Ce matin là Clément prend sa douche sans manquer de se faire quelques plaisirs manuels typiquement masculins provoqués avec de nuit bien trop célibataire. Le téléphone sonna. Se croyant seul, sans se vêtir, il sortit de la salle de bain dans le plus simple appareil, son sexe encore tendu. Lui tournant le dos, Il ne vit pas que sa cousine lisait un magazine dans le coin du salon. Elle admira la morphologie intime de son cousin. Encore pucelle, c’était le premier homme qu’elle voyait ainsi nu devant elle en chair et en os. Rongée par les poussées d’hormone propre aux filles de son âge, ayant trop vue de pornos vue sur internet, elle ne pu que désirer avec ardeur les fesses de son cousin qu’il exposait sous ses yeux. Ses mains se mirent à descendre entre ses jambes, et par dessus son jean elle sentait la chaleur l’envahir. Sans avoir réalisé sa présence, il continua quelques minutes à discuter avec l’interlocuteur téléphonique, pendant que son autre main n’avait pas renoncée à ses activités masculines. Au moment où il raccrocha, se retournant, membre au garde à vous, il découvrit sa cousine allongée sur le canapé sa main caressant ostensiblement son pantalon.— « Ho désolé Adeline, dit-il en essayant de cacher son érection, je pensais que tu n’étais pas là ».— « Pas de soucis mon cousin, au contraire, j’ai adoré te mater le cul pendant que tu téléphonais. Hum il est à croqué. Je te le boufferais bien tu sais. Pourquoi tu essayes de te cacher, approches toi et montre moi, j’ai trop envie de le voir, fais moi plaisir ».Clément, sans réfléchir, s’approcha de sa cousine et, à hauteur de son visage lui dévoila la bête furieuse qu’il avait domptée.— « Waou, lança t’elle, il est bien vigoureux, laisse moi le découvrir et l’amadouer moi aussi, j’ai trop envie de découvrir ». Et elle approcha sa tête au plus près, et, avant que son cousin ne pu dire mot ou réaliser ce qu’il se passait, elle écarta les mains de son cousin qu’elle remplaça par les siennes. Mal adroitement au début, elle caressa la bête, le secoua un peu, puis trouva un rythme pour branler l’animal qui se gonfla d’orgueil en récompense. Son cousin lui attrapa sa main et guida son mouvement. Elle décalotta sans le vouloir son grand et, comme elle avait vu faire, par mimétisme, elle l’introduit dans sa bouche grande ouverte. Elle suça le gland comme une friandise, découvrant la neutralité du gout et l’excitation que cela lui procurait. Clément plongé dans un moment de pur bonheur pourtant interdit caressa ses cheveux et guida sa tête la forçant à prendre le chibre un peu plus en elle. Elle faillit s’étouffer la première fois, puis se mit avec une volonté farouche à appliquer ses lèvres tout du long du membre et lui appliquer un maximum de salive en essayant d’en extraire un jus invisible. Son cousin pris son autre main qu’il guida vers ses bourses pour lui indiquer se qu’il fallait faire et se qu’il attendait d’elle. Elle joua et soupesa ses petits sacs remplis du calice qu’elle voulait extraire, comme elle avait vue de si nombreuse fois en mouillant sa petite culotte sur des sites web.Au bout de plusieurs minutes, ne pouvant résister et lui retenant sa tête, il explosa à l’intérieur de sa bouche dans un grand râle. Surprise mais comprenant très vite se qu’il se passait, elle reçu un jet chaud d’un liquide visqueux dans le fond de sa gorge. Elle remplaça très vite le léger dégout et résistance par une soiffe insatiable. Elle voulu tout avaler, se remplir l’estomac, un devoir sacrificielle comme un nouveau pas vers son dépucelage. Ca y est elle avait enfin connu ce que cela voulait dire jouir pour un homme et le plaisir que la moitié de l’humanité éprouvait. Elle venait de grandir en prenant et donnant du plaisir si interdit pourtant avec ce partenaire inconvenant. Quand Clément se retira elle avait se sourire niais et si beau.Un peu de bave couvrait ses lèvres qu’elle essuya d’un revers de manche.— « Merci p’tit cousine, si je m’attendais à ça dit donc, tu suces vachement bien dit-il en souriant».Il se retient d’essayer de l’embrasser bien que l’envie fut grande. Il s’assit un moment nu à coté d’elle en l’enlaçant.Elle se blottit tout contre lui en continuant à caresser ses cuisses si poilues d’homme qu’elle découvrait. Clément reparti dans la salle de bain prendre sa douche. Il chantonnait gaiement, heureux de ce qu’il venait de vivre. De son coté sa cousine, très loin d’être rassasiée et encore plein d’envie décida d’aller plus loin. Elle se mise entièrement nue et entra sans frapper dans la salle de bain. Son cousin était sous l’eau de la douche. L’eau perlait le long de son corps qu’elle avait découvert.— « Mais que fais tu là cousine ? Attend un peu si tu veux prendre ta douche tu vois bien que je me lave ? Tu sais que tu es bien foutu toi ? Tu vas beaucoup plaire aux mecs tu sais ? »— « Cousin, suis vierge, j’en peux plus, fait moi découvrir et prends moi. Fais moi ce que tu veux mais je veux te sentir en moi ».Elle entra dans la douche et vient embrasser à pleine bouche son cousin tout en masturbant le membre de Clément qui retrouva sa vigueur. Elle se retourna et fit glisser sa tige devenu raide contre ses fesses. Clément n’en pouvait plu. Il savait qu’il ne pourrait résister devant tant d’avances, tant de tentations. Sentant la pulsion plus forte, il choisit de la prendre par l’orifice le moins risqué, certes plus douloureux probablement, mais il ne pouvait prendre de risque. Il poussa alors son membre à l’entre de l’orifice de sa cousine le plus étroit. Il n’était pas préparé et durement défendu. Il fit plusieurs tentatives d’intrusions infructueuses.— « Vas-y défonce moi, n’es pas peur, prend moi fort et fait moi mal si besoin».— « T’as l’aire bien salope déjà toi. Tiens tu vas voir, tu vas plus pouvoir marcher aujourd’hui »Il introduit deux doigts dans son anus et attendit que l’entrée s’ouvrit, qu’elle baissa un peu plus sa garde. Ses doigts firent de nombreux va-et-vient. Elle se cambra un peu plus et écarta un peu ses jambes pour s’ouvrir à lui. Elle ouvrit un peu la bouche. La chaleur commença à envahir son bas ventre. L’eau chaude coulait le long de son dos, coulait entre ses jambes. Il présenta alors son bélier et, d’un coup de rein, ouvrit la porte. Son orifice se dilata sous la pression de son gland. Son anus s’écarta et se déchira sous la pression et poussant un crie de douleur. La tenant par les hanches, puis par les épaules, sans ménagement, Il commença par lui acérer des coups de boutoirs. Il la défonça sans ménagement accélérant le mouvement, pénétrant de plus en plus loin de son orifice si étroit et si défendu. Elle n’avait jamais connu de pareilles douleurs à cet endroit au paravent. Elle cria. Puis, progressivement ses chaires s’habituèrent et se dilatèrent.Elle commença à sentir comme une chaleur qui l’envahissait.Ce plaisir si interdit avec son cousin lui faisait ressentir un plaisir qu’elle ne pensait pas pouvoir ressentir. Elle mouillait de plus en plus, elle sentait son vas ventre éprouver tout les signes du plaisir.— « Ho c’est top bon Clément, vas-y, défonce moi, encule moi encore ».Il finit par exploser une seconde fois. Elle ressentit à peine la semence chaude envahir son rectum. Quand il se retira, elle apprécia à quel point il était entré en elle dans cet orifice si incongru et qui demeurant avant inconnu pour cet usage. Elle ressentit comme un vide légèrement frais. Elle s’effondra par terre dans la douche. Se sentit comme diminuée et achevée.Il lui caressa un peu les cheveux en la remerciant, en lui demandant comment elle allait.— « Tu m’as fait trop mal au cul, dit-elle, mais c’était tellement bon. On refera dis-moi, j’en ai trop envie ». Il ne répondit pas et l’embrassa en guise de réponse.
