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Les douze servitudes d'Hélène

Chapitre 27

SM / Fétichisme
Les 12 servitudes d’Hélène : êta aux Jeux d’Apollon - La fin des Jeux -
On permit aux trois dernières prétendantes du Dieu Apollon de boire. Elles avaient en effet besoin de récupérer des si éprouvantes épreuves qui les mèneraient jusqu’à la Divine Couche. Celles qui vinrent leur servir à boire n’étaient autres que les premières et très belles femelles éliminées dans le cadre de ces Jeux, quelques heures seulement auparavant. Elles commençaient sans plus attendre leur année d’esclavage au service de la Cité Sacrée. Fort légèrement vêtues de fins voiles transparents qui ne cachaient rien de leurs courbes, elles venaient servir de l’eau fraîche à Celles qui poursuivaient l’aventure et n’accordaient aucun regard à ces pauvres créatures serviles qui venaient vers elles les yeux au sol, l’échine courbée... Pourtant, elles savaient que parmi ces trois élues de ce moment, deux encore verraient leur destin basculer comme elles, dans une année de servilité et qu’Une Seule deviendrait l’épouse Du Dieu Apollon… Nervosité, inexpérience malencontreuse… l’une des esclaves renversa la coupe d’eau qu’elle tendait à Dionée. Celle-ci lui lança une insulte, oubliant volontairement qu’elles avaient partagé moments intimes et confidences tandis qu’on les préparait, à peine la veille, pour les Jeux. Mais leurs statuts, pour le moment étaient si différents ! L’esclave se précipita afin de ramasser la coupe quand elle tressaillit et ne put retenir un cri déchirant. Le fouet d’un garde du temple venait de s’abattre sur son dos, déchirant les voiles fragiles qui la couvraient si peu et marquant son dos d’une longue estafilade sanglante. Dionée n’accordât même pas un regard à celle qui sanglotait à ses pieds tandis que la cruelle lanière de cuir s’abattait à nouveau, zébrant le dos dénudé sous les vivats d’une foule masculine excitée par le spectacle et qui évacuait ainsi la tension accumulée tout au long des épreuves. La malheureuse esclave rampait maintenant vers la sortie, le fouet ne cessant pas de s’abattre sur elle, tandis qu’une autre venait apporter une autre coupe à une Dionée hautaine et méprisante.
D’autres esclaves munies de linges fins venaient frotter le corps ruisselant des trois finalistes. Il s’agissait de préparer au mieux les trois ultimes participantes à ces Jeux d’Apollon qui devaient désigner celle qui serait pour un an l’épouse du Dieu de la Beauté... Elles devaient être nourries, abreuvées, désaltérées à souhait, être reposées avant d’aborder l’ultime et redoutable épreuve qui désignerait l’unique gagnante... de l’eau fraîche et cristalline, des mets légers, le corps frotté, massé, huilé... pendant quelques longs instants, Dionée, Léto et êta profitaient de ce répit avant que d’être confrontées à une épreuve qui s’annonçait déjà aussi éprouvante que cruelle... Mais ce n’est qu’à ce prix que l’une d’elles serait consacrée et offerte Au Plus Beau des Dieux.
Lorsqu’enfin les trois furent apprêtées, la scène fut évacuée sur un geste du plus âgé des jurés. Seules demeuraient les trois jeunes femmes, nues, le corps luisant des huiles et onguents dont on les avait enduites. A nouveau, trois barres d’acier sortaient du sol, mais cette fois, nulle danse. Dionée, Léto et la belle êta se tenant simplement immobiles... Et lorsque retentirent les tambours, tous retenaient leur souffle en entendant soudainement des pas pesants, presque à en faire trembler le sol sablonneux, pas qui se rapprochaient lentement... Par l’une des entrées de l’amphithéâtre approchait un groupe massif... Ils étaient six, six créatures mi-humaines mi-monstrueuses ! Les frères Amphisbène étaient une aberration de la nature, issus de l’union maudite d’une humaine avec un ignoble Démon... Pourtant elle avait porté ces six enfants, ne trouvant la délivrance qu’en succombant au moment de mettre au monde cette fratrie improbable. Les juges de la Cité Sacrée avaient été tentés de les faire disparaître à jamais, mais le Démon était d’essence divine et nul n’avait osé supprimer ces six enfants mâles, tous dotés d’une malformation congénitale. En effet ils possédaient, pour chacun, d’un double et long pénis, deux très longs phallus partant à la base au dessus de leurs volumineuses testicules (tel un arbre à 2 troncs partant de la même racine). Très obèses, grands de taille et totalement imberbes, passablement abrutis, des tares de la nature, les six frères demeuraient dans une grotte à l’écart de la Cité, sur la côte la plus désertique de l’île. Ils n’étaient autorisés à quitter leur repaire qu’une fois l’an, pour les Jeux d’Apollon dont ils constituaient l’ultime et redoutable épreuve...
Chacune des trois ultimes prétendantes allaient en effet être livrées à deux frères et à leurs quatre verges aux dimensions extravagantes ! Elles subiraient tous les outrages imaginables et même plus... jusqu’à ce qu’elles supplient que cela cesse... Une seule, la dernière qui supporterait le plus longtemps les assauts de deux frères serait digne d’Apollon ! Dionée, la brune athénienne, avait fixé son regard hautain sur les deux ignobles créatures qui s’approchaient d’un pas nonchalant... Elle les toisait malgré leur taille qui la dépassait de deux têtes, tandis que la blonde et callipyge Léto de Cythère ne pouvait empêcher ses lèvres de trembler doucement à l’approche des deux monstres qui venaient à elle, un rictus bestial aux lèvres et leur paire de verges déjà dressées... Quant à êta, elle observait sereinement les deux frères qui lui avaient été désignés... Deux obèses frères pour chaque femme, sur un roulement de tambours, la finale des Jeux d’Apollon pouvait commencer !
L’un des frères se saisit de Dionée, la soulevant telle une plume, par les hanches pour la faire basculer en arrière et sans préambule d’un coup brusque et violent, pousser ses deux longues verges dans le cul et le sexe en même temps, de la fière athénienne... Celle-ci se cabra un peu telle une jument rétive, mais elle ne pouvait rien contre l’étreinte qui lui était imposée. Et comme elle se faisait doublement pénétrer, cambrée en arrière, elle vit soudain un double et énorme pénis frôler son visage pour forcer ses lèvres... Sa bouche déformée ne pouvait se soustraire à l’entrée forcée des deux pénis de l’autre frère. Elle étouffait.., jamais elle avait été aussi amplement remplie, possédée par tous ses orifices et malgré la douleur, elle se sentait profondément excitée. Tout près de là, Léto s’agrippait à deux mains à la barre, soulevée du sol, l’un des frères poussant son double sexe dans son anus qu’il déchirait sans pitié sous le regard stupide par des yeux tout ronds de son frère qui astiquait ses sexes à deux mains en attendant son tour, la bave lui coulant aux commissures de ses épaisses lèvres quand il sortit et tira sa grosse langue pleine d’envie... Léto qui mouillait déjà de se faire ainsi enculer, sentit monter cette excitation jouissive tout en ressentant la vive douleur l’envahir. Quant à êta, les deux frères auxquels elle était livrée s’étaient mis face à face et la maintenait entre eux, comme embrochée par la bouche et le sexe... ils la faisaient ainsi tourner comme un goret que l’on cuit, en riant d’onomatopées bestiales comme des niais de village. êta était comme ivre à force de tourner, tous ses orifices emplis abondement des chairs dures et tendues des verges de deux des frères Amphisbène... elle perdait la notion du temps, s’abandonnant toute excitée de mouille à cette folle rotation qui animait tant les deux géants idiots... Dionée pouvait enfin respirer, l’un des deux frères ayant retiré ses deux énormes verges de sa bouche, mais elle restait sous l’emprise des mains énormes de l’autre, qui la faisait aller et venir le long de ses verges pour une interminable double pénétration qui lui brûlait déjà les chairs les plus intimes tout en la faisant paradoxalement mouiller. Léto n’était que plaisirs et douleur, contrainte de subir deux verges en même temps dans son anus béant... Elle ne s’était pas attendue à être aussi vite soumise à une telle épreuve et ne trouvait que dans une intense prière à Aphrodite la force de ne pas hurler de douleur et de lui laisser que les spasmes de plaisirs jouissifs l’envahir... Le géant la tira en arrière, la contraignant à lâcher la barre à laquelle elle s’agrippait de toutes ses forces... il commença à aller et venir sans cesser de l’enculer aussi profond qu’il pouvait pousser ses deux pénis, sous les applaudissements joyeux de son frère qui visiblement attendait son tour ricanant bêtement...
Dionée semblait aussi légère qu’une feuille entre les mains puissantes du colosse imberbe qui la secouait comme un jouet et s’amusait de voir les seins lourds se balancer au rythme des coups de boutoir... Soudain, il la fit monter plus haut, la libérant de ses pénis semblables à deux énormes branches droites et il la lança vers son frère qui la réceptionna habilement et d’un même mouvement, la fit tourner et lui planta à nouveau doublement ses deux verges, obtenant un gémissement de la brune athénienne qui se mordait les lèvres pour ne pas hurler... êta avait fini de tourner, l’un des Amphisbène venait de forcer son cul de son poing fermé et lui infligeait l’implacable avancée de son bras dans les entrailles, la manipulant comme une marionnette. La tenant ainsi, son bras bien enfoncé dans le fondement, il la soutenait en pétrissant ses seins et lui faisait faire face au public qui applaudissait... Et le temps passa ainsi, entre forte excitation multipliant ainsi les puissants orgasmes et les douleurs de puissantes et profondes pénétrations pour chaque femelle d’être maintes fois possédées de la sorte.
Déjà deux heures que les six frères pénétraient tous les orifices des trois femmes qui leur étaient livrées...Vivant isolés tout au long de l’année, ils avaient d’innombrables désirs à assouvir et nul orifice parmi les neuf qu’offraient les trois prétendantes ne fut négligé ou épargné ! Par deux, ou l’un après l’autre, ils jouaient de ces corps offerts, poussant leur sexes en permanentes érections que jamais rien ni personne n’avait pu faire jouir ! En effet, même la gagnante des Jeux de chaque année n’avait réussi à tenir aussi longtemps aux assauts bestiaux pour voir une éjaculation d’un ou des frères Amphisbène… Les deux frères qui avaient pris Dionée en charge avaient trouvé un jeu qui les amusait follement, l’utilisant comme une balle qu’ils se passaient l’un à l’autre, lui infligeant chacun à leur tour une brutale double pénétration... Dionée souffrait atrocement, son entrejambe était en feu, mais elle restait farouchement silencieuse, osant même plonger son regard de sombres braises dans ceux des frères dont l’idiotie congénitale seule brillait dans leur regard. êta après avoir eu le cul investi par un poing et un avant-bras aussi épais, subissait les assauts doubles des deux Amphisbène qui la baisaient tour à tour... sa bouche était emplie et avec acharnement, elle accompagnait le mouvement de vat-et-viens de sa bouche, aspirant l’énorme gland qu’elle sentait palpiter comme une énorme chose vivante au fond de sa gorge...
Soudain, il y eut un cri ! Un hurlement plutôt... sortant de la gorge de Léto qui se libérait enfin du double pénis qui venait de l’envahir interminablement. La blonde plantureuse à la peau diaphane ne parvenait même plus à prier Aphrodite de lui accorder la force. Elle n’en pouvait plus, trop d’orgasmes successifs et trop de douleurs que son corps ne pouvait plus supporter. Elle se débattait sans espoir de se voir libérée des énormes verges qui investissaient implacablement et inlassablement ses orifices qui n’étaient plus que trous béants et dégoulinants d’elle car les verges, elles, demeuraient dures et sèches comme si elles avaient été de pierre. Ce cri eut un effet surprenant, le frère qui était en train de limer son anus se reculant brusquement et la laissant choir brutalement sur le sol... les deux monstres abêtis qui venaient de la baiser depuis plus de deux heures reculaient maintenant, comme effrayés... Et le public fit silence, seulement troublé par les ahanements des deux paires de frères qui poursuivaient mécaniquement leurs pénétrations effrénées sur êta et Dionée... Léto pleurait à chaudes larmes, honteuse d’avoir trahi la confiance de Cythère sa cité chérie. Son corps rompu, la douleur qui vrillait son ventre, son cul... elle ne ressentait presque plus tout cela, noyée de honte tandis que ses deux rivales subissaient encore et toujours les outrages de quatre verges chacune ! Elle rampait, sanglotait, vaincue, humiliée sous le regard d’un public qui déjà se détournait, pour admirer l’incroyable, le monumental duel en train de se dérouler au centre de la scène, ce duel entre êta l’apatride et Dionée l’athénienne... entre la blonde et la brune, deux fabuleuses créatures aux corps de rêve et capables de tout affronter, de tout subir... d’aller bien au-delà de l’imaginable !
Léto ayant rejoint ses futures compagnes d’infortune, Dionée et êta subissaient toujours les assauts ininterrompus des frères Amphisbène... Pour êta, l’esprit entièrement tourné vers un seul objectif, il s’agissait d’abord de ne plus libérer l’énorme verge qui emplissait sa bouche et de déployer toute sa science de la fellation pour obtenir ce que nulle, jamais, n’avait pu réaliser, faire jouir l’un des six frères ! Dionée peinait quant à elle à rester concentrée, elle avait longtemps résisté, portée par son quasi-fanatique amour d’Athènes, par sa fierté d’incarner le courage et l’esprit de sacrifice des femmes de Sa cité, la plus glorieuse du Péloponnèse et de toute la Grèce ! Les doubles pénétrations s’enchaînaient si rapidement, si brutalement, qu’elle ne ressentait plus aucune différence entre son cul et son vagin... Epuisée, elle jouissait encore et encore sous ce mélange de plaisirs incroyables et de douleurs provoqués par ces étalons hors normes. Et elle avait la sensation de n’avoir plus qu’un immense trou béant entre les cuisses, par lequel les pénis surdimensionnés se succédaient sans répit... De chaudes larmes coulaient silencieusement sur ses joues, son nez coulait, elle bavait... elle dégoulinait par tous les orifices, toutes les pores de son corps meurtri... Jamais Dionée n’aurait cru se sentir si faible, si fragile, si désespérée ! La fière athénienne sentait toutes ses certitudes qui s’effritaient et même s’effondraient. Le cul et le vagin emplis de ces chairs implacables, elle osa, honteuse, un regard suppliant vers l’immonde créature dépourvue de pilosité qui poussait en elle ses sexes brûlants... La lèvre de Dionée tremblait, son visage baigné de larmes tourné vers la créature, elle bredouillait... "pitié... pitié… j’en peux plus"... Mais l’autre n’écoutait, ni n’entendait... Il était comme une énorme et monstrueuse machine de chair qui la défonçait méthodiquement avant de l’abandonner pour la céder à son frère qui répétait les mêmes gestes, les mêmes pénétrations de plus en plus insoutenables... Soudain, comme une vague sonore... Un énorme soupir qui sembla gagner comme une vague toutes les tribunes de l’amphithéâtre...
Quand soudain une chose incroyable survint. Dans un soubresaut, le frère que êta était en train de sucer avidement venait de se reculer d’un pas, s’étant raidi et, son regard idiot fixé sur ses énormes pénis... il venait dans une succession de saccades d’inonder d’un énorme flot de semence le visage et la blonde chevelure d’êta... En même temps, les mains d’êta qui malgré l’inconfortable situation n’avait cessé de caresser les énormes couilles de l’autre frère obtint enfin récompense, se retirant de ses orifices, le second frère poussait un rugissement bestial tandis qu’une vague énorme son sperme épais éclaboussait le dos et les fesses d’êta... Les deux frères ne bougeaient plus, abasourdis, venant de vivre ce qui, jamais, ne leur avait été accordé... Ils avaient éjaculé !!! ... Des litres de semence qui couvraient maintenant d’une gangue odorante et visqueuse tout le corps d’êta... Tout près de là, les deux autres Amphisbène venaient de délaisser Dionée épuisée qui inconsciente de ce qui se jouait, pleurait et suppliait doucement... brisée, ayant abdiqué toute forme de cette fierté athénienne qui l’avait jusqu’alors nimbée... telle une enfant désespérée, elle suppliait qu’on la laisse, qu’on cesse de la pilonner alors même que plus rien ni personne ne lui accordait la moindre attention... Juste avant cette dernière attention, elle eut juste la force de lever le bras en signe d’abandon de la compétition, ce qui était autorisé en remplacement d’un cri pour signaler aux juges la capitulation de la candidate…
Tous applaudissant sans relâche portaient désormais leur regards sur le trio dont éta était la principale personne observée car nuls ne pouvaient se détacher de cet incroyable phénomène... êta venait de faire jouir deux frères Amphisbène ! Un cas unique dans les annales immémoriales de la Cité Sacrée... Nulle jusqu’alors n’avait pu réussir un tel exploit... Epuisée, dégoulinante de ce flot de sperme épais qui l’avait entièrement recouverte et qui gouttait lentement de son corps pendant qu’elle se redressait, êta leva la tête vers les cieux et adressa un remerciement muet aux Dieux qu’elle avait espéré savoir invoquer lorsqu’elle avait usé de toute la science du sexe accumulée pour délivrer des deux frères de cette semence qu’ils accumulaient en eux depuis tant d’années... A l’incitation des gardes s’étant approchés, les quatre frères dépités restants quittaient l’arène, ainsi que Dionée qui gagnait à quatre pattes l’anonymat de l’esclavage pour une année entière, dépouillée à jamais de cette fierté athénienne qu’elle avait porté comme une armure et qui désormais gisait piétinée par sa défaite irrémédiable. Dionée vaincue, humiliée et bientôt asservie... non plus une citoyenne d’Athènes, mais une pauvre chose, une chienne qui subirait humblement et docilement tous les avilissements que l’on ne manquerait pas de lui infliger durant cette année de servitude... Elle quitta ainsi l’arène vaincue …
Oubliée Dionée, il ne restait sur la scène de l’amphithéâtre qu’une seule jeune femme... êta, l’apatride, la "sans cité", l’esclave blonde à l’irréelle et Divine beauté... êta, esclave et unique triomphatrice des Jeux d’Apollon, êta qui allait devenir pour une année l’épouse du Dieu de la Beauté... êta l’amnésique, ignorante de sa véritable identité (celle d’Hélène, la si Belle qui avait mis le monde Grec à feu et à sang et punie par certains Dieux par la perte de sa mémoire et de douze servitudes sexuelles à subir)... êta dégoulinante de la semence des deux mâles idiots et obèses, qui maintenant attendait le verdict des juges sous les acclamations qui redoublaient d’applaudissements de tout un peuple...
(A suivre…)
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