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Les étapes de ma soumission.

Chapitre 1

SM / Fétichisme
J’avais 18 ans, j’étais en couple avec Julien depuis 1 an et demi ( pas énorme mais à notre age, nous étions déjà vus comme « le vieux couple du lycée » ! ). Il était de taille normale, faisait du foot ( ce que lui permettait d’avoir un beau corps de sportif ), brun.... Nous étions un couple « populaire » au lycée : avant de sortir avec lui, j’étais avec un groupe de jeunes peu aimés et moqués. Il m’a permit de rencontrer plus de gens et m’a appris comment être une vrai jeune fille : maquillage, tenues plus sexy, talons … Je ne me sentais pas forcement à l’aise dans toutes ces tenues mais je l’aimais éperdument et si c’était le prix à payer pour être toujours avec lui, j’acceptais sans hésitations. Julien était mon premier amour, je l’ai toujours observé du coin de l’œil des années auparavant quand il s’amusait avec ses amis « populaires » qui me considéraient comme la « coincée » de l’école et ce fut une grande surprise quand il est venu me proposer de sortir ensemble. Je lui ai toujours était reconnaissante pour ça et même après plusieurs mois de relations, je me sentais en quelque sorte inférieure et chanceuse d’être avec lui. Il a aussi été ma première fois: au bout de quelques semaines, nous l’avons fait. J’aurais bien attendu quelques semaines en plus mais je voyais qu’il en avait envie et je ne voulais pas le décevoir. C’était ce qu’on peu appeler un « bon coup », il été très bien doté et savait parfaitement comment me rendre complètement folle. Au lit, il avait toujours aimé dominer, sentir que c’était lui qui dirigeait mais, il n’avait jamais été plus loin que des petites phrases comme «  T’aimes ça hein ? » . C’était sur le point de changer.
Une journée d’été, nous étions tout les deux chez lui. Alors que nous étions assis dans le canapé du salon, il est parti chercher un jeu vidéo dans sa chambre. Son portable, qui était posé sur la table en face de moi fit un bruit signalant un message. Depuis le temps que nous étions ensembles, je n’avais jamais regardé son portable mais la tentation fut trop forte. Après tout, si il n’a rien a se reprocher, il ne s’en voudra pas ! Laissant mes remords pour plus tard, je regardais le portable, un message s’afficha : «  Vous venez de recevoir un commentaire sur l’une de vos vidéos ». Me demandant de quoi il pouvait bien s’agir, j’ouvris le lien. Mon cœur fit un bond au démarrage de la vidéo : elle avait été prise dans ma chambre, 2 jours auparavant. On le voyait en train de me baiser. J’étais complètement abasourdie : il osait publier des vidéos de moi dans cette situation, sur mon propre lit ! Les commentaires de cette vidéo étaient plus pervers les uns que les autres, je me faisais insulté de chienne, de salope, de petite pute et jamais il ne me demandait ou ne leur demandait d’avoir un minimum de respect pour moi ! J’avais bien l’intention de lui demande des explications quand il allait revenir de sa chambre. Quand il arriva et se rassit dans le canapé, je le regarda fixement et lui dit en montrant la vidéo :« C’est quoi ça ? Tu te fous de ma g...... ». Il ne me laissa pas finir ma phrase. Il me gifla violemment et commença à me gueuler dessus comme jamais :«  DE QUEL DROIT tu touches à mon portable pauvre conne ? Tu sais que je n’aime pas ça ». J’essayais de me relever mais il me relança au sol. «  Pour répondre à ta question, ça c’est toi en train de te faire baiser ! Et si tu veux tout savoir, plus le nombre de personnes qui regardent cette vidéo augmente, plus je me fais du fric ! » Je ne comprenais plus rien à ce qui était en train de m’arriver, ce n’était plus le même. Jamais il n’avait levé la main sur moi, et je ne pouvais pas croire qu’il se serve de moi pour gagner de l’argent ! « A ton avis, pourquoi je suis allé chercher la dernière des coincées du lycée ? Tu crois que ça m’amusait de me balader en tenant une grosse par la main ? Je t’ai choisis parce que t’es la seule assez conne pour pas remarquer une camera au milieu de ta chambre ! » J’étais en larme, par terre, blessée, autant physiquement qu’intérieurement, plus d’un an qu’il me considérerait comme ça et moi je n’ai rien vu... J’ai voulu partir mais je savais d’avance qu’il ne me laisserait pas faire. J’ai du rester au sol, je savais qu’il me regardait mais je n’osais pas lever mes yeux vers lui. Le garçon que j’aimais me faisait peur. Soudain, j’entendis un bruit de crachat et quelque chose de liquide couleur sur mon visage. Il m’ordonna avec un voix autoritaire que je n’avais jamais connu d’avaler. J’avalais sa salive. « Lève la tête. Regarde moi. » Je m’exécutais, pétrifiée. En levant les yeux, je pensais voir ses yeux mais je tomba nez à nez avec une caméra, braquée sur ma bouche pleine de sa salive. « T’es tellement plus belle comme ça mon cœur , déshabille toi». « Arrête Julien, je peux pas » « Oh que si tu peux, et tu vas te dépêcher à le faire si tu veux pas t’en reprendre une »Une fois de plus, j’obéis, de peur de l’énerver à nouveau et me retrouva en petite lingerie que lui même m’avait convaincu d’acheter devant lui, caméra en main. « Tournes toi bébé, montre tes fesses à mes internautes ».Il connaissait cet assortiment et savait que le bas était un string. « Mais quel cul ! » il tourna la camera vers lui et dit «  Et ouais les gars soyez pas jaloux, c’est ce que je baise tous les soirs ». Il n’avait aucunes gênes à me traiter comme un vulgaire morceau de viande. J’en avais conscience et pourtant... je me souviens à ce moment précis m’être demandé pourquoi je ne partais pas en courant, j’aurais pu, la porte n’était pas loin, j’aurais eu le temps. Mais je ne le faisais pas, quelque chose me retenait, quand il parlait avec son grand sourire à la caméra... C’est ce sourire qui m’as fait craqué et c’est lui qui me fera rester, peu importe le traitement qu’il m’infligera. « Maintenant suce moi. Et cette fois ci t’as pas le choix ». ordonna t-il. Je ne l’avais encore jamais sucé, je trouvais cela repoussant et lui avait demandé de ne pas me le réclamer. Mais la, je savais que je n’avais pas le choix. Il installa son entre jambe en face de ma tête et commença à déboutonner son jean. Je commença à soulever son boxer mais il me donna une petite tape sur la joue et me dit :« Pas tout de suite ma belle. Montre moi que tu en as envie, sens la. Je te rappelle que t’as de la chance d’être la, accroupie devant moi, pour d’autres ça pourrait être humiliant mais pour toi c’est un honneur. ». Je m’en voulais à moi même mais j’étais bien obligée d’admettre qu’il avait raison : j’en avais envie et aussi humiliante cette situation soit – elle, j’aimais cette position inférieure, jamais me sentir soumise à lui. Je commença alors à renifler son boxer, à le lécher. Je voulais lui montrer que j’avais envie de lui, envie de le sentir dans ma bouche. A en croire la vitesse à laquelle s’est formée la bosse dans son boxer, Julien avait reçu le message et finit par m’autoriser à le lui enlever. Je me mis à le branler mais Julien me stoppa. Je leva la tête pour voir ce qui n’allait pas. « Écoute bébé le but c’est pas de me branler. Au cas ou tu ne l’ai pas compris, nous relations sont en train de changer. Maintenant tu me branle plus, tu me suce, j’en veux pas de tes caresses, je veux sentir ma bite jusqu’au fond de ta gorge, bouge toi ! »Sans plus attendre, je goûtais pour la première fois à cette bite énorme. Elle était très longue et je n’arriva à avaler que la moitié, ce qui ne suffisait visiblement pas à julien qui m’attrapa violemment par les cheveux pour imposer son propre rythme. Il me forçait à aller jusqu’au bout, je sentais ses couilles sur mon menton à chaque vas et viens. Au début, j’ai manqué plusieurs fois de vomir mais plus ça allait, plus j’y arrivais et y prenait du plaisir. Il n’avait même plus besoin de me tenir la tête. « Tu vois quand tu veux ». Au bout de 15 minutes, il me demanda de me décaler car ça allait venir. Je fus assez surprise car j’étais persuadée que son changement de comportement voulait qu’il me demande d’avaler mais ce qui m’attendait était bien plus lamentable et humiliant qu’une simple éjaculation buccale : il jeta plusieurs longs filets de sperme sur le sol et me regarda avec son beau sourire. « Tu sais ce qu’il te reste à faire ». J’ai tout de suite compris ce qu’il attendait de moi : je rapprocha ma tête du sol froid et après quelques secondes d’hésitations, sortis ma langue et lécha le sperme qui était par terre. Je ne me serais jamais cru capable d’une telle obéissance et d’une telle soumission. La camera tournait toujours et j’étais par terre, à 4 pattes en train de lécher le sperme de celui qui a toujours été tendre et attentif avec moi. Je ne savais pas ce qui était le pire : le fait qu’il ne m’ait jamais aimé ou le fait que cette situation me plaise.
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