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Les aventures d'un étudiant en lettre

Chapitre 4

Voyeur / Exhibition
Toutes ces expériences m’ont fait comprendre une chose : le sexe, c’est dégueulasse ; mais Dieu, que c’est bon ! Je me rends compte que l’étendue des fantasmes de l’imagination humaine est immensément vaste. Mon initiation serait nécessairement longue ; et de cela, je me réjouis !
Les vacances de février touchent à leur fin ; nous sommes le 3 mars, et pour ce dernier week-end d’oisiveté, mes parents ont décidé de rendre visite à mes grands-parents dans le nord de la France. De bon matin nous prenons donc le train, et aux alentours de 10h nous sommes dans le TGV en direction de Hazebrouck : deux heures de trajet. Nous occupons un carré en première classe mais une place reste vacante. Alors que le train s’apprête à partir, une jeune femme brune, lunettes de soleil sur le nez, talons hauts, nous informe que sa place est la quatrième de l’ensemble. Après avoir posé sa valise et ôté sa veste en jean, la belle inconnue vient s’asseoir en face de moi. Assez grande, elle porte un haut noir très sobre et un pantalon sombre ; en enlevant ses lunettes de soleil, elle laisse apparaître deux yeux bruns d’une profondeur infinie dans laquelle je me perds pendant quelques instants. Son corps longiligne possède de belles formes là où il faut. Je suppose qu’elle doit être mannequin.
Le train part et mes yeux se fixent sur sa belle paire de seins ; bien que masqués par son haut, je peux remarquer que les deux obus de la demoiselle sont d’une taille considérable. Un bon 95C. Évidemment, mon sexe ne reste pas en place au vu de telles mensurations ; mais, assis dans un train bondé avec mes parents à quelques centimètres, l’affaire s’annonce corsée. Il n’y a pas de voiture bar, pas d’endroits à l’abri des regards indiscrets hormis les toilettes. Ma mission est de parvenir à la convaincre en quelques mots de me rejoindre là-bas pour agir en vitesse, périlleuse acrobatie. Pendant ma réflexion mon regard se porte sur ses cheveux d’un brun sombre attachés en queue de cheval. La mienne de queue est en plein délire ; mon caleçon est trop serré pour qu’elle s’étende à son aise, et si je n’agis pas rapidement, le voyage va s’annoncer douloureux. Comment faire ? Je tente maladroitement de lui faire comprendre mes envies par de légers contacts des pieds sous la table. Je doute qu’elle ait compris : elle semble plus indisposée qu’autre chose. Mon père s’endort : quelle chance ! Voilà une occasion que je ne laisse pas passer ; je griffonne quelques mots choisis avec soin sur un papier : « envie de vous, sexe, toilettes, rapide ». Grâce à une habileté hors pair, je parviens à lui transmettre le message sans que ma mère s’en aperçoive. C’est maintenant que tout se joue. Elle rougit, mais ne s’offusque pas ; elle me regarde comme pour me percer à jour et, après quelques secondes, elle daigne écrire trois mots sur le papier : « ok, quatre coups » puis elle se lève et se dirige vers les toilettes. J’attends quelques secondes, puis me lève à mon tour, prétextant ne pas me sentir bien. Réussi !
Une fois à la porte, je tape les quatre coups, selon ses instructions ; la porte s’entrouvre.L’endroit est exigu : un évier, une cuvette, et à peine quelques centimètres carrés pour agir.Qu’importe : une brune sublime est là, face à moi ; son haut est déjà à terre, laissant à ma vue un soutien-gorge couleur chair. Son pantalon aussi a disparu. À peine ai-je refermé la porte que la cochonne me met une main à la braguette et me roule à patin de tous les diables. Il faut faire vite : pas le temps de faire les présentations. Pendant qu’elle s’affaire à enlever ma ceinture, je passe ma main dans sa culotte blanche – style écolière – et y découvre une verge épilée, toute douce, et prête à l’emploi. Un petit gémissement m’indique que sa voix est plutôt grave. Sans traîner, elle prend appui sur le lavabo et écarte les jambes. Les préliminaires sont terminés ; il faut y aller.
D’un coup sec, mon sexe prend connaissance avec le sien. Sa chatte n’est pas très humide ; je décide donc de joindre des caresses clitoridiennes à la pénétration. L’efficacité ne se fait pas attendre, et sa chatte devient un torrent : en quelques secondes, ma bite est trempée. Les coups se font de plus en plus rapides et de plus en plus forts ; elle se met à gémir mais essaie de se retenir. Amusé, je décide d’en rajouter encore et là, pour ne pas crier, elle décide de me mordre violemment à l’épaule gauche. Une douleur vive m’envahit : elle m’a mordu jusqu’au sang, la salope ! Je repousse avec force sa tête et la maintient droite en appuyant sur sa gorge. Elle se met à crier de plaisir dans cet ébat furtif. Puis elle demande à se retourner, ce qu’elle fait, me donnant accès à un petit cul bien ferme et bien galbé. En la pénétrant, j’attrape ses deux gros seins d’une main tandis que l’autre vient lui caresser l’entrecuisse. En seulement quelques minutes, elle se met à jouir fortement en poussant des sortes de miaulements indistincts. Je la redresse en la serrant contre moi et lui murmure : « Tu aimes le sperme, ma cochonne ? » Elle acquiesce, se met à genoux et me taille une pipe d’enfer ! Je suis transporté ; tout y passe, du gland jusqu’aux couilles. Il me semble qu’elle va tout avaler. Soudain, j’éprouve une sensation étrange : elle est en train de me mettre son index dans l’anus ! Surpris par l’effet excitant de cette manœuvre, je ne réagis pas. Comme elle vient de jouir rapidement, la fellation se prolonge pour mon plus grand plaisir puis, sans que je la sente arriver, une dose monstrueuse de sperme crémeux vient blanchir son doux visage. Elle en a partout dans la bouche, dans les yeux, dans les cheveux ; ça lui dégringole entre les seins et jusque sur les cuisses. Mon pied est total ! Alors que je me demande comment on allait nettoyer tout ça rapidement, cette bonne habituée du cul se met à lécher tout le sperme sur son corps et sur ma bite. Elle avale tout, tout, tout ! Puis elle se redresse, me fait un clin d’œil malicieux, ouvre la bouche pour me montrer qu’il n’y plus aucune trace de mon gros foutre et commence à se rhabiller. Effaré, je reste immobile, puis repense à ma mère qui doit attendre depuis un bon gros quart d’heure. Paniqué, je rattache ma ceinture et sors, laissant à moitié nue la déesse sexuelle à l’intérieur. Je regagne ma place et patiente. Intelligemment, elle attend encore dix bonnes minutes avant de revenir.
Malgré l’épisode des toilettes, le reste du voyage est un cauchemar pour mon sexe qui se redresse aussitôt qu’elle se rassoit. Elle rit doucement en me voyant me tortiller pour trouver une position non douloureuse.
À l’arrivée, nous devons nous séparer, à mon grand regret : elle est si bonne…
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