de chaque sensation. Dans cette position, je me délectais du spectacle de ses énormes seins qui ballotaient, tandis que je caressais les cuisses de leur propriétaire. Lorsque, pratiquement dix minutes plus tard, je sentis Mélanie avoir un nouvel orgasme, je lui annonçais que j’étais moi aussi au bord de l’explosion. Elle sembla ne pas tenir compte de mon avertissement et nous eûmes alors un bruyant orgasme simultané, tandis que je me déversais en elle. Mélanie s’écroula alors sur moi et me serra dans ses bras, tout en blottissant sa tête contre mes épaules
— C’est bien la première fois qu’un mec me réveille en me faisant jouir, me dit-elle avec un grand sourire— A ton service pour une deuxième expérience, lui répondis-je très sûr de moi— Mais j’y compte bien, me répondit-elle, un magnifique sourire aux lèvres, avant de me gratifier d’un somptueux baiser.
Nous restâmes ainsi l’un sur l’autre quelques instants, avant de nous décider à aller nous doucher, la salle de bain semblant libre. En sortant de la douche, au cours de laquelle nous n’avons pas manqué de nous prodiguer quelques caresses très sensuelles, Mélanie et moi sommes descendus directement dans la cuisine prendre le petit déjeuner. Sébastien et l’équipe technique étaient déjà là, ainsi que quelques actrices, dont Chloé. En nous voyant arriver, celle-ci décocha un clin d’œil discret à Mélanie, qui lui répondit d’un sourire. Nous nous sommes joints à tout le monde et avons commencé à manger.Au cours du repas, Sébastien m’a annoncé que quatre acteurs devaient arriver d’ici une demi-heure, et m’a demandé s’il m’était possible dans l’après-midi d’accompagner une des actrices pour quelques courses, car ils n’emportaient jamais avec eux une semaine de nourriture pour ne pas surcharger les véhicules. Bien entendu, cela ne me dérangeait pas, bien au contraire. Je terminais alors tranquillement mon petit déjeuner non sans remarquer avec un certain plaisir les échanges de regard entre Mélanie et Chloé, puis je pris congé afin de les laisser travailler.Avant de partir, je suis retourné dans la chambre de Mélanie, notamment pour vérifier si les draps ne devaient pas être changés. En sortant, je vis la porte de Déborah, l’actrice vedette, s’ouvrir et celle-ci me demander de venir. Bien que surpris, je suis entré dans sa chambre.Déborah était la plus grande du groupe, plus grande que moi à vrai dire, presque 1m80. Elle portait une robe de chambre minimaliste en soie rouge, qui lui couvrait à peine les fesses, mais dévoilait ses superbes jambes galbées
— J’aurais un service à te demander : ça te serais possible de me baiser tout de suite, et par tous les trous?
Alors là, c’était bien la première fois de ma vie qu’on me faisait une telle proposition.
— Oui, c’est possible mais pourquoi maintenant en particulier? Demandai-je, clairement pas habitué à ce qu’on me demande ça.— Disons qu’à l’origine c’était pour me débarrasser de la corvée. Je sais que j’ai signé un contrat, mais pour quelques bons coups de temps en temps, je me fais la plupart du temps troncher par des petits puceaux qui éjaculent au bout de 15 secondes ou par des gros bœufs qui me défoncent le derche et me remplissent l’anus à la cadence d’un marteau piqueur. Désolé pour la grossièreté, mais rien que d’y penser ça m’énerve. Toi au moins, d’après Nicole, tu es plutôt un bon baiseur.— C’est gentille à elle de dire ça. Mais si ce n’est pas pour ça, c’est pour quelle raison?
— Dans le monde des acteurs professionnels, on rencontre aussi, et plus souvent qu’on ne le voudrait, de gros bœufs. Et j’ai appris hier soir que je dois tourner une scène ce matin avec trois gars connus dans le milieu comme les triopikeurs.
En temps normal, apprendre qu’un groupe d’individus avait comme surnom le nom d’un pokémon m’aurait fait sourire. Mais là, ça en disait long sur la mentalité de ce trio.
— Holà tout un programme. Donc si je te suis bien, tu souhaiterais que je te prépare pour ta scène.— C’est ça, et que tu me fasses jouir aussi. Je ne compte pas trop sur les trois autres pour ça.
A peine avait-elle terminé sa phrase qu’elle fit tomber au sol sa robe de chambre, dévoilant un corps sculptural et, au minimum, un 95E des plus sublimes. En la voyant là devant moi, je comprenais mieux pourquoi elle était la tête d’affiche de la société de production. Sans plus attendre, je me déshabillai à mon tour et l’invitai à s’allonger sur le lit, les jambes au sol. J’engouffrai alors ma tête entre ses cuisses, tout en caressant son opulente poitrine. Je m’employai à être le plus délicat possible, introduisant ma langue dans son sexe, titillant et mordillant tendrement ses lèvres d’amour. Déborah se laissait totalement aller, m’appuyant sur le dessus de la tête pour m’inciter à y aller plus profondément. Cet abandon facilita énormément les choses, et relativement vite elle eut un premier orgasme.Les évènements prenaient une tournure qui semblait satisfaire ma partenaire. Elle se laissa complètement aller à sa jouissance, qu’elle manifesta par des petits "oh oui" et en me caressant le cuir chevelu. Reprenant ses esprits, elle me releva la tête gentiment puis roula sur elle-même et avança légèrement, de sorte à se placer complètement à plat ventre sur le lit. Comprenant la manœuvre, je vins m’allonger sur elle et je glissai mon sexe bien dur entre ses jambes. La pénétration se fit toute seule, Mais je pris tout de même la précaution d’y aller lentement et bien au fond. Une fois en place, je glissais une main sous elle pour continuer à lui exciter le clitoris, tandis que je caressai ses cheveux de l’autre. J’entamai alors des mouvements de bassin, m’assurant à chaque pénétration d’aller jusqu’au bout.Déborah haletait de plaisir, poussant un petit soupir à chaque fois que je la pénétrais. Mes caresses clitoridiennes augmentaient encore son plaisir, de sorte que, s’abandonnant complètement, la jouissance ne fut pas longue à venir. De plus, pour en rajouter encore, je ne me privai pas de lui lécher la nuque ou de lui mordiller le lobe de l’oreille. Si vous ajoutez à ça que, ayant déjà joui peu de temps avant et imposant un rythme assez lent, je pouvais tenir, ce qui permis à Déborah d’enchainer les orgasmes pendant près de dix minutes. N’y tenant plus, ma ravissante partenaire me demanda de bien voir changer d’orifice, me faisant remarquer au passage qu’elle avait tellement mouillé que ma bite devait être bien lubrifiée. Je m’exécutai donc, plaçai ma verge à l’entrée de ses fesses et, d’une simple pression, je la fis rentrer sans la moindre difficulté. Je pus alors reprendre mes mouvements comme précédemment, ainsi que l’ensemble de mes caresses. Déborah se cambrait du mieux qu’elle pouvait pour accroitre son plaisir, m’encourageant d’un "oui" de satisfaction à chaque fois que mes cuisses claquaient sur ces fesses. Cette situation m’excitait énormément, ce qui malheureusement réduisit mon endurance. Quelques minutes plus tard, j’annonçai à ma partenaire que j’étais sur le point de venir.Sans que je m’y attende, Déborah me demanda alors d’éjaculer dans son anus. Me sentant hésiter, elle insista lourdement, me demandant de ne surtout pas arrêter tant que je n’aurais pas joui. Dans un dernier coup de rein, je rependis ma semence par saccade dans les entrailles de Déborah, qu’elle accueillit par un profond soupir. Une fois vidé, je roulais sur le dos et contemplais le visage radieux de ma partenaire.
— Nicole avait raison, tu te débrouille plutôt bien, dit-elle d’un sourire presque béat.— Merci c’est flatteur. Mais pourquoi tenais-tu autant à ce que je te remplisse le cul?— Déjà parce que j’adore cette sensation, et également parce que le sperme est un bon lubrifiant. Connaissant les trois lourdingues, ils ne vont pas me laisser le temps de me préparer. D’ailleurs ils ne devraient plus tarder, dit-elle en tendant l’oreille.
A cette instant précis, je perçu les cris de Chloé, les mêmes que la veille, signe que les essais lumières du matin avaient commencé. Déborah se leva alors, essuya d’un revers de main le trop-plein qui s’écoulait sur ses cuisses et partit se doucher. Je fis rapidement de même, et fut près juste à temps pour accueillir les quatre nouveaux visiteurs qui venaient tout juste d’arriver. Le timing était parfait, même Chloé venait tout juste de finir, et prenait ma place dans la salle de bain, sourire aux lèvres et visage dégoulinant de sperme. Les présentations une fois faites, je proposai aux nouveaux venus une visite des lieux. Autant l’un des quatre accepta avec plaisir, autant les trois autres dévoraient littéralement des yeux les actrices présentes, et notamment Déborah qui venait de descendre, vêtue de sa tenue de scène : un mini short et un t-shirt très décolleté. Bon, inutile de préciser plus, je savais à présent qui étaient les triopikeurs.Je laissais là mes trois lascars, non sans un regard de compassion pour Déborah et j’emmenais le quatrième jeune homme, prénommé Stéphane, faire le tour du propriétaire. En arrivant devant une des chambres située près de la piscine, une des portes s’ouvrit brutalement, et deux mains nous firent entrer rapidement avant de refermer la porte. Julie se tenait là, souriante, vêtue d’une jupe courte et d’un débardeur moulant, sans soutien-gorge en dessous.Julie était une jeune femme pas bien grande, un peu plus de 1m60, pour à peine 50kg, les cheveux noirs, mi-longs et raide, et portant une jolie paire de lunette. Sa poitrine, toute aussi refaite que celle de ses collègues, devait être de l’ordre du 85D. Une fois à l’intérieur, elle se jeta au cou de Stéphane pour l’embrasser, au sens propre de l’expression, le gaillard mesurant au minimum 1m85. Puis elle me regarda avec un grand sourire avant de préciser :
— Que veux-tu, Steph est un des rares qui fait la différence entre défoncer une actrice et faire l’amour à une femme. J’aurais tort de m’en priver.— Je comprends tout à fait, je vais vous laissez, dis-je en me dirigeant vers la porte— attend, reste. D’après Mélanie tu lui as fais passer une soirée d’enfer, alors pour une fois que j’ai deux bon coups sous la main, je les garde. Et cette fois-ci, c’est moi qui choisi de coucher avec deux types.
Les choses étant claire, nous sommes passés à l’action. Julie retira ses lunettes, puis Stéphane s’agenouilla derrière elle et, lentement, est remonté avec ses mains le long de ses jambes, remontant sa jupe sur ses hanches, et lui enlevant sa culotte. S’en est suivi un massage de ses délicieuses fesses, accompagné de baisers et de petits coups de langue. Pour ma part, je fis de même à partir de la taille, enlevant le débardeur, et léchant, massant et mordillant ses sublimes seins. Julie rejeta sa tête en arrière afin que je lui embrasse la gorge, tandis que je lui caressais le dos et lui massais la nuque.Etant juste devant elle, il lui fut facile de dégrafer mon pantalon et de dégager ma bite, qu’elle commença à branler doucement. Pendant ce temps, Stéphane profitait de sa position pour lui titiller la rosette avec sa langue et pour lui introduire deux doigts dans le minou et la masturber délicatement. Nous sommes restés ainsi quelques instants, à nous caresser, nous masturber, faisant grimper l’excitation et le désir. Puis Julie demanda à Stéphane de se redresser, l’aida à se déshabiller, ôta sa jupe, et nous entraina vers le lit, en nous tenant par la bite.Assise sur le lit et nous deux debout près d’elle, elle commença à nous sucer alternativement, pour notre plus grand bonheur. A cette occasion, je pu me rendre compte que la légende concernant l’engin des acteurs X n’était pas infondé, du moins concernant Stéphane : si je n’avais rien à lui envier point de vue grosseur, il devait avoir trois bons centimètres de plus que moi. Cela ne semblait cependant pas du tout gêner Julie, qui continua tranquillement à nous pomper divinement, un coup l’un un coup l’autre.Ce petit jeu dura quelques instants, Julie semblant y prendre beaucoup de plaisir. Puis elle demanda à Stéphane de s’allonger, et, à quatre pattes sur le bord du lit, continua sa fellation, en alternant coup de langue sur le gland et gorge profonde. Dans cette position, je me suis appliqué à lui faire un bon cunnilingus, tout en lui préparant la rondelle pour plus tard. Stéphane étant particulièrement résistant, elle le pompa ainsi pendant plusieurs minutes, me donnant le temps de la faire jouir une première fois avec ma langue. Le râle de satisfaction qu’elle poussa à ce moment fut quelque peu étouffé par l’énorme queue qu’elle avait en bouche mais cependant parfaitement perceptible. Je décidai alors de passer aux choses sérieuses, et je commençai à la prendre en levrette sur le bord du lit, bien accroché à ses hanches.Afin de lui permettre de continuer sa fellation, mes mouvements étaient relativement lents et amples. Cependant, je me suis bien vite rendu compte que cette précaution était inutile, son expérience professionnelle lui permettait sans difficulté de satisfaire deux hommes en même temps. D’ailleurs, Stéphane me fit signe d’augmenter le rythme, au plus grand plaisir de la jeune femme, qui le manifesta par des grognements. Quelques instants de ce traitement, ce fut un nouvel orgasme pour la belle Julie, qu’elle étouffa instinctivement par une gorge profonde sur Stéphane, qui sembla apprécier tout particulièrement. Je ne m’interrompis pas pour autant, devenant même un peu plus percutant que précédemment. Chaque coup de rein arrachait un grognement à ma partenaire, et je me délectais de voir ses fesses ondoyer à chaque impact. Quelques minutes plus tard, ce fut un nouvel orgasme, qu’elle ne put retenir et qu’elle manifesta bruyamment.
Remise de ses émotions, Julie demanda à inverser les rôles. Je me suis donc retiré et Stéphane s’est assis sur le bord du lit. Dos à lui, elle s’est alors empalée sur son énorme verge et, aidé de son amant, elle a commencé à monter et descendre sur sa tige. Lorsqu’une bonne position et une bonne cadence furent trouvées, elle s’est penchée en avant et a gobé littéralement ma queue, attrapant et malaxant mes fesses au passage. Stéphane l’aidait de son mieux en lui donnant régulièrement de petits coups de bassin, qui a chaque fois la faisait avaler ma bite plus profondément, tout en jouant régulièrement avec sa rosette. Cette fellation accompagnée de gorges profondes régulières était peut-être la plus divine que j’avais pu connaitre depuis le début de cette aventure, et pourtant Chloé, Nicole et Mélanie n’étaient pas des débutantes. Lorsque Stéphane, dont l’endurance m’épatait, finit par la faire jouir, le mouvement de langue sur ma verge au même moment me fit presque jouir dans sa bouche.

Après cette jouissance particulièrement intense, Julie nous fit faire une pause. Allongé sur le lit, elle nous branlait doucement, tout en reprenant son souffle. Rapidement, elle se refit une santé, vint se placer à califourchon sur les hanches de Stéphane puis commença à le chevaucher tranquillement, la tête en arrière pour apprécier chaque centimètre de cette verge hors norme. Stéphane lui caressait les seins, tandis que le m’approchai pour qu’elle puisse de nouveau me sucer. Arrivé près de son visage, elle me fit comprendre d’un regard que ce n’était pas ce qu’elle attendait. Je me suis donc placé derrière elle, et j’ai commencé à la sodomiser, centimètre par centimètre, afin de profiter au mieux de ce qui était ma première double. A entendre Les grognements de Julie, je n’étais pas le seul à apprécier.Arrivé bien au fond, j’entamais mes allers-retours, en cadence avec Stéphane dont je sentais régulièrement les coups de bite, une sensation tout de même quelque peu étrange. Julie se lâchait petit à petit, nous encourageant par des "oh oui, encore" ou des "allez-y, bien au fond", et vantant la taille de nos engins. A cet instant, des cris de jouissance simulée nous sont parvenus depuis le rez-de-chaussée, Déborah était en train de se faire exploser par les triopikeurs. Nous avions beau savoir qu’il s’agissait de simulation, ses cris nous ont excités au plus haut point, et Stéphane et moi avons alors littéralement pilonné Julie. Je ne me reconnaissais plus, à chaque mouvement je faisais claquer mes cuisses contre ses fesses, tandis qu’à chaque impact de Stéphane, la jeune femme se soulevait de plusieurs centimètres. Elle se mit à crier sa jouissance, ce qui eut pour effet de nous faire augmenter la cadence. Totalement abandonnée à ses sensations, ce fut alors pour elle un déluge d’orgasmes, tant anal que vaginal, qui ne s’arrêta que lorsque, totalement épuisé, je ne pu me retenir et me suis répandu par saccade dans les entrailles de la demoiselle.
Complètement vidé, je suis sorti du cul de Julie, qui s’est alors retirée de la verge de Stéphane pour venir nettoyer la mienne à coup de langue. Mais ce dernier avait encore de la ressource, et pris alors ma place pour enculer la jeune femme à son tour. L’endurance de ce type était incroyable et après une bonne demi-heure de prestation en tout genre, il parvenait encore à honorer une paire de fesse encore dégoulinant de foutre. Julie semblait cependant apprécier, et pendant près de dix minutes à un rythme bien moins soutenu que précédemment, il faisait claquer ses cuisses sur celle de sa partenaire, pendant que celle-ci essayait tant bien que mal de me sucer. Cette séance se termina en apothéose par la jouissance simultanée des deux amants, le cul de la jeune femme recevant alors une deuxième dose de foutre. Ils s’écroulèrent alors près de moi, Julie à plat ventre et la rosette rejetant sur ses cuisses l’excès de semence, essuyant d’un revers de main la verge de Stéphane puis léchant sensuellement ses doigts.
Pendant ce temps, Déborah continuait à crier sa fausse jouissance, accompagnée de beuglements de taureau
— La pauvre, elle va finir en pièces détachées. Dans la voiture, ils se vantaient qu’ils allaient la casser en mille morceaux, commenta Stéphane.— C’est sûr que moi, vous m’avez juste cassé en deux, précisa Julie avec un grand sourire béat. Mais je préfère largement être à ma place qu’à la sienne.— Désolé très chère, mais avec les cris de Déb’ au rez-de-chaussée, je me suis laissé emporté— J’ai l’air de m’en plaindre? demanda Julie d’un air satisfait. D’ailleurs, il faudra remettre ça très bientôt, précisa-t-elle, tout en attrapant une de nos mains et en les claquant sur ses fesses.
Je ne répondais rien, me contentant de lui sourire. Je venais de réaliser qu’en 24 heures, j’avais fait l’amour à cinq femmes sublimes, que je les avaient toutes enculées, que j’avais couché avec deux d’entre elles en même temps puis pratiqué une double pénétration avec une autre, que j’avais éjaculé dans le cul de deux d’entre elles, et que j’en avais même réveillé une par une jouissance. D’ailleurs, je les avais toutes fait jouir, et même si au début je me demandais pourquoi, je commençais à comprendre en entendant la grande Déborah hurler sous les coups de boutoir des trois lascars. Le séjour devant durer une semaine, il en restait cinq avec qui je n’avais pas encore couché. J’osais à peine imaginer ce qui m’attendais dans les jours et les nuits suivants mais une chose était sure, c’était prometteur.
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