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Les aventures de Sandra

Chapitre 5

Avec plusieurs hommes
Dès le lendemain, mon envie de sexe se manifeste par un désir intense de faire l’amour. C’est mon ami qui y passe, mais la nuit suivante je reste longtemps éveillée, rongée par le désir de sentir encore deux sexes en moi en même temps. C’est devenu habituel chez moi… Il faut que je trouve une solution ; je ne peux quand même pas chercher de multiples partenaires tous les jours !
Une solution m’apparaît le lendemain matin sur mon vélo alors que je vais faire un tour à la plage : il faut que je retourne en ville cet après-midi ! Toute contente, je vais tâter l’eau ; et comme elle me semble bonne, je décide de rejoindre la zone naturiste pour pouvoir en profiter entièrement nue. J’adore l’eau et j’aime nager en mer ou en piscine, j’aime être fouettée par les vagues. J’y reste un bon quart d’heure puis en sors ; mais n’ayant pas apporté de serviette, je dois attendre en plein soleil que ma peau sèche.
Cela ne rate pas ; un homme que j’ai vu rôder près de mes affaires lorsque j’étais dans l’eau s’approche de moi en me lorgnant sans vergogne et me demande si l’eau est bonne. Les hommes manquent vraiment d’originalité ! D’habitude, je les envoie balader, mais là je me sens mouiller. Il est vraiment pas mal : brun, il doit avoir la trentaine ; mais j’ai envie qu’il me saute ! Je lui réponds en rigolant que l’eau est très bonne, mais que moi aussi je le suis.
Je ramasse ma robe et ma culotte puis grimpe sur la dune en ondulant des fesses. Arrivée en haut, je me retourne pour voir qu’il me suit de loin, les yeux fixés sur moi. J’écarte légèrement les jambes et reste là à attendre. Il comprend et continue son ascension, les yeux braqués sur mon sexe épilé. Mon désir grimpe en flèche et je m’avance un peu plus loin dans la dune, puis me retourne. Il est maintenant assez proche pour me toucher, et je peux discerner dans son regard un reste d’incertitude quant à sa bonne chance.
Mon ventre commence à couler. Je prends l’initiative en lui saisissant la main et en la plaçant sur mon sexe, puis je fais glisser son pantalon et son slip et commence à masturber sa queue vigoureuse. Ses mains s’activent alors, caressant ma peau, pénétrant ma chatte puis mon cul. Dommage, nous n’avons pas de préservatif... Je le fais s’allonger sur le dos puis me place à cheval sur lui en 69 ; je me sens ruisseler. Il se vide dans ma bouche au moment où un orgasme transperce mon ventre. J’avale en grande partie son sperme puis, sans plus attendre, me redresse, remets ma robe et ma culotte et pars en le laissant seul sur le sable.
L’après-midi, je retourne en ville ; je porte la même robe que lors de ma rencontre avec Thomas et Nathan. Les trois premiers boutons sont défaits ; ainsi, lorsque je marche, on peut apercevoir ma poitrine. Je n’ai pas mis pas de sous-vêtements car j’éprouve de plus en plus de plaisir à être nue sous ma robe. Au fur à mesure que j’approche de mon but, des ondes de plaisir de plus en plus fortes tordent mon ventre. Enfin je me retrouve devant le sex-shop de la ville ; j’y entre. Derrière la caisse, un homme d’une quarantaine d’années me salue. Je passe entre les rayons jusqu’à celui qui m’intéresse : les sextoys ! Je n’aurais jamais pensé qu’il en existait autant ! Je les regarde les uns après les autres, et mon attention est attirée par un vibromasseur à télécommande sans fil. Je suis surprise de découvrir les plugs, et il me faut plusieurs minutes pour comprendre leur usage.
Hésitante, je me dirige vers la caisse pour prendre l’avis du vendeur. Je lui demande si je peux voir les fameux appareils à télécommande qui avaient attiré mon attention. Il vient avec moi dans le rayon et me sort quatre modèles différents. Il m’en vante surtout un qui fait douze centimètres de long ; il est recouvert d’une matière dont le contact ressemble à celui de la peau, et qui non seulement vibre à une vitesse que l’on peut régler, mais en plus qui procure des mouvements de reptation dont on peut également régler la vitesse et l’amplitude. Il me le place dans la main et le met en route ; le toucher est effectivement proche de celui d’une queue. Malgré le prix – deux cents euros – je décide de le prendre. Le vendeur en prend un exemplaire et retourne vers la caisse. Il me propose de l’ouvrir pour y placer des piles et vérifier son fonctionnement, ce que j’accepte. Il le sort de sa boîte, m’explique comment y placer les piles et me montre les différentes fonctions de la télécommande.
— Et voilà, Mademoiselle, il est prêt à servir. Vous pouvez l’essayer… me dit-il en me le mettant dans la main.
Je mouille de plus en plus ; je ne peux résister à la tentation. J’écarte mes cuisses, relève ma robe, et sous le regard du vendeur enfonce le gode dans mon vagin. Puis en le regardant droit dans les yeux, je lui demande de me montrer les différentes fonctions de la télécommande. C’est très jouissif, et il insiste bien sur chaque fonction. J’ai la sensation d’avoir dans mon vagin un vrai sexe à la vie propre. Je dois me tenir au comptoir lorsqu’un orgasme me prend. Le vendeur s’arrête et me demande si je désire autre chose ; cela m’apparaît alors comme une évidence : je lui demande s’il a la même chose, mais pour derrière.
Il part alors dans les rayons et revient avec deux plugs de tailles différentes. Il m’explique qu’ils fonctionnent exactement comme le gode. Il me fait un prix si j’en prends un ; j’accepte. De nouveau, il place les piles, me montre le fonctionnement, et avec un sourire me propose de l’essayer. Sans me dégonfler, je saisis le plug, le mouille avec ma salive et me le glisse dans l’anus devant le vendeur. Une fois en place, je fais fonctionner la télécommande : l’effet était aussi génial ! Les deux en même temps, ça doit être extraordinaire… Comme s’il lisait mes pensées, c’est le moment qu’il choisit pour mettre en route le gode. Le résultat est effectivement extraordinaire : le plaisir envahit tout le bas de mon corps ; je ferme les yeux et me laisse aller en m’agrippant au comptoir.
Je sens alors une main déboutonner un à un les boutons de ma robe et en écarter les pans. Je garde les yeux fermés, concentrée sur mon plaisir tout en laissant les mains du vendeur se poser sur ma poitrine. Puis il m’enlace, prenant possession de ma taille et de mes fesses. Je sens ma robe glisser à terre au moment même où j’entends la porte du magasin s’ouvrir. Je suis trop dans mon trip pour bouger, mais le vendeur réagit rapidement et m’entraîne à sa suite par la main. J’ouvre les yeux et constate qu’il m’emmène vers le fond du magasin. Là, il me penche en avant, sort son sexe et me le glisse dans la bouche. Les vibrations et les reptations deviennent infernales. Un autre sexe venu de je ne sais où apparaît près de celui du vendeur ; je les suce et les masturbe alternativement, mais la jouissance m’envahit avant qu’ils n’aient joui. Je dois continuer à les sucer quelques minutes avant que, l’un après l’autre, ils n’éjaculent dans ma bouche.
Dans mon ventre et dans mes reins les appareils s’activent toujours, réveillant mon désir. Mais il me faut arrêter car je dois faire des courses. Je repars nue vers la caisse, ramassant ma robe restée au sol, l’enfile et la reboutonne comme précédemment, puis appuie sur la touche stop des deux télécommandes. Le vendeur me demande si je garde mes achats sur moi ; je lui répondis par l’affirmative. Il ne me fait payer que trois cent-cinquante euros au lieu de quatre cents et me dit de ne pas hésiter à passer si j’ai un problème avec le matériel. Je ressors de la boutique avec mes deux télécommandes éteintes dans mon sac. J’ai un peu peur de perdre l’un ou l’autre de mes achats en marchant, mais je me rends vite compte que l’un comme l’autre restent bien en place. La seule différence, c’est que pour marcher je dois écarter un peu les cuisses.
Sur la route du retour, je ne peux m’empêcher de m’arrêter dans un petit chemin et de mettre mes achats en marche. C’est tellement bon de se faire plaisir avec mes jouets… Tout de suite, mon ventre et mes reins réagissent. Je déboutonne entièrement ma robe et accompagne mon plaisir en malaxant ma poitrine et mon ventre, et je jouis bientôt seule au bord de la route. J’arrête mes appareils, me rajuste et reprends ma route.
Une fois à la maison, je les retire, les lave et les range bien au fond d’un des tiroirs dans ma chambre. Grâce à eux, je pense pouvoir tenir les cinq jours restants avant de retrouver Alex et ses acolytes.
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