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Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Annie, sa soeur

Chapitre 2

Inceste
LES AVENTURES SEXUELLES DEBRIDEES DE PATRICKAnnie. Ma sœur. La suite.

PATRICK.
La soirée se termine et chacun regagne sa chambre, La journée a été chaude en événements et j’apprécie un peu de répit. Je m’endors presque aussitôt.
Quelque chose me tire de mes rêves, je regarde le réveil, ça fait pas une heure que je me suis couché.Une main a saisit ma bite, je reconnais celle de Claire qui s’est glissée en silence sous les draps.Je suis si exténué que je la laisse faire, complètement passif.Ses lèvres ont tôt fait de me faire bander et sans perdre de temps elle me chevauche et se remplit la chatte de mon sexe d’une seule poussée. Elle se débrouille toute seule pour prendre du plaisir en gémissant en sourdine à cause de nos invitées, alternant sur mon pieu avec sa bouche ou sa chatte avant de se mettre tête-bêche. En quelques minutes de léchage mutuel de nos sexes nous arrivons en même temps à la jouissance. Après avoir reprit ses esprits elle avale consciencieusement mon sperme.— Merci, Patrick chéri, j’avais un petit creux avant de dormir. Bonne nuit mon amour.

Je ne sais pas ou ça va s’arrêter, mes pensées tournent dans ma tête en attendant le sommeil. Depuis que Claude m’a dépucelé il y a 2 ans, j’ai beaucoup amélioré mes performances et surtout mon endurance.Elle est un peu nympho, ensuite sa fille Claire, accro à ma belle bite et jamais rassasiée.Mais là, ça commence à faire beaucoup. Ma tante Michèle qui découvre des sensations qu’elle n’avait jamais connues, puis ma mère, Anne-Marie, qui n’a rien à envier à sa sœur.Et maintenant ma sœur qui s’y met elle aussi, et ça a l’air de lui plaire drôlement. Il faut assurer.
Je devrais être comblé coté sexe mais pourtant je ne pense plus qu’à Emilie, belle comme une reine de beauté devant laquelle ma bite a du mal à rester au repos ! Que m’arrive-t-il?
Je retombe dans le pays des songes, et je rêve d’Emilie. Elle est nue, tellement belle et elle se caresse en me narguant.

Le lendemain matin...Je voudrais faire la grasse matinée mais une de ses dames décide de venir me rendre une petite visite.Je me réveille gardant les yeux fermés sentant une bouche agacer ma bite qui comme pour la plupart des hommes est déjà raide le matin et sans attendre se la glisse au chaud dans une chatte déjà toute humide!Et la gymnastique sur ma teub recommence, la journée promet d’être longue!Je n’ai pas besoin d’ouvrir les yeux pour reconnaître Michèle, il n’y a qu’elle pour broyer ainsi mon phallus avec ses muscles intimes, j’inverse les positions et pilonne sa chatte de ma grosse bite. Je la retourne et la prend en "levrette" enfonçant encore plus profondément mon pal dans sa fente d’amour!Son fourreau se resserre autour de mon sexe et en moins de 10 minutes, l’affaire et faite, je remplis pour la 1ère fois de la journée une foufoune affamée en pleine jouissance.Elle me glisse à l’oreille :— Oh putain, Tu ne m’as pas ménagée ! J’ai la chatte toute endolorie... Je t’aime mon neveu.Et elle quitte la pièce fermant doucement la porte.
Je me lève, mon engin encore au garde-à-vous et gagne la salle de bain complètement nu pour prendre une douche mais la place est déjà occupée par Annie. En quelques pas, je franchis la distance qui nous sépare, le sourire aux lèvres et entre dans la douche pour lui tenir compagnie.
Elle me fait la bise et respire profondément. — Ooooooh, Patrick, mais c’est pas possible ! Tu dégages encore cette odeur de « jus de foutre et de cyprine ».

ANNIE.
C’est pas vrai… On dirait que Claire est déjà passée par là ! Et il me nargue avec son manche de pioche au garde-à-vous.
Patrick me prend le savon des mains, et me demande de me retourner. Je lui obéis. Il pose ses mains sur mon dos, et commence à me frotter.De temps en temps, elles s’égarent caressant la naissance de mes seins ou le haut de mes fesses mais sans franchir cette frontière virtuelle.Je suis surprise de sa retenue mais apprécie qu’il sache s’occuper uniquement de sa partenaire. Je veux lui rendre la pareille et me retourne bousculant avec mes fesses une barre révélatrice.Ses yeux pétillent de malice, et s’il a fait preuve de patience, sa teub elle montre son niveau d’excitation, elle s’immobilise en pointant droit sur ma fente. Il accède à mon désir et se retourne me privant de cette sublime vision, Je lui frotte le dos, prenant aussi la liberté d’explorer ses fesses pour remonter sur son torse. Il me faut beaucoup de volonté pour ne pas céder à la tentation de prendre en main son bâton tendu.Ce qui se passe dans cette salle de bain est torride et je culpabilise encore de ce qui risque de se produire. Vu mon état actuel, je suis incapable de lui résister.
Sans dire un mot, il se retourne et me regarde dans les yeux en une question muette, je baisse imperceptiblement les yeux pour donner mon assentiment.Je ne vois plus en cet homme un frère mais un amant. Il m’attire à lui me prenant par les hanches. Je me retrouve entre son corps et la paroi en verre, il écrase mes seins sur ses pectoraux saillants. Ses mains explorent mes fesses, ses lèvres trouvent mes lèvres.Je subis un véritable électrochoc à ce simple contact, ravie par ce que je suis en train de vivre. Nos lèvres restent soudées pendant un temps infini, n’osant bouger l’un ou l’autre. Je me réveille de ce rêve et saisis sa lèvre supérieure entre les miennes embrassant mon frère avec amour, il prend lui aussi l’initiative avec sa langue qui franchit la porte de mes lèvres, me faisant ressentir l’un des plus beaux baisers de ma vie avec une science consommée. Il est loin d’être novice en la matière.
Notre baiser est empli de passion, de désir, mais surtout d’amour. Je vous ai dis que je suis loin d’être une oie blanche mais je n’ai jamais ressenti une telle sensation avec mes nombreux amants.Nos mains ne restent pas inactives et explorent nos corps respectifs. Sa main droite s’est insinuée entre mes cuisses. Ses doigts sont à l’entrée de ma grotte humide, il me caresse mais sans jamais y entrer. Je lui rends la pareille en agrippant avec force sa virilité mais gardant ma main passive.Soudain, pour la première fois de sa vie il ose glisser ses doigts dans l’antre la plus secrète de sa sœur et sans aucune hésitation ses doigts se dirigent sur mon clitoris et entreprennent une danse endiablée.
Je deviens folle, mets mes bras autour de son cou et me suspends à lui.Il passe les siens sous mes cuisses, je me retrouve en position fœtale, la pliure de ses bras glissée sous mes genoux, ses mains sur mes épaules et mes pieds sur les siennes.Nos corps ruissèlent sous la douche, il me soulève et je sens son braquemard glisser contre ma raie des fesses et progresser lentement vers ma vulve.Quand son gland pointe enfin au bon endroit, il me laisse redescendre avec une extrême lenteur Doucement, très doucement, nous commettons l’impardonnable, la force virile de mon frère s’introduit en moi.Son incroyable poutre entre en moi comme dans du beurre, on dirait que mon écrin est fait pour accueillir un tel bijou… Bizarrement, j’ai une impression de déjà vécu, il faut dire que mon gode préféré, le modèle P, est plutôt XXL !Je suis un jouet suspendu entre ses bras puissants, complètement à sa merci, ne pouvant bouger dans la position acrobatique de mon corps. Il me baisse pour me relever aussitôt comme une poupée gonflable.
Le temps s’arrête pour moi, je perds la notion du temps mais mon frère me glisse à l’oreille :-Désolé sœurette, mais je vais m’activer car on va commencer à se demander ce que nous « branlons », façon de parler.Il accélère nettement ses coup de reins, mes jambes par-dessus ses épaules, il entre très profondément dans ma chatte, je crie de plaisir en m’abandonnant complètement à lui. Il ne tiendra pas longtemps à ce rythme, j’ai un orgasme foudroyant, je suis certaine que si mon frère ne s’était pas déjà vidé une fois, il aurait déjà éjaculé depuis longtemps. Il s’enfonce bien en moi et fini par jouir en même temps que moi. Je sens le liquide chaud qui engorge mon vagin, il est abouté au plus profond de moi.Il me redépose enfin et se désaccouple de moi, Son sperme abondant mêlé à ma cyprine coule entre mes lèvres intimes et se dilue sous le jet de la douche.Il me presse :-Dépêchons-nous !
Une fois habillés, nous rejoignons toute la troupe sur la terrasse. Je fais remarquer subrepticement à Patrick :— Emilie t’attend pour faire plus ample connaissance avec toi, ne me fais pas honte!
C’est je jour de marché et Michèle quitte la maison avec maman, Claude et sa fille les accompagnent. Nous nous retrouvons enfin seuls tous les 3.

PATRICK.
Après ce départ en fanfare de la journée, enfin un peu de calme avec Emilie et Annie.
Emilie est vraiment très belle ! Belle blonde aux cheveux longs, avec une plastique de rêve, son visage, sa poitrine, sa chute de reins rehaussée par une taille de guêpe. Elle n’est pas très grande mais je fonds littéralement devant elle.  Je lui demande pour engager la conversation :— Emilie, d’après ce que m’a dit ma sœur tu a déjà un poste à responsabilité si jeune!— Merci, c’est flatteur mais j’ai le même âge qu’Annie, bientôt 20 ans!— Pas possible, je ne te donnerais pas plus de 18 ans ! — ET si.... et je combine avec l’université, ça ne me laisse peu de temps de libre. Mais ça ne me dérange pas. Je ne suis pas une fêtarde comme Annie ! Souligne-elle en regardant ma sœur un sourire au coin des lèvres.
 - EMILIE… Tu veux me faire passer pour qui ? Arrête! S’emporte ma sœur.— Elle est de sortie plus qu’à son tour et les garçons se bousculent à sa porte alors que moi je n’ai pas encore connu de garçon, euh... Enfin j’ai eu petit ami il y a 2 ans, mais….!— Oh Patrick, qu’est-ce que tu vas penser de moi après ça, tu veux bien te taire Emilie! La coupe Annie.— Ben quoi ? C’est la stricte vérité... ne joue pas la pucelle effarouchée! Lui rétorque Emilie. — Bon les filles, arrêtez toutes les deux ! Je ne comprends pas comment il a pu te laisser tomber, moi je n’aurais jamais quitté une fille aussi belle avec la tête aussi bien faite ! Emilie me saute au cou et m’embrasse fougueusement avant de dire :  - Tu es chou, je te remercie mais il ne m’a pas laissé tomber, il s’est fait faucher sur son scoot par un chauffard qui ne lui a laissé aucune chance en venant chez moi… Depuis ce temps là, je n’ose plus découvrir mes sentiments avec les garçons mais avec toi, je ne sais pas pourquoi mais je sens une attirance…!  Je la prends dans mes bras pour la consoler et elle en profite pour reprendre son baiser mais cette fois elle glisse sa langue dans ma bouche.
Annie a ses yeux qui envoient des éclairs de jalousie en nous voyant nous embrasser à pleine bouche.— Patrick ! Emilie ! Arrêtez, ça suffit!... grimace-t-elle. Etonnée du comportement d’Annie, Emilie stoppe son baiser et pour calmer le jeu je vais m’asseoir sur la balançoire.Quelques minutes après, Annie s’éloigne et Emilie m’y rejoint.— Excuse-moi pour mon comportement de tout à l’heure, Patrick. Tes compliments m’ont tellement plus que je n’ai pas pu résister mais je n’ai pas compris pourquoi ça a fâché Annie, on aurait dit qu’elle était jalouse! Et elle me bise sur la joue avant de m’embrasser à pleine bouche.Bon dieu, ce que j’ai envie d’elleAnnie est revenue sur la terrasse et nous surprend encore en plein gamahuchage et s’exclame:— Mais putain, vous aller arrêter d’être toujours coller comme ça, on dirait une catin avec mon frère!
Emilie retire ses bras de mes épaules et sa main frôle involontairement mon short ou une bosse est apparue et je l’entends murmurer :  - Oooooooooohhhh!..., puis plus fort :— Oh... t’es quand même pas jalouse que je fasse du gringue à ton frère?
La suite de la journée est finalement restée assez calme question sexe mais comment sera la nuit?
Je suis à peine couché qu’Annie se glisse dans ma chambre en nuisette transparente et verrouille la porte.— Qu’est ce que tu désires petite sœur?— Je veux encore ta bite, depuis notre petit intermède de la douche, je ne pense plus qu’’à ça!...
Elle se saisit à deux mains du tuyau mou entre mes cuisses et le branle avec tant d’acharnement qu’il passe en un temps record d’une limace de 16 cm à un bâton de gendarme de 22 cm.— Aahhhh, j’aime mieux ça ! Dis-t-elle en mâtant ma queue turgescente dressée vers elle. — Voila tout ce que je désire, je veux que tu me prennes encore!Elle avale mon gland qu’elle agace de la langue avant de me prendre entièrement jusqu’au fond de sa gorge.
Elle se positionne au dessus de moi les yeux fixés sur ma bite, prête à chevaucher mon pieu de chair, le saisit d’une main pour le frotter sur sa vulve imberbe.

ANNIE.
— Apres avoir goûté à ton énorme chibre, ma chatte se languit de lui. Tu veux la consoler ? J’introduis son gland violacé dans mon vagin et commence à descendre sur ce gourdin monstrueux.    - OOOOOhhhhhhh...! Oh mon Dieu, Patrick, elle est si épaisse !Je tiens toujours fermement sa queue d’une main et glisse encore de quelques centimètres tout en ondulant doucement pour faciliter la pénétration. J’y vais par étapes pour apprécier son monstre qui s’insinue dans ma grotte de plus en plus trempée.— Ma chatte doit s’adapter pour te laisser le passage ! Mais putain... quel chibre tu as ! Je n’en vois pas le bout!Je me mords les lèvres pour chaque centimètre gagné mais quel pied ! Il n’y a pas à dire, le vrai n’a rien de comparable avec un vulgaire morceau de silicone.
Je suis presque au bout, ma vulve distendue est aux limites de ses possibilités et l’informe :— Je ne suis pas une oie blanche loin s’en faut mais tu est le seul homme qui a eu l’insigne honneur de s’aventurer aussi loin à l’intérieur de moi!Je me penche et l’embrasse passionnément en même temps que je m’empale violemment sur sa bite, mon cri étouffé par nos bouches jointes. Je veux me retirer mais il appuie fortement sur mes épaules, m’empêchant d’expulser cette colonne de chair. Je suis prise de tremblement. - Oh mon Dieu, Patrick, c’est divin ! — Maintenant, sœurette, tu vas savoir ce que c’est qu’un vrai mâle. Je vais te rendre aussi folle de ma bite que les autres !( Encore ces allusions !)
Il me retourne comme une plume et me laboure assez fortement mais j’en redemande, mon corps tremble sous ses énormes poussées :— Oh ! Oh putain, Patrick, baise-moi ! Oui, bien à fond, continue plus fort... fais moi mal c’est tout ce que je mérite ! ...Là ! Ouiiiiii bouge plus .... Aaaahhhh, que c’est bon... putain, mon vagin va éclater ! Je sens que je viiieeennnns.... envoie ta sauce Patrick, jouis avec moi ! Donne-moi ton sperme, fais moi tienne. Je m’agrippe à ses bras, mon corps est secoué par un orgasme monstre, il me met une main sur la bouche pour étouffer mes cris:  - Aaaahhh, je jouiiiisssssss… Je me vide sur ton gros nœud!
 Lentement le rythme diminue et je récupère, complètement essoufflée:— Doux Jésus, Patrick, j’aime faire l’amour et je l’ai fait avec pas mal de gus, aucun ne m’a fait grimper aux rideaux comme toi! Et c’est pas faute d’avoir essayé, quelle orgasme de dingue!— Sœurette, tu es un amour, mais je n’en suis qu’aux amuse-gueules. J’espère que tu vas tenir la distance.Et il recommence le rodéo.
Il me laboure à n’en plus finir. Je hurle avec sa main sur ma bouche déclenchant en moi une multitude d’orgasmes.Mes cris doivent réveiller la maison mais je m’en fou :    - Arrête… Je n’en peux plus ! OOOUUUIIIIIII.... ENCORE ! Et je vous passe le reste…Mais c’est un vrai faune devenu sourd et il continue de pilonner ma grotte d’amour brûlante.-Oooohhhh.... Patrick.... Putain de salaud... Je vais encore jouir, c’est pas possible… Aaarrrggghhh. Mon corps est tendu comme la corde d’un arc et vibre au lâché de la flèche.— Je veux ton sperme, je t’en supplie, gicle au fond de moi !!! Il me regarde plein d’amour dans les yeux, me donne un baiser avant de recommencer le pilonnage.— OH Patrick, Patrick, Patriiiiiiick......Mais tu es une vraie machine !!!
Il lui faut encore une dizaine de minutes avant qu’il n’envoie salves après salves sur mon utérus malmené et sans même un instant de repos repart pour une nouvelle chevauchée !  - OUI, jouis en moi ! Donne ton jus ! Ouiiiiii je te sens.... Aaaahhhh...merde, je jouisssssssss..... Plusieurs fois de suite il a recommencé pendant la nuit et plusieurs fois j’ai entendu des bruits bizarres du coté de la porte.Nous nous sommes endormis l’un sur l’autre toujours relié par sa longue bite, et c’est comme ça que j’ouvre les yeux, sa jauge dans mon réservoir !...Je l’embrasse et ma chatte se resserre sur sa queue. Je remue doucement et baise amoureusement le sexe raidi de Patrick. Mes mouvements le réveille :— Quoi ? Hein ? Nonnn... Annie, pas déjà!
En moins de 15 minutes tout est dit.Mais j’ai bien vu comme il lorgne sur Emilie et je ne crois pas qu’’il faudra beaucoup la pousser pour qu’elle accepte la botte. Je lui en parle.— J’ai bien vu comment vous vous regardez avec Emilie et je ne vois pas pourquoi je me mettrai entre vous mais je t’en supplie, on pourra recommencer ? Oh mon Dieu, je t’aime Patrick et je voudrais tant ne pas te partager!-Ma chère sœur, oui Emile me plait et si elle le veut bien, je la demanderai en mariage car je sui fou amoureux d’elle, un vrai coup de foudre!— Mais tu baises déjà Claire, ainsi que moi… Et tu veux aussi Emilie? On ne te suffit pas ?— Non...Tu n’y es pas, Emilie est la seule femme qui fait battre mon cœur, et c’est aussi la seule qui n’a pas gouté ma bite!(Encore cette allusion !)
Ma bouche s’ouvre et se referme plusieurs fois avant de pouvoir parler. -Qu’est ce que tu veux dire par là ? Tu veux te taper les 3 jeunettes et tu crois que ça va se passer comme ça ? Et que Claude, maman et notre tante ne vont pas s’en rendre compte ?Patrick éclate de rire à s’en étouffer.-Que t’arrive-t-il, qu’est-ce qui te fais rire ?Il me répond entre ses rires :-Pauvre petite sœur, d’après toi, pourquoi tes cris n’ont inquiétés personne ? Et tu n’as pas entendu dans la nuit plusieurs fois quelqu’un essayer d’entrer dans la chambre? Elles sont toutes passées sur ma queue et en redemandent !— Toutes ? Maman ? Tante Michèle ? Claude ?Je fonds en larme.— Annie, j’ai adoré faire l’amour avec toi et on recommencera mais il faudra me partager parce qu’elles aussi ne peuvent plus se passer de ma bite ! Notre tante m’a avoué que les femmes de notre famille ont besoin de beaucoup de sexe et qu’il n’y a que les gros calibres pour les rassasier et je fais pilepoil l’affaire. Tu sais qu’elles ont même créé un calendrier pour me ménager sinon je ne pourrais pas tenir la cadence !
— Oh mon Dieu, je respire, je ne suis pas seule à être envoutée par toi ! Je pensais que je n’étais pas normale mais en fait il me fallait trouver chaussure à mon pied, enfin tu vois l’allusion ! — Pour moi c’est pareil Annie. J’ai essayé avec d’autres filles mais je n’ai rarement trouvé la plénitude dans l’acte qu’avec vous toutes!Je me lève doucement en retirant sa queue coincée dans ma chatte et je regarde ébahie son sperme qui dégouline de mon vagin encore béant.— Oooh la vache !!! Quand tu craches ton jus, tu ne fais pas semblant ! Huuuummm, j’adore ta crème mélangée à la mienne ! J’aimerais bien ça tous les matins et me faire un café crémeux avec !

PATRICK
Un an plus tard, Annie a oublié de se protéger (volontairement ou non) et est tombé enceinte de 2 belles jumelles. Elle s’est mariée avec mon copain Michel au courant de la chose que vous découvrirez dans une autre histoire.Elle a eu par la suite un garçon mais elle ne sait pas qui est le père et habite à proximité de chez moi.
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