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Les aventures de Sandra

Chapitre 4

Avec plusieurs hommes
Après cet épisode un peu violent mais toujours aussi bon, je suis encore en manque de sexe. J’hésite entre aller draguer en ville ou directement sur Internet. Finalement, je décide de recontacter Alex, dont la réponse ne se fait pas attendre ; il me demande si j’ai de nouvelles exigences car il a des demandes émanant de nombreux internautes qui ont vu mes contributions. Je lui exprime mon refus de la violence, mais je ne mets pas de veto quant à la laideur de mes futurs partenaires : ils m’ont en effet prouvé que ça n’est pas un gage de réussite ou d’échec.J’y réfléchis pendant de longues heures, et lui demande finalement de pouvoir porter la voilette qu’il m’avait présentée lors de notre première rencontre : la pensée de pouvoir être reconnue commence à m’exciter énormément ; le danger stimule ma libido. Je lui demande aussi de sélectionner des partenaires clean, car j’ai envie de sentir leurs queues brûlantes gicler leur jouissance au fond de moi sans préservatif.
Il me propose une journée : ce sera le 28 mai, pour un gang-bang avec plusieurs internautes qui auront tous produit un test HIV récent négatif et vérifié. J’accepte ce rendez-vous qui doit avoir lieu à une vingtaine de kilomètres de chez moi ; comme nous ne sommes que le 20 mai, il me reste huit jours à attendre et je suis en manque ! Mon ami a beau me sauter le soir même, mes besoins ne sont pas assouvis...
Le lendemain, je reprends le chemin de la ville voisine, vêtue cette fois-ci d’une jupe blanche (et, pour la première fois, sans rien dessous) ainsi d’un débardeur « Tequila Solo » que mon ami m’avait acheté sur Internet, largement échancré sur les côtés, dévoilant ainsi partiellement ma poitrine. C’est son plaisir que de me faire porter de tels vêtements, alors il va être servi !
Arrivée en ville, je fais à nouveau du lèche-vitrines ; et lorsqu’un homme passe, je me penche en faisant mine d’examiner ce qui est placé plus bas, ce qui ne manque pas de dévoiler mes seins et le début de mes fesses. Le résultat ne se fait pas attendre : un homme m’aborde et me demande quels sont mes tarifs ! Sans répondre, je l’entraîne sous une porte cochère voisine, et sans plus d’explications je lui fais une pipe dont il se souviendra longtemps. Lorsque je le sens venir, je le sors de ma bouche et le fais éjaculer à même le sol. Puis, le plantant là, la bite à l’air, je reprends ma déambulation.
L’épisode m’a mise en appétit ; je sens quelques gouttes s’écouler de mon vagin trempée de désir. Il faut que je trouve rapidement plus consistant ! C’est facile ; je pénètre dans le jardin public voisin qui, à cette heure-là, est essentiellement fréquenté par des retraités, des mères de familles accompagnées de jeunes enfants ou de nourrissons dans des landaus, ainsi que – et c’est ce que je recherche – des jeunes sans travail qui se retrouvent là, loin de leur famille. Je trouve ce que je veux : un groupe de jeunes qui tapent dans un ballon. Je m’assois sur un banc inoccupé non loin d’eux, puis je commence à jouer, croisant et décroisant mes cuisses largement découvertes tout en appuyant mon coude sur le dossier du banc. Je fais mine de téléphoner en gesticulant, ce qui – je le sais – laisse voir mes seins à chaque lever de bras. Je n’ai pas à attendre longtemps : trois jeunes se détachent du groupe et s’approchent de moi. Ils m’interpellent de façon très directe en me tutoyant et me demandent si je désire faire un tour en deux-roues avec eux. Les poissons ont mordu à l’hameçon ; après un moment de réflexion, j’accepte.
Et nous voilà parti tous les quatre, sous les sifflements des autres garçons, vers la sortie du jardin. Chacun voulant que je monte sur sa machine, je dois choisir moi-même l’heureux élu. Avec ma jupe, j’ai du mal à enfourcher le scooter ; les trois garçons doivent pouvoir constater l’absence de sous-vêtements. Ne réussissant pas à tirer ma jupe suffisamment, je me retrouve assise les fesses à même la selle, les cuisses découvertes jusqu’aux hanches. Mon sexe n’est caché que parce que je le colle contre les fesses de mon pilote. J’enfile le casque que l’on me tend ; ce geste découvre largement mes seins avant que j’enserre la taille de mon pilote en me collant contre lui.
Nous partons à travers les rues sous les trépidations de la machine. Je sens ma jupe remonter peu à peu ; mes fesses doivent maintenant être visibles des deux autres jeunes qui nous suivent, mais je ne fais rien pour y remédier. Les vibrations de la selle se transmettent directement à mon sexe, et particulièrement à mon clitoris, comme le ferait un vibromasseur. Nous arrivons bientôt à la périphérie de la ville et nous nous arrêtons devant un vieux hangar.Je descends de la machine, les fesses et le sexe bien visibles, et je m’exhibe ainsi pendant plusieurs secondes devant trois paires d’yeux exorbités avant de remettre ma jupe en place.
— On y va ? leur demandai-je d’un air faussement innocent.
Les choses s’accélèrent soudain : les trois garçons viennent de comprendre ce que je veux. Après avoir ouvert le verrou de la porte, ils m’entraînent dans le hangar encombré de ferrailles rouillées et de cartons éventrés. Dans un coin, un espace a été dégagé et « meublé » avec de vieux matelas, des canapés avachis et de fauteuils défoncés. Je me dirige de moi-même vers cet endroit et attends. Les trois garçons s’approchent de moi et commencent à me toucher ; je me laisse faire, et très vite ils s’enhardissent, glissant leurs mains sous ma jupe et dans mon débardeur. Je les encourage même en faisant descendre la fermeture de ma jupe. Celui qui est derrière moi la fait glisser sur le sol tandis que les deux autres me retirent mon débardeur ; je me retrouve nue entre les trois garçons. Une main dans mon dos fouille mon ventre trempé de désir.
— Elle mouille, cette petite garce ! je l’entends dire.
Les deux garçons devant moi se déshabillent à leur tour. Celui qui est derrière moi me force à me pencher en avant et me pénètre sans plus attendre. Je ne sais pas comment il a réussi à mettre un préservatif, et je ne peux m’empêcher de gémir sous l’assaut ! Pour garder mon équilibre, j’attrape les bites des deux autres garçons, les tiens fermement puis les prends l’une après l’autre en bouche, en suivant le rythme que m’impose le garçon qui me défonce la chatte. Ils m’entraînent ensuite vers un matelas où ils m’étendent ; deux garçons m’écartent les jambes tandis que le troisième, se couchant sur moi, s’enfonce immédiatement dans mon vagin. Alors que mon plaisir monte en flèche, j’entends un téléphone sonner. L’un des jeunes répond que nous sommes au hangar et qu’il faut qu’ils ramènent des packs de bière. Je comprends que d’autres membres de la bande vont nous rejoindre… Cela me fait brutalement jouir, ce qui à pour effet de faire jouir celui qui me baisait. Dès qu’il se retire, un autre me fait mettre à quatre pattes et s’enfile dans mon vagin à son tour tandis que le troisième joue avec mes seins qui ballottent, tout en me maintenant sa queue au fond de la bouche en me tenant par les cheveux.
Dans mon dos le garçon change d’avis ; sortant de mon vagin, il se présente contre mon anus qui s’ouvre sans difficulté devant le sexe tendu qui disparaît bientôt totalement au fond de mon cul. Les garçons semblent ne pas en revenir, mais leurs exclamations et leurs commentaires montrent qu’ils n’ont certainement pas l’habitude de sauter à plusieurs une demoiselle consentante. Ils se déchaînent, l’un dans mon cul, l’autre dans ma bouche, tandis que le troisième – celui qui s’est déjà vidé – titille mon clitoris et investit ma chatte avec ses doigts.
C’est dans cette posture que nous retrouvent six autres membres de la bande porteurs d’un pack de bière chacun. Ils restent un instant ébahis avant de se décider à participer, et se déshabillent à leur tour. Je prends la direction des opérations : être prise en double pénétration me fait tellement de bien que je leur demande de se relayer tous les neuf de sorte d’avoir en permanence un sexe dans mon vagin et un dans mon cul. De temps en temps, je réclame une gorgée de bière pour me rafraîchir. Dès que l’un jouit, je l’expulse et en appelle un autre que je guide dans l’orifice libre. J’ai ainsi pendant tout le reste de l’après-midi neuf jeunes pleins de vie au service de mon corps. Ils en jouissent tour à tour, et en profitent même à de nombreuses reprises. Leur jeunesse les fait jouir rapidement, mais surtout elle les autorise à rebander très vite. Bien entendu, ceux qui attendent leur tour, assis dans un fauteuil ou sur un canapé, me mitraillent avec leurs portables ; je risque d’apparaitre bientôt à visage découvert sur Internet…
Vers dix-huit heures, comme ils sont tous épuisés, il y a plus de candidats ; je me relève avec difficulté, les jambes flageolantes, bois une grande quantité d’eau à un évier fixé au mur et, ayant envie de faire pipi, je n’ai d’autre choix que de sortir du hangar toujours nue pour me soulager dans l’herbe, honteuse. Ils me raccompagnent tous dans le centre-ville pour que je reprenne ma voiture. Celui qui me conduit roule en tête, et les huit autres nous suivent. Le spectacle doit valoir le coup, car avant de démarrer l’un deux a fait remonter ma jupe, ce qui dévoile mes fesses en totalité. À chaque feu rouge, mon conducteur se glisse en première ligne, offrant aux automobilistes une vue superbe sur mon cul. Nous sommes klaxonnés plusieurs fois, et des commentaires salaces me parviennent, et même l’un des automobilistes n’hésite pas à tendre le bras et à me peloter les fesses. Heureusement que je porte un casque avec visière, car je reconnais à un feu un homme qui habite dans ma commune !Je rentre ensuite chez moi, totalement lessivée.
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