Je m’appelle Sylvie, l’histoire qui suit est romancée, mais les principaux événements me sont réellement arrivés. J’ai 21 ans, les cheveux long et roux. Ma silhouette attire plutôt les hommes (1,76 mètre pour 58 kilos et 88 cm de tour de poitrine), mais malgré quelques amourettes, je suis toujours pure.Je suis du style « première de la classe », bac à 17 ans avec mention, j’ai un CAPES de mathématique et je prépare l’agrégation. Je vis toujours chez mes parents, à Nancy. Nous sommes à l’automne 1997, je viens d’être nommée professeur remplaçant dans un lycée polyvalent du Nord de la région Parisienne. La proviseur adjointe et une surveillante m’accueille en ce retour de vacances de la Toussaint, le professeur titulaire est en arrêt maladie depuis fin septembre. J’aurai quatre classes : trois de seconde générale et une terminale pro mécanique.Les conditions de travaille me paraissent excellente, tous mes cours auront lieu dans la même salle où un bureau adjacent m’est attribué. Premier cour avec les T pro, 17 élèves que des garçons entre 18 et 22 ans. Je dois imposer mon autorité face à ces hommes dont les hormones travaillent plus vite que leur cerveau. J’intercepte quelques « petits papiers » dont les facteurs n’avaient pas été assez discret. La sonnerie interrompt 120 minutes d’alternance entre explication de cours et demande de silence. Je me pose enfin devant mon bureau,et je décide de lire les correspondances avant de les jeter. « t’as vu la pp »« matte les nibards »« avant le bac elle est dans mon lit ». Les deux premiers mots me mettent mal à l’aise, le troisième m’inquiète. Je mets les papiers dans mon cartable et j’essaie de ne pas trop y penser. Au bout d’une semaine j’allais mieux, mes élèves s’habituer à moi et moi à eux. Au fil des semaines, je me suis liée avec Nadia, la surveillante qui m’a accueillie à mon arrivée. Elle m’a appris que l’un de mes élèves de T pro, la star du lycée, un judoka qui évoluer à haut niveau, se trouve être son frère. Lors d’une sortie entre copines, Nadia m’invita pour le réveillon de la Saint Sylvestre. Le 31 au soir, nous sommes une vingtaine de convives, je passe une super soirée avec Nadia et ses amis. Au milieu de la soirée, Nadia interpella son frère qui venait d’arriver, « Frédéric, tu peux saluer ta prof de math ! »en lui faisant la bise, je lui glisse : « ce soir, tu peux m’appeler Sylvie. »
A plusieurs reprises j’ai acceptée de danser avec Fred, des danses plus ou moins sexy, des attitudes plus ou moins suggestives. A la fin d’une danse, alors que la soirée touchée à sa fin, il me prit par la main et m’entrena à l’étage. Dans sa chambre, il me pris dans ses bras. Je me laissé faire, j’avais l’impression d’être comme possédée. Il pris possession de ma bouche avec sa langue et me caressait les cuisses et les fesses de d’une main, pendant que l’autre me maintenait contre lui. Je sentais sa virilité grossir à travers le tissue de son jean. j’étais hypnotisée, je savais que ne pourrais plus faire demi-tour, j’allais y passer, devenir une femme. D’un coup, il me sortie de mes pensée, il me susurra à l’oreille « laisse toi faire » « tu sais il faut que je te dise... »« laisse je sais ! »« tu sais quoi ? »« tu es encore vierge ! »« mais qui t’as... »« tes yeux mon tout dis de toi, ton regard de Princesse me supplie de faire de toi une Reine. » Il se recula, me fit pivoter, il baissa la fermeture de ma robe qui tomba sur mes chevilles. J’étais quasi nue devant lui, juste des bas et mon string. « tu es superbe » Puis il me pris et me posa sur son lit. Il me caressait et m’embrassait sur tout le corps. Il était attentionné, délicat. Il m’enleva mes bas, puis mon string. Il se déshabilla et revint s’occuper de mon corps. Sa bouche quitta ma poitrine pour l’intérieur de mes cuisses puis s’arrêta sur mes lèvres intimes, je frissonnais, je me cambrais sous ses nouvelles sensations. Je sentais l’orgasme monter en moi... la jouissance était là, j’hurlais de plaisir. Il pris cette jouissance comme le top départ de mon dépucelage. Il embrassa une dernière fois ma fente puis positionna son sexe devant le mien. J’étais déjà trempée, il me pénétra sans trop d’effort.Je sentais la déchirure en moi, la douleur et le plaisirs se mariaient à merveille. Il commença ses va et vient, l’excitation revenée en moi.Frédérique me faisait découvrir le plaisir du sexe et j’y prenais goût. Son phallus prenait véritablement possession de mon vagin, je sentais chaque millimètre carré de son corps prendre possession du mien.Je sentais son bâton de chaire changer de rythme, sortir pour mieux rentrer. Il prenait son temps pour mieux me posséder.Le volume de mes gémissements augmenter à chacun de ses coups de reins. Au moins à trois reprises, je connue l’orgasme absolu. J’ai également pu constater sa jouissance à plusieurs reprises. Jamais, je n’aurais cru prendre autant de plaisirs aussi longtemps. Je m’endormis dans les bras de mon premier amant, épuisée mais heureuse.
