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Les douze servitudes d'Hélène

Chapitre 20

SM / Fétichisme
Les douze servitudes d’Hélène : êta et le Cyclope Polyphène -
êta depuis le début de ses aventures avec le pêcheur (voir le premier épisode), n’avait jamais connu l’Amour, le vrai, celui avec des sentiments, celui avec un grand A. Etre aimée, cajolée, baisée par Amour en douceur et avec tendresse, elle qui n’avait connu uniquement que sa condition d’esclave à être utilisée, abusée pour les plaisirs des autres. Donc, depuis plus d’une semaine alors que le navire dérivait au gré des vents dominants, elle vivait avec intensité la découverte du véritable Amour. En effet, seule avec le jeune philosophe, prénommé Philtos, sur ce navire perdu en pleine mer, elle s’était très vite énamourée, tombant sous le charme et la gentillesse du jeune homme. Elle avait trouvé en Philtos, un homme bon, aimant, tendre et surtout très amoureux lui aussi. Ils passaient leurs journées, quand ils ne faisaient pas l’amour avec une passion toujours torride, à se nourrir, les cales regorgeant de provisions pillées par les pirates. Mais le temps était surtout utilisé à scruter l’horizon espérant croiser un bateau qui pourrait les sauver de cette perdition en pleine mer… Mais rien… il n’y avait absolument rien sur les 360 degrés qui les entouraient, mis à part l’infinie étendue de la mer calme tout autour d’eux jusqu’à l’extrême horizon. De temps en temps, ils avaient le plaisir d’apercevoir un banc de dauphins ou quelques baleines fort paisibles.
Et puis, dans la nuit du neuvième jour, êta toujours en rut, toujours en état permanent de grandes chaleurs sexuelles (imposées par la Volonté Divine) se faisait chevaucher allègrement en levrette par la verge tendue de Philtos agenouillé derrière elle, tandis qu’avec l’une de ses mains, êta lui enserrait les couilles tout en les malaxant et que le jeune homme si excité la maintenait fermement par les hanches. La belle gémit de plaisir, la croupe bien exposée, cambrée à souhait. Et la réaction de Philtos ne se fit pas attendre, les coups de reins puissants redoublaient d’intensité. êta lâcha des petits cris en phase avec la cadence des coups de boutoir de plus en plus rapides. La belle laissait sa croupe aller et venir tel un appel à la bite étant trop excitée d’être ainsi possédée, d’être prise si sauvagement. Et c’est dans les deux jouissances en même temps que les amoureux explosèrent en concerts de râles, de cris de plaisirs qu’elle en coulait par son orgasme fort et puissant tandis que les jets de sperme remplissaient sa chatte béante… Le jeune philosophe durant toute la semaine avait essayé de combler l’incroyable appétit sexuel de sa bien-aimée insatiable, en alternant les pénétrations de sa verge, et, quand celle-ci se trouvait ramollie après avoir éjaculé maintes fois comme à chaque jour, il alternait par tout ce qu’il trouvait sur le navire qui pouvait faire office de gode afin de contenter la belle êta aux formes si parfaites. Il espérait ainsi au moins calmer la libido débridée de la douce, mais plus elle baisait, plus elle jouissait, et plus elle en redemandait… On ne comptait plus les dizaines et dizaines d’orgasmes quotidiens qu’elle avait reçus dont les trois quarts par des godes improvisés.
Donc lors de cette nuit du neuvième jour, êta, après avoir bien joui pour la énième fois de la journée, restait allongée de tout son corps, la tête bien blottie sur la poitrine de son amoureux pour un savoureux instant de câlins. Quand d’un seul coup, ils furent tous deux secoués par le tangage soudainement plus énergique du navire. Le tonnerre gronda fort, les éclairs déchirèrent le ciel obscur, la tempête éclata subite, violente, imprévisible. Les vagues se firent hautes, puissantes, secouant fortement le navire, l’eau retombait sur le pont. La mer était démontée comme rarement elle aurait pu l’être. Le navire était comme une brindille exposée au vent, il tanguait dans tous les sens, risquant à de multiples fois de chavirer ou même de se briser sous les assauts violents de la tempête déchaînée. On aurait dit que la mer s’acharnait, elle aussi, contre ce pauvre navire qui était bien peu de chose face à l’imposant cyclone. Apeurés, les amoureux se retenaient à ce qu’ils pouvaient trouver, à l’abri dans la petite cabine de l’ex-chef des pirates.
Serrés l’un contre l’autre, êta et Philtos eurent juste le réflexe de se prendre la main afin de rester ensemble, quand l’ouragan redoublant d’intensité, apporta une énorme vague déferlante qui fit retourner le navire, les vitres volèrent en éclats, ils furent éjectés du navire et ils se retrouvèrent à la mer dans un tourbillon infernal, immergés dans une eau si remuée. Le jeune homme se débattant comme un lion pour essayer de retrouver la surface tout en maintenant de sa main ferme sa bien-aimée. Il y parvint difficilement mais tout autour d’eux, c’était l’apocalypse. Ils ne pouvaient qu’être les témoins impuissants du naufrage du bateau qui, devant leurs yeux, coulait à pic dans les profondeurs de la mer… Pour le jeune homme, ce ne pouvait qu’être dû à la fureur des Dieux… Philtos, faisant des efforts surhumains pour se maintenir en surface avec êta, aperçut à quelques mètres une espèce de large planche de bois qui flottait et qui devait être une porte de cabine. Avec difficulté, il parvint à s’y accrocher pour se hisser dessus… Et il réussi juste à temps à hisser êta à son tour sur ce rudimentaire radeau salvateur. Ils s’accrochèrent comme ils le purent quand ils furent tous deux emportés très loin, oui très très loin par une nouvelle et haute vague d’une dizaine de mètres et d’une puissance inouïe… puis ce fut le trou noir …
Quand êta se réveilla, le jour était au zénith et la tempête n’était plus. Aucun vent même ! Elle se retrouva comme au début de ses aventures, allongée, nue sur une plage désertique où le sable fin était déjà chaud par un magnifique soleil dans un ciel absolument bleu. Des perroquets chantaient dans des palmiers bordant une grande forêt. Elle regarda autour d’elle, personne … quand enfin elle aperçut au loin un homme nu et étendu comme elle, à environ une centaine de mètres. Elle se leva et accourut dans sa direction. En se rapprochant, elle reconnut son bien-aimé et se mit donc à accélérer le pas. Philtos ne bougeait pas. Etait-il mort ? Elle pencha sa tête sur son cœur pour constater qu’il respirait. Elle se mit à l’embrasser de partout, à pleine bouche, tant elle était heureuse de le savoir vivant. Elle lui donna des petites claques pour le réveiller, rien, pas de réactions…
Alors, elle ne sut l’expliquer elle-même pourquoi (ne pouvant deviner qu’il s’agissait de la Volonté Divine) elle se mit à mouiller fortement, dans une subite excitation sexuelle. Le moment n’était pas approprié mais elle ne pouvait pas contrôler sa libido excessive. Elle prit le sexe mou et plein de sable de Philtos, le nettoya de sa langue puis se mit à le sucer pour le faire bander. Le sexe se mit doucement à durcir alors que le jeune homme était encore évanoui. Une fois la verge bien durcie, elle chevaucha le jeune philosophe, bien droite étant dessus lui elle cadença ses va-et-vient afin de soulager son excitation. La voilà donc qui se laissait glisser sur le sexe bien dressé, qui disparaît en elle. Elle commençait à faire onduler son bassin et à chevaucher son amoureux évanoui, gérant le rythme de la pénétration. Son rythme s’accélérait et elle se laissait tomber de plus en plus sur lui, rendant la pénétration très profonde ainsi penchée. Des frissons la traversaient alors que la verge était tendue au maximum entièrement au fond de son vagin. Sa respiration se fit plus rapide et elle sentit son sexe aller et venir sur la bite dressée. êta continua de le chevaucher de plus en plus vite, poussant des soupirs de plus en plus réguliers et forts, ses seins s’agitant sans cesse, elle était littéralement empalée sur ce sexe toujours en elle aussi profondément. Après de longues minutes, elle se me mit à crier son orgasme lâchant des cris de jouissance. Son plaisir était à son comble quand son vagin se contracta sur le membre alors elle poussa des gémissements encore plus aigus, traversée par ce puissant orgasme, tout son corps se crispant alors qu’elle tentait de continuer ses mouvements pour prolonger son plaisir si intense. Son vagin était brûlant et une déferlante onde de plaisir l’envahit. Après quelques instants, elle finit par ralentir le rythme, le souffle fort. êta se laissa tomber sur lui, son vagin pris encore de petites contractions régulières contre le sexe de Philtos toujours planté en elle
Elle lui fit mille baisers quand quelques instants après Philtos ouvrit les yeux. Il souleva et tourna la tête et très surpris, perdu l’esprit encore embrumé à ne pas comprendre la situation, il tenta de demander une explication quand, souriante elle lui fit signe du doigt de se laisser faire, que les explications viendraient plus tard. Le jeune homme reposa sa tête et regarda les seins magnifiques de la belle aux courbes si sensuelles. Insatiable, êta se remit donc à refaire l’amour à son amant quand celui-ci au bout de longues minutes également, se mit à son tour à laisser éclater son éjaculation dans la chatte empalée…
— Décidément, ma belle tu ne changeras donc pas, tu ne rates pas une occasion pour faire l’amour … Mais … où sommes nous ? … Que nous est-il arrivé ? … Ah oui, je m’en souviens … la tempête ... le naufrage … la planche de bois en guise de radeau de fortune… puis une grande vague qui a dû nous emmener loin … très loin … Et puis plus rien …— La tempête a dû nous faire échouer ici sur cette île…— Bon, il ne faut pas rester là … apparemment on a rien de cassé … allons voir d’un peu plus près cette île … S’il s’agit bien d’une île ? D’ailleurs ! Peut-être trouverons-nous quelques secours !…
êta et Philtos, nus, se dirigèrent avec prudence à l’intérieur de l’île. Démunis de tout, n’ayant même pas une arme pour se protéger, ils tentèrent malgré tout d’explorer les environs… Le jeune homme marchait devant tenant sa belle par la main. Au bout d’une heure, ils trouvèrent une large clairière au milieu de la forêt. Au fond de celle-ci se trouvait une immense et haute paroi rocheuse trônant à la verticale, dans laquelle au niveau du sol il y avait plusieurs trous creusés par l’eau au fil des millénaires, et qui devaient être des grottes. Nos deux aventuriers les visitèrent, il n’y avait absolument rien dedans à part des pierres que Dame Nature avait déposées depuis des millénaires. Ils firent une découverte incroyable à la cinquième grotte, beaucoup plus spacieuse et profonde à l’intérieur par rapport aux autres déjà visitées mais contrairement l’entrée était plus étroite et plus haute : Elle était habitée ! Des longues torches enflammées trônaient suspendues contre les parois rocheuses et éclairaient largement tout l’intérieur. En effet il y avait dans cet intérieur, un parc à brebis où une dizaine de moutons étaient parqués. Une immense haute table était dressée avec un haut tabouret. Celui ou ceux qui habitaient là devaient mesurer au moins 2 mètres de haut, en proportion du rustique mobilier primaire. Sur la table un gros et énorme pain de plus d’un mètre encore chaud attendait. La faim tiraillait les 2 amoureux et ils ne purent résister à l’odeur alléchante de la cuisson de cette manne ‘’tombée du ciel’’. Ils s’attaquèrent avec appétit à se sustenter à pleine main, arrachant de larges morceaux de pain…
Quand ils entendirent du bruit à l’entrée de la grotte, ils se retournèrent pour apercevoir de dos un géant nu extrêmement velu. En effet, entièrement recouvert de poils sur tout le corps, il ressemblait plus à un singe ou plutôt à un homme préhistorique. Il devait mesurer au moins 2 mètres 20. Il n’aperçut pas tout de suite les deux amoureux, leur tournant le dos étant occupé à refermer l’entrée de la grotte, déplaçant de ses puissantes mains un immense et lourd rocher. Les deux héros en profitèrent pour se cacher sans bruit derrière une vulgaire étagère faite de rondins de bois positionnée sur le côté contre la roche. Quand le géant se retourna, sa physionomie interpella de stupéfaction êta et Philtos. Le géant au visage poilu, aux épaules voûtées, au long menton avancé, aux narines très développées, au front aplati lequel à la base et au centre de celui-ci il n’y avait … qu’un seul œil !!! Cet unique œil était grand, tout rond avec une seule paupière épaisse et d’épais sourcils, et surtout il arborait en son bas ventre une immense verge dressée toute poilue à la base avec d’énormes testicules grosses comme des boules de pétanques. Son sexe était d’une longueur et d’un diamètre impressionnant, oui d’une longueur immense et proportionnée à la mesure de sa taille ! Ils étaient en présence du Cyclope Polyphène qui était (nos deux héros ne le savaient pas) condamné par les Dieux de l’Olympe, à vivre en permanence en érection, débander lui était impossible …
(A suivre …)
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