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Les chroniques de Sophie

Chapitre 2

L'orgie 2/3

Trash
Sophie suit Thomas alors qu’ils sortent de la chambre ; pendant ce temps, la soirée semble avoir continué dans la même direction. Partout des gens nus, soit en train d’avoir des relations, soit en train de discuter en attendant la prochaine.Elle trouve de la place sur un canapé, à côté d’un couple en plein 69. Sophie est obligée de faire attention à sa position, de peur de révéler ce qu’elle porte sous sa robe. À cet instant, Caroline saute sur la place libre à sa gauche, toute souriante.
— Alors ? l’interroge Caroline.— Alors quoi ?— Bah, alors, c’était comment dans la chambre ?— Euuh…— Oui, tout le monde le sait. Vous disparaissez pendant 45 minutes dans une chambre : évidemment qu’on sait. Donc, c’était comment ?— Oui, oui, c’était bien.— Et en plus, il a une bite incroyable, non ?— C’est vrai qu’elle est pas mal.
Elle ne peut s’empêcher de sourire.
— Ah, bah, c’est bien tu te lâches ! Continue, c’est que le début de soirée. Bon, moi je te laisse : on m’attend.
Elle disparaît alors, non sans avoir envoyé un clin d’œil à son amie.À côté, le mec est maintenant en train de prendre la fille en missionnaire.Sophie reste ainsi un bon bout de temps. De temps en temps elle échange quelques mots avec certains, essentiellement pour refuser des avances.À son tour, Thomas vient s’asseoir à côté d’elle ; il lui tend un verre en même temps.
— Alors, quand est-ce qu’on fait le second round ? demande-t-il avec un sourire.— Euh, on verra ça...— Si je te pose une question, est-ce que tu peux me promettre de dire la vérité ?— Ça sent le piège... mais oui, vas-y.
— Tout à l’heure, dans la chambre... t’avais envie que je t’encule, non ?
Elle s’étouffe presque.
— Pourquoi cette question ? demande-t-elle.— Vu comment je t’ai doigté le cul, que tu m’as laissé faire comme ça, y’a pas moyen que tu voulais pas.— Oui.— Oui ? Oui, t’avais envie ?— Oui.— Oh, punaise ! J’aurais dû insister. Écoute ; si tu le veux, tu me dis, c’est quand tu veux ! J’te jure, ton cul est divin !— OK, OK.— Montre-le-moi encore.— Hein ?— Lève ta robe et montre-le-moi ; je veux le revoir et le sentir encore.— Tu veux me renifler le cul ?— Oui : c’est une sensation incroyable ! C’est dur à expliquer, mais c’est divin ; surtout le tien.— Euh, c’est un peu bizarre oui.— Tu soulèves ta robe et je peux en profiter. Juste deux minutes, même pas besoin d’enlever ta culotte.— Ouais ; enfin, c’est pas tellement une culotte, ça… Et puis là, devant tout le monde ?— Regarde autour de toi : je pense pas que tu choqueras quelqu’un.
Elle tourne la tête à droite et à gauche ; en effet, ça baise dans tous les sens. Personne ne semble leur prêter attention.
— Oh, punaise ! OK, OK…— Super ! Alors mets-toi à quatre pattes sur le canapé.
Sophie obéit ; elle se met à quatre pattes. Thomas passe alors derrière et soulève sa robe.
— Oh, punaise ! Tu as un cul incroyable ! Vas-y, cambre-toi un peu, sors-le plus.
Elle s’exécute, sortant ses fesses vers lui. Elle sait qu’avec ce string, autant dire que rien n’est caché. Il lui caresse les deux fesses, approche son visage et la sent, humant ses odeurs les plus intimes.
— Oooh, génial…
Il attrape un peu plus ses fesses et les écarte, étirant son anus, puis il se remet à la sentir.Elle rentre alors ses fesses, remet sa robe et se rassied.
— Bon, ça suffit maintenant.— C’était génial... Oublie pas de me dire si tu veux que je m’en occupe, hein ? dit-il en lui lançant un clin d’œil.
C’est à ce moment qu’un autre homme les interrompt :
— Et bah, c’était quoi, ça !? J’ai le droit moi aussi ? demande-t-il.— Ça, c’est le plus beau cul de la soirée ; tu devrais le voir…— Plutôt, que je veux le voir !— Tu lui montres ?— Hein ? Euh, non...— Mais si, vas-y ! Tu es tellement belle, ça serait bête de pas le partager…— Et je touche pas : je mate, c’est tout ! ajoute l’inconnu.— Oh, putain… Non mais, vous êtes graves, quoi !— Remets-toi pareil et cambre-toi bien.
Encore une fois Sophie obéit, se met à quatre pattes et cambre ses fesses. Thomas prend alors sa robe et la remonte, la dévoilant.
— Wow... magnifique ! T’avais raison : elle a un cul de déesse.— N’est-ce pas, hein ? Tiens, regarde…
Thomas attrape la ficelle de son string et la tire sur le côté, montrant son sexe et son anus. À quatre pattes, on peut ainsi voir le début de sa chatte aux lèvres sombres surplombée par des poils noirs. Ses fesses fines, ainsi positionnées, ouvrent un accès direct sur sa petite rondelle, ronde, large, aux couleurs brunes.
— Wooow, ce cul ! Putain, elle peut prendre du gros, ça se voit direct !— Bon, ça suffit maintenant ! dit-elle en se rasseyant.— Je te remercie. En tout cas, c’était superbe, et je confirme : t’as les plus belles fesses de la soirée.
Sophie remarque que les deux hommes ont une érection de taureau. Le spectacle semble les avoir excités. Elle aussi, à vrai dire : son ami a aussi un sexe excitant ; pas aussi long, mais large, vraiment très large. Il remarque sans doute son regard car il lui demande :
— Ça te plaît ?
Elle ne répond pas et hausse juste les yeux au ciel.
— Tu peux pas me soulager ? Après un tel spectacle, je suis prêt à exploser.— Non. T’as qu’à te branler.— OK, mais alors en te matant.— Comment ça ?— Tu te remets comme tu étais, et je me branle en te matant.— T’auras rien de plus, hein !— OK ; je me branle, c’est tout.
Elle ne lui dit pas, mais tout ça l’excite beaucoup : savoir que juste en la matant ils ont des érections pareilles.Elle se remet en position, encore une fois en cambrant ses fesses. Il attrape sa robe et la passe par-dessus. Elle l’entend en train de se branler alors qu’il la regarde. D’une main, il prend son string et le tire sur le côté ; elle le laisse faire. Il continue ainsi à la mater tout en se masturbant.Il pose alors son pouce contre son anus et le caresse en le frottant en cercles. Il s’approche encore, appuie son sexe contre son cul et commence à frotter de haut en bas. Sentant ce membre contre son anus, son cul est en feu. Elle veut qu’il entre, qu’il l’encule de son sexe si large, qu’il lui défonce le cul. Il continue à le frotter encore. Elle est au bord de l’explosion. Elle va lui demander, elle n’en peut plus.C’est alors qu’il éjacule, éclaboussant ses fesses de son jus bouillant. Après avoir fini, il prend des mouchoirs et l’essuie. Il continue de lui parler, mais elle n’écoute pas ; son bas-ventre est en feu.Un peu plus tard, elle se rend compte qu’il est parti et qu’elle est maintenant seule sur le canapé. Elle remarque Thomas, plus loin, en train de se servir à boire. Elle se dirige vers lui.
— Viens, lui dit-elle en lui attrapant la main.
Sans objecter, il la suit. Ils se dirigent vers la chambre. Elle ferme à clef derrière eux.
— Oui ? demande-t-il.
Sophie prend une grande inspiration.
— Tu... tu peux m’enculer.
Sans un mot, il l’attrape par les bras et l’embrasse. Il descend les bretelles de sa robe qui tombe à ses pieds ; elle prend son string et l’enlève. Puis, alors qu’il caresse ses fesses nues, il lui murmure à l’oreille :
— Je vais m’occuper de ton petit cul comme personne ne l’a fait avant. Je vais t’enculer comme jamais, te traiter comme ma chienne, te faire hurler de plaisir. Je vais te le prendre sauvagement, te le défoncer. Je vais en faire un trou béant !
Elle a envie de tout ça, qu’il la possède.
— Fais de moi ce que tu veux… répond-elle.
Il l attrape par les hanches et la dirige vers le lit.
— Remets-toi comme avant ; cambre-toi bien, montre-moi ton cul.
Sophie se met à quatre pattes sur le lit et se cambre, son cul pointé vers lui.Elle est nue, son cul offert.Il l’attrape, et sans attendre y met sa langue, le léchant allègrement. Sa langue entre en elle de plus en plus profond, remuant dans son anus. Elle est folle de plaisir. De son autre main, il fait pénétrer deux doigts dans sa chatte, allant au plus profond sans attendre. Il continue ainsi, sa langue dans son anus et lui doigtant la chatte. Elle ne peut s’empêcher de pousser des gémissements de plus en plus forts au fur et à mesure que le plaisir monte.Il introduit un troisième doigt dans son sexe trempé ; ses gémissements​ augmentent. Sa langue semble être entrée en entier, maintenant. Il se redresse, enlève ses doigts, en sans plus attendre en insère un dans son cul. Il va direct au fond. Il ressort et replonge aussitôt, mais cette fois avec deux doigts, bien à fond. Il fait quelques allers et retours doucement, mais très vite il augmente le rythme. Il lui doigte l’anus énergiquement, ses doigts plongeant en elle a une vitesse prodigieuse.Sa tête lui tourne. Elle pousse un long cri continu.
Il s’interrompt et la contourne. Il l’attrape par les cheveux pour redresser sa tête et plonge sa bite dans sa bouche, allant directement au fond de sa gorge. Il lui baise brutalement la bouche. Lui tenant la tête des deux mains, il lui martèle violemment la gorge. Elle est maintenant sur ses genoux, redressée. Son emprise ne s’arrête pas. Bientôt elle penche complètement vers l’arrière sous la pression de ses reins, retenue uniquement par la poigne de Thomas dans ses cheveux.Il s’arrête, sa bite dégoulinante de salive, puis la contourne à nouveau. Il la remet à quatre pattes, replonge deux doigts au fond de son cul et recommence à la doigter énergiquement. Sophie a envie de son sexe en elle, elle n’en peut plus.
— Mets ta bite !— Écarte tes fesses ; présente-moi bien ton cul.
Elle agrippe ses fesses et tire dessus, écartant son anus. L’idée de la vue qu’il a d’elle l’excite terriblement ; elle écarte encore plus.
— T’es bien offerte, c’est bien.— Mets ta bite, elle répète, encule-moi !
Il se redresse et prend ses appuis, puis elle sent le gland se poser à l’entrée de son anus. Doucement, il commence à pousser. Sophie sent chaque millimètre entrer en elle. Son gland est maintenant entré, mais il continue à pousser. C’est maintenant la plus grosse partie. Punaise, il est si gros !
— Relaxe-toi, dit-il.
Sophie souffle un coup et tente de relaxer ses muscles. Aussitôt, elle sent la bite entrer plus profondément dans son cul. Il commence son va-et-vient, tout doucement. Sophie pousse de petits gémissements. Sa bite est dure comme de la pierre. Il la tient par les hanches pendant qu’il continue ses mouvements, allant à chaque fois un petit peu plus profondément. Il ressort et tire sur ses fesses. Il crache dans son anus et aussitôt y replonge sa bite. Cette fois, l’entrée est plus facile.Il reprend ses mouvements. Plus profondément encore, mais toujours doucement. Elle sent son sexe aller toujours plus encore en elle. La sensation est incroyable. Bientôt, Sophie sent ses couilles toucher sa chatte : il est entré en entier. Connaissant la taille de son sexe, elle n’en revient pas, ce qui a pour effet de l’exciter encore plus.
— Maintenant que je suis bien dedans, je vais passer un cran au-dessus : je vais te défoncer ton cul, tu vas voir !
Aussitôt il accélère le rythme, la tenant fermement par les hanches. Comme il l’avait annoncé, il n’est plus question d’y aller doucement : il lui ramone l’anus comme jamais quelqu’un ne l’avait fait.Pourtant il continue toujours à accélérer ; ses couilles tapent contre sa chatte. Il y va sauvagement, aussi vite et fort qu’il peut. Ce ne sont plus des gémissements, mais des cris qu’elle pousse. Elle comprend maintenant ce qu’il disait par « lui défoncer le cul » !D’une de ses mains, il l’attrape par les cheveux tout en continuant à l’enculer. Il lui ravage l’anus pendant une éternité, inarrêtable. Il agrippe un de ses bras et la fait se redresser, son dos contre son buste alors qu’il continue son ramonage. Il lui embrasse le cou pendant que ses deux mains lui prennent fermement les seins. Même s’il ne peut aller aussi fort, il peut maintenant aller encore plus profondément. Il pousse pour faire entrer son sexe au plus profond possible de son anus. Il l’attrape par les épaules et appuie pendant qu’il pousse sa bite à fond. Sophie a l’impression que son cul va craquer. Elle hurle. Il continue pourtant à l’enculer toujours plus profond.
— Tu prends ma bite bien au fond. T’aimes ça, toi. Tu veux que je continue à te défoncer le cul comme ça ?— Oui... oui... continue... défonce-moi le cul.
Il la pousse et la fait remettre à quatre pattes. Il sort sa bite et écarte ses fesses de ses mains.
— Oh oui... Regarde-moi ça : un trou béant ! Tu faisais ta prude, mais t’es une chienne, en fait. Regarde-moi ça… Quel cul de salope !
Il replonge sa bite qui rentre maintenant en entier sans le moindre effort et se remet à la labourer.Ses cris reprennent. Il y va si fort qu’au fur et à mesure elle s’affale sur le lit. Il continue tout de même son martèlement.Il sort une nouvelle fois, l’attrape par une de ses jambes et la fait se retourner, allongée sur le dos, puis il relève ses jambes pour amener ses genoux à son visage.
— Tiens tes jambes comme ça.
Il replonge aussitôt sa bite dans son anus grand ouvert et la pénètre violemment. Sans qu’elle ne s’y attende, son plaisir est décuplé, elle jouit comme jamais. Un orgasme différent, venant de son anus. Ses cris sont encore plus forts ; tout le monde doit l’entendre.Son orgasme semble l’avoir excité.
— Oh, tu vas me faire venir aussi.
Sophie ne sait pas trop pourquoi elle lui répond :
— Pas dedans… Ressors, ressors !— OK, mais tu vas avaler chaque goutte de mon sperme.
Il l’attrape par les cheveux et la fait s’agenouiller sur le lit, agrippe sa tête fermement et introduit jusqu’à la racine sa bite dans sa bouche. Presque aussitôt elle la sent gonfler, et son sperme explose en elle.
— Avale, salope. Avale tout.
Elle avale son sperme bouillant, mais chaque gorgée ne suffit pas à ingérer le flux de son jus ; elle étouffe ! Pourtant il resserre sa prise sur elle, forçant son sexe au fond de sa gorge. Le sperme ressort de sa bouche, elle ne peut avaler tout son foutre. Enfin le flot ralentit ; elle continue à avaler plusieurs gorgées, puisl ressort enfin sa bite.
— Lèche-la bien. Nettoie-la.
Sophie lui lèche la bite, avalant chaque goutte de son sperme, puis elle s’écroule sur le lit, exténuée. La fatigue tombe d’un coup.
— Fais-moi voir ça ; fais voir ton cul après tout ça. Remets-toi à quatre pattes.
Encore une fois elle lui obéit et se remet en levrette, la tête sur le matelas. Ses fesses restent ouvertes ; son anus si beau et délicat est maintenant remplacé par un grand trou, dilaté par cette sodomie sauvage.
— Superbe ! T’es complètement dilatée. Ton cul est un énorme trou béant. Faut dire que je t’ai pas ménagée…
Sophie passe sa main sur son anus. Il a raison : à la place, elle sent un grand trou d’au moins 4 centimètres de diamètre. Il l’a enculée tellement fort et tellement longtemps que son cul garde la forme de sa bite.
— Ça va se remettre, mais tu vas être bien dilatée pour un bout de temps. T’as aimé, au moins ?— Oui oui.— C’est tout ?— Non, non, c’était bien. Enfin ; c’était génial.— Bien. Et c’est pas fini, hein : la soirée bat son plein. Par contre, ce serait cool que tu fasses des efforts en dehors de cette chambre, hein. Lâche-toi comme ici.— Oui, oui, je sais…— T’as aimé que je te traite comme ma pute, hein ?— Euh… Oui, oui, ça a été.
Elle ment : elle a adoré.
— Alors regarde : ce qu’on peut faire, c’est qu’en sortant d’ici t’es ma salope, mon jouet sexuel ; tu m’obéis.— Hein ?— Regarde : rien que d’y penser, tu me files la gaule encore.
C’est vrai, sa bite est déjà énorme. Elle la veut en elle.
— Euh… OK.— Cool, tu vas pas le regretter, tu vas voir.
Elle attrape sa robe et s’apprête à la renfiler.
— Non, mets pas ta robe ! intervient Thomas.— Hein ? Mais je vais pas y aller toute nue…— T’as qu’à mettre le string, alors.
Elle l’enfile, sachant très bien qu’il ne cache quasiment rien d’elle, et surtout pas le trou béant que sa bite a laissé.Il ouvre la porte et elle le suit au milieu de tout le monde, ne portant rien d’autre que ce minuscule string. Il passe derrière elle, puis sans prévenir l’encule de deux doigts. Bien logé au fond de son cul, il lui murmure à son oreille :
— Maintenant, la deuxième partie de la soirée va pouvoir commencer. Dans la chambre, c’était juste l’apéritif ; maintenant, on va s’assurer que chaque mec ici s’occupe bien à fond de ton petit cul.
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