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Les bonheurs de Sophie

Chapitre 9

Travesti / Trans
Sophie9

Le matin je fus réveillé avant lui. Je soulevais le drap pour voir son sexe qui pendait entre ses jambes légèrement écartées. Je le pris en main et me mis à le caresser. Je descendis ma main entre ses fesses et lui titillais l’anus avec mon majeur. Je l’introduisis légèrement dans son rectum. Il finit par se réveiller. Il me regarda et replaça ma main sur son sexe qui commençait à durcir et grandir. Je l’enserrais fermement puis entrepris de le branler. Sa queue prenait de la vigueur, elle grossissait sous mes manipulations.Je caressais le gland entre le pouce et l’index. Il bandait à fond maintenant !N’y tenant plus je me penchais vers son sexe et le pris en bouche. Mes lèvres étaient distendues par la grosseur de son engin. Il donna un coup de reins pour s’enfoncer davantage.Je le pompais à fond, le masturbais, je reprenais sa bite en bouche. Je voulais qu’il apprécie son réveil.Je mettais beaucoup d’ardeur à le sucer. J’avais observé maman quand elle faisait une fellation à notre amant. Il ne mit pas longtemps à décharger une grosse quantité de foutre. J’avalais tout. Je pressais sa hampe pour récolter les dernières gouttes de semence.Je me relevais pour aller dans la salle de bain. Je me rinçais la bouche puis pris une douche.
Je m’habillais en Sophie pour aguicher mes trois mâles. J’enfilais les bas de soie à couture noirs, un porte jarretelle rouge un bustier rouge également. Après avoir enfilé une culotte en dentelle je remis ma jupette et un chemisier transparent.Je choisis la perruque aux cheveux noirs après m’être maquillée légèrement, je mis de longues boucles d’oreilles. Alors que je sortais de la salle de bain, je croisais François et Eric qui me complimentèrent sur ma tenue. François me dit à l’oreille « tu es belle et j’ai envie de te faire l’amour. Tout à l’heure j’aimerais être seul avec toi ». Tous mes hommes sont lavés et prêts. Victor et Eric ont décidés d’aller à la pêche ce matin.
Je reste donc seule avec François. Sans attendre, il se colle à moi et m’enserre la taille.« J’ai envie de toi ma chérie ». Il me relève le menton et pose ses lèvres contre les miennes. Sa langue entrouvre ma bouche. Je me laisse faire. J’aime tant être séduite !Sa langue me fouille, je lui réponds ! La situation est excitante et je me mets à bander. Je frotte mon bassin contre son sexe. Je le sens durcir sous mes mouvements ondulatoires. Je glisse la main entre nous pour me saisir de son membre. Je le pétris dans ma main. Comme il est long !J’ouvre sa braguette, me saisis de son membre et me mets à le branler. Notre baiser dure, il me caresse les fesses et me serre contre lui. Il interrompt notre baiser pour me dire « allons dans ma chambre ».Il défit mon chemisier puis baissa ma jupe. Je voulais quitter mes talons hauts mais il me dit « garde les, tu es encore plus attirante avec tes talons ». Je bandais dans ma culotte.
Il m’enlaça et m’embrassa. Je me collais contre lui pour sentir son sexe bandé contre mon ventre. Il me dit « allons sur le lit ». Je m’allongeais et il vint près de moi. Il reprit son baiser. Comme sa langue était agile pour m’émoustiller. Il prit un de mes tétons entre ses doigts au travers du bustier et pressa si fort que j’émis un petit râle de plaisir. Encouragé par ma réaction, il maintint la pression et me pinça l’autre mamelon. Je roucoulais sous cette douleur qui m’envahissait. Il descendit sa bouche jusqu’à mon sexe qu’il dégagea de ma culotte. Il se mit à me sucer divinement tout en pinçant de temps en temps mes tétons.Tout en me suçant, il enleva ma culotte. Je l’aidais en me cambrant, ce qui me fit pénétrer sa bouche plus profondément. Il se mit à me pomper très profond. Je commençais à vraiment aimer ça.
Il quitta ma bite pour venir m’embrasser à nouveau. Sa langue agile me violait la bouche.Il se recula et se positionna en soixante neuf au dessus de moi. Je gobais sa longue pine alors qu’il écartait mes fesses tout en me suçant. Il introduisit son majeur dans mon anus. Je fis de même !Sa queue est si longue que j’avais du mal à respirer. J’allais et venais dans son cul tout en le pompant avidement.
Il me dit « j’ai envie que tu m’encules ».Il se positionna pour que je le prenne en levrette. A part maman, je n’avais pas connu d’autres anus, surtout celui d’un homme mûr. Je me mis à quatre pattes pour lui lécher le rectum.Je le pénétrais avec ma langue. Faisais le tour de son petit trou. Lui enfonçais le plus possible.Il se tortillait de plaisir. J’entrepris de lui glisser un doigt au plus profond.

Après lui avoir pénétré l’anus avec deux doigts, je me positionnais pour le prendre. La pénétration fut facile malgré qu’il fût serré. Il dit « Oh oui Sophie, baise moi ». Comme sa sœur, ma mère, il aimait se faire prendre le cul. Je m’enfonçais en lui à fond.Il émit un cri de surprise. « Oh oui ! ».Je me mis à le pistonner lentement en lui tenant les hanches. Je fis glisser ma main vers son sexe. Il était bandé et si long dans ma paume.Mes bas crissaient sur ses jambes ! Il aimait se faire enculer. Il se cambrait pour se faire prendre plus profondément. Je le branlais en l’enculant. Il jouissait du cul sous mes assauts.Sa longue queue me faisait envie. J’aurais préféré l’avoir en moi.Comme si il lisait dans mes pensées, il se dégagea de ma bite. Il me fit allonger sur le dos releva mes jambes et entreprit de me pénétrer. J’écartais mes fesses pour lui faciliter la tâche.A peine eut il passé le gland qu’il me sabra d’un coup. J’étais emplie de sa longue bite. Comme c’était bon !Maintenant, il allait et venait en moi. Il me baisait comme une femme.« Oh ma chérie, tu es bien serrée ! » Il faut dire que je contractais mon anus volontairement.
Il glissait dans mon cul en me disant des mots d’amour. Il s’allongea sur moi pour m’embrasser. Je lui saisis les fesses pour l’attirer. Je voulais sa longue queue profondément. Il donna un coup de reins tout en faisant tourner sa langue dans ma bouche.« Oh oui, baise moi fort ! »Il me sondait le fourreau de sa pine. J’étais aux anges !« Encore, encore plus fort ! »Il se déchaînait dans mon trou du cul et j’aimais ça.Brusquement, il se contracta et m’envoya la purée. Je le sentais gicler en moi.« Oh mon amour, tu es si bandante que je n’ai pas pu me retenir ».Sans se retirer, il saisit ma queue et se mit à me branler.Je retrouvais de la vigueur. Il continua son va et vient en moi. Très lentement. Quand il se retirait, je sentais le sperme couler de mon anus.Il me fit l’amour une deuxième fois tout en me branlant énergiquement. Je ne pus me retenir très longtemps et un flot de sperme inonda mon bustier. Il se pencha et lécha les plus grosses taches, puis il se pencha pour m’embrasser et me faire partager le goût qu’il avait en bouche. Il me releva les jambes et reprit son "pistonnage". J’avais mal à l’anus mais la situation m’excitait !Il me pinça les tétons au travers de mon bustier, puis il me caressa le cou, les épaules, la taille, les jambes, les pieds que j’avais en l’air. Il me pinait, me sabrait avec son sexe immense. Il m’enculait jusqu’à l’os et j’aimais ça !
Il me saisit les hanches tout en m’embrassant à nouveau. Il me chuchota : « Sophie, je t’aime ! Je te veux ». Il m’embrassa le cou et j’avoue que j’y trouvais du plaisir. Il me labourait, me sondait. Comme c’était bon.« Oh oui François, encule moi bien ! »Ces mots dopèrent mon baiseur. Il y allait à grands coups. Il se crispa et m’inonda une nouvelle fois.Je m’éclipsais pour aller dans la salle de bain. Mon anus ruisselait de son sperme.

Après avoir fait ma toilette et m’être remaquillée, Je rejoignais mon amant dans le salon.Il était nu et le corps viril de mon oncle m’émoustilla.Il me fit asseoir sur ses genoux et m’embrassa à nouveau. J’aimais sa langue qui me pénétrait la bouche. Il me dit « Je veux te revoir. Tu passeras à la maison, Laura t’apprécie beaucoup »Sur ces mots, il fila dans sa chambre pour en ressortir tout habillé un moment plus tard.Il s’approcha de moi, me souleva le menton et prit mes lèvres. Il embrassait divinement ! Il me souleva du sol et me déposa sur le canapéNotre baiser dura, j’aimais être sa femme !Je lui caressais le sexe au travers de son short. Son membre était déjà dur sous ma main.Il me flattait la nuque et ça m’électrisait. Je lui demandais : « Veux tu me prendre encore ? ». Sans attendre sa réponse je lui baissais son short et son slip. Je présentais mes fesses à son regard. Il vint derrière moi en m’enfila d’un coup. Je murmurais « baise moi fort » Il accéléra la cadence de son va et vient.Je lui dit « plus fort, viole moi ! ». Il m’attrapa les poignets et les lia derrière le dos avec son slip. Il me tint par les hanches et me bourra à fond. « Oh oui, François, défonce moi ! ». Sa longue queue me pénètre si profond que j’ai l’impression quelle va sortir par ma bouche.Il me gifle les fesses tout en m’enculant « oh oui c’est bon, fait moi mal ».
Il glisse ses doigts sur mes mamelons et me les pince fortement, cette douleur est si bonne !Il s’est saisit de mes couilles et les malaxe puis les écrase dans sa main. Son autre main continue à me presser les tétons alternativement. « Punis moi, car je suis une salope » « Qu’as-tu fait ? » « J’ai baisé avec Victor hier soir et, ce matin, je l’ai sucé à fond»Ces mots excitèrent mon enculeur. Il s’allongea sur moi et me plaqua sur le canapé.« Tu es une salope, tu baises avec tout le monde ! »« Oui j’aime la bite, surtout la tienne quand elle va bien profond ! » Il souleva mon bassin et se redressa pour me pénétrer à fond.« Reste enfoncé ! Suppliais-je ».Il resta à fond et donnait des petits coups de bite tellement bons que je jouissais !Il cracha sa semence en moi pour la troisième fois. Ses jets puissants et les contractions de sa matraque me faisaient trembler de plaisir.Je filais à la salle de bain la main entre les fesses. Son foutre s’écoulait de mon anus. Sous la douche, j’insistais sur mon anus échauffé. Après m’être remaquillée outrageusement, je mis des bas fumés à couture. Une jupe serrée transparente et fendue jusqu’aux jarretelles. Un chemisier bordé de dentelle. J’étais prête !

Victor et Eric étaient rentrés. Victor m’examina des souliers à ma perruque. Il attarda son regard sur mes jambes gainées. Il s’approcha de moi et me saisit par la taille pour m’attirer à lui. Je minaudais, j’appuyais ma tête sur son torse puis lui tendis mes lèvres.Sa langue me fouilla, je fis tourner la mienne pour répondre à son baiser. Il m’agrippa le sexe et malaxa ma bite et mes couilles à travers ma jupe. Je me mis à bander ! Je sentais son sexe tendu sur mon ventre. Je glissais ma main entre nous pour mieux palper sa vigueur.
François me regardait d’un air jaloux tandis que nous nous frottions la queue mutuellement.Eric vint derrière moi frotter sa bite entre mes fesses. Me libérant doucement de l’emprise de mon maître, je me mis à genou pour entreprendre de le sucer. J’ouvris la braguette et d’une main délicate je dégageais son sexe brûlant. Il sentait fort mais cette odeur de mâle m’excitait.Eric, impatient, m’offrit son sexe en premier. Je le pris en bouche et lui fit une pipe mémorable. Victor avait quitté son pantalon et son slip. Il trônait la bite à l’air en attendant que je le suce. Il astiquait doucement son gros sexe. Je me tournais vers l’objet de mon désir tout en branlant mon cousin. J’engobais cette belle bite violacée et un goût fort m’emplit la bouche. Comme c’était bon, cette saveur d’homme. François vint derrière moi et glissa sa main sous ma jupe. Il me caressa les couilles et mit la main sur mon sexe au travers de la dentelle de ma culotte. Ma jupe était totalement retroussée. Je suçais alternativement les deux queues. Celle de Victor m’emplissait la bouche, celle d’Eric pouvait aller plus profondément.
Je me régalais de la situation. François se pencha et goba la queue de son fils. Il le pompait avec ardeur alors que je me consacrais au gros zob de Victor. Ce dernier se positionna derrière moi et m’enfila d’un coup de bite comme la sale pute que j’étais.Sans ménagement, il me perfora de son gros mandrin. J’avais très mal au cul ! Tandis qu’il me bourrait, je vis François faire un rictus alors qu’Eric était derrière lui.Nous étions presque cote à cote en train de nous faire enculer !François bandait malgré les assauts de son fils dans son cul.Victor me pilonnait et j’adorais ça ! Victor saisit ma queue et la malaxa fermement. Je bandais dans sa main. Il se mit à me masturber tout en m’enculant profond. Eric se déchaînait sur son père qui semblait aux anges.François mon enculeur se faisait enculer.
Victor me pinait sans ménagement. Son manche de pioche me perforait. Son gros zob allait et venait dans mon cul en chaleur. François gémissait sous les coups de butoir que son fils lui donnait. Il se pencha vers moi pour m’embrasser mais nous étions tous les deux secoués par nos assaillants.Les deux mâles jutèrent en même temps, ce fut sublime !
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