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Les deux frères

Chapitre 1

Divers
Ma vraie découverte des plaisirs du sexe.
Cette fois, c’est moi qui vous l’écris et non mon homme car, bien qu’il la connaisse vu qu’il aime que je lui raconte ce qui m’arrive ainsi que ce qui m’est arrivé avant notre rencontre, je suis mieux à même pour expliquer tous les détails.
Il y a plusieurs années, alors que j’habitais toujours chez mes parents, m’est survenue une aventure qui a contribué à mon ouverture dans le monde si beau de l’érotisme et du libertinage.Papa, maman et moi résidions dans un quartier résidentiel près de Liège. Plus exactement à Alleur.Je suis née là et n’en suis partie que lorsque j’ai rencontré l’homme de ma vie qui est devenu mon mari.Notre maison était ce qu’on appelle une "4 façades". Le jardin entourait la maison sur 3 cotés, papa avait fait construire une petite piscine dans laquelle j’ai passé de merveilleux moments avec mes ami(e)s d’école et de collège. Mes parents fréquentaient un couple qui habitait la propriété contiguë à la nôtre, des gens charmants ayant quelques années de plus qu’eux. Je me suis toujours bien entendue avec eux, surtout la dame qui, enseignante, m’a beaucoup aidé lorsque j’avais des difficultés scolaires. A ma pré-adolescence, ce fut également elle qui devint ma confidente, celle à qui je racontais mes petites amourettes ainsi que mes peines de coeur.Malheureusement, cette dame fut atteinte d’un cancer foudroyant qui l’emporta en quelques semaines.Son mari devint taciturne, ce n’était plus l’homme enjoué que j’avais toujours connu. Mes parents l’invitaient chaque vendredi pour qu’il vienne manger avec nous, passer la soirée.Quelques mois après la perte de sa femme, son frère est venu habiter avec lui. Petit à petit son moral est revenu et cela fit plaisir à tout le monde.Un après-midi d’été, alors que je nageais, mon voisin et son frère discutaient avec mes parents de jardin à jardin. Mon père les a invités à venir prendre l’apéritif et je ne me suis aperçue de leur présence qu’en sortant de l’eau.Petit problème, je me baignais toujours en bas de maillot, c’est à dire seins nus.Pour rejoindre la maison je n’avais d’autres choix que de passer près de la table où ils étaient tous installés. Et l’éducation que j’avais reçue m’obligea à aller les saluer avant de rentrer.C’est donc ruisselante et poitrine offerte que je leur ai fait la bise avant de monter dans ma chambre me rhabiller.Lorsque je suis revenue au jardin, papa m’a demandé de bien vouloir aller chercher une nouvelle bouteille de rosé dans le réfrigérateur et de les servir.Il faisait chaud, je ne portais qu’une petite sortie de bain qui ne cachait pas grand-chose tout en restant décente.Alors que je servais notre voisin, sa jambe vint toucher la mienne. Etait-ce un hasard ? Je compris plus tard que non.L’après-midi se termina par un barbecue auxquels nos voisins furent invités.Plusieurs jours après, alors que j’étais seule à la maison et lisais un livre étendue sur un transat, mon voisin vint à la haie et m’appela.Je me suis approchée et il me demanda si je pouvais l’aider pour préparer une sauce provençale. Souvent j’aidais maman en cuisine, j’ai un certain don et suis très complimentée lorsque je reçois.Vu que j’étais en maillot, j’ai vite passé une petite robe légère et me suis rendue chez lui. Son frère était là, assis dans le canapé à regarder la télévision.
Mon voisin m’a donné tout ce dont j’avais besoin et je me suis mise à la découpe des légumes. Nous parlions "cuisine" lorsque il a changé radicalement de sujet et m’a demandé comment allaient mes amours. Je lui ai répondu avec un peu de gène. Autant j’étais à mon aise avec sa femme, autant lui m’intimidait pour des sujets de ce genre.J’avais 18 ans et lui facilement la soixantaine, comprenez-moi.Alors il m’a dit que sa femme lui racontait souvent ce que je lui narrais à ce sujet, qu’il était au courant de mes peines de coeur comme de mes petites histoires d’amour. J’en suis restée sidérée, cette femme en qui j’avais toute confiance m’avait trahie.
— " Tu sais, si tu veux, je peux à mon tour devenir ton confident " me dit-il.Imaginez mon désarroi, plus de quarante ans nous séparaient et cet homme aurait voulu que je lui raconte ma vie privée !D’autant qu’elle n’avait plus rien à voir avec la période où je me confiais à sa femme, j’avais maintenant une vie sexuelle !Pour être honnête, je n’avais pas encore connu grand-chose. J’avais déjà sucer plusieurs copains et eu 2 relations sexuelles qui ne m’avaient pas laissé bons souvenirs. L’une d’elles s’était passée lors d’une soirée étudiante, dans la voiture de mon copain de l’époque, l’autre dans une cave avec 2 garçons du quartier. A chaque fois ils m’avaient fait mal et je n’avais pas trop envie de recommencer. Mais ça, je ne me voyais pas le dire à mon vieux voisin.Comme je ne répondais pas, il continua ainsi :— " Tu es une jeune femme magnifique, tu dois faire tourner la tête à tous tes copains ".Je rougissais, mais je restais muette.Il reprit :— " L’autre jour, quand tu es sortie de la piscine, j’ai apprécié te voir si peu habillée. Depuis que ma femme est décédée je n’ai plus l’occasion de voir une poitrine, et la tienne est vraiment belle ".C’en était trop, je lui ai demandé de parler d’autres choses car il me mettait mal à l’aise.Mais il ne cessa pas et continua.— " Ce jour-là, lorsque tu m’as servi du vin, ma jambe a touché la tienne, tu ne peux t’imaginer ce que j’ai ressenti ".Et au moment où il me disait ça, sa main s’est posée sur ma taille.Je me suis arrêtée de couper les légumes et me suis retournée. Je voulais lui dire que il allait trop loin, que cela ne se faisait pas.Mais quand mon regard s’est plongé dans le sien j’ai craqué. Il était touchant à voir et une petite larme perlait dans son oeil droit.Je ne sais si le fait de rester ainsi, immobile face à lui, lui a fait croire quelque chose, toujours est-il qu’il m’a prise par la taille et a posé ses lèvres sur les miennes. J’ai senti sa langue qui cherchait à pénétrer ma bouche, mais je la tenais fermée.Il a reculé sa tête, m’a regardée puis m’a à nouveau donné un baiser. Cette fois, je ne sais pourquoi, je l’ai laissé m’embrasser à pleine bouche.Cet homme savait y faire, aucun de mes copains ne m’avait jamais embrassé comme ça. Il jouait avec sa langue, la faisait tourner autour de la mienne avec une volupté qui m’était inconnue. Que c’était agréable, que j’aimais ça !Tout en m’embrassant, une de ses mains me caressait la poitrine. Pas avec cette sauvagerie que j’avais connue jusqu’à présent, mais avec une infinie douceur qui me donnait des bouffées de chaleur.Moi, bêtement, je lui caressais le dos de manière gauche. Sa main descendit et s’insinua dans mon bas de maillot. Il me caressait le sexe et je sentais mon corps se ramollir.Au creux de mon oreille il me chuchota : " Je peux " et dans le même temps il introduisit un doigt entre mes lèvres humides.Oui j’étais humide, oui j’aimais ce moment. La différence d’âge n’était plus présente dans mon esprit, seul le plaisir qu’il me donnait avait de l’importance.J’étais appuyée contre le meuble et il me masturbait. J’avais envie de crier tellement c’était délicieux.Je sentais des choses bizarres se passer en moi, des choses que je n’avais jamais connues auparavant.A un moment j’ai laissé échapper un petit cri, je n’en pouvais plus de bonheur.J’ai ouvert légèrement les yeux et j’ai vu que son frère était dans l’entrée de la pièce et nous observait.J’ai vivement repoussé mon voisin et me suis retournée. Son frère s’est excusé et s’en est allé.Mon voisin est venu contre moi et m’a dit à voix basse que ce n’était rien, que son frère ne dirait rien à personne et me présenterait ses excuses.— " Je vais aller lui parler, sois tranquille ". Il m’a donné un baiser sur la joue et est aller rejoindre son frère.J’ai terminé la préparation de la sauce et l’ai mise à cuire, puis je suis retournée chez moi sans rien dire.
Le lendemain matin, le téléphone a sonné. C’était mon voisin qui me demandait d’aller chez lui car il désirait me parler. Il m’assura que son frère n’était pas là et ne reviendrait pas avant fin de l’après-midi.Je lui ai répondu que je serai là dans une demi-heure, que je devais d’abord terminer certaine chose.Ce n’était pas vrai, je n’avais rien à faire. Mais je devais réfléchir, savoir si je voulais aller chez lui et prendre le risque qu’il recommence ce qu’il m’avait fait le jour d’avant.Sans m’en rendre compte, j’étais montée dans ma chambre et j’avais sorti du linge de la garde-robe. Ce linge était composé d’une petite culotte avec des papillons et de son soutien-gorge assorti, ainsi que de ma robe bleue relativement courte et fort décolletée dans le dos. Je me suis habillée et regardée dans le miroir. Quand j’ai vu le résultat j’ai eu envie de me changer. Dans ma tête je me suis dit : "Tu es sûre de vouloir aller chez lui dans cette tenue ? Tu sais ce que tu fais et ce qu’il va penser ? ".J’étais perdue, ne sachant ce que je voulais. Dans un même temps j’avais envie de lui plaire et je redoutais ce qui pouvait se passer. Je voulais et je ne voulais pas.Mais c’est donc ainsi que j’y suis allée.Quand il m’a ouvert la porte, j’ai vu son regard parcourir mon corps. Il m’a fait entrer et nous sommes allés dans son salon où il m’a proposé de m’asseoir. Il m’a demandé si j’avais soif et, vu que j’avais la gorge sèche et nouée, je lui ai demandé un coca-cola. Il est revenu avec et m’a tendu le verre. Tandis que je buvais, je le voyais qui ne détachait pas ses yeux de moi. — " Tu as une bien belle robe, dit-il, c’est pour moi que tu t’es faite aussi jolie ? "— " Pas spécialement, mentis-je, j’ai mis ce qui me tombait sous la main ".— " Et bien je remercie ta main, elle a bon goût " ajouta-t-il.Je restais sans rien dire et c’est lui qui a entamé la conversation :— " J’ai parlé avec mon frère, il ne dira rien à personne et tu peux avoir confiance en lui ".— " Merci " ais-je répondu.— " Pour ce qui est arrivé hier, je te dois peut-être des excuses " continua-t-il.— " Non, ce n’est rien " ais-je répondu.— " Mais si, enfin peut-être que si " a-t-il ajouté.Je le regardais et ne comprenais pas.— " Si cela t’a choqué, je te dois des excuses. Mais si cela ne t’a, ne fut-ce qu’un peu, pas déplu, je ne t’en dois pas " .Je restais silencieuse, mais mon cerveau tournait à 100 km/heure. C’est vrai que cela ne m’avait pas déplu, mais malgré tout son âge faisait que tout ça n’était pas normal.Il s’est alors approché de moi et m’a faite levé. Une fois que je fut debout, il m’a fait tourner sur moi-même et m’a dit : " Je suis certain que c’est pour moi que tu as mis cette belle robe, de plus c’est la première fois que je te vois avec des chaussures à talons hauts ".J’ai baissé les yeux, je n’osais le regarder.Il a soulevé délicatement mon menton puis m’a embrassée. Comme le jour précédent j’adorais ça.— " Viens " m’a-t-il dit. Et il m’a emmenée dans sa chambre en me tenant par la main.Il avait préparer son coup, je crois qu’il avait deviné que je viendrais et que je lui serais soumise, car la chambre était dans le noir complet à l’exception de quelques bougies sur les tables de nuit.Une fois là, il m’a à nouveau embrassée et m’a retiré ma robe qui est tombée à mes pieds. Il m’a assise sur le lit, m’a enlevé mes chaussures puis m’a poussée délicatement afin que je sois couchée.Quand j’ai vu qu’il se déshabillait à son tour, j’ai fermé les yeux par timidité.Je l’ai senti prendre place à mes cotés puis tout contre moi. Sa main me caressait, du bout des doigts il allait et venait de mon ventre à ma bouche en s’arrêtant sur mes tétons qu’il titillait.De moi-même je lui ai rendu ses caresses, j’en avais envie, c’était irrésistible.Puis j’ai senti son sexe grossir sur ma cuisse, rien qu’à ce contact j’ai deviné qu’il était bien plus gros que ceux que j’avais connu.Je m’en suis emparée et je me suis rendue compte qu’effectivement il possédait un vrai sexe d’homme. En même temps cela me fit peur, j’avais déjà de mauvais souvenir de mes précédentes aventures et pourtant la dimension n’était plus la même. Il se rendit compte de mes craintes, même si il ne pouvait deviner quels en étaient la vraie raison.— " Sois sans peur, je ferai doucement ".Il enfila un préservatif puis se coucha sur moi. Il m’écarta les jambes, presque en grand écart.Tout en m’embrassant, il entra en moi avec d’infinies précautions. Centimètre par centimètre, avec parfois quelques temps d’arrêt.Puis il commença des va et vient qui prirent un certain rythme. Mon Dieu que j’aimais ça, ainsi donc on peut prendre du plaisir en faisant l’amour.Il me pilonnait, m’embrassait, me caressait partout. A un moment j’ai perçu un doigt qui jouait avec ma rosace, j’ai eu peur qu’il l’introduise et me fasse mal. Mais non, il a cessé et s’est retiré de moi. — " Tu veux bien me sucer " a-t-il demandé. Et j’ai pris son sexe dans ma bouche. De ce coté-là, je savais que j’avais du savoir-faire, mes copains aimaient quand je les suçais.Cela a duré plusieurs minutes, par moments il essayait de l’enfoncer au fond de ma gorge, mais cela n’était pas possible car son sexe était vraiment trop grand et volumineux. J’en eu quelques hauts le coeur.A son tour il s’est occupé de mon entre-jambes avec sa langue. Jamais on ne m’avait léchée et je découvris le plaisir de la minette. J’ai eu une jouissance fulgurante qui m’ont faites découvrir ce jour-là que j’étais une femme-fontaine (c’est lui qui me l’a expliqué après).Il m’a prise dans plusieurs positions, m’a fait découvrir ce qu’était le bonheur sexuel.Quand tout fut terminé, nous sommes encore restés un long moment au lit. Parlant de moi, de lui, du bonheur que je venait de lui offrir. Ce à quoi je lui ai avoué le plaisir que je venais de prendre et qu’aucun de mes copains ne m’avait donné, au contraire.J’ai vu de la fierté sur son visage.L’ennui, c’est quand arriva le moment où je dû partir. Ma mère était rentrée et je ne tenais pas à ce qu’elle me voit sortir de chez le voisin. Surtout que mon visage ne devait certainement pas cacher ce que je venais de vivre.Alors, Jérôme (le voisin) est allé au jardin et a appelé ma mère. Cachée derrière le rideau j’ai épié sa venue. Quand j’ai constaté sa présence, et entendu qu’elle conversait avec Jérôme, je suis vite sortie de chez lui et j’ai été marcher durant une bonne heure.Quand je suis revenue à la maison ma mère m’a regardée et m’a dit que j’avais l’air bien heureuse. Elle m’a demandé si j’avais un nouveau petit copain et si cela en était la cause.Je lui ai répondu par l’affirmative, vu ce qui venait de se passer je ne lui mentais pas. Juste il a fallu que j’invente un prénom et que je lui parle de ce garçon qui n’existait que dans ma tête.Jérôme est resté longtemps mon amant, même lorsque j’eus d’autres copains j’ai continué ma relation avec lui.
Jamais mes parents ne l’ont su et c’est mieux ainsi.
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