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Les amis de Jean-Claude

Chapitre 2

Gay
Jean-Claude (79 ans), Philippe (45 ans) et moi-même (62 ans).Jean-Claude a organisé notre rencontre pour nous voir nous aimer sous ses yeux. Philippe est comme moi, il aime les hommes, mais est surtout actif. Il suce, pas à fonds, et ne se fait pas mettre. Par contre il se fait pomper jusqu’au bout, et défonce tous les culs qui s’offrent à lui.Il a envie de connaître l’autre côté de la barrière, et je me laisse moi aussi tenter par l’expérience. On va s’offrir l’un à l’autre, comme des soumis, ou plutôt des soumises puisque l’on s’est travesti en femme.
On s’est vite retrouvé en petite tenue, et on s’est déjà fait une première pipe, chacun son tour, on s’est vidé les couilles et bouffé notre foutre .Une petite pause, on se retrouve à la chambre, on bande à nouveau. Philippe est comme moi, perruque, rouge à lèvres que l’on a refait, bas et jarretelles; le reste du vestiaire, dont nos petites culottes, est tombé depuis longtemps. Jean-Claude est à poil, un gode dans le cul, et tripote toujours son oiseau tout mou.
Mon jeune partenaire est très motivé, et souhaite continuer avant de changer d’avis. Il s’installe à quatre pattes sur le lit et me demande de le baiser. Je vais me le faire, mais avant je vais préparer son petit trou de pucelle; plus exactement, c’est Jean-Claude qui va s’en occuper. C’est une grosse cochonne notre vieux, et il raffole de bouffer des culs. Il va donc le doigter, le fouiller, le lécher, lui fourrer sa grosse langue musclée, rompue à cet exercice. Durant ce préliminaire, je m’installe sur le lit pour me faire sucer par ma future monture.Il pompe bien ce salaud, c’est sûr qu’il doit en avoir au compteur pour être aussi doué.
Je me tiens une trique d’enfer, et Jean-Claude, en tant qu’enculé expert, me dit que le fion  de Philippe est prêt pour me recevoir.On se met debout, devant le vieux, à deux pas de lui, face à face. Il mâte mon sexe dressé, avec envie et inquiétude. Il fait demi-tour, me tourne le dos, se penche en avant, écarte ses fesses, et tend son cul. Il est prêt à se faire saillir, et attend mon pieu.Je plaque mon large gland sur sa rondelle, et le saisis fermement par les hanches, pour ne pas qu’il m’échappe lorsque je vais pousser. C’est ce que je fais, lentement mais surement, jusqu’à être tout en lui. Il a mal, a l’impression que je le déchire. Il ouvre la gueule, mais aucun son ne sort, il s’efforce de ne pas crier. Je fais une pause et lui demande si ça  va. Il ment en me disant oui, et m’invite à continuer. Je suis en mouvement, et vais et viens dans son trou innocent. Il souffre, mais il sait par expérience de ceux qu’il s’est farcis, notre hôte le premier, qu’il faut en passer par là pour atteindre le plaisir, la jouissance, l’extase, la plénitude. Alors il serre les dents et continue à s’offrir.
Peu à peu la douleur s’atténue, pour laisser place à de nouvelles sensations inconnues. Il faut dire que son cul fait de l’huile, et que ma colonne coulisse sans effort. Il prend du plaisir, beaucoup de plaisir, et je nous le fait savoir:— Oh! Oui! Oui! Oh putain que c’est bon! Baise moi fort, encule moi profond, je suis ta salope, ta pute, ta grosse cochonne.Je confirme ses propos, en rajoute, et Jean-Claude en met une deuxième couche. C’est la première que notre hôte ose des insultes, mais il faut dire que la situation le rend hystérique.Je me déchaine, et on peut entendre mes allées venues dans son cul juteux, les clap de nos corps qui s’écrasent, de nos couilles qui s’entrechoquent.De temps en temps je me retire pour souffler, et le vieux peux admirer mon engin au mieux de sa forme, son trou  de salope grand ouvert. Il en profite pour me sucer rapidement et fouiller son fion de sa langue.
Je fais une nouvelle pause, mais reste en lui. Mes mains se plaquent sur sa poitrine, et je le redresse. On est debout tous les deux, collés l’un à l’autre, ma matraque enfouie dans sa chair. Je caresse ses seins, l’embrasse dans le cou. Il tourne la tête et on se roule une pelle, une pelle vorace où notre spectateur peut voir nos langues s’enrouler, nos salives se mélanger.Je me remet en route, et le lime à nouveau, le ramone. Une de mes mains descend sur son ventre, sur sa queue toute raide:
— Hum, mais c’est que tu bandes salope! Ca te plait vraiment de te faire mettre toi aussi?— Oui, c’est trop bon, si j’avais su, j’aurais essayé avant.— Il y longtemps qu’il nous le dit cette pute de Jean-Claude, il n’y a rien de meilleur qu’un bon manche dans le cul.— Oui, il avait raison, j’aurais dû l’écouter. Oh putain, tu vas me faire jouir.— Non, pas encore, et préviens moi quand tu viens. Ce serait dommage de gaspiller ta sauce.— .......................
Je continue à le pilonner, jusqu’à ce qu’il ne puisse plus se contrôler. Il m’annonce son orgasme imminent.Je me retire de son fion, et m’empresse de m’agenouiller devant lui:— Vas-y, laisse toi aller, jouis, donne moi tout.Je gobe son gland, le lèche, le suce, et il décharge dans les secondes qui suivent. Je garde tout et continue à le turluter. On peut entendre des bruits de succion, des bruits de liquide, Après m’être bien régalé, je me recule, exhibe ma bouche pleine du mélange de son sperme et de ma salive, puis avale tout.Je me relève, on se roule une pelle, et c’est à son tour de s’agenouiller.Il est motivé, décidé, pour me pomper à fonds. Il embouche ma grosse tige, et s’active dessus avec la ferme intention de me vider les couilles.Je ne résiste pas longtemps à son savoir faire, et il reçoit plusieurs giclées épaisses qui tapissent sa cavité buccale. Il garde tout lui aussi, me suce bruyamment, nous montre sa récolte, et engloutit tout.Je me relève et on se bouffe la poire.
C’est maintenant à son tour de me sodomiser, mais il nous faut une nouvelle pause, le temps qu’il reprenne des forces. On s’installe au salon, pour regarder un film gay avec des blacks monté comme des ânes. Jean-Claude est entre nous, branle nos bites, se penche à droite puis à gauche, pour nous sucer à tour de rôle. On rebande, je vais pouvoir me faire tringler.Comme il l’a fait pour lui, le vieux me fouille le cul, me le broute, pour le préparer, tandis que je suce la queue qui va me casser le cul.Mes deux compagnons de jeu estiment que je suis prêt; je vais prendre.Philippe me pénètre sauvagement. Il s’en fout de mes cris et me pilonne à rythme soutenu. J’ai mal, je souffre, mais je continue à m’offrir moi aussi. La douleur fait place au plaisir, et j’encourage mon enculeur. Il se déchaine entre mes miches, me ramone de toutes ses forces. Il jouit, et je sens son sperme chaud se répandre entre mes reins.Il se retire, me donne sa queue à sucer, tandis que Jean-Claude bouffe mon cul bien rempli.Je bande à mort, il faut que je jouisses. Je me branle et décharge sur la gueule de Philippe. Le vieux le lèche pour le nettoyer. 
On est ravi tous les trois. Il est dix-neuf heures, et on décide de prendre un apéro, puis de diner.On reprendra nos baises ensuite.
A suivre............................

 
  

 





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