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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà

Chapitre 1

Divers
Je raconte ici, une histoire concernant deux sœurs sur une période couvrant du début des années 70 au milieu des années 90. Ces deux sœurs sont Tchèques. Elles ont réellement existé (je les ai connues). Pour que je me sente inspiré en écrivant cette histoire, j’ai conservé leurs vrais prénoms. Par contre le patronyme utilisé est fantaisiste. Il a la forme des patronymes tchèques, et signifie, à peu près, "regarder" "voyeuse" dans le sens d’exhibition: bref un clin d’œil, en rapport avec leurs actions. J’ai conservé leur aspect physique, ainsi que leurs âges, en rapport avec l’avancée de l’histoire. Quelques scènes originales ont été modifiées pour les rendre plus osées. Tout le reste, soit 90%, ressort du pur fantasme. Une bonne partie de  l’histoire se passe en Tchécoslovaquie et dans quelques pays de l’Europe de l’Est (de l’époque). Pour chaque année citée, c’est toujours la même période de l’année qui sert de cadre au récit : les vacances d’été. Le cadre dans lequel se passe l’histoire étant connu, commençons donc.                                                                                                                    +++++++En juillet 1972, je me rends pour la première fois en Tchécoslovaquie, pour faire la connaissance d’une amie avec laquelle je correspond depuis un an. Autant dire que je la connais peu, n’ayant que la photo de son visage.En ce début juillet 1972, vers 7h du soir, j’arrête ma voiture devant une maison entourée d’un jardin et située dans une rue d’une petite ville de Moravie (centre de la Tchécoslovaquie). Je descends, au moment où la porte de la maison s’ouvre et qu’une jeune fille en sort: assez grande, un peu potelée, la peau laiteuse, les cheveux châtain clair. En la voyant, je reconnais Eva, la fille avec laquelle je correspond en fait. Elle est simplement vêtue d’une robe bleu clair, sans manches, et qui, détail "intéressant" est très courte: elle n’arrive pas à mi-cuisses. Ses parents suivent. Au départ, Eva semble avoir quelques problèmes pour s’exprimer en français, mais tout rentre dans l’ordre très vite. Et une fois les bagages en main nous entrons dans la maison. Au moment de se mettre à table, survient Jana, la cadette, 18ans et demi. C’est là que je remarque que les deux sœurs se ressemblent, morphologiquement du moins : les deux sont assez grandes, un peu potelées, la peau laiteuse, et visiblement une belle poitrine. Et Jana est tout aussi court vêtue, avec sa minirobe caramel, qui n’arrive pas à mi-cuisses.Les premiers jours de mon séjour, se passent, agréablement, mais sans rien de particulier. Les visites s’enchainent, je vois de belles choses. Normalement, je sais que toute la famille, les parents et leurs deux filles, partent en vacances en Yougoslavie le samedi suivant. Mais le vendredi, la veille, Eva m’annonce que ses parents ont décidé de retarder le départ au dimanche. Elle a donc cherché une excursion pour le samedi et a pensé me montrer un château ( la région en est pleine) à une trentaine de km de là. - "Nous partirons le matin cette fois car il faut être revenu plus tôt l’après midi : j’ai mon bagage à préparer!" explique t-elle.Et le lendemain matin, samedi, nous partons en voiture, vers 10h. Arrivé sur place une demi-heure après, nous visitons le château, avant de déjeuner dans une auberge, toute proche. Puis nous visitons le parc avant de nous asseoir sur un banc, situé à l’ombre sous un saule. Eva portait un t-shirt bleu, sans manches et une minijupe droite de toile kaki. Le banc étant de forme arrondie, et la jupe très courte, cette dernière remontait très haut découvrant les trois quarts de ses cuisses...Spectacle très agréable s’il en fût, et qui n’avait pas l’air de la gêner. Je ne sais pas ce qui m’a pris à ce moment-là, mais je me suis tourné vers elle pour l’embrasser. Quelque chose de spontané, d’irréfléchi. Mais à mon grand étonnement, elle a répondu à mon baiser avant de lâcher:
 - "Je t’aime, tu sais... je ne savais pas comment te le dire"
...Du coup c’est moi qui était abasourdi par ce propos! Quant à elle, libérée par cet aveu, elle devenait plus "chatte" posant même sa tête sur mon épaule. Je m’enhardis aussi et je pose ma main droite sur son genou, puis sur sa cuisse.- " Pas ici ! On pourrait nous voir!" chuchote t-elle en ôtant , avec douceur, ma main de sa cuisse.- " On peut aller ailleurs ?" dis-je, histoire de lui faire dévoiler ses intentions. Elle ne répondit pas directement:
-" Je dois acheter des cartes du château pour ma mère, après on fera une promenade en voiture. Quelle heure est-il?"— " Deux heures et des poussières!" dis je en consultant ma montre.— " Bien! Allons-y!" dit-elle, en se levant.
Elle achète quelques cartes à la boutique du château et nous reprenons la voiture. Je prends le chemin du retour, guettant sa réaction. A un carrefour, elle me dit de tourner à gauche et au bout de quelques minutes de route, elle me fait emprunter un chemin de terre sur la droite; chemin qui aboutit à un petit bois. Je gare la voiture sous un arbre, à l’ombre.
— " Tu connais cet endroit ?" lui dis-je, un peu étonné.— " Assez, oui, pour mon père, c’est un coin à champignons, en saison...et parfois il m’emmène. On n’est pas si loin de la maison, peut être 15km!"
Le moteur coupé nous nous regardons un moment, puis je l’embrasse doucement, puis goulûment, tandis que ma main gauche se pose sur ses cuisses et que cette fois, elle ne l’écarte pas. Je caresse l’étendue de ses cuisses un peu rondes....Sa jupe remontée laisse voir un bout de sa culotte. Je touche la culotte, entre ses cuisses, avec le bout des doigts...puis j’essaie de rentrer mes doigts dans sa culotte.
— " Si tu l’enlevais ? ça serait plus simple, non?"
Elle me regarde...elle hésite. Je sens bien qu’elle n’est pas contre...peut-être que le contexte la gêne. En plus dans la voiture ce n’est pas pratique." On va dehors?" C’est moi qui ai fait la proposition. Eva hésite encore...elle hésitera toujours avant de s’exécuter...elle est comme ça, Eva. Je sors de la voiture et vais lui ouvrir la porte. Elle en descend, un brin gênée.
— " Enlèves ta culotte! "
Elle me regarde puis passe ses mains sous sa minijupe, agrippe sa culotte et la fait glisser le long de ses jambes avant de la retirer. Je la lui prends des mains, doucement, et la jette sur la banquette arrière de la voiture.
— " Enlèves aussi ton soutien-gorge!"
 Fin du premier épisode. Suite au prochain numéro....
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