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Les aventures de Sandra

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Il fallut attendre quatre longues journées avant que mon après-midi masquée soit posté. Les premières images me montrent debout dans ma nuisette blanche au milieu d’un champ. Sur les images suivantes, des hommes nus apparaissent : je n’en compte pas moins de sept – dont trois Noirs et deux Arabes – et ils portent tous un masque de loup. Puis les photos m’affichent nue, toujours debout, coincée au milieu de tous ces hommes. Parmi eux, deux ont de beaux corps, mais les cinq autres ne m’auraient jamais baisée si je les avais vus avant. Deux sont vraiment très laids, même avec leur masque de loup, et trois sont gras, voire obèses, avec un ventre tombant en tablier sur leurs cuisses. Ils m’écœurent carrément. Et pourtant, ils m’ont fait jouir royalement.
Sur les images suivantes, je suis à terre sur une couverture, attaquée de tous les côtés. En voyant ces hommes m’utiliser comme un jouet sexuel infatigable, me photographier lorsqu’ils ne s’occupent pas de moi, en voyant leur bite en gros plan entrer dans ma bouche, dans mon vagin et dans mon anus, je sens le désir brûler mon ventre. Je me masturbe d’une main tout en faisant défiler les images sur mon écran. Je jouis sans retenue avant d’éteindre mon ordinateur. En me couchant, je repense à toutes les photos que ces hommes ont prises ; heureusement que j’étais masquée !
Deux jours plus tard, en allant sur l’ordinateur de mon ami, je constate qu’il a consulté son site Internet la veille. J’avais donné l’autorisation à Wolf de publier certaines photos ; mon ami a donc dû en voir quelques-unes. M’a-t-il reconnue ? Il ne m’en parle pas, et cela me travaille l’esprit. Il ne me voit donc plus ? Je décide alors de tenter une expérience. Le soir au dîner, j’invente une histoire dans laquelle je me suis fait draguer par un homme qui m’a proposé de le suivre à l’hôtel. Cela éveille son attention et il me demande des détails, en concluant que j’aurais peut-être dû accepter car il y a peu de chances que cela se reproduise. Le salaud n’a pas pu s’empêcher de m’envoyer une pique. Je râle intérieurement, mais constatant que la conversation l’a excité, je l’entraîne dans la chambre dès la fin du dîner pour me faire sauter comme une chienne en chaleur. Je lui suce la bite, attendant les vibrations de son membre pour le laisser ensuite, ne le chevauchant que gentiment, prenant soin de toujours le laisser sur sa faim. Je l’achève en attrapant sa bite pour me la foutre dans le cul sans autre forme de procès. À peine entré qu’il jouit déjà ; même pas de retenue…
Tous les jours, je vais lire les commentaires des internautes sur mes photos. Cela m’excite toujours autant et j’ai l’impression de devenir une vraie chienne. Repensant à ce que j’ai raconté à mon ami, il me vient l’idée d’aller le lendemain à la ville voisine en tenue hyper sexy. On verra bien si je me fais draguer ! Je choisis donc une robe blanche qu’il m’avait offerte. Elle laisse mes épaules nues, moule mon corps au plus près et descend tout juste à une dizaine de centimètres en dessous de mes fesses. Je mets un string, mais je constate dans le miroir qu’il fait une marque sur mes hanches ; je décide donc de l’enlever pour mettre un shorty sans coutures. Je sors donc ainsi, grimpe dans ma voiture et prends la route pour la ville voisine ; assise au volant, mes cuisses sont entièrement découvertes.
Le temps est magnifique, et je passe l’après-midi à faire du lèche-vitrines ; c’est très agréable de sentir l’air caresser mes cuisses. J’aperçois mon reflet dans les vitrines et je me trouve très jolie. Soudain, un homme m’aborde, me complimente sur ma beauté et me propose d’aller prendre un verre. « Allons, je suis venue pour ça, voyons ! » pensé-je en acceptant. Nous nous installons à la terrasse d’un café et nous prenons chacun une bière fraîche. L’homme me dit s’appeler Philippe, avoir 35 ans et vivre seul. Il me drague pendant les minutes qui suivent, me complimente à nouveau sur mes seins qui pointent à travers mon soutien-gorge, mais aussi sur mes cuisses totalement découvertes. Je bois ma bière gorgée par gorgée, appréciant ses paroles. Ce n’est pas désagréable de l’entendre dire de telles choses.
Lorsque nos bières sont terminées, il m’invite à l’accompagner chez lui ; il habite à cinq minutes d’ici. J’accepte. Tandis que nous marchons côte à côte, il en profite pour passer son bras autour de ma taille et poser sa main sur ma hanche. Je le laisse faire, bien que je sente ma robe remonter, risquant sous peu de dévoiler mon ventre et mes fesses protégées par mon shorty. D’ailleurs, les regards des personnes que nous croisons sont plutôt orientés vers le haut de mes cuisses ! Il s’arrête devant une porte, compose un code et me fait entrer. Il me fait passer devant pour monter à l’étage ; il ne doit rien manquer de mon cul et de mon sexe, vu mon shorty transparent. Au premier étage, il me fait entrer dans son appartement. Nous ne perdons pas de temps en préliminaires : nous savons tous les deux pourquoi nous sommes là. Il enlève ma robe immédiatement, s’arrêtant quelques secondes pour contempler mon corps, et me met en tenue d’Ève mais en conservant mes talons d’un rose pétillant.
Il se met rapidement nu, me dévoilant son corps, et me pousse devant lui jusqu’à une chambre presque totalement occupée par un immense lit. Je n’ai pas à attendre : il se jette sur moi et me baise sauvagement. Tout y passe : ma bouche, mon cul, ma chatte. Je ne lui refuse rien. J’ai droit à la totale ! Ce salaud-là sait y faire, et en plus il est d’une endurance incroyable. Il me fait jouir trois fois avant de jouir lui-même dans ma chatte béante, mais cela ne l’arrête pas. Il ne débande pas, et après avoir changé de préservatif, il me sodomise violemment et longuement tout en pénétrant ma chatte humide avec ses mains. Mon cul me brûle et me fait plaisir en même temps, mon clitoris réagit sous mes mains, mon ventre se gonfle de désir. Je jouis encore à plusieurs reprises avant qu’il ne s’écroule sur moi, satisfait. À plat-ventre, le nez dans l’oreiller, écrasée sous le corps de Philippe, je respire avec difficulté. Je sens dans mon anus son sexe qui se dégonfle et glisse peu à peu vers l’extérieur.
Philippe se lève brusquement, me permettant de retrouver mon souffle ; je l’entends ouvrir un tiroir, et juste après parvient à mes oreilles le bruit caractéristique du déclencheur d’un appareil photo. C’est vraiment le dada de tous les hommes ! Je reste le nez dans l’oreiller, car n’étant pas masquée je ne veux pas qu’il prenne mon visage ; mais il ne l’entend pas ainsi, et après m’avoir longuement photographiée de dos, il me retourne de force. Je cache mon visage derrière mes bras. Au début, cela ne le gêne pas car il est trop occupé à cadrer ma poitrine et mon sexe ; mais à un moment, il attrape mes deux poignets dans une seule de ses mains, les bloque au-dessus de ma tête et photographie mon visage. J’essaie de lui échapper et de tourner mon visage, mais mes efforts me paraissent bientôt vains. Je me laisse donc aller, lui permettant de prendre un grand nombre de photos à visage découvert. J’espère simplement qu’il gardera ces photos pour lui !
Quand il finit par se lasser, il me congédie en me rendant mes affaires, glissant au passage deux billets de cinquante euros dans ma main, et me pousse hors de l’appartement sans un mot comme une vulgaire pute ! La porte claque dans mon dos et je me retrouve sur le palier, ma robe à la main. Je m’empresse de la renfiler et je sors de l’immeuble, un peu honteuse des billets que j’ai rangés dans mon sac. Une heure et demie de plaisir et cent euros, c’est un très bon après-midi ! Je rejoins ma voiture tranquillement. Sur le trajet, je me fais aborder par des hommes à deux reprises, mais je suis triste de ne plus avoir la force d’accepter leurs avances et je rentre chez moi pour un repos bien mérité.
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