Pour les dialogue: M: moi, S: Sylvie, B: Bertrand, C: ChristopheDe temps en temps j’invite deux copains Bertrand et Christophe à la maison pour un week-end console de jeux sous forme de petits tournois à trois. Ils arrivent le vendredi vers 19 h et repartent le dimanche en fin d’après midi.On est vendredi et ce week-end Bernard et Christophe arrivent dans deux heures. Ma femme rentre du travail et me dit qu’elle a demandé à Eric son patron (voir les aventures de ma femme 1, 2, 3 et 4) pour mettre exceptionnellement une culotte pour le week-end vu la venue des copains et qu’il est d’accord. Me méfiant de ce que dit ma femme je lui dis que je vais appeler Eric pour confirmation et que si elle m’a menti, je la punirai devant Bertrand et Christophe. Elle me répond qu’Eric n’est pas joignable du week-end. Mais devant mon insistance pour joindre Eric, elle m’avoue qu’elle ne lui a pas demandé. J’arrive à joindre Eric et lui explique ce que ma femme vient de me dire en précisant bien que je ne suis pas d’accord avec elle. Il me répond qu’il n’est pas question qu’elle mette une culotte et qu’il faut la punir, je lui réponds qu’elle le sera mais que lui aussi la semaine prochaine au bureau pourra aussi la punir. Après avoir raccroché, je transmets ce qu’Eric m’a dit. Elle part se doucher pendant ce temps je lui prépare des vêtements ainsi que sa chemise de nuit. Quand elle sort de la douche je lui donne les habits qu’elle doit mettre et qu’il faudra au moment de se coucher qu’elle mette la chemise de nuit que j’ai préparé et qu’elle vienne dire au revoir avant de se mettre au lit.Les copains arrivent la soirée se passe bien, tout un coup ma femme part dans la chambre pour se changer, au bout d’un moment ne là voyant pas revenir je vais voir et là je la trouve dans le lit et je lui dis:— Dis donc, je t’avais dit de mettre ta chemise de nuit et de venir dire bonsoir.— Mais t’as vu: cette chemise de nuit est transparente.— Je ne veux pas savoir, il ne fallait pas me mentir.Je l’oblige à sortir du lit et la ramène dans le salon où elle dit un timide bonsoir. Je l’empêche de repartir tout de suite dans la chambre et lui demande:— Ce qu’il t’arrive quand tu désobéis?— Je suis punie— Tu m’as bien menti tout à l’heure et tu viens bien de me désobéir?— Oui— Donc je vais te fesser— Pas maintenant, pas devant eux— Si maintenant devant eux.J’attrape ma femme par son bras et je m’assieds sur le canapé, couche ma femme en travers de mes genoux et demande à Christophe et Bertrand de se mettre dans les fauteuils comme ça ils auront une superbe vue sur ses fesses. Je remonte sa chemise de nuit et lui assène un trentaine de fessées sur chaque fesse, après la dernière elle se redresse tête basse dit bonsoir et va se coucher. Quelques minutes plus tard je la rejoins dans la chambre tire les draps au pied du lit, m’allonge sur elle après avoir baissé mon pantalon et la pénètre sans difficulté tellement elle mouille. Je la baise très fort, elle crie qu’elle jouit et au même moment je jouis aussi. Je reviens dans le salon et dis à Bertrand et Christophe de venir dans la chambre. Sylvie n’a pas remis le drap sur elle et je leur dis: — M : Je vois qu’elle vous fait bander alors allez-y baisez là chacun votre tour, — S : Non, je ne veux pas— M : Tais toi, ils vont te baiser devant moi— B et C : avec plaisir, depuis qu’on est arrivés qu’elle nous montre son sexe et maintenant elle fait sa sainte ni touche et en plus je suis sur qu’elle va aimer ça.— M : C’est sur elle va aimer, si bien: si elle refuse j’en parle à Eric son patron.Christophe et Bertrand se déshabillèrent et ce dernier fut le premier à baiser Sylvie, sentant qu’il allait jouir,il se retira et laissa la place à Christophe. Ils ont alterné comme ça pendant plus de vingt minutes. Ma femme jouissait à chaque fois qu’elle se faisait prendre. Elle disait:-Oh! Oui c’est bon, baisez moi tous les deux, plus fort, plus vite.Quand n’en pouvant plus de se retenir ils ont joui tous les deux sur son visage et ses seins. Quand Sylvie eu reprit un peu ses esprits, je m’approchais de sa figure le sexe à l’air et dur et je lui enfonçais dans sa bouche quelques aller et retour dans celle-ci et je me lâchais et l’obligeait à avaler de mon sperme. Après une douche nous allions tous nous coucher. Mais le week-end n’est pas fini.
