Bonjour à tous, je m’appelle Clément, j’ai 24 et j’ai envie de raconter ma vie sexuelle. Je suis bisex depuis que j’ai toujours le triolisme avec une ex-copine nympho et un black super super bien monté... depuis je baise tout ce que je peux... N’hésitez pas à me faire vos retours sur mes aventures... Voici mon histoire avec Franck, Dieu du sexe... Astrid pénétra dans l’appartement, plein d’entrain. Elle fit entrer Franck derrière elle.« Clément, c’est moi, lança la jeune femme à l’encan. Tu es là mon chéri ? Je te présente Franck, l’ami dont je t’ai parlé et que j’ai invité à dormir à la maison.— Franck, répondit Clément un peu fraîchement en tendant la main à l’athlète noir qui venait de franchir le pas de sa porte.— Enchanté Clément, lança l’invité, un large sourire aux lèvres. Et merci de m’héberger pour ces quelques jours. Tous ces concours de sciences po. à passer à droite à gauche ça finit par coûter cher en hôtel. Alors, quand j’ai su que Astrid faisait ses études à Rennes, j’en ai profité…Visiblement Clément ne partageait pas l’enthousiasme de l’éphèbe taillé en V, moulé dans un T-shirt slim aux couleurs de l’ASM Clermont-Auvergne… le club de cœur de Astrid. Et puis ces pectoraux saillants, ces biceps puissants… génétiquement codifié pour attirer n’importe quelle femelle…— Astrid, je peux te voir deux secondes dans la cuisine.— Oui… bien sûr… Je montre sa chambre à Franck et j’arrive.Arrivée dans la cuisine, elle découvrit un Clément visiblement contrarié. — Dis donc… Tu ne m’avais pas dit que ton copain de lycée était bâti comme un dieu grec et qu’il avait une gueule de jeune premier…— Oooooh ! minauda-t-elle… Mon Clément serait-il jaloux ? C’est trop mignon… Mais tu sais bien que je ne ferais rien qui risque de briser notre couple… Je tiens trop à toi et à tes 20 cm de chibre qui m’ont encore fait jouir comme une dingue hier soir. Elle appuyait son argumentation d’une caresse à l’entrejambe de son petit ami qui finit par esquisser un sourire… tant à cause du compliment que du souvenir de la nuit de la veille où Astrid lui avait fait ce petit plaisir : lui offrir son cul… Elle le faisait rarement, mais il adorait ça… C’était même ce qu’il préférait, sans vraiment s’expliquer pourquoi… Il mettait ça sur le fait qu’elle avait une croupe somptueuse…— Et puis, je ne lui ai jamais connu que des petits amis… jamais une fille… Même si elles sont nombreuses à l’avoir convoité, moi la première, je te l’avoue… Mais non, rien n’y a jamais fait… Il a toujours préféré les garçons. Par contre, c’est moi qui devrait peut-être éprouver de la jalousie, vu la description que tu viens de faire de Franck… « dieu grec »… « gueule de jeune premier »… et puis, je veux pas dire, mais… tu bandais déjà avant même que je te caresse… ce n’est pas à cause de lui au-moins ? demanda-t-elle en riant.— Que t’es bête… fit-il en haussant les épaules. Tu verras ce soir si c’est lui à qui je défoncerai le petit cul…— Mmmmh… vivement ce soir, alors. » Quand ils revinrent dans le salon, ils trouvèrent Franck planté devant la bibliothèque. Il semblait captivé par les ouvrages qui la composait et s’était plus particulièrement arrêté sur un album de BD retraçant le combat des Thermopyles et qui avait inspiré à Sznyder son film 300 mettant en scène des soldats bodybuildés et hypervirils. « C’est toi qui est passionnée d’histoire grecque Astrid ?— Non, c’est Clément… Il fait son master en histoire ancienne…— Ah oui ? Quel thème ?
Clément hésita. Après la conversation qu’il venait d’avoir avec Astrid, il n’était plus très sûr de vouloir parler de son thème de master… — Ne sois pas timide… plaisanta Astrid taquine.— « L’homosexualité dans le modèle social spartiate », se décida-t-il enfin.— Ah ! oui, répondit Franck l’œil brillant, soudain très intéressé. — Eh ! ôte tout de suite cette idée de ta tête, fit Astrid en donnant un coup dans l’épaule de Franck… Clément est à moi. C’est mon homme… il m’appartient, alors pas touche. — Ooooooh ! Ma Astrid serait-elle jalouse ? dit alors Clément d’un ton moqueur., déclenchant le rire de Franck.— Que vous êtes cons… s’amusa la jeune femme prise à son propre jeu. Et si on se faisait un resto ?— Je vous invite, proposa le bellâtre noir, les yeux plantés dans ceux de Clément qui se surprit à ne pas fuir ce regard insistant. Les trois acolytes rentrèrent un peu bruyamment de leur escapade, un peu éméchés aussi…« La soirée était excellente les garçons, mais je suis crevée… Vous pouvez faire ce que bon vous semble, mais moi, je vais me coucher. Et ne veille pas trop tard Franck. N’oublie pas que tu as un concours important dans deux jours.— Oui maman… Elle s’approcha de Clément, l’embrassa langoureusement avant de lui souffler :— Ce n’est pas ce soir que tu vas me défoncer l’anus mon amour… A tout à l’heure. Passez une bonne soirée et soyez sages.Le jeune homme répondit par un sourire puis se tourna vers Franck :« Un film ?— Ca me va… Je lisais tout à l’heure ta BD… 300… j’ai vu le premier, mais pas le 2… ça me tente bien.— Ben voyons… l’interpella Astrid depuis sa chambre… Des mecs super bien gaulés, en mini jupes et gonflés de testostérone… Pourquoi ne suis-je pas étonnée ! s’exclama-t-elle en s’esclaffant.— Bonne nuit ! Astrid lui répondirent les deux garçons en chœur. » Effectivement, tous ces corps de soldats d’élite étaient parfaits… Quasi irréels… Pectoraux d’acier, abdominaux parfaitement dessinés, cuisses musclées… ça ne laissait pas Clément insensible. Et il y avait cette image qui l’obsédait, celle d’un vase grec qu’il avait vu dans un de ses livres. C’était une scène quasi pornographique où un jeune homme subissait les assauts de deux de ses congénères, prodiguant une fellation à l’un, offrant son cul à l’autre. Et puis il y avait Franck qui ne le lassait pas de lui faire un certain effet. Il devinait son corps musclé comme ces soldats spartiates sur lesquels il passait ses heures d’études et pour lesquels il ressentait quelquefois une brûlure au ventre en les imaginant s’unir sexuellement à la fin de quelque syssition… Putain ! et s’il était tout simplement homo ? Il devait savoir jusqu’où le corps d’un homme pouvait lui faire de l’effet. « Dis moi Franck… Tu fais de la musculation intensive pour être aussi bien bâti, j’imagine.— M’oui… fit-il un peu endormi… ça et du rugby… Puis, en se redressant sur le canapé, il ajouta en plaisantant à peine :— Pourquoi, j’te fais de l’effet ?Clément ne répondit rien.— Tu veux que je te montre ? »Toujours aucune réponse. Franck se leva alors, retira son maillot. Le trouble de Clément fut plus fort encore que lorsqu’il encula pour la première fois Astrid, moment qui fut déjà très intense pour lui. Putain ! Que ce buste puissant, sur lequel le moindre petit muscle était identifiable, pouvait lui faire de l’effet. Il posa ses mains sur le ventre pour en ressentir la dureté. Il n’en croyait pas ses sens… il bandait ! « Tu sais… je te trouve plutôt à mon goût beau brun… »Joignant l’acte à la parole, il fit jouer son mandrin qui souleva par petits à-coups l’étoffe de son pantalon juste devant les yeux de Clément. Ce dernier ne savait pas quoi faire… Il avait très envie d’essayer mais Astrid était à deux pas… De son côté Franck était maintenant très excité. Il avait à sa merci une bouche de puceau et la situation l’avait totalement réveillé. Il aspira un grand coup puis sans laisser à Clément le temps de réfléchir plus longtemps, il défit sa ceinture et baissa son pantalon. Un olisbos d’ébène surdimensionné apparut devant le visage du jeune homme resté assis sur le canapé. « Et maintenant suce moi ! Je sais ce que tu en as envie, alors réfléchis pas et engouffre ma chibre ! souffla-t-il pour éviter de réveiller Astrid. Allez dépêche ! »Clément hésita encore un bref instant puis il prit le membre d’une main et se mit à lécher le gland, imitant par la même la jolie Astrid qui savait y faire avec une queue… « Ah ! Oui… c’est bien ça… prend ton temps, lèche moi bien la bite avant de la prendre à fond… Tu vas voir, tu vas l’aimer ma grosse chibre… tu vas en redemander… »Les mains de Clément avaient maintenant quitter la musculature de son initiateur et commençaient à venir explorer des endroits plus secrets, s’immisçant entre les cuisses, caressant les bourses et les fesses. « C’est bon ça… Tu sais où sont les points sensibles, hein petite salope… Franck aimait bien féminiser ses partenaires comme pour mieux assumer sa position de mâle dominant. Clément continuait de lécher le membre asinin avec un certain plaisir. Sans doute n’y avait-il plus un seul mm² qui ne fut mouillé de sa salive.— Bon… c’est pas tout ça ma puce, mais… il faudrait peut-être passer aux choses sérieuses.Il attrapa Clément par les cheveux et le força à prendre sa bite bien au fond de sa gorge.— Ooooh ! Putain c’est bon, râla-t-il de plaisir. Il tint la tête de Clément quelques secondes dans cette position, jusqu’à ce que le jeune suceur ne semble plus pouvoir tenir. Celui commençait à baver abondamment, il tentait de reprendre son souffle… Franck était maintenant surexcité et Clément semblait vouloir jouer le jeu… Mieux, il semblait apprécier son traitement. Alors pourquoi se priver ? Il continua son petit jeu de gorge profonde jusqu’à l’extrême limite de l’explosion… Il ne voulait pas éjaculer de suite, il avait encore quelque chose à faire découvrir au jeune initié aux yeux duquel perlaient quelques larmes dues au traitement qui lui était infligé. Mais son sourire en disait long sur le plaisir qu’il y prenait.Il tint la tête de Clément quelques secondes dans cette position, jusqu’à ce que le jeune suceur ne semble plus pouvoir tenir. Celui-ci commençait à baver abondamment, il tentait de reprendre son souffle… Franck était maintenant surexcité et Clément semblait vouloir jouer le jeu… Mieux, il semblait apprécier son traitement. Alors pourquoi se priver ? Il continua son petit jeu de gorge profonde jusqu’à l’extrême limite de l’explosion… Il ne voulait pas éjaculer de suite, il avait encore quelque chose à faire découvrir au jeune initié aux yeux duquel perlaient quelques larmes dues au traitement qui lui était infligé. Mais son sourire en disait long sur le plaisir qu’il y prenait.— Elle t’a plu ma grosse queue ? Tu l’as trouvée à ton goût ? — Oui ! parvint-il à répondre essoufflé. Elle est bonne et grosse… un délice… Tu veux que je continue.— Non... la réponse était cinglante. Tu vas te tourner et baisser ton pantalon. »Clément comprit soudain que cette expérience allait prendre une tout autre tournure… ça ne l’avait jamais dérangé de forcer le petit cul d’Astrid… Jamais il n’avait eu de pitié pour elle, s’enfonçant brutalement et à sec, la plupart du temps. Mais comment, lui, allait-il supporter l’enculade ? Surtout avec une telle bite ! — Dépêche toi, j’attends… j’adore les petits culs blancs… et vierges qui plus est… L’envie fut plus forte que la crainte… ça arrivait parfois qu’Astrid lui mette un doigt bien profond dans l’anus pendant qu’elle lui taillait une bonne pipe. Il avait toujours aimé ça. Bien sûr, la queue de son amant d’un soir était bien plus longue et bien plus large, mais qui sait, les sensations en seraient peut-être décuplées. A cul vaillant rien d’impossible.Il ôta ses chaussures, fit glisser son pantalon et se tourna.« Vas-y doucement… En disant cela, il se souvint que c’était exactement les paroles que lui avaient dites Astrid avant qu’il ne lui défonce brutalement le fion.— T’inquiète pas… je vais prendre soin de ton petit cul… répondit le rugbyman d’une voix qui ressemblait plus à une introduction avant la mêlée qu’à une relation sentimentale et romantique.Et effectivement, Clément le sentit passer ! Il dut mordre dans le plaid posé sur le canapé pour ne pas hurler de douleur. Un doigt, ça va… une chibre, bonjour les dégâts ! Pourtant, au bout de quelques allers-retours, il ressentit un certain plaisir. Il avait entendu parler de ce truc de prostate et de point P… Derrière lui, Franck s’activait d’avant en arrière, agrippé à ses hanches qu’il serrait à lui faire mal. Tant pis, cette sodomie était trop bonne et ce mélange de douleur et de plaisir lui procurait un plaisir intense dont son sexe dressé témoignait assurément. En tournant la tête, il s’aperçut que le film était terminé… et ce qu’il vit l’excita encore plus : le reflet des fesses musclées de son baiseur qui l’enculait avec vigueur ! Soudain l’inimaginable se produisit : il sentit son propre sperme monter dans sa queue ! Il allait jouir, sans même avoir à se branler ! « Aaaaah ! Putain ! je jouis ! » fit il, la tête enfoncée dans le dossier du canapé pour ne pas réveiller Astrid qui, heureusement dormait à poings fermés. Franck lui même l’entendit à peine. Il faut dire qu’il ahanait, ayant accélérer ses coups de piston… La jouissance était proche et comme tout bon amateur de film porno qui se respecte, il voulait juter dans la gueule de la salope. Il sortit soudain du cul de Clément et l’obligea à se retourner. Il avait compris… ce soir, ce serait un dépucelage d’anthologie : gorge profonde, sodomie brutale et « ass to mouth »… Du lourd.Il se retrouvait à nouveau en tête-à-tête avec le magnifique braquemard qui l’avait défoncé, et le long duquel la main de Franck s’activait. Tous ses muscles étaient tendus… on sentait qu’il était au bord de l’explosion quand de sa main libre il appuya sur la tête de Clément pour qu’il le finisse à la bouche. Expérience pour expérience, il ne résista pas et accueilli le foutre chaud au fond de sa bouche qu’il avala avec difficulté… Il comprenait maintenant les réticences d’Astrid, mais bon, au comble de l’excitation, toute résistance était épuisée. Il avait avalé… Franck s’effondra, épuisé, dans le canapé, la bite à la main… Clément se posa à côté de lui et se rendit compte qu’il s’était assis sur son sperme, fruit de sa jouissance. Ca l’amusa tout en se demandant comment il justifierait cette trace à Astrid. Puis Franck lui dit : « Pas à un mot de tout ça à qui que ce soit. OK ?— Pas de souci… Mais, si tu veux recommencer, n’hésite pas »
