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Les Borshnakout

Chapitre 1

Divers
Journal de Bord
Pour résumer les premières pages de ce journal, il suffit de dire que je m’apelle Kathy, qu’on est au début du 17e siècle et je fais l’exploration de l’Amérique du Sud.
4 mars 1613
J’ai découvert une tribu que j’ai nommée Borshnakout, dans cette tribu, la plupart se promènent avec un minimum sur le dos cependant, les femmes n’ont presque pas de seins. Les plus gros seins que j’ai vu devaient faire 34B. Je n’ose pas trop approcher, moi qui fait 38D, j’imagine qu’ils me tueraient.
9 mars 1613
Je fais part de mes plus récentes découvertes, dans la tribu en question, j’ai remarqué que le sexe se faisait environ 3 fois par jours en orgie. C’est incroyable, j’y ai vu des hommes avec des membres que j’estime à 8po ?. Je crois que je vais visiter ce village le 23 mars. J’ai un manque à combler, la masturbation ne me satisfaisant plus suffisament devantr un tel spectacle.
24 mars 1613
À mon entrée dans la tribu, le 23 mars, je me suis fait faire prisonnière. Il m’ont laisser dans une cabane tout la nuit, déshabillé. Durant la soirée, par l’espace entre deux gigantesques feuille de palmiers, je pu comprendre qu’il se consultaient pour décider de mon sort. J’entendis le mot ’Rashec’ plusieurs fois et ce mot signifiait sexe d’après moi, ce que je peux confirmer. Tôt le matin, trois hommes entrèrent, s’assairent et me regardèrent longuement. Ainsi, je décidai de leur montrer que des seins était d’abord un organe de jouissance et ce en me les massant de haut en bas, les écrasants contre ma poitrine puis ensuite, je pris mes doigts puis je fis de petits ronds autour de mes tétines en appuyant, des fois de temps en temps, sur mes petits boutons. Je reprenais alors de plus belle en les poignant puis les écrasant et les envoyant de tout bords tout cotés.
Je fis cela sans tenitr compte de la douleur mais seulement de la jouissance que cela me procurait. J’eus alors un orgasme et ils furent tous très impressionés mais je ne leur était pas utile alors leur idée de me tuer n’était pas partie cependant, pour me donner une mince chance, j’eus à relever un défis, du moins c’est ce que je crois que c’était. Un sablier était au centre du village et avant que tout le sable ne s’écoule, je devais faire éjaculer l’homme. Pour ce spectacle, il avait pris l’homme à la queue de 9 pouces et ?. C’était un pénis assez impressionnant à voir. N’osant pas trop metttre ce pénis dans mon intérieur, je commença par une simple pipe mais il n’en ressentait presque aucun effet car je n’en prenait même pas le quart dans ma bouche. Ainsi je lacha cette initiative et me fis pénétrer.
Là encore, il me buttait a fond et sa queue n’entrait même pas complètement, il fallait trouver autre chose mais c’est dur de réfléchir dans des moments comme ceux-là quand la jouissance est au bout. J’arrêta ensuite pour le masturber car c’est plus efficace pour quelquechose de cette longueur. La masturbation n’aurait pas suffit si ce n’était pas que je fis celle-ci avec mes seins. Plaçant son énorme queue entre mes deux seins, j’appuya fortement contre son pénis puis fis un mouvement de haut en bas. Dans ce domaine totalement inconnu, il se mit à jouir, enfin, puis je réussi à lui faire avoir un orgasme. Alors ma mort fut oubliée puis une gigantesque orgie se déclara alors que chaque homme réclamait le même traitement.Le monde s’empilait autour de moi, les femmes cherchant des hommes et les hommes recherchant mon traitement. Je peux finalement vous écrire, après un avant-midi folle, dont je suis encore toute chaude.
15 avril 1613
Maintenant, je m’accoutume peu à peu à la vie des Borshnakout me laissant du temps pour écrire dans ce journal de temps à autre.
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