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Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Claire, la fille de Claude

Chapitre 2

Hétéro
LES AVENTURES SEXUELLES DEBRIDEES DE PATRICK
CLAIRE, la fille de CLAUDE. 2

— Patrick c’était... C’est... On peut dire que tu sais comment faire grimper les femmes au rideau ! Tu m’as fait jouir tant de fois, mais j’adore, je t’aime ! Tu es incroyable !Claire vient de comprendre ce qu’il se passe derrière le verre semi-opaque et s’exclame, horrifiée:— OOOH MAMAN !... Mon Dieu, c’est pas vrai !...
Claire, la bouche grande ouverte, découvre sa mère suspendue à moi en train de copuler. Claude gémit de plus en plus fort arrivant au 7ème ciel !— Ooooohhhh, je jouiiiiiiiss! Ta formidable bite va encore me mettre en transe, rejoins moi mon petit poney!
En plein jouissance, elle se trémousse de plus bel sur ma poutre dure comme du bois de fer !La scène est irréelle et déclenche l’ouverture des vannes, Claude continue de traire ma bite par des contractions d’une rare puissance de son vagin sous les yeux de sa fille, je la remplis de longues giclées de sperme.
— Ouuii Patrick, remplis-moi de ta laitance si abondante ! Claire… Que fais-tu là ? Tu es en avance mais pardonne-moi, c’est trop bon ! Oh, ouiiiiii Patrick, jute encore, Aaaahhhh... emplis-moi comme une outre, continue de te vider!
Claire détourne la tête, mais entendant son nom, regarde de nouveau et nous voit, sa maman et moi, redescendre progressivement sur terre. Sa bouche se referme lentement et elle se met à pleurer, voyant sa mère toujours emboitée sur ma queue.
— Maman…Patrick ! Ce n’est pas vrai ! Sanglote-t-elle.Claude ouvre la porte et sort de la douche ne réalisant pas qu’elle se présente complètement nue devant sa fille sa chatte dégoulinante de mon sperme.— Oh ma chérie, tu vas être horrifiée par ce que vais te dire mais jamais un homme ne m’a fait jouir comme Patrick! Ma fille, même si ça te choque, je ne renie pas ce que tu viens de surprendre! Il est le meilleur coup que j’ai jamais connue, regarde sa queue, il peut baiser des heures sans débander et il a une bite de cheval ! Et je suis sûre que si tu lui demande, il se fera une joie de te le prouver!
Quand sa maman lui dit ces mots horribles, Claire ne peut s’empêcher de regarder mon sexe, mais hébétée par ces propos si crus, elle se sauve dans sa chambre en criant que nous sommes 2 vicieux lubriques.

— Oh non! S’écrie Claude, qu’ai-je dis, il faut que je lui explique.— Non, laisse-la se calmer et en attendant finissons ce que nous avons commencé.Aussitôt, elle s’agenouille enfournant illico la saillie de chair et suce sa friandise préférée pour obtenir un rabe de crème !
Nous enfilons un peignoir une fois lavés et retournons au salon pour parler de ce qui vient de se passer. Après une heure de discutions stériles, Claude me demande d’aller voir Claire, car rouge de honte de son comportement devant sa fille, elle n’a pas le courage de l’affronter.
Je remonte à l’étage et frappe à la porte de Claire, elle ne répond pas...J’entre dans la chambre en annonçant : -C’est moi, Patrick, il faut que l’on s’explique! — Va-t-en ! Tu n’as aucune morale, espèces de saligaud!— Non, il faut absolument que tu m’écoutes! — Tu ne doutes vraiment de rien ! Va-t-en!— Non, c’est hors de question tant que tu ne m’auras pas entendu!Claire se retourne et s’adossant à la tête de lit me regarde, furibonde : — Et en plus tu es quasiment à poil, espèce de pervers !Je baisse les yeux et ressers les pans de mon peignoir de bain, il est vrai que j’aurais pu prendre le temps de me rhabiller— Excuse-moi, oui j’aurais dû… — Tu aurais dû quoi ? Bon...je suis curieuse d’entendre tes explications!— Claude et moi n’avons rien à nous reprocher et il est nécessaire que je t’explique!
Je lui raconte toute la vérité… enfin presque, lui expliquant que je l’ai consolée après son divorce et comment de fil en aiguille, ça c’est terminé dans un lit. Je lui demande si elle n’a pas remarqué que depuis quelques temps, sa mère allait mieux.— Bien sûr que si, mais pourquoi tu te tapes ma mère plutôt que moi? Tu préfères une vieille à moi ? C’est pas faute de t’avoir fait du rentre-dedans, tu ne l’as même pas remarqué !
— Elle n’est certainement pas vieille, je peux te certifier qu’elle a un sacré tempérament ! Mais pour tout te dire, son divorce d’avec ton père a eu un effet très négatif sur ta mère et les séquelles étaient profondes, sa frénésie sexuelle n’est qu’un exutoire, enfin… Au début. Elle s’est raccrochée à moi comme à une bouée. Le seul problème, c’est qu’elle en veut toujours plus, elle n’est jamais rassasiée de se prendre ma que... Enfin... Je te laisse deviner.
— Oui ! C’est vrai qu’elle a beaucoup changée. Elle a retrouvé la joie de vivre, je le reconnais ! Mais je n’aurais jamais pensé que s’était parce que tu te la tapais avec ta grosse pine !Bon Dieu, mais qu’est-ce que je raconte !
Elle veut des détails que je lui donne bien volontiers mais ça a un effet sur mon corps, ma verge commence à se redresser sous le peignoir et pousse le tissu que je retiens de mon mieux. Claire ne peut pas ne pas le remarquer :— Oh mon Dieu, Patrick, j’ai l’impression que notre conversation te fait de l’effet! remarque-elle, les yeux exorbités, mais tu ne penses qu’à ça !
J’essaie de tirer les pans du peignoir mais ça à effet contraire, ma queue fièrement dressée pointe presque à l’horizontal et s’engouffre entre les 2 pans du peignoir, j’essaie de cacher mon engin lorsqu’elle s’exclame :— Aahh, non, Patrick, pas question, après ce que j’ai entre- aperçu tout à l’heure, je veux la voir maintenant. Son visage s’illumine, elle me sourit et s’interroge :— Je me demande vraiment comment ma mère peut s’enfiler une telle poutre!— Eh bien, je peux t’assurer qu’elle adore se l’enfoncer dans tous ses trous !— C’est pas possible ! Ton monstre est beaucoup trop gros pour qu’elle l’avale!— Erreur, c’est la reine des suceuses et mon gourdin ne l’a jamais rebuté.
Sa respiration s’accélère et elle me répond:— Tu mens, elle ne peut pas avaler un tel monstre!Je lui rétorque : — Je t’assure que si, essaies tu verras que c’est possible, Claude m’a dit que dans ta famille, vous êtes toutes des femmes qui aiment les "grosse bites"!— Tu veux sauter toutes les femmes de la famille, c’est ça hein? Jette-t-elle en fixant pendant plusieurs secondes la longueur et surtout l’épaisseur impressionnante de ma bite en complète érection. Tu veux aussi que je te suce la queue! Tu me mets au défi? Tu vas voir ! J’ai déjà taillé des pipes à des gars du lycée mais ça n’est jamais allé plus loin et je déteste quand ils éjaculent dans ma bouche, c’est dégueulasse!— Je croyais que j’étais trop gros pour toi !
Elle se rapproche et m’enlace de ses bras, se pressant contre moi. Elle me fixe du regard un long moment tandis que sa main s’égare doucement sous le peignoir dans la caresse de mon corps pour finir sur ma verge.— Oh mon Dieu, tu es tellement monstrueux ! Je ne pourrai jamais! C’est pas tellement la longueur qui me fais peur c’est son diamètre! Je n’ai jamais tenu un mandrin d’une telle grosseur dans ma main!— Oooh, moi je sens bien tes jolis doigts se crisper sur ma teub Claire, si tu arrives à gober mon gland alors c’est que tout peut passer!
Elle s’agenouille mettant ma queue devant sa bouche pulpeuse, ses lèvres s’écartent au maximum épousant avec difficulté mon gros gland et en suce légèrement l’extrémité, enroulant sa langue chaude autour, elle retire sa bouche du gland et commente en souriant :— Huummm... ouiiiiii... Ca rentre juste mais j’arrive à gober ton énorme braquemard !Et elle replonge avalant d’un coup 10 cm de ma bite.— Putain, tu ne m’as pas l’air si niaise que ça !— Ahh bon... tu apprécies ?— Je ne me plains pas, Claire, mais tu n’es qu’au début! Tu n’en as pas avalé la moitié!— Mais on dirait que ton manche n’arrête pas de s’allonger. Je ne suis pas sûre que je puisse tout prendre !— Fais au mieux ma petite Claire chérie!...
Elle me regarde, ses belles lèvres pulpeuses rampent sur ma teub de plus en plus loin.— Oh oui, continue !Je mets mes mains derrière sa tête et d’une seule poussée, je rentre ma bite dans sa bouche jusqu’aux couilles qui viennent buter sur son menton. Claire semble tétanisée mais, après quelques secondes, elle retire sa bouche de mon pieu dégoulinant de bave en toussant et s’exclame :— Ahh mon Dieu ! Putain le morceau ! J’ai faillis m’étouffer! Je n’aurais jamais cru pouvoir absorber une telle bite, elle est si épaisse que je ne pouvais plus bouger ma langue. Cette chose est énorme mais si douce! Je n’arrive pas à réaliser qu’elle est rentrée en entier mais j’ai adorée. Et c’est très agréable, ta bite de cheval bute au fond ma gorge mais je ne pouvais plus respirer!Et elle se jette à nouveau sur mon chibre.
Elle continue donc sa caresse buccale. Tout en continuant de sucer ma verge, elle malaxe doucement mes couilles gonflées. Elle se régale à palper mes bourses lisses et douces qui se façonnent facilement sous sa main aussi ne s’en prive-t-elle pas. Suçant avec délice la longue hampe tout en massant les testicules dans leurs gaines de chair.
  Attiré par ses seins gonflés qui déforment son chemisier, je lance mes deux mains dans leur direction pour les saisir avec émotion. Sous cette prise en main de ses mamelles enflées, Claire éprouve une vive satisfaction, je suis sûre qu’elle espérait bien que j’empoigne ses seins pour les pétrir. Mais elle ne voulait pas le demander, désirant que je prenne l’initiative. Aussi lorsque mes doigts se refermèrent sur sa poitrine gonflée par le désir, la satisfaction la pousse à s’exprimer :-On dirait que mes seins te plaisent, tu aimes les caresser?-Oh oui, je m’exclame au comble du bonheur.Je glisse une main dans son bustier les faisant jaillir à l’air libre en serrant plus fortement la chair satinée.-Moi aussi j’aime que tu me les caresses! Précise Claire dont les tétons se sont automatiquement durcis sous l’attouchement, ils sont immenses et atteignent érigés et durs presque 2 cm que je pince entre mes doigts, la faisant gémir -Frotte bien les bouts, Patrick !Elle me suce depuis près de dix minutes en cherchant frénétiquement à me faire jouir. Je joue avec ses tétons incroyablement longs et elle s’arrache de ma bite en criant de plaisir — Oh mon Dieu, Patrick, je vais jouir si tu continues ! Oh ouiiiii... encore! AAAAhhhh....arrête ! Je veux que tu craches ton foutre mais pas dans ma bouche !
Elle reprend ma verge avec une main et se met à la branler avec sa bouche serrée sur mon gland, l’autre main me malaxant les couilles. Elle va de plus en plus vite. Je sens des picotements dans mes bourses, ma semence s’accumule prête à jaillir. Claire le sent également et elle essaie de retirer mon gourdin de sa bouche mais je m’y oppose, engouffrant la totalité de mon phallus tendu à l’extrême le plus profondément possible dans sa gorge.Ma respiration s’accélère et elle attend avec résignation les jets libérateurs qui vont jaillir de mon méat. Je ressens les contractions de mes burnes broyées inconsciemment par ses doigts projetant dans ma hampe le divin nectar, le temps semble suspendu. Des spasmes me secouent, les muscles de mon bas-ventre se contractent pour que mon jus d’amour s’éjecte de ma queue bouillonnante. J’ai des frissons. Ma jouissance est ininterrompue, ne semblant plus vouloir s’arrêter, je lâche sans discontinuer giclées après giclées au fond de sa gorge!Mes derniers spasmes d’un pur plaisir me mettent dans un état second.

Récit de Claire.
Pressentant l’imminence de son éjaculation, j’ai voulu ma retirer mais il ne l’a pas voulu.Aussi lorsque explose le premier jet de sperme onctueux il va directement dans mon estomac, un second jet aussi copieux que le premier jaillit, et un troisième puis un quatrième, ses jets sont d’une force incroyable. Je sens un liquide lourd et chaud me remplir la gorge. Je retire sa bite de plusieurs cm. Quelles fantastiques giclés… vraiment la maxi dose… J’ai les yeux qui me sortent de la tête, mais je ne peux tout simplement plus tout avaler, les jaillissements suivants perdent enfin de leur force s’écoulant mollement dans ma bouche, ils engluent néanmoins ma langue. Du sperme me sort aux coins de lèvres. J’en ai partout, ça coule sur mon menton. J’aime son goût contrairement à mes expériences précédentes.  Je pousse un cri étouffé dans ma gorge, ne le relâchant pas malgré qu’il ait libéré ma tête, je lève mes yeux vers lui et, lentement, très lentement retire ma bouche de son sexe, et ne voulant rien perdre du précieux nectar, déglutis pour avaler la dose qui me reste en bouche.— Putain...c’est incroyable, Patrick ! Je n’ai jamais vu éjaculer autant de foutre! Oh mon Dieu, en plus j’aime le goût de ton sperme !Et je redonne des coups de langue sur sa bite qui se dresse toujours aussi fièrement.— Je peux te dire que c’est la première fois que je prends un tel pied à sucer une bite. Elle est la plus grosse que j’aie jamais sucée et tu ne débandes même pas après t’être occupé de ma mère et de moi.— Sacrebleu, Claire, tu es vraiment douée, tu n’as rien à envier à ta mère !
Avec une infinie tendresse, je me glisse contre lui et l’embrasse sur la bouche.— Patrick... je t’aime... Euh, c’est quand qu’on recommence? -Laisse ta porte ouverte cette nuit, je reste chez vous tout le weekend!Je lui glisse dans l’oreille :Je n’ai encore jamais fait l’amour, j’ai toujours reculé devant l’acte, mais avec toi je crois que c’est le moment !
A suivre…..
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