Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 33 J'aime
  • 2 Commentaires

Les aventures de Sandra

Chapitre 6

Avec plusieurs hommes
Le lendemain, je mets en place mes deux jouets, que je fais fonctionner pendant deux heures. Le plaisir est au rendez-vous : j’arrive à avoir plusieurs orgasmes, mais il me manque la peau d’un homme, le poids d’un corps et la jouissance de sexes au fond de moi. Malgré tout, je réussis à tenir avec mes jouets jusqu’au grand jour.
Alex me demande de mettre une tenue aussi sexy que la fois précédente et m’ordonne de me garer sur le parking de la gare routière et de l’attendre vers neuf heures trente au pied du monument de Pierre Loti. Il viendra m’y chercher. Pour l’occasion, j’ai choisi une autre robe achetée par mon ami, encore plus échancrée sur les côtés que mon débardeur, et dénudant mon dos jusqu’au début de la raie de mes fesses. Je n’ai jusqu’alors accepté de la porter qu’à la maison pour mon ami. Il ne faut pas que je bouge trop, sinon mes seins vont sortir totalement sur le côté. Je mets quand même ma culotte en dentelle, car en définitive, pour un rendez-vous, rien ne vaut une culotte qui descend sur les pieds. Et comme toujours, je complète ma tenue par ce que j’aime le plus : une paire de talons hauts rouges. J’accentue mon maquillage, noir à paupières, faux cils, rouge à lèvres agressif. Mon miroir me renvoie l’image d’une femme sexy.
Je suis tellement impatiente que j’arrive un peu en avance à mon rendez-vous ; je rejoins le monument de Pierre Loti et m’assois pour attendre Alex. J’attends un bon quart d’heure pendant lequel j’ai à subir les regards appuyés de plusieurs hommes avant que l’un d’eux ne s’approche de moi et m’explique que je dois venir avec lui pour rejoindre le lieu de rendez-vous, pendant qu’Alex nous photographiera sur le trajet. L’homme me tend la main pour m’aider à me relever ; puis, m’attrapant par la taille, il m’entraîne avec lui. Sa main glisse rapidement dans l’échancrure de ma robe et se pose à même la peau, puis elle monte d’abord jusqu’à ma poitrine qu’elle pelote sans vergogne avant de descendre jusqu’à ma hanche, faisant glisser un pan de ma robe, ce qui a pour effet de faire apparaître ma poitrine. Je tire sur le tissu pour me couvrir car si ça continue ainsi, je vais me retrouver nue en culotte en pleine rue. J’aperçois par instants Alex avec sa caméra ; il ne manque rien de la scène.
Nous marchons ainsi pendant plus de vingt minutes, traversant tout le centre-ville; à plusieurs reprises je dois remettre en place le tissu de ma robe afin de cacher ma poitrine. L’homme à mes côtés me caresse, explorant ma poitrine, mes fesses, voire même mon sexe. Nous nous arrêtons à l’entrée d’une impasse au fond de laquelle j’aperçois Alex. L’homme me demande de retirer ma robe et de la lui donner. J’hésite pendant quelques secondes avant d’accepter et je me retrouve en culotte, seins nus sur mes hauts talons rouges. Il me dit alors de le rejoindre. Je pars seule dans sa direction ; il m’attend à quelques dizaines de mètres. C’est très excitant de marcher nue en pleine rue avec le risque d’être vue par un habitant !
J’arrive enfin près d’Alex qui n’a pas cessé de filmer. Il me fait la bise en me pelotant au passage, puis me fait entrer dans une sorte d’entrepôt dont le toit est constitué d’une verrière qui délivre une lumière importante. Il me tend la voilette que je lui avais demandée puis m’entraîne vers le fond de l’entrepôt. Je découvre un grand espace dégagé éclairé par des spots. J’y vois un grand matelas à même le sol, un long canapé, et – ce qui m’inquiète quelques instants – un double portique d’où pendent des cordes terminées par des bracelets en cuir. Alex me pousse en pleine lumière et appelle mes futurs partenaires. Je vois une douzaine d’hommes apparaître, dont trois qui sont masqués. Ce salaud d’Alex me gâte : trois Noirs, dont un géant d’au moins deux mètres frisant l’obésité, trois Arabes finement musclés, trois Blancs donc deux bien gras, et deux autres Blancs – dont l’homme qui m’a accompagnée – au physique agréable.
— Messieurs, elle est à vous. Comme je vous l’ai dit, elle souhaite des doubles et être remplie de sperme, mais pas de violences.
Très vite, je suis entourée de tous ces hommes, et je me laisse aller. Ils remplissent parfaitement leur contrat : ma culotte est retiré avec douceur, on me laisse mes talons hauts, et je suis prise en double sans interruption, tantôt sur le ventre, tantôt sur le dos, tantôt debout, voire même – et je découvre à cette occasion l’usage du double portique – suspendue par les poignets et les chevilles ou les cuisses. Ils me font jouir comme je leur ai demandé, même si j’ai quelques difficultés à cause du poids des deux obèses sous lesquels je respire difficilement, et du fait du volume et de la longueur du géant noir qui, à lui tout seul, occupe deux places en moi. Les doubles avec lui me donnent l’impression que je vais éclater, même si, la journée s’avançant, ses pénétrations deviennent plus aisées du fait de la lubrification de mes orifices.
Vers treize heures, après trois heures d’efforts, les hommes font une pause sandwich-bière ; mais moi je n’ai pas droit à la moindre pause, devant avaler mon sandwich et ma bière debout, coincée entre un obèse dans mon cul et un Arabe dans mon ventre qui me besognent de concert. Je plane encore trois heures sous les assauts de mes partenaires. Je suis exténuée ; ma voilette, humide de transpiration et de sperme, colle à mon visage, mais j’ai encore la force de jouir. Chacun jouit en moi au moins trois fois. Sans compter les bites qui se lâchent dans ma bouche, je calcule rapidement que mes reins et mon ventre ont déjà reçu chacun quinze jouissances.
Vers seize heures, les douze hommes semblent en avoir assez. Je pense en avoir fini, mais c’est sans compter sur Alex qui, lui aussi, veut sa part du gâteau. Il me relève du matelas, s’assied sur le canapé après avoir baissé son pantalon et son slip, et m’attire à lui, m’installant dos à lui. Il m’empale. Voyant cela, le géant noir a de nouvelles velléités ; il s’approche. Je vois sa verge reprendre vigueur et se dresser fièrement. Je me demande comment j’ai pu recevoir un tel organe dans mon ventre et dans mon cul : il est monstrueux ! Le Noir ne se pose pas de questions : il écarte les cuisses d’Alex et les miennes et m’enfile d’une longue poussée. Malgré tout ce que j’ai déjà subi, je suis estomaquée par son attaque. Lui et Alex me défoncent en chœur de plus en plus rapidement. Je jouis une dernière fois quand Alex jouit dans mon cul ; c’est vraiment bien meilleur de sentir gicler le sperme au fond de soi, c’était bien meilleur qu’avec un préservatif. Je suis trop épuisée pour jouir du Noir, qui continue à me pilonner encore cinq minutes, me secouant comme une poupée, avant de se lâcher dans mon ventre.
Ils m’abandonnent sur le canapé pour rejoindre les autres hommes que j’entends discuter de mes prouesses. Je sommeille un instant ; il est cinq heures et demie lorsque j’émerge. Seuls Alex et l’un des obèses restent à discuter. Je me lève et me dirige vers des WC qui se trouvent au fond de l’entrepôt. Je me vide par devant et par derrière : il me semble que j’évacue plus d’un litre de sperme. Un petit lavabo me permet de faire une toilette sommaire, et je rejoins les deux hommes restants. Alex me dit que l’obèse encore présent est le propriétaire de l’entrepôt, et que c’est lui qui va me raccompagner, puis il me laisse seule avec lui. Je mets ma robe ; je dégouline tellement de sperme que ma culotte est la bienvenue. Il me demande de sortir avec lui et me fait monter dans sa voiture pour me raccompagner à la mienne, me félicitant tout le long du trajet pour mes prouesses ; il me propose même de le contacter directement si je veux retenter l’expérience. En disant cela, il me glisse sa carte de visite avec ses coordonnées.
Une semaine après mes exploits avec Alex, une première contribution de mon gang-bang est publiée par Wolf ; le choix des photos qu’Alex lui a indiquées est judicieux, c’est aussi dément que les précédentes. Cela commence par des photos de notre marche dans la ville où ma robe dévoilait plutôt qu’elle ne cachait ; ça continue par ma remontée nue de l’impasse, et ça se termine par une dizaine de photos prises dans l’entrepôt. J’étais magnifique comme objet sexuel, et les hommes savaient m’utiliser. La voilette me masquait en général bien, mais sur certaines photos elle était un peu plus transparente que prévu, en particulier lorsque la transpiration la collait sur mon visage ou qu’elle était relevée pour une bonne pipe, tandis que sur d’autres, lorsque j’étais sur le ventre, elle n’était pas en place ; si bien que, pour qui me connaît, je suis reconnaissable. De plus, une tache de naissance sur ma jambe se voit parfaitement en gros plan.
Si mon ami regarde cette contribution, il ne pourra pas ne pas me reconnaître !Et une part de moi espère qu’il le fasse...
Fin !
Diffuse en direct !
Regarder son live