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Les aventures sexuelles débridées de Patrick.

Chapitre 2

Murielle, sa future belle soeur

Hétéro
LES AVENTURES SEXUELLES DEBRIDEES DE PATRICK.
Murielle y passe. 2

Récit de PatrickC’est une vraie furie sur ma bite dressée qui découvre une nouvelle matrice bien humide ou mon engin se sent parfaitement à l’aise car Murielle est plus large et profonde que sa sœur, elle tient de sa mère de ce coté-là. On dirait qu’elle voudrait se rattraper et se lâche comme un junky en manque sur ma bite. Je lui lui plaque mes mains sur sa poitrine pour la brider un peu en l’incitant :— Prends ton temps de trouver ton plaisir Murielle, ma queue ne va pas disparaître de ta chatte, fais-toi plaisir en domptant la bête…ouiiiii comme ça… lentement…Elle baisse le rythme mais décidément ne peut s’empêcher de reprendre après quelques minutes son train d’enfer, son corps est agité de soubresauts, de tremblements.Je l’immobilise avant qu’elle ne jouisse à nouveau et lui suggère: - Murielle, je voudrais que tu te retournes car je veux vivre ton orgasme, je veux voir tes yeux chavirer de plaisir. Mais je t’interdis de d’équeuter, mon pieu est un axe autour duquel tu vas tourner! Lève tes jambes l’une après l’autre et pivote sur ma verge, n’ais pas peur, je te tiens…
Lentement, elle passe la jambe gauche au dessus de mes cuisses se retrouvant à 90° par rapport à moi, pose une main sur ma poitrine et une autre sur ma cuisse puis continue son demi-tour.Une fois qu’elle a enjambé mon corps, elle se penche en arrière en posant ses mains sur mes genoux pour pouvoir décoller son corps du mien permettant à nos sexes de se réaligner et s’empale en totalité sur mon nœud en grognant.-Aaarrrggghhh !Comme elle marque un temps de pose, j’en profite pour lui retirer bustier et sous-tif et empaumer sa poitrine voluptueuse. Elle a l’air d’aimer ça mais grimace quand mes doigts s’agrippent à ses tétons que je pince peut-être un peu trop fort.Je me projette en elle amenant ses lèvres aux miennes en glissant une main sous sa nuque.Elle répond à mon baiser en me donnant sa langue. Elle a repris sa gymnastique préférée sur sa barre de pool dance bien fichée entre ses cuisses et délire quand mes lèvres emprisonnent un de ses tétons dont je mordille délicatement l’excroissance toute dure.— Oh ooouuuiii Patrick … Continue… N’oublie-pas son petit-frère… Putain que c’est booonnn…Tu vas me transpercer avec ton bélier! Aaarrrggg !Je pars encore… Tu vas encore me faire jouir avec ta grosse queue ! OUIIIIIIIIII ! AAARRRGGGHHH…
Les prédictions d’Emilie étaient exactes, les spasmes de son corps lors de l’orgasme se propagent dans ses jambes qui remuent et tremblent avec violence dans tous les sens, puis tout son corps se tend comme un arc sous la déferlante de son plaisir avant de s’écrouler sur ma poitrine.Pourtant ma queue toujours au garde-à vous ressent encore les fortes contractions de son vagin rempli de la cyprine bloquée par le bouchon de ma queue.
Il lui faut une bonne minute avant de ré émerger et de déclarer :
— Oh Patrick, je n’ai jamais ressenti ça, c’était irréel! La sensation de ton gros dard tout au fond de moi lors de mon orgasme! Comment te dire ? C’est la première fois que j’arrive à un tel plaisir et je ne te remercierai jamais assez de m’avoir fait connaître une telle béatitude…. Je la rassure de quelques mots.— Je veux que tu te révèles, que tu redécouvres ton corps, que tu oublies les frustrations ou les manques du passé, que tu ne penses qu’au présent, que tu libères ta sensualité, ta sexualité que je vais exacerber à l’extrême.
Récit de Murielle.Je sanglote de bonheur, les yeux pleins de larmes. Je ne sais pas si c’est de bonheur ou de ressentiment d’avoir perdu tant de temps avant de découvrir ce que c’est que d’accéder au sommet du plaisir.— Ne pleure pas! Mon sexe est si bien dans ta grotte bouillonnante de ton jus au risque de s’y noyer ! Elle est si bien adaptée à la taille de ma lance que tu es toujours pleine de ta liqueur... Mais le banc me tale les fesses, accroche toi à moi, je vais te porter dans ta chambre…  - Mais... Je croyais que…— Que quoi ? Ce n’était que les préliminaires, maintenant il faudrait songer à passer aux choses sérieuses… Me jette-t-il, Tu devrais savoir d’après les constatations que tu a faites que je ne suis pas un lapin coté endurance et pour le moment je n’ai été qu’un instrument assez passif entre tes mains… Laisse-moi maintenant te prouver de quoi je suis capable !Je le regarde, ne réalisant pas encore tout ce qu’impliquent ces paroles. J’essaie de me libérer de sa poutre libérant un flot de liquide sur ses cuisses mais avant que je ne parvienne à mes fins, il passe un bras derrière ma nuque et l’autre sous mes fesses et se relève. Par un geste réflexe, j’enserre sa taille de mes cuisses et me suspends à son cou.
 - Je vais te faire découvrir ce que ta sœur adore, et pas qu’elle…Je me laisse faire, mi amusée, mi inquiète de ce qui va suivre, sa sonde toujours fichée en moi comme un énorme thermomètre.Je me lève avec elle toujours bien empalée sur ma queue et mes mains sous ses fesses.Une fois debout, il se dirige vers l’escalier qu’il commence à gravir marche après marche, il me soulève légèrement pour me laisser retomber sur son rostre décuplant l’effet de cette escalade inusité me menant à ma chambre mais aussi au 7ème ciel.
Je ne peux résister avant d’atteindre notre but. Chaque marche est un degré supplémentaire qui m’amène de nouveau à un nouvel orgasme, je me serre plus fort contre lui pour essayer de reculer le plus longtemps possible le point de non-retour, gémissant comme une âme en peine à chaque nouvelle marche. Mais j’abdique avant le palier.— Oh Patrick, je viens… Sainte Marie, c’est pas possible! Ooouuuiiiii,! OOOUUUIIIIIIIII… NNNOOONN, ENCOOOOORE….Je JJJOOOUUUIIISSS !!!! Comment fais-tu ….. Oh Patrick !
Ça lui fait ni chaud ni froid, imperturbablement il continue son petit manège malgré mes muscles intimes qui broient son obélisque qui tel un bélier essaie de défoncer le tréfonds de ma chatte.Je gémis comme un chiot à chaque pas supplémentaire mais cet horrible et merveilleux supplice touche à sa fin quand il passe le pas de la porte de ma chambre.Quand il me dépose sur le lit, le mouvement déclenche de nouveau des spasmes qui me scient le bas-ventre déclenchant de nouveau des contractions vaginales une force inouïe autour de son gourdin prisonnier de ma matrice.
— PUTAIN… NOOONNN… PAS ENCORE… OUUUIII! Tout mon corps tétanisé se relâche enfin, le regard dans le vague, je ne réalise toujours pas la tempête que cet homme a déclenché en moi et l’entends dire, dans un état second :-à-moi maintenant ! Comme ta mère, je n’arrêterai que quand tu demanderas grâce !— Dans mon état, je n’ai pas bien saisis ce qu’il vient de me dire sauf ses derniers mots.-Comme tous les hommes, tu ne doutes vraiment de rien, grand vantard ! - Qui vivra verra!
Récit de PatrickJe prends ses deux chevilles et repousse ses jambes de chaque coté de son visage et commence à la pénétrer avec une extrême lenteur de toute la longueur de ma bite, je n’ai jamais connu une chatte si profonde, puis je me retire à la limite que mon prépuce ne quitte ses grandes lèvres irritées de ces frottement répétitifs et de nouveau pousse entièrement ma teub en butée au fond de sa grotte.Je donne un mouvement de roulis à mon bassin écrasant à chaque tour son clitoris entre nos deux corps pendant que mon gland essaie de violer la frontière de son utérus.— Oh, Patrick arrête… Je ne peux plus supporter ça, je te sens partout, c’est merveilleux! Je t’en prie, n’arrête jamais! Fais moi encre décoller...
Que les femmes sont belles dans ces moments là! Je me retire et du bout du gland glisse le long de sa fente dégoulinante de cyprine pour folâtrer sur son clito. L’effet est immédiat, elle se mord les lèvres de plaisir et son vagin essaie de se contracter pour emprisonner le bout de ma queue quand je glisse de nouveau en elle.
Ses contractions augmentent en fréquences et en intensité quand j’exacerbe son clito du bout de mes doigts pendant que ma bite continue son boulot dans son fourreau. Elle ne tarde pas à repartir, elle est encore pire que sa mère ou sa sœur.— Oh Patrick… Ouiiiii j’y suis presque ! Oh OUI… NON ! Prends-moi plus fort, plus loin!— Il faudrait te calmer Murielle. Prends le temps d’apprécier sinon tu ne tiendras pas la distance, laisse-moi aussi jouir de ton merveilleux corps!Pendant ce temps, j’explore la raie des fesses du bout des doigts testant progressivement la résistance de son anus à la pression de mon majeur.
Elle s’énerve à chaque fois que je me retire et remue du cul pour m’appâter mais je la laisse se morfondre. Elle est tellement chaude qu’il lui faut quelque chose dans la chatte et essaie de se branler avec sa main droite mais je m’y oppose et prenant ses deux poignets. Elle regarde mon outil de travail, pleine de frustration, s’en saisie et essaie de se goder avec et me supplie en faisant semblant de pleurnicher : - Ooooooh, espèce de salaud, qu’est ce que tu attends pour me baiser ? Vas-y bordel de merde !

A suivre…
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