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Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Claude

Chapitre 3

Hétéro
LES AVENTURES SEXUELLES DEBRIDEES DE PATRICKCLAUDE et ses copinesDrôle de surprise.

Récit de ClaudeSi vous avez lu les épisodes précédents, vous savez mon attirance pour les jeunes hommes. Mais depuis que j’ai découvert Patrick, je suis devenue sa chose.
Je suis une femme mûre bien roulée qui adore le sexe et avec lui je suis servie, à tel point que j’ai invité 2 amies à la rescousse car je n’ai jamais connu un tel étalon inépuisable comme lui.
L’histoire que je vais vous conter est à dormir debout. J’ai encore du mal à croire que ça s’est vraiment passé. Mais c’est le point de départ pour Patrick d’une débauche sexuelle un peu spéciale... Vous comprendrez par la suite dans les épisodes suivants.
J’ai un sixième sens pour deviner la sexualité d’un homme à la libido bien développée, les biens membrés qui savent comment utiliser leurs outils et qui vous emportent loin dans leurs fantasmes. Comme je l’avais promis à Patrick, j’ai invité deux amies toutes aussi folles que moi devant un beau mâle et à qui j’ai vanté ses dons ainsi que ses attributs de poney.
Michèle ne pourra venir que plus tard mais Lucile vient de frapper à la porte.Je la fait entrer et fais les présentations.
Nous sommes en été et Patrick n’est vêtu que d’un Marcel et un short assez court. Je vois que Lucille est déjà attirée par mon jeune amant et n’arrive plus qu’à penser à sa fameuse « bite de poney ». Quelle salope !
Il ne faut pas longtemps avant que la conversation tourne autour du sexe, j’interroge Patrick:— Dis donc, Patrick, de la façon dont tu assures au lit et avec ton service 3 pièces, tu dois avoir un harem de belles filles à tes pied ?  
Il rigole et me répond;— Contrairement à ce que tu crois, je n’ai pas baisé beaucoup de filles, la plupart ont fui en voyant les proportions de mon engin et m’ont fait une sacrée renommée. Et celles qui ont voulu aller plus loin avec ma grosse queue ont tellement souffert que je n’y ai pris peu de plaisir. Peut-être étaient-t-elles trop jeunes et inexpérimentées pour mon calibre. Après ça, j’ai repoussé leurs demandes ne voulant pas être la bête du zoo.-Mais avec vous 2, mon sabre va trouver les fourreaux à sa taille pour l’accepter.Je lui lance un défi:— Allez, Monseigneur ! Une gente dame attend votre épée pour perforer sa fleur!
Patrick est un jeune homme sûr de lui, qui n’a pas peur de ses faiblesses et de ses envies. Il approche sa tête de Lucile et l’embrasse dans le cou pour qu’elle sente son souffle chaud sur la nuque. J’ai l’impression qu’il veut déjà la dévorer.Il plonge la tête entre ses deux seins qu’un décolleté abyssal met en valeur. Ca y’est, les hostilités sont lancées !
Dans le mouvement, elle remarque qu’il ne porte pas de sous-vêtements car son short un peu trop lâche descend très bas sur ses reins et on ne devine rien dessous à part son gros sexe qui gonfle le tissu.Elle ne peut pas s’empêcher de regarder… Et moi aussi.
A mesure qu’il s’occupe de la généreuse poitrine de mon amie avec sa bouche et ses mains baladeuses, la bosse se transforme est devient assez rapidement un manche qui s’allonge à vue d’œil le long de la cuisse droite, mais au bout d’un moment, la croissance vers le bas commence à déformer le tissu vers le devant. Il faut le voir pour le croire !
Il fait comme si tout était normal, avec son manche de pioche qui tire de plus en plus le short et s’allonge encore à vue d’œil, la toile est tellement fine que la forme du gland est moulée en 3D.Son érection durcit encore par saccades sous le tissu. La pointe d’un gland rougeaud pointe même à l’air libre!  Lucile a trop envie de voir sa queue et découvre la bête en baissant le rempart de tissu qui résiste, déformé sur le devant. Elle ne peut retenir un petit cri de surprise quand le gourdin jaillit avec violence, libéré du short.
— Ouah l’engin ! Mon intuition ne m’avait pas trompé, il a vraiment une queue hors-norme !-Tu n’as jamais vu une bite ou quoi ? Je lui rétorque.— Si, mais tu ne m’as pas menti, il a vraiment une bite de poney ! Le diamètre de son chibre dépasse allègrement en épaisseur tous mes sex-toys ! Et sans attendre, elle engloutit, bouche ouverte, ce cadeau des Dieux.Elle a la bouche bien remplie, ne pouvant absorber qu’une partie de la queue. Le gland, énorme, bute contre sa glotte mais elle essaie de trouver un passage pour l’enfoncer encore plus loin. Elle s’échine sur son mât dressé qui ne peut croître plus pendant 5 bonnes minutes.
Cette fellation risque de lui décrocher la mâchoire mais je vois bien que pour elle ce n’est qu’un en-cas. Elle s’allonge sur la table du salon en écartant bien les jambes.-On va bien voir si ton poulain sait s’occuper de moi !
Docilement, Patrick s’agenouille entre ses cuisses, il relève sa jupe, écarte son string et glisse sa langue tout en haut de sa vulve. Il écarte ses lèvres charnues avec douceur, tire sa langue et lape comme un petit chien la chair si sensible, léchant bien le pourtour de sa chatte avec application très minutieusement comme je le lui ai appris. Tantôt à droite, tantôt à gauche, dans un mouvement presque circulaire comme une chorégraphie.Lucile ne peut s’empêcher de geindre sous le plaisir qu’il lui distille sans compter, mais elle veut aller plus loin. En un rien de temps, elle jette ses vêtements par-dessus bord pour s’allonger entièrement nue sur la table froide, n’ayant gardé que ses hauts-talons.
Patrick, plein de fougue et d’impatience, ne peut qu’honorer une telle invitation, il pose les bras sur les hanches de la dévergondée et vient s’empaler en elle.La verge énorme emplit tout son vagin, pour une fois c’est moi la spectatrice et c’est là que je me demande comment un tel gourdin peut pénétrer en entier dans le sexe d’une femme sans la blesser. Je vois les grandes lèvres faire ventouses sur la hampe et accompagner chaque mouvement de la poutre qui la besogne.La chatte est complètement dilatée par le diamètre imposant du rostre et ça a l’air d’être très agréable pour Lucile.
Mes doigts s’égarent dans ma chatte trempée pour une masturbation frénétique, je suis toute excitée.Les muscles des fesses de mon poulain se contractent et se décontractent au rythme de ses va-et-vient. Il n’est plus le jeune petit puceau timide des débuts. Il est devenu cette bête avide de sexe qui n’est jamais rassasié. Un bruit rauque très bestial et des soupirs s’échappent de sa bouche quand il la pénètre. Lucile halète de concert.Je lui retire son Marcel pour admirer son torse luire sous l’effort. C’est un bel animal musclé, bien taillé, tout en puissance.— Oooohhhh Claude, j’adore quand il introduit sa grosse bite en moi ! Patrick tu me remplis complètement et écartèle mes chairs intimes comme jamais!Elle glisse une main vers le bas ventre de Patrick et se saisit de son pal enfoncé au plus profond de son sexe.Ses doigts essayent de s’enrouler autour de son dard qui pénètre par saccade la chatte trempée.Lucile crie de plus en plus fort, je l’a regarde en train de se faire prendre par cette monstrueuse queue dans sa chatte qu’elle broie avec ses muscles vaginaux.
— Vas-y Patrick, baise-moi plus fort, encore plus fort ! Aaaahhhh! Ouiiiii...comme ça...bien à fond ! Putain, la baise ! Toi au moins tu sais rassasier une femme !Le bruit de la table qui grince en cadence et tape sur une chaise rythme leurs ébats effrénés. Lucille chavire sous ses assauts. -Boum… Boum… Boum… Le son sourd des deux corps qui s’entrechoquent et la table qui tape contre le bois agissent comme un métronome. Lucile laisse sans plus aucune retenue, s’échapper de sa bouche une mélodie improvisée de petits cris et de râles.
Les coups de bite tapent au fond de son vagin à un rythme effréné. Je vois bien qu’il prend son pied mais je connais mon loustic. Les mains agrippées à ses deux cuisses, il savoure, la bouche fermée, les sensations de sa queue dans la fournaise de se vagin noyé de cyprine. Lucile n’a pas l’habitude d’être baisée si longtemps et ses yeux roulent dans ses orbites.
 15 minutes et quelques orgasmes plus tard: — SALAUD ! Tu me fais jouiiirrrr! Ouiiiii je jouiiiiis ! Oh putain ! Oh Patrick ! Claude! C’est tellement bon. C’est un faune qui me transperce. Ou tu as dégoté ce mec ? Quel baiseur !!!Des spasmes la secouent sous les saillies de ce pal de chair cognant inlassablement au fond de son utérus.J’embrasse Patrick à pleine bouche en malaxant en même temps les seins de Lucile, lui pinçant entre mes doigts ses tétons.— Oh Claude, continue, tu vas me faire jouir aussi. Oh putain! AAAaaahhhh !
 S’assurant de ne pas perdre sa bite en elle, elle s’exclame ;— Ouiiiii...donne-moi ton jus. Jouis en moi. Oh oui, il me remplit de son chibre mais..... Je....Aaaahhhh... je jouis encooooore ! Oh... oh... oh... MERDE Patrick ! Je Jooouiiiiiissss!... Mais tu vas cracher, bordel ?
Elle imagine déjà le foutre blanchâtre gicler au fond de sa chatte et couler dans sa raie, attendant avec impatience sa décharge, Il sait qu’il doit expulser son sperme pour la satisfaire en comme à son habitude, décide lui-même du moment adéquat.Il l’astique à toute allure de son membre turgescent et je vois son corps se tendre comme la corde d’un arc. Il lâche enfin bordée sur bordée au fond de sa chatte, elle gémit doucement puis dans un soupir, le complimente :— T’es un sacré baiseur bel Etalon! Oh, putain de salaud, tu m’as rempli comme une outre! Elle s’accroche à lui serrant les jambes autour de sa taille pour le garder en elle et l’embrasse à pleine bouche.
— Oh Claude, que c’était beau. Patrick me nique formidablement bien et j’adore le sentir jouir en moi sous ses formidables coups de boutoir, qu’est-ce qu’il ma mis. Mais… C’est pas vrai, regarde !... Son bélier est toujours aussi fièrement dressé, il a un os à la place de la bite le minot, c’est à peine croyable !
 Je la rassure et lui explique : -Je t’avais prévenu que c’est un cas et c’est loin d’être terminé. Maintenant c’est à mon tour! Vas y, maintenant Patrick, baise-moi avec ta grosse queue, fais moi jouir en bonne salope que je suis !
Je m’agenouille sur le canapé, me tenant au dossier, je me cramponne du mieux que je peux attendant l’assaillant. Il s’approche par derrière sans aucune précipitation, ajuste sa position pour que ma chatte se retrouve pile à la bonne hauteur de sa formidable trique et me pénètre tout en douceur. Mon vagin trempé n’attendait que son assaut.Je tourne la tête pour admirer son torse aux pectoraux saillants, mes yeux suivent la ligne centrale jusqu’à son nombril et ses abdos biens dessinés et mon regard stoppe sur la base de sa queue qui me pénètre au rythme d’une montre suisse.
Je connais son endurance, sa facilité à se mouvoir et à pilonner inlassablement sa partenaire. Je sens ses coups de reins projeter sa verge dans ma fente trempée. Sa grosse pine s’enfonce encore et encore m’arrachant des gémissements et je me mets à crier :— Ouiiiiiiiiiiiiiii, saa...aaa...aa...laud, tu me fais du...u...u bien..., ouiiiiiiiiii, en...en...en...en...core, plus fort, plus au fond, aaaaaaah ta gro...oo...oo...osse biii...ii...ii...iite me faii...iii...it du...u...u bien... !
Immédiatement il se met à me pistonner comme un malade, il rigole en m’injuriant:— Saaaaaaaalope, ouaiiiiiiiiii, t’es une saaaaaaaaaaalope avec tes gros nibards, ouaiiiiiiiiiiiiiii, c’est çaaaaaaaaaaaa, une pute qui se fait saillir pour assouvir son manque de queue… De la queue, tu veux de la queue saloooooooope, prends ça, tiens, encoooooooooooore, ouiiiiiiiiiiiiiiii, tiens, bien au fond!
 Je décide de m’attaquer au gros morceau et de le prendre dans ma bouche. Sa bite est un chef d’œuvre de la création : un diamètre d’environ 5 à 6 centimètres et de la taille de celle de Rocco SIFREDI, un maître- queue par excellence, son gland énorme et violacé suinte doucement.
Mes mains commencent à le branler avec lenteur, faisant coulisser la peau le long de la verge. Son membre de dimension impressionnante est fortement marqué de grosses veines gonflées qui courent dessus et le gland trigonocéphale vibre doucement sous mes doigts. J’engouffre la belle pine et commence un pompage en règle, pendant qu’il me paluche les seins, tordant les pointes dures.Vu qu’il vient de décharger je sais qu’il me faudra être très patiente pour le faire jouir à nouveau et arriver à l’instant fatidique.
 Cela fait bien 20 minutes que nous copulons quand soudain il ferme les yeux.  La bouche ouverte et les joues gonflées, je regarde sur son visage la montée du plaisir...Je m’active pour faire venir encore plus de sang dans cette trique fabuleuse qui va se vider. Ma bouche est distendue par le pieu de chair qui est devenu énorme. Je sens le gros gland vibrer préparant la salve de foutre qui va m’inonder la gorge. Je me mets à pomper encore plus vite, donnant des coups de langue précis et nerveux.
Soudain je sens ses mains se crisper sur mes pointes tirant dessus et ma gorge reçoit une très forte giclée de sperme. Je m’étouffe presque tant il est abondant, son foutre quant à lui, continue à jaillir en jets puissants et je m’étouffe pour de bon, l’excès ressort de ma bouche pour venir couler sur mon menton. Ramassant cette sorte de crème, Lucile me masse les seins avec, mesurant au passage la taille obscène des pointes de mes nibards en avouant.— Quel pieu il a le salaud et après tout ce qu’il a déchargé avec moi, c’est pas possible qu’il arrive encore à te noyer sous un tel flot de sperme!!! Tu m’avais pourtant prévenu mais il faut le voir pour le croire !
Nous avons de la chance d’avoir découvert un tel oiseau rare, il peut tenir indéfiniment sans jouir s’il de désire des heures durant ce qui nous permet des joutes sexuelles à n’en plus finir.Et sans même un instant de répit, il nous place cote-à-cote et nous empale à tour de rôle.
J’aime être possédée par ce pal phénoménal, envahie par cette queue si épaisse, anticipant la jouissance, salivant d’avance au plaisir qu’il va me donner. La bite sort et rentre, encore et toujours, dans un mouvement lent et puissant...Ses mains ont attrapé mes hanches pour bien me maintenir pendant la pénétration, quel spectacle avec mes cuisses remontées, au centre desquelles un gros piston de chair va et vient, pleine de cette bite qui me fait couler, remplie par ce membre qui, bientôt, éjaculera son sperme, la décharge de foutre de sa bite me procurant toujours des sensations fabuleuses. Il passe de l’une à l’autre, nous faisant l’aumône d’enduire de notre salive sa hampe magnifique et de le prendre en bouche avant de la replonger au hasard dans l’une d’entre nous, nous amenant chacune à notre tour à l’orgasme...
Fait-il abstraction de tout, se concentrant pour retenir son plaisir en écoutant la musique de son pubis qui claque sur nos fesses, projetant ses bourses contre nos culs fermes et musclés ? Je ne sais pas exactement où il s’est échappé quand je sens un long filet chaud et gluant m’asperger le derrière. Victorieux et triomphant, il est en train d’enduire copieusement nos 2 corps de sa laitance abondante. Nous en avons plein les fesses et le bas du dos. Mais nous sommes gourmandes et nous appliquons à ne rien laisser perdre à coups de langues râpeuses.
Nous ne l’avons pas lâché pendant des heures, copulant plusieurs fois chacune avec Patrick, ne lui accordant que de courtes poses, en redemandant encore et encore juste le temps de nettoyer son sexe de son sperme après chaque jouissance de nos bouches avides et pour le remettre de nouveau en service. Nous nous accordons enfin un couple d’heures de repos pour laisser Patrick recharger ses accus.

Récit de Patrick
Et c’est reparti!Emportés par nos ébats, j’ai complètement oublié Michèle, l’amie de Claude. J’ai demandé à Claude de se mettre à 4 pattes et Lucile s’est couchée sur son dos et pendant 5 minutes je les enfile à tour de rôle, un coup dans la chatte de l’une, un coup dans le cul de l’autre et ainsi de suite.
 Ca fait 15 minutes que je les besogne à nouveau. Mes 2 femelles lubriques poussent des cris de truies qu’on égorge. Claude me fait m’étendre par terre, elle s’assied sur ma poitrine et prend ma tête entre ses cuisses. Elle offre sa chatte à ma bouche, ma langue lèche son clito tout dur et la fait hurler de plaisir pendant que Lucile fait du rodéo sur ma queue, embrassant à pleine bouche sa copine la tête en arrière pour essayer d’étouffer ses cris de plaisir tout en la pelotant. Enfin, au moins dans cette position, je récupère un peu de ma fatigue.Elle me comprime tellement les oreilles que je n’entends plus grand-chose.
Elles y mettent tant d’entrain que sens que je vais gicler une nouvelle fois si elles continuent, quand tout d’un coup elles s’arrêtent en même temps, figées telles des statues. Que se passe-t-il?
Claude écrase son sexe sur ma bouche et j’ai des difficultés pour reprendre mon souffle. J’essaye de la repousser mais elle maintient la pression de ses cuisses sur mes oreilles. Elles vont peut-être intervertir leur place car Lucile vient de retirer sa chatte en feu de mon phallus qui retombe sur mon ventre. Claude recommence à se trémousser sur mon visage et du coup ma langue reprend l’exploration de sa grotte.
Soudain, une langue caresse mon mandrin suivit aussitôt de lèvres absorbant mon gland, je sens une bouche descendre doucement le long de ma hampe dressée. J’entends complètement étouffés des murmures. La bouche avide retient toute mon attention car la langue tourbillonne et s’enroule autour de ma queue en une course folle. Lucile me taille une pipe d’enfer et finit par enfourner pour la première fois en entier mon jonc vigoureux dans sa bouche.
Claude desserre un peu l’étau de ses cuisses, retardant ainsi sa jouissance, cette pipe que me fait Lucile est merveilleuse de douceur, elle m’avait caché un tel talent. Toute ma queue se met à vibrer annonçant une violente éjaculation. Je décharge de formidables jets de foutre brûlant qui sont aussitôt absorbés par cette bouche folle qui dévore littéralement ma queue. Je la sens avaler salve après salve chaque copieuse expulsion de semence. Quand j’ai fini d’éjaculer, la bouche continue encore un long moment espérant un peu de rabe.
 J’entends encore des chuchotements au dessus de moi et des gloussements venant probablement de Lucile. Elle s’est réinstallée sur ma bite qui ne tarde pas à retrouver toute sa vigueur, son fourreau comprime mon dard très fort, il est si serré que je suis surpris qu’il ne soit pas plus distendu après ce que je lui ai mis tout à l’heure.En tout cas elle met une sacrée ardeur dans son ramonage sur ma queue.Je suis un phallus géant. Lucile est déchainée, jouant avec ma bite en changeant de rythme, absorbant la totalité de mon pieu qu’elle me broie littéralement dans une étreinte incroyable de son vagin, s’interrompant au bord de l’orgasme puis reprenant encore plus fort.
Je ne sais pas combien de temps s’écoule avant que Claude écrase sa chatte sur moi et se laisse aller à sa énième jouissance en m’inondant copieusement la bouche, ne résistant pas à mes manœuvres expertes de la langue sur son bouton d’amour.
Cela déclenche chez Lucile un effet de mimétisme car elle jouit de nouveau. Alors que son orgasme s’apaise et que je crois qu’elle va se calmer, un autre orgasme la prend et sa chatte tremblante et super serrée se contracte sur ma queue avec une telle force que ça déclenche une dernière montée de lave dans ma bite qui se gonfle sous la pression.
Lucile, malgré son orgasme détecte immédiatement ce changement dans mon sexe et j’entends ses paroles étouffées ;— Oh oui, donne-moi ton foutre bel étalon inconnu. Remplis ma chatte en feu. Ooooohhhh, ma jouissance ne s’arrête plus. Donne-moi tes paillettes de reproducteur !  Je n’ai pas besoin de bouger, c’est sa chatte, par ses contractions incroyables qui pompe tout mon jus dans son vagin. A chaque giclée successive de mon sexe, son corps tremble et ses muscles vaginaux m’enserrent de plus en plus fort et frénétiquement, elle martèle de nouveau son cul sur moi, et à chaque recul.
— OUI ! OUI ! OUI! JOUIS ! JOUIS ! JOUIS ! MERVEILLEUX PENIS!!!   Mes couilles sont littéralement essorées et sa moule reprend ma bite immédiatement si elle a le malheur de sortir. Son pubis vient frapper le mien quand ma queue éjecte au fond de son vagin mes dernières cartouches en longs jets.— OUI. Encore! Je n’ai jamais connu un homme aussi bien monté et qui envoie de telles quantités de foutre, eh les filles, vous m’affirmez vraiment que c’est comme ça depuis le début de l’après-midi ?!
« Eh les filles ?... Que veut-elle dire ? »…
Quand tous les trois nous avons fini de jouir, Claude se retire enfin de ma tête. Au moment ou elle pivote et que son corps ne cache plus ma vue, je découvre horrifié ma TANTE MICHELE enfichée sur ma bite.
Elle se met à crier :PATRICK!!! OH C’EST PAS VRAI ! PAS TOI ! NOOOONNN ! Qu’ai-je fais ?
Elle s’éjecte comme une furie de mon nœud, se rhabille n’importe comment et se sauve en claquant la porte.Vous vous connaissez? M’interroge Claude.— Eh comment! C’est ma tante, La sœur de ma mère, Anne-Marie.
Claude rigole et s’exclame:  - Oooohhhh, Je ne m’attendais pas à ça… Si j’avais su !... Et elle ajoute :— Tu ne le savais pas mais ta tante est une vraie dépravée de sexe, et vu la manière dont elle a jouit, elle a pris son pied et tu as dû remarquer comme elle aime ça… Elle n’a pas boudé son plaisir même si c’est avec la formidable bite de son neveu.
— Mais, c’est affreux, et qu’est qui va se passer maintenant ? Je suis un monstre!  - Non, mais tu es un véritable phénomène pour combler 3 femmes en même temps ! — Euhhhh...Oui, enfin, je crois que....
— Je peux t’assurer que ta lubrique de tante sait s’y prendre pour sucer les gros nœuds. Il fallait voir comment elle s’activait sur ta bite, la dimension de ton vit ne l’a pas impressionné. Et elle n’a pas hésité un instant à s’empaler en entier sur ton énorme tête chercheuse.
— Mais Claude, elle ne savait pas qui elle était en train de chevaucher, si elle dit ça à ma mère, je suis fichu!... — Ca m’étonnerait qu’elle aille se vanter à sa sœur d’avoir pris autant de plaisir à chevaucher la bite de son neveu. Et elle surenchérie :-Quand elle nous a trouvé toutes les deux, à cheval sur toi, elle s’est approchée en silence et n’a pas hésité une seconde à demander à Lucile si elle pouvait prendre sa place.Et Lucile surenchérit :— Et tu n’as pas entendu les compliments qu’elle faisait à Claude, la remerciant de lui faire profiter de sa découverte. Elle était en admiration devant ta queue et affirmait que c’était le pal le plus épais que sa chatte ait connu et qu’elle espérait en profiter encore!

Et c’est comme ça que débuta les dépravations de mon « petit poney ».
Mais ça, c’est une autre histoire………
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