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Les aventures d'un étudiant en lettres

Chapitre 8

Voyeur / Exhibition
Mercredi 4 Avril.J’ai du mal à récupérer de cette folle soirée chez Jules. J’ai été si surpris par l’attitude ma copine ce soir-là que j’ai ressenti de la honte en lui reparlant. Elle m’a avoué avoir apprécié, mais qu’elle n’était pas prête à recommencer : il ya trop de violence pour elle dans ce sexe-là ! Pour ma part, j’ai trouvé cette expérience d’orgie absolument phénoménale ; les corps, les odeurs, l’atmosphère… absolument excitant.
Les jours qui ont suivi ont été difficiles pour notre couple ; le rangement aussi fut désagréable : l’odeur du sperme et de la mouille séchés au réveil, ce n’est pas ragoûtant !J’ai donc fait une petite pause dans cette quête du bonheur par la chair, mais cet après-midi j’ai rendez-vous chez une élève à qui je donne des cours à domicile de latin et de français. Léa est en terminale ; elle a raté son bac l’année dernière et sa mère l’a obligée à prendre des cours. Je ne vous explique pas la difficulté que ça a été pour lui apprendre quelque chose… Avec le temps, elle s’est habituée à ma visite un mercredi sur deux et travaille plus ou moins sérieusement. Ca me gêne de donner des cours à une fille qui a le même âge que moi : comment avoir de l’autorité dans une telle situation ?
Arrivé sur place, on commence la leçon ; je la trouve très peu attentive. Je comprends très vite la raison : elle a fêté ses 18 ans tout le week-end et est complètement épuisée. Face à ce problème, je lui propose d’aller visiter un musée pour la divertir ; elle accepte sans enthousiasme. Elle enfile ses petites chaussures à talons et c’est parti pour la traversée de Rouen, direction le musée des Antiquités. Je me retrouve à marcher avec une élève plus grande que moi ; ridicule ! On se retrouve dans le bus côte à côte. Je remarque alors que la demoiselle est plutôt bien faite : un jean moulant lui rabote une jolie paire de fesses bien rebondies, une belle poitrine est dissimulée derrière un pull gris. Soudain, je remarque qu’elle me toise : elle ne doit pas apprécier que je la mate ; ses yeux verts me fusillent. Alors que je m’attendais à un reproche, elle se met à se caresser légèrement le haut des cuisses, puis le dessous des seins. Son regard assassin est devenu vicieux. Dans quoi ai-je mis les pieds ? Me voilà dans un bus avec la pire des cochonnes qui se touche devant tout le monde... En effet, les personnes autour de nous assistent à ce spectacle ahurissant. Paniqué, je reste immobile, pas comme mon sexe qui a senti venir le bon coup et se dresse sur son perchoir, prêt à bondir. Voyant la bosse sur mon jean, Léa amplifie encore ses mouvements. J’ai peur ; j’ignore ce qu’elle est capable de faire : me sauter dessus et me faire l’amour en plein autocar, ou se déshabiller et se masturber, je ne sais plus quoi faire pour arrêter cette machine. Son pull vient de disparaître, laissant place à un débardeur blanc qui laisse entrevoir un soutif jaune. Je lui dis dans un souffle : – Viens, on sort !– Non, attends : je commence juste à m’amuser.– On s’amusera dehors ; c’est moi qui décide, je te le rappelle !
À ces mots, elle déboutonne sa ceinture. Face à ce spectacle exhibitionniste, je demande au bus de s’arrêter, l’attrape par le bras et la traîne dans une ruelle. J’ai eu la chance de tomber sur la seule élève qui soit une nymphomane refoulée. Elle semble toute triste dans cette ruelle obscure, son regard est devenu réprobateur, comme une bête traquée. Alors que je m’attends à tout, elle affirme d’un ton serein : « Tant pis, on finira ici ; ça ne me pose pas de problème ». Je n’ai pas vraiment le choix : elle peut disparaître dans la ville très rapidement, et je ne tiens pas à expliquer à sa mère qu’elle m’a semé, à moitié nue. Je dois la satisfaire ; elle a dû faire le même raisonnement car elle semble m’ordonner de venir par un geste de la main indistinct.
Arrivé face à elle, je remarque qu’elle porte un string rouge vif ; elle finit de défaire son pantalon et se retourne, me présentant son arrière-train. Sans avoir réellement le choix, je m’agenouille et commence à lui lécher la fente. Elle est totalement épilée : c’est très doux sur la langue ; sa moule est très ferme mais pas très humide. Sa réaction ne se fait pas attendre : elle se met à émettre des sons stridents ; je crois qu’elle simule pour attirer des touristes, elle doit aimer faire ça en public. Énervé, je lui enfonce mes doigts dans la chatte pour lui donner une raison de hurler comme ça. Je la doigte très rapidement, cherchant son point G ; si elle pouvait avoir un orgasme rapidement sans que je doive sortir le serpent de sa cage, ça m’arrangerait. Un de ses cris surpasse tous les autres et un liquide clair s’écoule doucement de son vagin : j’ai réussi ! Mais que fait-elle ? Elle s’assied sur un appui de fenêtre, enlève son jean et écarte les jambes. Ça ne lui a pas suffi, apparemment ! Je replonge la langue dans son antre, mais elle retient ma tête et pointe ma braguette. Tant pis : allons-y franchement, en priant pour que personne ne débarque, je suis assez pudique. Sans enlever mon jean, je sors mon membre par la braguette et me mets à lui pistonner la vulve. Ça sent le neuf à l’intérieur ; peu de personnes y sont venues avant moi.
J’entame les ébats sur un rythme élevé afin de ne pas traîner, mais cette jeunette est endurante et mes coups de boutoir ne font que démultiplier la force de ses gémissements. La ruelle lui répond par un écho sonore non négligeable. J’entends des pas ; les cris de cette garce ont ameuté des badauds… Ce n’est pas grave : je ferai comme si de rien n’était. Ma bite la pénètre de plus en plus fort lorsque deux hommes arrivent ; ils matent pendant quelques secondes et repartent discrètement. Léa me fait signe qu’elle veut changer de position, l’appui de fenêtre devant être inconfortable. Elle se retourne et me présente son cul. Je la pénètre de nouveau en oubliant le lieu, les conditions ; je la baise de toutes mes forces, avec toute ma rage et tout mon désir. Mes coups claquent, les fessées fusent. Je lui attrape les seins et la fais se redresser ; ma main gauche vient lui exciter le clito, la droite lui presse ses obus. Je fais abstraction de ses cris de chienne, de la foule qui pourrait arriver… Puis je la plaque contre le mur ; sa tête est tout contre la brique. Un nouvel orgasme, mais je ne m’arrête pas : elle aura ce qu’elle mérite. Je lui sperme dans la chatte sans me soucier des conséquences et, sans même sortir, je reprends de plus belle. Ses cris de pute ont dû faire venir des gens ; je crois entendre des murmures près de nous. Il est trop tard pour reculer : j’accélère, elle jouit de nouveau en m’aspergeant le pubis. Alors sans lui demander son avis, je lui enfonce mes 18 centimètres dans son petit cul, sans préparation : bien fait pour elle ! Son hurlement est inhumain, un son venu tout droit des profondeurs de l’Enfer, de la bouche du Diable, même.
Je viens de lui dépuceler l’anus ; elle crie sans interruption alors que ma queue lui ramone son petit trou. Mon cœur bat la mesure d’une sodomie violente et sans pardon ; mon corps entier s’échauffe, tout disparaît autour de moi : je ne sens plus que ma queue dans ce couloir étroit, allant et revenant à une vitesse folle. Une de mes mains agrippe ses cheveux quand l’autre se balade entre sa chatte détrempée et son clito gonflé. Un ultime orgasme anal, une bonne giclée sur son corps en sueur, un regard de circonstance et nous revoilà dans la réalité.
La ruelle n’était plus vide : une dizaine de voyeurs sont là, certains même ont sorti leur queue et se masturbent. Nos deux corps, nus et fatigués, semblent leur plaire car l’un d’eux déverse une mare de sperme dans le caniveau. Alors que l’attroupement se dissipe et que nous nous rhabillons, une voix s’élève derrière nous :– Joli spectacle, Monsieur et Madame… Savez-vous que l’exhibitionnisme et l’attentat à la pudeur sont punis par la loi ?
Mon sang se glace : une agente de police se tient là, droit devant nous, le regard sévère.
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