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Les aventures d'un étudiant en lettres

Chapitre 9

SM / Fétichisme
IX. Le commissariat
Le trajet fut pesant, pas un mot ne parvenait à sortir de nos bouches. Je ne savais pas ce qui nous attendait, ni même le risque encouru pour avoir eu un rapport sexuel en public. Léa restait immobile également, les yeux perdus dans le vague, comme éteinte. La policière à l’avant, restait impassible, conduisant avec souplesse et détermination. Arrivés au commissariat, nous avons attendu dans un petit bureau sombre, le temps semblait très long ; une chape de plomb pesait sur l’atmosphère. Mes émotions étaient floues : entre la rancune envers Léa et la peur de la sanction à venir, je ne pouvais qu’en vouloir à moi-même, après tout. De plus, la fatigue de nos ébats troublait mes sensations, et la chaise inconfortable ne me permettait pas de trouver un semblant de repos.
Au bout de longues minutes la porte s’ouvrit ; la policière pénétra dans la pièce à l’ambiance pesante et se plaça derrière le bureau. Pianotant sur son ordinateur, elle semblait ne pas nous voir. Ses yeux dissimulés par des lunettes carrées ondoyaient, attirés ça et là par les lumières de l’écran. Ses longs doigts vernis écrivaient vivement et son ton hautain ne me rassurait pas. Léa fixait le sol, ses bras serrés tout contre elle.
Puis ses yeux obliquèrent sur moi ; leur lueur bleutée me transperça. J’avais envie de fuir, de disparaître pour sortir de son champ de vision. Je ne pouvais soutenir son regard. Elle relata les faits dans de longues phrases alambiquées, insistant sur les mots à connotation sexuelle. Elle se leva, mima quelques gestes de son récit et s’assit sur le bureau en concluant « Est-ce exact ? » Nous acquiesçâmes d’un signe de tête, honteux de l’épisode de la ruelle.
– Vous avez été pris en flagrant délit ; la peine sera donc maximale. Maintenant je vais appeler vos parents respectifs et leur expliquer cet… incident ; vous serez jugés dans les prochains mois.
Elle se tut. Ses yeux prirent un aspect étrange, on aurait dit du sadisme. Elle sourit, dévoilant une grande bouche, puis ajouta doucement : – Il y a peut-être une solution pour vous éviter ce cauchemar ; après tout, je suis la seule à connaître cette histoire et elle pourrait facilement rester entre ces murs.
Je compris très vite où elle voulait en venir. Toujours assise sur le bureau, elle écarta les jambes d’un geste élégant avant de susurrer : – Si vous voyez ce que je veux dire…
Léa parut déconcertée ; nos regards se croisèrent pour la première fois depuis l’incident. Nous n’avions plus le choix : il fallait lui obéir pour s’en sortir. D’un léger signe de tête, nous acceptâmes le marché. Alors, elle déclara d’un ton cynique :
– Parfait ; c’est la meilleur solution. Vous exécuterez tous mes ordres, m’appellerez « Madame » et resterez silencieux. À l’heure qu’il est, ce bâtiment est presque vide : nous pourrons donc nous amuser toute la nuit !

La crainte de la décevoir me fit paniquer ; mon sexe avait déjà connu une rude journée et je ne savais pas si je pourrais tenir la cadence qu’elle nous imposerait tantôt. Léa, quant à elle, semblait ravie de cet arrangement : ses yeux avaient retrouvé leur pétillement salace. « Madame » me fit signe d’avancer, puis elle me fit mettre à genoux et plaça Léa, toujours clouée sur sa chaise, devant moi. En quelques instants, Léa se retrouva entièrement nue dans ce bureau froid. Elle tremblait.
– Réchauffe-la, imbécile ! Et fais-la jouir comme tout à l’heure, mais cette fois-ci sans les mains.
Je m’approchai de ce sexe encore souillé de mon propre foutre et commençai à le lécher sans entrain. Cette timide entrée en matière me valut une fessée magistrale.
– Mieux que ça : mets-y du cœur !
Je débutai alors une véritable séance de plaisir, d’abord en tournant autour du clito avant de l’attraper vivement. Léa se cambrait sur sa chaise en gémissant. Je mordillai ce petit bout de chair, puis ma langue pénétra sa vulve avec fougue. Je fis des va-et-vient de bas en haut, allant de son anus à son clito de plus en plus vite, de plus en fort. Soudain, une main vint m’aplatir la tête tout contre ce sexe humide ; j’avais de la mouille plein le visage. Je ne pouvais pas voir « Madame » qui se tenait derrière moi, silencieuse. Ma langue continuait ses travaux ; je commençai, enfin, à bander : l’odeur de la mouille qui ornait mon visage m’excitait...
Alors, je vis une cravache pendre devant mon nez : « Madame » tapota légèrement cette vulve enflée avant de frapper un grand coup, un « clac » sonore suivi d’un hurlement de douleur. Puis, avec l’autre bout de son outil, elle pénétra la chatte bien ouverte par mes soins. Ma tête était maintenue de force à quelques centimètres de ce spectacle. La cravache entrait et sortait à une vitesse folle, et ce qui devait arriver arriva : un long jet de mouille vint m’éclabousser le visage, accompagné d’un éclat de voix strident. « Madame » rit ; le liquide dégoulinait de mes cheveux. Léa, essoufflée, résistait pour ne pas s’évanouir, épuisée par tant d’orgasmes en si peu de temps. La cravache claqua sur son corps nu. Je savais que mon tour allait vite venir... À peine remis de mes émotions, je vis Léa se diriger vers moi pour me déshabiller ; rapidement, je me retrouvai complètement nu, le sexe dressé.
– Suce !
Et c’était parti pour une fellation. Elle débuta par un baiser langoureux, puis par des coups de langue saccadés avant de se saisir de mon dard à pleine bouche. À ce moment-là, le pied de « Madame » vint lui appuyer sur la nuque, et Léa fut forcée d’avaler entièrement ma bite. À peine se fut-elle redressée que « Madame » recommença. Ce petit jeu durait et ma suceuse semblait avoir du mal à reprendre sa respiration ; je décidai donc de braver les interdits pour prévenir notre dominatrice. Sa réponse ne fut pas longue à venir : un coup violent de cravache me roussit le bas-ventre, puis un second droit sur mes couilles me mit les larmes aux yeux. Enfin, elle laissa son pied sur la tête de la pauvre fille pendant un temps considérable. Mon plaisir était inégalable, mais la peur de la voir s’étouffer devant moi m’empêchait d’en profiter. Elle s’évanouit, et son corps s’étala sur le carrelage froid du commissariat.
– Réveille-la d’une bonne saucée de sperme !
Pendant que « Madame » lui maintenait la tête de façon à garder sa bouche entrouverte, je me masturbai sur ce corps inerte.
– Tu as besoin d’aide, on dirait…
De sa main libre, elle vint me saisir la queue et me branla rapidement, trop rapidement ; mon sexe devint douloureux. Enfin, dans un effort non négligeable, je parvins à décharger une petite quantité de foutre sur la langue de mon élève. D’un mouvement habile, « Madame » lui fit avaler ce mets peu ragoûtant ; et très vite, elle reprit connaissance.
– Bien… Vous vous êtes assez amusés comme ça ; vous allez vous occuper de moi. Toi, le petit brun, tu vas m’enlever ce jean et me lécher. Je veux que ça soit bon, sinon tu auras une sanction ! Toi, la pute, viens près de moi : je vais te rentrer ma cravache dans le cul, et tu vas la sentir passer, crois-moi !
Léa se cambra sur le bureau, offrant ainsi son petit trou à la vue de cette grande brune plantureuse. Je découvris son corps en lui ôtant son chemisier, puis son pantalon. Très élancée, cette jeune femme d’une trentaine d’années avait des seins bien proportionnés, une taille fine et des jambes interminables. Sa culotte blanche dissimulait une chatte bien entretenue, rasée en triangle. Je remarquai que l’endroit était déjà humide, mais je n’eus pas le temps de réfléchir : elle me serra la tête contre sa chatte.
– Tant que je n’aurai pas joui, cette pute se fera défoncer le cul.
Alors elle enfonça vigoureusement le manche de son arme dans le petit trou déjà dilaté. Un cri déchirant traversa la pièce. Je sentis la pression sur ma tête disparaître alors que je commençais à la doigter. Au bout de quelques secondes, un claquement m’interrompit ; je tournai ma tête et assistai, impuissant, à un terrible spectacle : le cul de Léa était complètement dilaté, ses yeux écarquillés laissaient couler de grosses larmes sur le sol, et son dos était en train d’être mis en lambeau par la lanière d’un fouet. Ma punition pour avoir interrompu mon cunni fut un violent coup de ce fouet entre les reins, ce qui m’arracha un cri de détresse.
– Tais toi, et reprend ton œuvre.
Reprenant, je lui enfonçai mes doigts profondément tout en lui léchant goulûment le clito. De mon autre main, je tentai maladroitement de lui titiller un téton. Mes jambes tremblaient de fatigue, mes genoux brûlaient, et ma langue était saturée. Epuisé, je dus arrêter mon cunni et je m’effondrai sur le sol.
– Lève-toi ! Plus vite ! Cambre-toi sur le bureau à côté de ta copine : tu vas voir ce qui arrive à ceux qui n’exécutent pas mes ordres…
Alors que j’obéissais docilement, le manche du fouet vint me déchirer l’anus. Une douleur vive transperça mon ventre. Mon cul était mort ; elle remuait son bidule dans mon cul et je souffrais. Ma bite se dressa ; je hurlai de douleur, accompagnant ainsi Léa dont la voix s’affaiblissait dangereusement.
– Bien ça suffit. Maintenant, je vais te baiser mon cochon ! Tu ne vas pas être déçu, et tu as intérêt à assurer…
Je m’allongeai sur le bureau tandis que Léa prenait appui sur un meuble voisin. Sa chatte humide vint s’empaler sur mon dard rendu douloureux par tant d’efforts. La salope bougeait vite, trop vite, et parvenait dans le même temps à enculer Léa. Cet ébat sembla durer une éternité ; mon sexe ravagé dut éjaculer trois ou quatre fois dans cet orifice insatiable. Léa s’était évanouie de fatigue ; son corps gisait à terre, la cravache toujours plantée dans son merveilleux petit cul.
– T’es fatigué ; ça tombe mal : je pourrais faire ça toute la nuit… souffla t- elle.
Elle se mit aussi à émettre des sons qui ressemblaient à des vagissements. Au bout de longues minutes, elle se retira enfin et vint se masturber au-dessus du visage éteint de ma camarade de souffrance. Un interminable jet de mouille vint recouvrir sa peau claire, et « Madame » hurla de plaisir.
Je croyais nos souffrances terminées ; je me trompais, car quelques secondes plus tard elle revint sur ma bite, qui présentait encore une vague érection, pour reprendre ce coït interminable. Après une micro-éjaculation de plus, elle dut renoncer car mon sexe refusait de redevenir dur : la vingtaine d’éjaculations de la journée avaient eu raison de lui. Je craignais le pire… Elle colla sa chatte dégoulinante sous mon nez, et je reçus l’ordre de tout nettoyer. Je le fis à grands coups langue ; une fois sa chatte propre, elle se rhabilla et, d’un air sévère, me lança :– Je ne peux plus rien obtenir de toi aujourd’hui ; dommage ! Vous pouvez partir. Ramène-la, mais attention : votre peine n’est pas terminée, je sais qui vous êtes et, en cas d’envie, je vous appellerai à loisir et vous ne pourrez pas refuser.
On quitta enfin ce lieu de terreur ; une fois Léa ramenée chez elle, je me laissai tomber sur mon lit. La nuit salvatrice et réparatrice fut longue, très longue…
« Madame » ne nous rappela qu’une seule fois, ce fut plus rapide : un cunni, une levrette et on a pu repartir. Ce n’est que des mois plus tard que j’appris la raison de cet appel unique : cette nymphomane psychopathe s’était fait virer de la police pour harcèlement sexuel envers son supérieur.
Nous l’avions échappé belle mais, malgré cette mésaventure, je décidai de poursuivre ma quête dès que mon sexe aura pu bénéficier d’un repos bien mérité.
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