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Les aventures de Marie

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Patrice avait de plus en plus en mal à continuer son travail de sape ... il décida alors de passer aux choses sérieuses.
Il s’adressa à Michel qui regardait avidement la scène tout en en se caressant par-dessus son pantalon : Viens la détacher ...
Michel se leva et avec son cran d’arrêt déchira les collants qui maintenaient Marie attachée aux barreaux du lit. Une fois sa tâche accomplie Michel retourna s’asseoir dans le fauteuil.
Patrice ordonna alors à Marie: Mets-toi à quatre pattes sur le lit.
Marie obéit sans dire un mot, elle se mit à quatre pattes et entendit un bruit de ceinture et puis de fermeture éclair.
Marie sentit alors un gland qui allait et venait tout le long de son intimité, elle soupirait de plaisir : Ahhh vas-y .......... prends-moi ..........
Patrice s’enfonça alors d’un coup sec qui fit lâcher un long gémissement à Marie, puis il commença la pénétrer régulièrement .....
Marie gémissait maintenant de plus en plus fort : Ohhhhhh oui ... continue .... t’arrêtes pas ....encore .......... Mmmmmmmmm ....
Marie n’avait pas vu le sexe de son "bourreau" mais vu les sensations qu’elle éprouvait, il n’y avait aucun doute qu’il était plus long que celui de son mari, pas forcement plus gros mais au moins plusieurs 5-6 centimètres de plus ...
Devant cette scène, Michel commençait lui aussi à être très excité, il défit les boutons de son pantalon et en sortit un sexe impressionnant, il était moins long que celui de son collègue mais il était très épais et parcouru par de grosses veines qui accentuaient encore en peu plus l’aspect gigantesque de la bête.
Il commençait maintenant à se masturber doucement sous le regard ce Marie. Cette dernière haletait sous les coups de boutoir de son partenaire, même si intérieurement elle essayait toujours de lutter, son corps avait pris le dessus sur sa volonté et ne pouvait s’empêcher de cacher le plaisir qu’elle éprouvait.
Patrice s’adressa à Michel : Ne reste pas planter là, viens donc sur le lit, notre hôte va s’occuper de toi ...Puis il lança à Marie : Tu vas sucer mon pote un peu, et t’as intérêt de t’appliquer ...
Michel vint alors s’allonger sur le lit, il descendit un peu son boxer et son pantalon afin que Marie puisse s’occuper correctement de lui.
Patrice poussa alors un peu Marie pour la rapprocher du sexe de son complice, elle s’accouda sur le lit avec son bras gauche, puis de sa main droite elle commença à masturber doucement le sexe de Michel.
Elle était fascinée par ce sexe dressé devant elle, il ne sentait pas très bon, un mélange d’urine et de transpiration, mais il était d’une telle taille ... et ces veines .... elle n’en avait jamais vu d’aussi imposant avant.
Patrice mit un terme à la contemplation de Marie : Arrête un peu de l’astiquer ... je crois que je t’ai dit de le sucer ...
Marie fit encore quelques aller-retour avec sa main sur la verge de Michel, puis elle se pencha pour donner un petit coup de langue sur le gland, le goût était un peu moins pire que ce à quoi elle s’attendait.
Rassurée par ce premier contact elle se mit alors à lécher le gland tout comme elle l’aurait fait avec une glace. Il faut dire que Marie n’avait presque aucune expérience en matière de fellation, son mari n’y avait que très rarement droit, et les rares fois où son sexe pouvait profiter de la langue de Marie, c’était par l’intermédiaire d’un préservatif.
Mais Marie apprenait vite, entrainée par l’excitation, elle faisait maintenant tournoyer sa langue tout autour du gland de Michel tout en lui caressant la tige, elle alternait les caresses, tantôt elle léchait, tantôt elle aspirait, tantôt elle suçait.
Devant les progrès de son élève, Michel lui lança : lèche moi un peu les couilles ma belle .......
Marie hésita quelques secondes, puis inconsciemment, comme hypnotisée, elle commença à faire descendre sa langue le long de la tige de Michel. Elle donna un premier coup de langue, elle retrouva l’odeur et le goût désagréable du début, mais elle finit par s’y accommoder une nouvelle fois. Elle lapait maintenant avidement les testicules de Michel tout en le masturbant. Elle en prit même une dans sa bouche, qu’elle se mit à faire tanguer avec sa langue.
Michel poussait de longs râles de plaisir, d’ailleurs il semblait très satisfait des caresses buccales que lui procurait Marie : Ahhhh ... putain. C’est trop bon, ça faisait longtemps qu’on ne m’avait pas sucé comme ça ...... une vraie pro la petite.
Patrice lui répondit en rigolant : Parce que tu t’es déjà fait sucer toi .....Michel rigola un peu jaune à cette remarque : Ah t’es malin toi ...
Puis comme pour contrarier Michel, Patrice se mit à pilonner Marie de plus en plus en fort, ses cris étaient maintenant beaucoup plus significatifs : Ahhh .Ouiiiiii ...... vas-y ..... plus fort ......encore ........
Patrice y allait tellement fort que Marie avait été obligée de délaisser le sexe de Michel, celui-ci s’en plaint aussitôt : Ehhh va moins vite, elle arrive même plus à me sucer tellement tu la secoues....
Patrice : t’inquiètes .... c’était pour rire....
Patrice arrêta alors de baiser Marie, Michel lui remit aussitôt son sexe dans a bouche qu’elle recommença à sucer avec application.
Marie était étonnée qu’il la laisse comme ça, elle se dit qu’il allait peut être vouloir se faire sucer lui aussi, mais hélas, elle sut rapidement où il voulait en venir quand elle sentit le sexe de Patrice appuyer sur son anus.
Marie : Non pas par là, je ne l’ai jamais fait ... supplia t’elle à Patrice.
Patrice : T’inquiètes pas ma belle, toutes celles qui y ont eu droit en ont redemandé après...
Marie : Ahhh noon ….
Patrice enfonçait tout doucement son gland dans les entrailles de Marie, il y allait sans forcer, millimètre par millimètre. Il ne voulait pas lui faire mal, il voulait au contraire qu’elle y prenne un réel plaisir afin de finir de la briser psychologiquement.
Marie continuait de crier de douleur : Nooon, s’il vous plait ...
Le gland de Patrice avait fini par rentrer complètement, il s’arrêta pour laisser Marie s’habituer à cette nouvelle sensation. Il passa ensuite sa main sous le ventre de Marie, lui planta deux doigts dans le vagin et se mit à la caresser doucement.
Au bout de quelques minutes, Marie se remit à onduler du bassin, tout d’abord de manière latérale, Patrice sentait la rosette de Marie se décontracter. Puis quelques minutes plus tard, elle se mit à onduler d’avant en arrière, s’empalant elle-même sur se sexe qui était planté dans son cul. Dans un premier temps Patrice la laissa faire, puis il se mit également à faire avancer son bassin.
Son sexe rentrait progressivement mais sûrement dans le cul de Marie, cette dernière avait maintenant l’air d’apprécier ce traitement :Ohh oui ....... doucement ....vas-y ...Mmmmmmm
Voyant que Marie s’était quelque peu assagie, Michel lui recolla son sexe dans la bouche, celle-ci se mit alors à sucer Michel avec une frénésie intense, ses gestes étaient maintenant beaucoup plus francs.
Patrice remarqua l’ardeur avec laquelle elle gobait maintenant la bite de son copain, il donna lui aussi beaucoup plus d’ampleur à ses mouvements. Marie gémissait de plus en plus fort, mais cette fois elle arrivait à poursuivre sa fellation.
On entendait plus dans la chambre que les bruits de sussions obscènes que faisait Marie, les claquements des fesses de Marie contre le bassin de Patrice et les soupirs de Michel.
Au bout d’un moment Patrice se crispa et cria : Ahh putain ..... la salope.
Puis en 2-3 allers-retours il se vida complètement dans les entrailles de Marie. Il resta encore quelques secondes enfoncé en elle, il finit par se retirer et s’adressa à son compère : Tu peux venir, si tu veux, la place est chaude.
Celle-ci fut submergée par une sensation étrange, elle sentait ce liquide chaud dans ses entrailles, elle avait l’impression d’être "ailleurs".
Michel fit le tour du lit et vint se placer à son tour derrière Marie, celle-ci, vaincue ne dit rien et posa même sa tête sur le lit pour se cambrer encore plus.
Michel lui dit : tu m’as tellement bien sucé que je crois que je ne vais pas pouvoir te baiser longtemps, alors comme j’ai envie de profiter de ton petit trou je vais t’enculer tout de suite ...
Marie : Non pitié, pas ça ... vous êtes trop gros vous allez me déchi ....... Ouuuuuuuuhhhhhhhhhh .......
Marie n’avait pas eu le temps de finir sa phrase que Michel lui avait déjà planté son dard dans l’anus. Il n’avait pas eu trop de difficulté à s’enfoncer, son compère lui avait bien balisé le chemin ...
Marie mit de nouveau quelques minutes à s’habituer à ce calibre moins long mais beaucoup plus gros que celui de Patrice. Sa rondelle se détendit et petit à petit Michel put commencer à la pistonner.
Michel était beaucoup plus loquace que son collègue : Alors elle te plait ma bite ...
Marie : Ahh .... Ouiii
Michel : c’est quoi qui te plait, salope ???
Marie : Ahhhhhhh ..ta ......
Michel : Ma quoi ?????
Marie : Ahhh ......... ta bite
Michel : tu ne t’es jamais pris une bite comme ça dans le cul, t’aimes ça petite pute ...
Marie : Ahhh ouiiiiiiii, j’aime çà .......Ahhhhhhhhh
Michel : C’est autre chose quel celle de ton mari, hein .....tu préfères la mienne
Marie : Ohhh oui .... j’aime mieux .........la tienne .......Ahhhhhhhh
Michel : Et pourquoi tu préfères la mienne ???
Marie : Ahhhhh ....... parce qu’elle est .........Ahhhhh ...... plus grosse ........
Pendant ce temps là Patrice s’était rhabillé, il s’était placé de trois quarts derrière Michel et Marie et était en train de faire des photos avec son Iphone. La scène était sans équivoque, on y voyait Marie à quatre pattes le cul en l’air sur le lit, elle portait toujours ses jolis bas couleur chair, son string que Patrice lui avait seulement écarté et sa jupe qui était repliée sur son dos.Patrice admirait la dizaine de clichés qu’il venait de prendre, on y voyait Marie en train de se faire copieusement sodomiser par Michel. En regardant les photos, il se dit qu’il manquait quelque chose ... le son. Il prit alors une petite vidéo avec son téléphone, on y entendait sans équivoque les cris de plaisir de Marie ainsi que les paroles très crues qu’elle échangeait avec Michel.
Pendant ce temps là, Michel pistonnait Marie sans relâche : Ahhh putain, il est trop bon ton petit cul ...Marie : Ahhh ........ Ouiiiiii .......... bourre mooooooi ... salaud
Michel : Alors t’aimes ça la bite dans le cul .......
Marie : Ahhhhhh ....... j’aime çaaaaaa ........
Michel : T’aimes quoi salope ???
Marie : Ohhhhh me faire ..... Ahhhhhhhh .... baiser le cul.........
Michel sentait qu’il allait exploser, il sortit du cul de Marie, la releva, la retourna et lui éjacula sur le visage. Il n’eut pas le temps de viser et le premier jet atterrit du front jusqu’au nez de Marie, il réussit à envoyer les suivants vers sa bouche.
Michel : Tiens prends ça ...... Ahhhhhhhhh
Surprise, Marie n’eut pas le temps de fermer la bouche tout de suite, une giclée lui atterrit tout droit sur sa langue, les autres s’écrasèrent sur ses lèvres. Elle recracha aussitôt le sperme qui dégoulina sur son chemisier.
Marie était méconnaissable, son maquillage avait coulé le long de ses joues, elle était en sueur et son visage était maculé de sperme.
Michel, quant à lui prit un morceau de collant qui était sur le lit et s’essuya le sexe avec, il se rhabilla. Patrice prit alors la parole : écoute ma belle, quand tu iras voir les flics pour déclarer le cambriolage, tu as plutôt intérêt à leur dire que quand tu es rentrée, tu n’as vu personne, sinon je sens que ton mari et les personnes de ton boulot pourront profiter des photos et vidéo que j’ai dans mon téléphone.
Marie : Non je vous en prie ......... pas ça ....
Patrice : si tu te tiens à carreau, il n’y aura pas de soucis .... compris ???Marie : oui .......
Patrice et Michel partirent discrètement par où ils étaient venus, laissant la pauvre Marie, à la fois enivrée par les sensations qu’ils avaient fait naitre en elle, mais également tellement honteuse de s’être laissée aller de la sorte
De leur côté Patrice et Michel s’éloignaient bien contents de leur soirée.
Michel : Bon bah on est rentré les mains vides, mais au moins on n’a pas que nos mains qui sont vides ....Patrice : Tu l’as dit, et heureusement que j’étais là pour te sauver la mise, si t’avais été seul, tu te serais encore foutu dans de beaux draps
Michel : En tout cas, moi je repasserai bien la voir la petite un de ces jours ...
Patrice : T’emballe pas, on verra ...
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