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Les bonheurs de Sophie

Chapitre 10

Travesti / Trans
Sophie10
J’avais revêtu ma tenue de garçon. Tout remisé mes effets féminins dans mon sac. Nous étions prêts à retourner à l’appartement. Sur la route du retour, François s’était placé à nouveau à l’arrière près de moi.J’étais épuisée par ce week-end. Il me caressait la jambe et remontait progressivement et inexorablement vers mon sexe. Il me pelotait les testicules mais j’étais trop fatiguée pour bander.
Lui, par contre déformait son short de sa matraque. Il m’embrassa divinement mais les chaos de la route nous obligèrent à nous décoller. J’entrepris de lui faire une pipe pour le soulager. J’ouvris son short et lui baissait aux chevilles en emmenant son slip dans le mouvement. Il trônait la bite à l’air, je l’engobais et fit tourner ma langue sur son gland. J’enfournais son chibre au plus profond de ma gorge au point d’en avoir un haut le cœur ! Il était si long que je pouvais lui branler la queue tout en le suçant profond.Victor dut jeter un coup d’œil car il dit « On ne s’ennuie pas derrière » Il ralentit et trouva un coin désert. Moi, je continuais à sucer François qui me maintenait la tête et ondulait du bassin pour me pénétrer la bouche. Quelle santé il avait !La voiture s’arrêta. François n’allait pas tarder à jouir dans ma bouche. Moi, je m’appliquais à le sucer avec passion. Eric vint ouvrir la porte de mon coté et se colla contre moi. Je sentais sa bite tendue entre mes fesses. Il descendit mon short et mon slip. Il ouvrit sa braguette et colla son gland dans mon sillon.Il forçait, mais était mal positionné. Avec lassitude, je le guidais d’une main. François me baisait la bouche et ne tarda pas à avoir des spasmes alors qu’il éjaculait. Son foutre m’emplissait. Après la quatrième giclée, je pus avaler sa semence et reprendre ma respiration. Je déglutis son jus de couille avec délectation. Mon cousin me prit d’un coup. Je sentais sa longue bite s’insinuer en moi. Ma parole, malgré le cul en feu que j’avais, je pris du plaisir à me faire défoncer. Je bandais !Il me tenait les épaules pendant que sa grosse queue s’activait dans mon fion.
Victor sortit de la voiture et demanda à François de lui laisser la place. Il ouvrit sa braguette descendit son pantalon et son slip et m’offrit sa grosse bite à sucer. J’étais à moitié allongée me faisant baiser par Eric et suçant le gros mandrin de Victor.Les lèvres distendues, je faisais aller ma bouche sur la colonne de chair. Je léchais le gland violacé. Mon cousin me bourrait à fond avec de grands coups de reins. J’adorais me faire prendre ainsi ! Le cul en feu mais pénétré par sa longue bite me faisait jouir je couinais à chacun de ses coups de butoir. J’avais du mal à réaliser ma pipe sur Victor tant Eric me secouait et me troublait. Il finit par se contracter, puis m’envoya son jus chaud en moi.Quand il sortit, son sperme coulait de mon anus sur la cuisse. Je pris maladroitement mon slip pour me nettoyer. Je repris avec ardeur la queue de Victor entre les lèvres. Je le masturbais à deux mains pour lui extirper sa sève. Il ne mit pas longtemps à cracher dans ma bouche qui accueillait, avec délectation, ses giclées de jus d’homme.Je réajustais mon short et mon tee-shirt pendant que mes hommes pissaient.J’avais le cul en feu, je ne pouvais plus m’asseoir !Tout le chemin du retour François avait sa main sur ma cuisse. Il montait, effleurait mon sexe, descendait et me caressait le genou.Il me susurra à l’oreille : « Tu veux que je te fasse plaisir avant qu’on arrive ? »Sans attendre ma réponse, il descendit mon short libérant ma queue à demi molle.Il me prit en bouche et entreprit une fellation. Il me caressait les couilles en me suçant la bite.
Il s’y prenait bien, mieux que maman ! Il me pinça les tétons à la limite de la douleur. Comme j’aimais cette situation !
Il me léchait le gland comme une glace, enfournait mon membre dans sa bouche aspirait serrait les lèvres. Mordillait ma hampe. Je vis Eric qui regardait son père en train de sucer la petite garce que j’étais. Je m’étais faite enculer au moins dix fois ce week-end et maintenant mon oncle me pipait à fond.J’émis de petits râles annonciateurs de ma jouissance. François me serrait les couilles de sa main virile. Je crachais mon jus dans sa bouche qu’il ne retira pas quand il sentit les giclées qui allaient au fond de sa gorge.Il déglutit pour tout avaler puis vint m’embrasser. Sa langue était chargée de sperme, il me faisait partager ma semence.

Arrivés à la maison, c’est ma mère en peignoir et les cheveux défaits qui vint nous ouvrir. Elle nous accueille avec une gêne dissimulée. Nous sommes sur le seuil de la porte quand on voit Laura sortir de la chambre de maman toute ébouriffée. Visiblement les deux femmes étaient occupées à se faire plaisir.Laura porte une simple nuisette qui laisse apparaître ses formes. Je suis troublée à sa vue.
Elle s’approche de moi et m’embrasse à pleine bouche devant son mari.Je l’enlace et réponds à son baiser sulfureux. Elle se dégage tout en me flattant les bourses. Le contact de sa main m’électrise. Elle me fait un sourire et fait la bise aux hommes. Ma mère m’enlace et pose un baiser sur mes lèvres. Elle me demande si le week-end s’est bien passé. « Très bien, dis-je avec un sourire complice, mais j’ai du mal à m’asseoir ! »Ma mère sourit et me chuchota « je vais te soigner ».Tout le monde prit congé. Je restais seul avec maman.Elle se retourna pour m’enlacer. Elle me dit : « J’ai passé le week-end avec Laura, ça a été magnifique »— Raconte, dis-je curieux.— Dés que vous êtes partis, elle m’a draguée, nous nous sommes embrassées, caressées puis avons finis au lit. Et là, nous avons fait l’amour.Ma queue déformait mon short, maman fixait mon entrejambe, mais restait concentrée.— Elle m’a léchée comme personne ! Et toi, ça s’est bien passé ? As-tu profité du séjour ?— C’est surtout eux qui ont profité de moi. Ils adorent Sophie. J’ai été prise par les trois mâles en rut. Mais je crois que François est amoureux de moi.— Ah bon ? — Oui, il m’embrassait avec passion en me disant des mots d’amour.— Il t’a embrassé mieux que moi ?

Elle rapprochait son visage du mien. Nos bouches se collèrent, nos langues se lièrent dans un ballet sensuel.Maman mis sa main sur mon short et entreprit de me branler.Je la laissais faire, elle s’y prenait très bien. Elle descendit mon short sous lequel j’étais nu. Ma queue jaillit. Elle quitta son peignoir et vint s’installer à califourchon sur mon sexe. Elle le guida vers son intimité et descendit d’un coup. Elle mouillait abondamment. Elle me dit « continue à me raconter ce qui s’est passé »Elle montait et descendait sur ma bite — tout d’abord j’ai été leur femme. C’est Eric qui m’a prise en premier. Victor et François m’avaient embrassé mais mon cousin m’a enculé avec sa grosse et longue bite.— Et après ? Gémit elle en s’enfonçant mon pieu au plus profond — ce fut François— Puis ?— Puis ce fut Victor — Il a une grosse bite, tu as du le sentir !— Oh oui j’aime sa grosse bite. Et toi ?— J’aime aussi la tienne. Ca fait du bien une vraie bite !
Elle sautait presque sur moi. Elle ondulait du bassin en s’enfonçant au maximum. Elle ahanait des mots cochons comme « je suis une salope, une garce qui aime la bite ! ».— moi aussi je suis une salope, je me suis faite baiser 10 fois en 2 jours.— Quelle bite tu as préférée ?— J’ai aimé toutes les queues. Victor me défonce, Eric est un bourrin, François va loin en moi.— Oh ma chérie, tu as une si bonne queue. Je t’aime !
Ma mère se complaisait à baiser avec son fils— qu’as-tu fait avec Laura ?— J’ai été sa chienne ! Elle m’a dominée, elle m’a baisée avec le gode ceinture. C’était bon !— Et elle t’a enculée ?— Ouiiii ! Encule moi toi aussi. Je veux une vraie queue dans mon cul.

Elle se redressa et s’empala sur ma queue ruisselante de mouille. Elle descendit sur mon pieu en grimaçant. Elle s’enfonça ma bite au plus profond. Puis elle reprit ses mouvements de bassin pour se sodomiser.J’avais vue sur sa chatte poilue où perlait la cyprine. Ses seins battaient la mesure — Oh maman ! je ne vais pas pouvoir me retenir.— Vas y, décharge en moi !

Je me retenais le plus possible pour apprécier son anus, mais ses mouvements m’excitaient. Je lui mangeais les seins, elle jetait sa tête en arrière en criant son bonheur !Elle jouissait, ma bite au plus profond d’elle. Je la pistonnais maintenant. Ma jouissance éclata en elle. Ma mère se mit à hurler comme jamais je ne l’avais entendu.Après avoir repris ses esprits, elle vint m’embrasser. Sa langue était vive je bandais encore dans son cul. Elle repris lentement sa pénétration. Mon sperme coulait entre ses fesses. Elle continuait à m’embrasser et à s’empaler sur ma queue
Elle jouit rapidement une deuxième fois.
Elle se retira et fit couler le sperme qu’elle conservait en elle sur mon pubis. Le jus était légèrement marron. Elle se mit à genou et lapa mon ventre, elle suçait ma queue pour la nettoyer.
C’était divin !
Elle me dit :— Victor part un mois en vacance, je compte sur toi pour le remplacer .— Oui, maman — Nous irons, le week-end prochain, chez Laura et François pour nous amuser un peu.
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