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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Les dressages de Christine

Chapitre 3

SM / Fétichisme
III - CHRISTINE VA AU CINEMA
    Christine vient de surprendre Eric son jeune amant en train de se faire prendre debout par la vendeuse de lingerie, dans l?arrière boutique du magasin.    A son arrivée le couple se sépare sans avoir pu aller jusqu?au terme du coït. La verge du garçon luisant des secrétions se dresse dans le vide et la jeune femme rouge d?excitation les mamelles gonflées, la culotte sur les chevilles demeure quelques instants, immobile comme pétrifiée éloquents témoignages de leur ’interruptus non prévus’.    Christine répète pour elle-même, j?espère que cette petite salope ne l?a pas sucé.    Ca fait maintenant plusieurs semaines que Christine a entrepris de dresser le jeune homme en ne lui prodiguant directement aucun plaisir, à l?exception de quelques branlettes mécaniques et sans fioritures, davantage destinées à le soulager plutôt qu?à lui donner du plaisir. D?ailleurs elle s?arrange toujours pour qu?il ne puisse pas jouir de ses orgasmes en lui ordonnant soit de se rhabiller, soit d?éviter de souiller le lieu où il se trouve exactement au moment où sa bite commence à éjaculer. Dès que Christine sent dans sa main les prémisses d?une jouissance irrépressible, elle lâche la queue dure comme un bout de bois et fait claquer un ordre qui ne souffre aucune hésitation. Elle passe le reste du temps des séances de dressage à le stresser et à l?allumer selon un protocole qu?elle invente au fur et à mesure.     Elle veut qu?il s?attache à son parfum, à ses odeurs corporelles à la texture de sa peau à sa voix tour à tour charmeuse et autoritaire. Eric doit être convaincu que seule la vision de son sexe dressé et son obéissance aveugle l?intéressent. Si le conditionnement réussit le seul son de sa voix ou une légère caresse anodine suffiront à le faire bander comme par réflexe.     La plus grande récompense qu?elle lui a prodiguée jusqu?à présent a été une caresse prolongée, sur son ventre et ses organes avec ses longs cheveux défaits. Ce jour là Eric est parti dans un orgasme fulgurant sans nécessiter d?autre attouchement. Elle l?a laissé profiter pleinement de son plaisir. Quand le dernier jet fut sorti et que sa verge a commencé à se détendre, elle le prit contre elle en lui serrant tendrement la tête dans sa chevelure inondée de semence et exhalant le parfum qui l’émouvait tant.    Pour ce dressage elle s?inspirait du dressage des chevaux. Une monture bien dressée obéit à la moindre pression de son cavalier qui n?a pas besoin d?éperons ou à la plus douce sollicitation des rennes dans sa bouche. Mais si ce cheval est confié à des débutants, dans un manège par exemple, il sera impossible de le récupérer.    Elle le savait, ni un cheval de concours ni un amant ne se prêtent. Et voilà qu?en une petite demi-heure cette idiote lui avait cassé la baraque.    Elle avait néanmoins repris le conditionnement, mais dès le lendemain, elle avait cru distinguer une lueur de défi dans le regard de son protégé. Il continuait à exécuter ses ordres mais moins promptement qu?avant. De jour en jour la situation se détériorait.     Jusqu?à ce fameux samedi où l?ayant envoyé faire des courses elle le suivit. Quand elle le vit entrer dans le magasin de lingerie elle rentra chez elle et mit les effets du jeune homme sur le palier. Elle ne le revit jamais.    Le jour suivant, elle convoqua Stéphane, un des deux autres postulants avec qui elle correspondait sur le net.    Rendez vous fut pris dans la rue piétonne près d?un cinéma d?art et d?essai où on ne jouait que des films qui n?attiraient personne. Après s?être assurée de loin q?il correspondait à la description qu?il lui avait donnée, elle l?aborda.     ? Stéphane ? ? - ? Oui madame ? Il avait un beau regard franc la peau très blanche et des taches de rousseur le faisaient paraître moins que son âge. Ses cheveux auburn assez courts étaient très drus et il lui adressait un sourire timide. Il était un petit peu moins grand qu?elle et était plutôt longiligne. Il portait un pantalon de toile beige et une chemise blanche au col largement ouvert sur une poitrine glabre.     ? Viens, allons au cinéma ?    Christine paya les places et ils s?assirent dans un coin tranquille au dernier rang. On jouait un film japonais en noir et blanc, comme la séance était déjà entamée, elle ne put s?assurer que la salle était déserte. Elle le fit asseoir au bout de la rangée, contre le mur.     A peine assis Stéphane voulut passer son bras autour des épaules de Christine.     ? Tu mets tes mains sur tes accoudoirs et tu les y laisses ? le ton péremptoire ne souffrait pas de discussion.     ? Déboutonne ta chemise, complètement ? le garçon tout d?abord désarçonné par le refus qu?il venait d?essuyer, entreprit de défaire son vêtement. Mais la personnalité de Christine, et son parfum envoûtant l?avaient déjà mis en émoi et il attendait la suite avec un mélange de curiosité anxieuse et d?excitation. Elle commença à caresser les cheveux du jeune homme, sans tendresse, comme pour encourager un animal puis palpa son torse. Il transpirait. Il n?avait aucune pilosité, elle en fut très satisfaite.    Après lui avoir palpé les seins et s?être attardée sur les mamelons en les pinçant jusqu?à le faire réagir, elle fit descendre sa main sur son ventre et l?insinua dans la ceinture. Elle voulait explorer le haut de son pubis jusqu?à la racine de sa verge, pas plus loin pour l?instant. Christine ne laissait percer aucune émotion.      ? Tu as envie que je continue ? ? Eric acquiesça dans un grognement sourd.     ? Alors je vais t?indiquer certaines règles, tu ne me touches pas, tu ne prends jamais d?initiative, et tu fais tout ce que je te dis. ? tout en jouant avec la toison du garçon elle lui demanda ? Tu as déjà eu beaucoup de mains à cet endroit ? ?    Il ne put lui répondre tant sa gorge était nouée. Christine retira sa main, chercha la fermeture éclair et la fit glisser jusqu?en bas ? Garde tes mains sur l?accoudoir, veux-tu ? ? Elle sentait le membre tendu mais pour l?instant il arrivait à se contenir, bon point pour lui.    Christine défît la ceinture du pantalon et le dégrafa. Sa main sentit le slip de coton, elle aurait préféré un caleçon, c?est plus ouvert. Pour le palper plus à son aise elle lui demanda de baisser son slip et son pantalon.     ? Sur les chevilles, et remets tes mains sur les accoudoirs ? Elle voulait qu?il se sente devenir un objet entre ses mains, qu?il sente son sexe échapper à son contrôle et ne plus obéir qu?à elle. La verge bien blanche se dressait dans le noir mais Christine n?y toucha pas. ? Tu te branles souvent ? ? Il ne répondit pas mais hocha imperceptiblement la tête. ? Tous les combien, tu te branles ? Tu t?es branlé aujourd?hui avant de venir me voir ? ? Il hochait la tête à chaque question, la question le gênait, peu de jeunes garçons avouent leur pratique solitaire. Il était mal à l?aise mais elle savait que les mots qu?elle prononçait l?excitaient.     ? Je vais palper ta queue pour voir si elle m?intéresse, mais je te défends de jouir. ?    Joignant le geste à la parole Christine pris le membre durci et la palpa pour en saisir la forme, la taille le contour. Puis elle tira la peau vers l?arrière pour le décalotter et promena ses doigts autour du gland, utilisant les secrétions déjà abondantes pour ne pas irriter la peau soyeuse. ? Tu as une petite queue, mais ton gland me convient et tu bandes bien dur. Soulève-toi un peu que je tâte tes couilles. Délaissant la verge la main palpa les glandes rebondies les pressa pour sentir les deux noyaux glisser dans leur enveloppe. Il n?avait toujours pas joui, elle décida qu?il avait franchi cette première épreuve avec succès.     ? Branle-toi, non laisse l?autre main sur l?accoudoir et ne fais pas de saletés ? Puis tout est alors allé très vite, quand elle entendit le souffle du garçon s?accélérer et le vit se cabrer sur son siège elle lui glissa un mouchoir en papier dans la main, se leva quitta le cinéma et rentra chez elle.    Sur le chemin Christine marchait rapidement, cette séance l?avait bien excitée et elle était radieuse, son nouveau poulain lui plaisait et il avait accepté son emprise immédiatement. Bien sûr ces petits jeunes n?étaient pas difficiles à man?uvrer mais elle le faisait sans accessoires, par la seule force de son autorité, sans même utiliser le langage conventionnel. Il n?était pas question ni d?esclave ni de maîtresse mais elle voulait les marquer plus profondément, plus durablement. Ils étaient libres d?accepter l?ascendant qu?elle prenait sur eux ou de partir quand bon leur semblait. Attacher un esclave c?est lui fournir une excuse, elle voulait qu?ils perdent tout leur volonté, qu’ils redoutent de venir la voir mais ne puissent se passer d’elle, comme d’une drogue.    Plus tard elle se promettait d?affronter des étalons plus rétifs, elle s?y préparait.    La séance de cinéma l?avait bien excitée et si elle avait laissé le jeune homme aux prises avec son orgasme elle ne s?était pas libérée du désir qui lui tenaillait le corps.    Elle passa chez elle prendre un maillot de bain puis fila à la piscine.    Après une série de longueurs et alors que le bassin était désert elle s?accrocha au bord, du grand bain s?installa devant un des puissants jets d?eau qui renouvellent l?eau en permanence, les pieds contre la paroi, les jambes fléchies, elle offrit sa chatte à la caresse du courant en se tortillant lascivement. Elle avait les yeux fermés et les vagues de la piscine lui caressaient agréablement les épaules et la naissance des seins. Elle sentit rouler un orgasme énorme dans son ventre puis dans tout son corps, elle échappa un cri et s?efforça de faire durer le plaisir le plus longtemps possible en jouant avec la pression de l?eau.    Elle avait pris cette habitude bien avant son divorce et l’avait mise au point au fil des années Personne ne l?avait jamais surprise à se donner du plaisir de cette façon.    Le soir dans son lit elle se fit un autre câlin en pensant à son nouvel amant et aux progrès qu’elle lui ferait faire.    Marc    Août 2002
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