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Les collants de Anne-Lise

Chapitre 2

SM / Fétichisme
2
Les pieds d’Anne-Lise
Le lendemain je traversai le parc pour rentrer chez moi pour accueillir Anne-Lise qui devait arriver pour signer son bail. C’était encore une belle journée ensoleillée. Comme la veille, le parc regorgeait de promeneurs et de jeunes étudiants venus profiter du beau temps. En parcourant le sentier j’aperçu ma délicieuse visiteuse étendue dans l’herbe se délectant au soleil, les yeux fermés, le visage tourné vers le soleil. Pour une fois elle était habillée exactement avec les mêmes habits que le jour d’avant. Même petit chemisier blanc, même petit top avec motifs à fleurs en dentelles, même jupe bleue marine et surtout mêmes collants noir satiné de haute gamme et mêmes ballerines. Je m’approchai pour lui parler.
— Bonjour Anne-Lise. Comment vas tu ?
— Salut ! Bien. Et toi ? Je suis un peu tôt alors je profite du soleil.
Je ne savais pas quoi lui dire. J’étais encore quelque peu mal à l’aise par rapport à la découverte des DVD. Il fallait absolument que j’enchaîne avec un sujet de conversation intellectuel afin de lui donner une plus belle image de moi et aussi faire mieux sa connaissance. Le moment était idéal et le cadre était parfait. Je m’assis à côté d’elle. Je ne pouvais pas m’empêcher de fixer ses jambes enrobées de ses somptueux collants noirs vénitiens.
— Tu fais quoi comme étude ? La questionais-je en regardant ses pieds.
— Je suis en première année d’esthéticienne. J’ai commencé en septembre dernier, j’en ai pour 3 ans. Ce que j’aime le plus ce sont les cours pratiques. J’attends avec impatience mes stages en centre de soin qui commencent le mois prochain !
Je lui répondi en risquant un compliment.
— En te regardant c’est vrai que je t’imagine bien esthéticienne… bien habillée, bien soignée, bien coiffée, ça te convient bien.Le compliment lui plut. Elle me décocha un sourire qui me réconforta et me mis plus à l’aise. Elle enchaîna.
— Et toi tu fais quoi ? Pourquoi tu quittes ton studio ?Je lui expliquai alors ma situation, que j’allais partir poursuivre mes études de médecine en Angleterre. Le sujet paru fortement l’intéresser et elle fini par m’avouer …— Il y a quelque temps moi aussi je voulais faire médecine ! Mais ce que j’aime surtout c’est le soin du corps. Alors j’ai choisi esthéticienne. Et comme j’aime bien soigner mes mains et mes pieds je compte me diriger vers la manicure et la pédicure. Peut être qu’un jour j’ouvrirai mon propre cabinet !
Le contact était en train de bien s’établir. J’étais sur la bonne voie et son enthousiasme me mettait de plus en plus à l’aise. Je ne pouvais cependant pas m’empêcher de jeter de nombreux regards furtifs vers ses jambes qu’elle tenait étendues devant elle. Elle retira ses ballerines et caressa ses pieds l’un avec l’autre. Cela me perturba, me fit perdre mon attention et elle s’en aperçut. Elle continua néanmoins à tortiller ses pieds en me souriant du regard.
— On dirait que ca te plaît de regarder mes pieds !Je tremblais. Je tentai de me justifier…
— C’est vrai qu’il y a un rapport entre la médecine et les soins esthétiques. La pédicure permet de soigner pas mal de maux rien qu’en massant les pieds. Les chinois appellent ça la réflexologie. Ce sont eux qui l’ont inventé.
— Ah ? Intéressant. Je devrais peut-être essayer. J’aime beaucoup aussi mes jambes, je les soigne tous les jours. Comment tu les trouves ? — Je les aime bien, elles sont très belles.
Et tout en disant ces mots elle déplaça ses jambes pour venir les poser sur mes cuisses. Instinctivement mes mains se posèrent sur ses pieds que je commençai à masser.
— Ca fait du bien ! J’adore ça dit elle. Je pourrais me faire masser les pieds toute la journée ! Est-ce que tu aime mes collants ?
Une nouvelle fois elle me posa une question qui me déstabilisa totalement ! Autant ses pieds je les aimais bien, ses collants je les adorais ! Je devais me retenir pour ne pas tirer dessus et les mettre en bouche, surtout ceux qu’elle portait en ce moment. Je lui répondis en restant très sérieux car je n’osais pas dévoiler ma passion pour ses collants.
— Ils sont très beaux, ils te vont très bien. Porter des collants comprime les jambes et favorise la bonne circulation du sang.
Ce que je dis la fis rire énormément et elle me répliqua
— Tu sais, t’es pas obligé de rester aussi sérieux avec moi cher docteur ! Tu peux me dire que tu aimes mes collants. Je le vois bien, depuis hier tu n’arrêtes pas de regarder mes jambes et aujourd’hui aussi. J’adoooore mettre des collants, particulièrement ceux-ci. Ils sont très doux et je me sens très bien dedans. Je ne peux pas m’en séparer. Parfois il m’arrive même de dormir avec ! M’expliqua t-elle en passant sa main sur sa cuisse.
Les phrases qu’elle prononçait créaient en moi une profonde excitation. Je pouvais sentir qu’elle avait transpiré dans ses collants toute la journée car je sentais l’humidité de ses pieds à travers ses collants. Je les massais à pleine main. Elle fermait les yeux afin de mieux profiter de l’instant que je lui offrais. Tandis que j’avais l’opportunité d’observer de très près ses jambes galbées de ce tissu si doux et de caresser ses pieds sans l’once de culpabilité. J’éprouvai une envie intense de renifler ses pieds, de les mettre en bouche et les lécher. Cette envie faisait gonfler en moi une excitation intense qui se traduisait par une bosse dans mon pantalon. Le fait qu’elle me parle de ses collants de façon très naturelle me mis nettement plus à l’aise et cela me permit de lui avouer des choses que je n’avais encore jamais oser dire à personne.
— C’est vrai qu’ils sont très doux au toucher. J’aime les caresser. En fait, je dois dire que je suis même parfois un peu fétichiste des pieds et des collants. J’ai toujours eu un faible pour ça, surtout s’ils ont déjà été porté, leur douceur, leur odeur, … ça me plaît beaucoup.
— En fait je parie que tu voudrais même plus que ça. Je suis sûre que tu as très envie de les embrasser. Et en disant ses mots elle fit glisser son pied le long de mon pantalon vers ma ceinture, colla sa cuisse à ma poitrine et fit de petits mouvements de frottement pour me caresser le torse avec son mollet comme pour dire « Allez viens que je t’excite ! ». Elle m’excitait tellement que mon pénis pris du volume dans mon caleçon mais il était coincé dans une position qui me faisait très mal. J’aurais bien entré ma main dans mon pantalon pour le soulager mais impossible devant Anne-Lise. Elle sentit qu’il m’arrivait quelque chose car mes mains maintenant serraient fermement toute sa cuisse et je tressailli en serrant des dents.
Le moment vint de quitter le parc pour rejoindre le studio pour signer le contrat de bail que je devais remettre à Anne-Lise. Elle m’avoua qu’elle était très pressée d’aller à la toilette, et qu’elle attrapait des crampes au ventre. Nous nous dépêchions de rentrer chez moi.
Sans attendre elle entra directement dans la salle de bain sans prendre le temps de fermer la porte à clef. Cette fois-ci je ne pouvais pas m’empêcher de me rapprocher pour écouter. Il y avait une grille d’aération dans le bas de la porte qui laissait voir à travers. Je me mis à plat ventre mais la visibilité n’était pas parfaite. Elle avait abaissé ses collants pour pouvoir s’asseoir. Je l’observais uriner mais je ne distinguais pas grand chose. Ma principale question restait toujours sans réponse. Je ne savais toujours pas si elle portait une petite culotte. Par contre ce dont j’étais certain c’est que je n’avais toujours pas replacé de nouveau rouleau de papier WC. Il fallait donc une nouvelle fois qu’elle revête ses collants sans s’être essuyée !
Lorsqu’elle sortit de la salle de bain j’étais déjà installé dans le canapé, le contrat de bail préparé sur la petite table basse. Elle vint s’asseoir à côté de moi.
— Voici le contrat lui dis-je. C’est un contrat de type standard.
Nous parcourions et remplissions au fur et à mesure les quelques pages. Arrivé à la dernière page elle signa les deux exemplaires.
— Je vais écrire sur ton exemplaire le numéro de téléphone du propriétaire lui dis-je. Ainsi tu pourras t’arranger avec lui pour la remise des clefs et le relevé des compteurs.
Je pris mon smartphone pour chercher le numéro du proprio et, lorsque je déverrouilla l’écran, la page du dernier site internet que j’avais visité apparu. C’était une page d’un site porno ou plus précisément un site uro avec des photos et des vidéos de filles se faisant pipi dessus. J’eu une sueur froide qui me traversa le dos, ma respiration se bloqua net. Très maladroitement je reverrouillai l’écran de mon smartphone mais c’était trop tard…— Hé ! Attends ! C’était quoi ça ? Montre un peu, je veux voir ! Dit-elle.Je pris le risque de déverrouiller à nouveau l’écran de mon mobile et de lui montrer le site en question. Elle prit mon smartphone et regarda. Dans un premier temps elle resta silencieuse, bouche bée, stupéfaite. Puis, …— Berk, c’est dégueulasse !!! C’est dégoutant ! Comment on peut aimer regarder des trucs pareils ? Tu dois vraiment avoir un problème toi ! C’est rempli de films de cul chez toi. T’es vraiment qu’un gros … beeeerk.Sans continuer sa phrase elle me jeta mon téléphone. Je m’étais trahi par moi-même, j’avais tout gâché. J’étais rempli de honte et de désarroi. Je me sentais terriblement mal à l’aise. — Je dois y aller. Elle partit en emportant le contrat. Je restai assis sur le sofa complètement paralysé au moins pendant cinq longues minutes. Je portai ma main à ma bouche et senti encore l’odeur de transpiration de ses pieds qui avaient à présent un fort goût d’amertume. Je parti dans la salle de bain me laver les mains et par la même occasion de façon moins élogieuse une partie de mon chagrin.
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