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Les aventures de Caro

Chapitre 19

Inceste
Enfin, ma mère entre dans notre cercle…

Mardi 6 août 1991
Descendant à Marseille faire quelques achats urgents, nous faisons une halte à Luynes histoire de souffler un peu avant le pont du 15 août qui est une période de boulot à bloc pour Ju.
Depuis la venue de Marie-Lou chez nous, j’ai un peu préparé le terrain avec elle. Je lui ai dit que ma mère et ma sœur étaient maintenant adeptes du naturisme, et j’ai dit la même chose à ma mère.Comme chaque été, Marie-Lou, Valy et Ben profitent souvent de la piscine de mes parents.Et vu que c’est la pleine saison sur les marchés, mon père est absent de tôt le matin jusqu’au soir tard. Donc, tout le monde a fini par se retrouver à poil, y compris Bru.
Je sais par Valy que mon petit frère a eu du mal au début à réfréner ses érection, mais finalement, ça s’est tassé car tout le monde a fait comme si tout était normal. Sève a même fini par le convaincre d’éliminer totalement son léger duvet intime.
Donc, quand nous arrivons en fin de matinée, tout le monde est déjà nu dans la piscine ou autour. Nous les imitons et profitons de l’eau et du soleil.
Je constate que ma mère bien élagué sa touffe en petit triangle, sans toutefois atteindre des extrêmes comme Valy ou moi. Idem pour ma sœur qui a notablement rétréci son ticket de métro qui se résume à un minuscule rectangle ma tante qui a transformé le sien en un point rond. 
Tout se passe à peu près bien, juste une petite alerte érection côté de mon frère et de mon cousin. Mais j’ai tout fait pour les allumer en douce, je dois dire…
Le soir, nous allons dormir à Bouc-Bel-Air, et c’est l’occasion, entre autres choses, de faire essayer le sandwich à ma tante entre Ju devant et Ben derrière, puis l’inverse. Et pour clore la séance, elle s’est retrouvée empalée sur le strapon de Valy avec le mien dans son cul pendant qu’elle pompait en alternance Ju et Ben.
Après que Marie-Lou ait pris son pied trois fois et ait dégluti le sperme de son fils, Ju qui n’a toujours pas éjaculé lui fait une grosse surprise. Il se relève et présente son gland turgescent devant la figure de Ben et lui rappelle qu’ils avaient fait un pari:— Dis donc, tu as encore perdu tout à l’heure, au bord de la piscine. Tu n’as pas pu t’empêcher de bander. Donc, tu connais ton gage.
Et au grand étonnement ma tante, Ben se met à sucer Ju sans hésitation. Et il avale tout quand il décharge sa livraison sur ses amygdales.

Mercredi 7 août 1991
Après nos emplettes du matin à Marseille, nous retournons à Luynes. Alors que nous sommes autour de la piscine, juste avec ma sœur, mon frère et ma mère, cette dernière nous demande si elle peut remonter avec nous le soir pour profiter un peu de l’air de la montagne. Sève propose de l’accompagner. Bruno ne peut pas venir, car il a une compétition de Bi-Cross prévue ce week-end.
J’accepte donc sans hésiter, avec une petite idée derrière la tête. Et je vois que Ju a eu la même, vu le début d’érection de sa queue qu’il a discrètement décalottée et qu’il caresse pour lui donner bonne consistance.
Une fois en belle érection, il se lève pour aller dans la piscine et histoire que ma mère ne loupe pas cette bite presqu’à l’horizontale, il passe bien devant son nez.
C’est Sève qui en fait la remarque:— Dis donc, tu tiens la forme, toi!
Loin de se cacher, Ju fait un clin d’œil à ma sœur avant de plonger:— Oui, olympique même!
 Quand il ressort, sa queue ne pointe plus le ciel, mais le gland est toujours fièrement porté en avant au bout de sa bite qui dodeline à quarante cinq degrés.
Dès que nous arrivons à la maison, je vais la première prendre une douche d’où je reviens à poil et vais directement comme ça à la cuisine préparer le dîner. Ma mère tique un peu, mais je lui rappelle que chez nous, c’est naturiste.
Ju laisse ma mère profiter de la salle de bains avant lui.Elle ressort en ayant tout de même enfilé un de nos peignoir, mais tombe nez à nez avec Ju qui attendait son tour tout nu dans le couloir, la bite au repos tout de même. Elle trouve ensuite ma sœur qui est déjà à poil dans le canapé en attendant son tour pour la douche.
Pendant qu’il se douche, je mets le gratin à cuire au four et je viens servir l’apéro. Sève m’aide à persuader ma mère de se laisser aller, comme l’après-midi dans le jardin. Elle finit par capituler quand Ju revient tout nu et ne la calcule même pas en s’installant à côté d’elle dans le canapé. Elle se laisse enfin convaincre d’enlever son peignoir et tout le monde est à poil quand Sève nous rejoint. Ju réussit à rester correct pour le moment. Ne brusquons pas les choses!
Le dîner est assez décontracté, puis nous nous remettons au salon pour un petit digestif. Quand nous nous décidons à aller nous coucher, Ju se permet encore un bon début d’érection qui ne passe pas inaperçu auprès de ma mère, vu qu’il était assis à côté d’elle dans le canapé et qu’en se levant, il l’a pile sous son nez.
Je ne garantis pas que nos ébats seront silencieux…

Jeudi 8 août 1991
Ce matin, je vais à la cuisine pour le petit-déjeuner.
Ma mère est déjà là avec ma sœur. Elle a fait l’effort de rester à poil comme Sève, mais elle ne sait pas quel comportement adopter lorsque Ju nous rejoint en arborant cette fois une belle érection totale et bien décalottée, sans gêne apparente.
Il fait tout de même semblant de s’excuser:— Euh, je vous demande pardon, mais ce matin, j’ai encore une forme olympique…
Je charrie un peu ma mère:— Allez, Mman, tu en as déjà vu d’autres, à commencer par papa, non?— Ouais, c’est vrai, mais c’était le seul jusqu’à présent. Et pas devant tout le monde. Ça te dérange pas, toi?— Non, je suis pas jalouse. Et ça dérange pas Sève non plus. Pas vrai, Sève?— C’est vrai, t’inquiète pas, j’ai déjà vu Ju en grande forme! Et pas que lui, d’ailleurs.
Devant cette révélation de ma sœur, elle n’ose pas protester.
Quand Ju est parti travailler, elle revient sur le sujet:— Vous savez, j’avais même jamais vu un autre homme nu que votre père.— Eh bien en peu de temps, tu as connu les anatomies de ton fils, de ton neveu, et même celle de Ju. Et en plus en érection, les trois à ce que je sais!— Oui, ça aussi! Et celle de Ju est, euh…— Imposante?— Oui, vraiment. Déjà que j’avais trouvé que Bru et Ben étaient mieux montés que votre père, alors là…— C’était plus facile avec nous, les nanas?— Oui, évidemment, encore que c’était aussi nouveau pour moi, surtout de m’y mettre aussi. Même si c’était en famille. Et j’aurais jamais pensé le faire devant les gars.— Eh bien voilà, tu es au top, plus de gêne entre nous tous!— Mais je pense que si votre père l’apprend, il va faire une crise, il est si puritain sur ce point. Je suis déjà étonnée qu’il ait laissé s’installer les strings à la maison!
L’après-midi je les emmène au plan d’eau où nous retrouvons Flo et Sylvie. Nous avons convaincu ma mère de mettre un de mes strings pour ne pas déparer du lot. Comme elle l’a déjà porté à Luynes, elle accepte.

Ce soir, alors que ma mère va à la douche, elle a l’occasion de voir de l’inédit. 
Sachant qu’elle va passer forcément devant la chambre, nous avons laissé la porte entr’ouverte et je m’applique à sucer Ju sous le bon angle de vue.
C’est d’abord Sève qui passe et s’arrête, ouvrant carrément la porte:— Je vois l’idée. Pas mal comme exhib “involontaire”…
Elle vient vite faire une caresse au gland de Ju et passer un doigt entre mes fesses, puis elle retire la porte dans la même position et va se doucher.
Puis Ju m’a raconté que quand ça a été au tour de ma mère, elle a jeté un regard machinal par l’ouverture en passant et est restée scotchée un moment devant le spectacle. Quand Ju lui fait un clin d’œil et lève le pouce pour montrer que c’est bon, ça l’a réveillée et elle s’est éclipsée.
Ça déclenche l’éjaculation deJu, j’avale tout, et nous retournons au séjour.
Ma mère nous y rejoint après sa douche avec un petit air gêné, et remarque forcément la tige gonflée et le gland encore décalotté de Ju qui va prendre son tour à la salle de bains.
Elle profite d’un moment où Sève va à la cuisine préparer le dîner pour me dire:— Tu sais, tu devrais bien fermer la porte de la chambre quand tu fais des choses.— Oui, Ju m’a dit que tu nous avais vus en action. C’est pas grave, j’assume tout…— Euh, quand même un peu, surtout que ta sœur vous a peut-être vus elle aussi…— Bien sûr qu’elle a vu, elle était entrée pour me demander quelque chose. C’est elle qui a dû mal refermer.— Mais, qu’est-ce que tu me racontes?— Ben oui, et elle a dû en profiter pour se faire plaisir sous la douche. Pas toi?— Euh, non, enfin oui, un peu. Surtout que ton père ne me touche presque plus…
A ce moment, Sève revient et je lui annonce tout en servant l’apéro:— Eh, Mman aussi m’a vue en train de sucer Ju, et elle s’est branlée sous la douche!— Bravo, exactement comme moi! C’était bon pour toi aussi?
Ma mère est toute gênée, et presque syncro, c’est Ju qui revient. Je l’interpelle:— Tu sais, quand ma mère nous a matés tout à l’heure? Eh bien, ensuite elle s’est branlée sous la douche!
Ju la félicite et lui montre sa bite qui remonte doucement:— T’as raison, Rose! Tu vois, ça me fait plaisir aussi, quand tu te fais plaisir! 
Après l’apéro bien chargé, nous mangeons en chargeant encore un peu sur le vin, puis ma mère se propose pour aller faire la vaisselle et nous la laissons faire.
Ju se lève de table avec un beau début d’érection et nous annonce avec un clin d’œil:— Tiens, je vais un peu voir si elle a besoin d’aide.
Il se décalotte et va à la cuisine en se tripotant doucement la bite.
Il revient avec la bite maintenant dressée à fond et se rassoit dans le canapé à côté de Sève. Il en profite pour nous raconter ce qui s’est passé dans la cuisine:— Elle a d’abord été surprise par mon état, surtout qu’elle m’a d’abord senti entre ses fesses avant de se retourner et de voir l’ampleur de la situation. Quand j’ai commencé à lui peloter les seins, elle a un peu protesté à cause de votre proximité, mais je l’ai persuadée que vous ne risquiez pas de venir. J’ai réussi à la doigter jusqu’à la sentir jouir. Je l’ai ensuite convaincue de me branler mais elle l’a fait juste un peu et s’est arrêtée trop tôt pour que je gicle.
Il nous raconte ça avec une érection tellement engageante que Sève ne demande pas mieux que de le branler pendant que je lui caresse les couilles.
Nous sommes dans cette position quand ma mère revient, le visage empourpré et les tétons qui pointent, et pousse un:— Oh! Non, encore? Et à trois cette fois!
Ju se dégage de ma bouche, se lève, s’approche d’elle et lui dit:— C’est de ta faute, tu m’as laissé dans cet état tout à l’heure, c’est pas correct! Caro et Sève ne faisaient que me soulager, et c’est bien gentil de leur part. Mais après tout, c’est à toi de terminer ce que t’as commencé, non?
Et il lui met carrément sa bite en main.
Ma mère est dépassée par la situation, surtout que Sève et moi applaudissons.
Ju lui donne le mouvement au départ, puis elle continue d’elle-même. Pour rendre l’ambiance encore plus chaude, je me branle sous ses yeux, et ma sœur s’y met aussi. Alors, il la fait venir sur le canapé et se met devant elle pour continuer.
Je fais assoir ma sœur à sa droite sur le canapé et je plonge entre ses cuisses, au grand affolement de ma mère.
Ju en profite pour lui présenter sa bite devant son nez:— Tiens, et si tu me suçais un peu pendant qu’elles sont occupées?
Vaincue mais visiblement excitée vu ses tétons qui pointent dur, elle s’exécute.
Dès qu’elle est bien à fond dans son action, comme Ju est debout entre ses genoux qu’il maintient écartés, je lance la main droite sur sa cuisse et la caresse. Je me fais de plus en plus insistante vers le point de convergence. J’atteins d’abord sa touffe de poils et enfin son clito dans sa fente que je trouve trempée. Je sens une petite crispation, mais Ju lui dit de se décontracter, et elle s’abandonne.
Je lui procure un premier orgasme puis la laisse pour m’occuper franchement de Sève. Comme nous attaquons un soixante-neuf sur le tapis, Ju fait valoir qu’il n’y a pas de raison de se priver et commence par prendre ma mère en levrette.
Nous terminons en premier, et les rejoignons alors que ma mère se démène sur le canapé, assise sur Ju dos à lui. Nous nous installons chacune d’un côté et rajoutons à la scène en lui titillant les tétons et le clito.
Elle jouit bruyamment cette fois et ne fait aucune difficulté pour recevoir l’éjaculation de Ju dans sa bouche, puis tout le monde se remet lentement de cette tornade.
Ma mère est assise à côté de Ju dans le canapé et elle déclare sans honte:— Ouf, vous m’avez bien eue! Mais j’avoue que c’était bon. Si j’avais pu imaginer…
Elle me regarde qui tripote doucement Sève assise sur moi dans le fauteuil en face:— Et toutes les deux ensemble, j’avais rien vu venir! Ça fait longtemps?— Pas tant que ça, devine!— Ah oui, j’ai compris: C’est quand Sève est venue travailler ici au printemps! Je comprends mieux ce changement d’attitude depuis à la maison.— Bravo, c’est bien ça, et maintenant tu en profites aussi!
Sur ce, nous allons nous coucher, mais vraiment pour dormir et récupérer.

Vendredi 9 août 1991
Ce matin, Ju et moi allons réveiller ma mère et ma sœur dans le convertible.
Il s’occupe de ma mère qui ne demande pas mieux tandis que Sève et moi nous branlons en les regardant.
Lorsqu’il la prend en missionnaire classique, nous allons chacune lui sucer un téton. 
Elle jouit une première fois, et Ju, qui doit aller travailler, abrège la séance en se branlant entre ses seins. Comme il la chevauche, je commence à caresser le clito de ma mère, puis je plonge carrément lui bouffer la chatte. Elle est tellement chauffée qu’elle se laisse faire. 
Ju éjacule grassement entre ses seins et se lève pour aller s’habiller.
Sève vient prendre ma place et j’en profite pour aller proposer ma fente à la bouche de ma mère. Elle hésite juste un peu et se lance enfin.
Quand nous allons nous remettre un peu en prenant le petit-déjeuner, elle se lance:— Vous savez, c’est la première fois que je fais ça avec des nanas.
Je lui réponds:— Et apparemment tu as aimé ça, non?— Oui, j’avoue. Et pourtant je me rappelle pas avoir jamais eu des attirances particulières pour ça. Et en plus avec mes filles!— Eh bien au moins, maintenant on sait qu’on s’aime sur tous les plans!— C’est comme hier, je pensais pas venir ici et tromper votre père avec Ju.— Oh, tu n’as pas résisté trop longtemps, à ce qu’on a vu…— C’est vrai, mais il m’a tellement prise par surprise que je suis même allée vachement loin, je veux dire pour moi. Déjà, lui faire aussi facilement une fellation, ce que j’ai fait très rarement à votre père, mais en plus devant vous, j’en reviens pas.— Reconnais qu’elle est belle et bonne sa grosse queue!— Oui, je plaide coupable. Et en plus, tout épilé, ça engage plus à y mettre la bouche que la jungle de votre père. Mais tout de même…
Le soir, après une journée tranquille, nous remettons le couvert.
Nous lui faisons tester les jouets habituels. Elle se laisse persuader de se faire enculer par Ju en nous prévenant qu’elle n’avait jamais voulu le faire avec mon père. Dans le feu de l’action j’en profite pour lui faire aussi un peu goûter au double en la prenant avec mon strapon par devant.

Samedi 10 août 1991
Ce matin, Ju est déjà en train de prendre ma mère debout à la cuisine quand j’arrive. Je m’invite à leur duo, qui se continue en trio dans le salon, et se termine par un quatuor quand Sève qui n’était pas encore levée finit par nous rejoindre.
Le soir, il est prévu une grande fête à la maison, avec Marc et Sylvie en invités.
Ils sont assez surpris au début de notre liberté familiale, mais ils s’y font très vite.
C’est l’occasion pour ma mère de sucer une nouvelle bite et une autre chatte, et d’avoir droit enfin à un vrai sandwich entre deux hommes.

Dimanche 11 août 1991
Après une grasse matinée bien sage, ma mère et ma sœur reprennent la route.
Nous avons discrètement mis Sève au courant de nos avancées avec Marie-Lou, et par souci d’égalité nous appelons Valy pour lui communiquer nos frasques toutes fraiches avec ma mère.
Elles sont juste un peu surprises de découvrir ça de leurs tantes respectives, mais pas tellement en fait quand elles le comparent à ce que chacune d’elles a fait avec sa mère et nous.
D’autre part, Valy nous raconte qu’hier soir, sa mère ont attaché Ben sur une chaise, et il n’a eu que le droit de les regarder pendant qu’elles s’amusaient avec les jouets. De temps en temps, elles allaient vers lui pour lui passer les seins sous le nez ou lui souffler sur le gland, mais sans le toucher malgré ses demandes. Il avait la bite qui battait la mesure, et finalement, il a éjaculé sans aucune manipulation.

A suivre…
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