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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà

Chapitre 4

Vacances 1973

Divers
Voilà….Eva et moi avons attendu impatiemment l’arrivée de ces vacances 1973. Impatience mal comblée par un échange de nombreuses lettres. Et, en garant ma voiture devant la maison de ses parents, en ce mardi 4 juillet, vers 15h30, je sens le stress monter un peu. J’ouvre le portail et me dirige vers la porte d’entrée, qui s’ouvre à ce moment-là. Eva apparait et je suis ébloui.
« Bonjour, Bob ! Je suis seule pour le moment. Mes parents et ma sœur sont au jardin (il s’agissait d’un jardin potager situé à l’extérieur de la maison, de l’autre côté de la voie ferrée) et, comme on ne connaissait pas l’heure de ton arrivée, je suis restée là pour t’attendre ! »
Eva porte une petite robe bleue, sans manches, et vraiment mini, couvrant à peine plus que les fesses. Ses jolies cuisses rondes sont largement dénudées. A peine suis-je entré, la porte refermée, qu’elle se colle contre moi :
« Tu es venu tôt comme je voulais, mon chéri ! »
Je l’enlace…Baiser fougueux… Nous profitons de ce temps d’intimité que le hasard nous offre. Eva jette un regard sur l’horloge du vestibule où nous nous trouvons :
« Quatre heure moins quart…Ils ne devraient pas revenir du jardin avant cinq heures. Tu vas prendre tes bagages et les mettre dans ma chambre. Après, nous aurons un peu de temps… »
Sa phrase reste en suspens, mais il est des silences qui en disent long. Je m’exécute et en à peine un quart d’heure, mes bagages se retrouvent dans sa chambre au 1er étage : petite chambre tout en longueur avec un lit étroit. C’est là que je dors tandis qu’Eva utilise le canapé du salon.Je redescends. Eva est dans la cuisine :
« Je suppose que tu as soif ? » demande- t-elle, tout en déposant un grand verre de limonade sur la table. Je m’assois, tandis qu’Eva replace la bouteille au frigo ; elle doit se pencher et j’ai le temps d’entrevoir un bout de sa culotte.
Pendant que je bois, je lutine ses cuisses qu’elle dévoile si généreusement.
« Je te plais comme ça, il me semble ? » dit-elle avec un sourire entendu.
« Hum ! Ca oui ! » …je suis incapable de dire autre chose.
Et, à peine mon verre vidé, elle m’entraîne :
« On va dans ma chambre, au premier…On les entendra quand ils reviendront ! »
Elle monte devant moi. Je devine que je dois prendre quelques marches de retard sur elle, ne serait-ce que pour avoir l’occasion de voir encore un peu plus de sa culotte ; le spectacle est un bel avant-goût. Un fois entrés dans sa chambre, Eva laisse la porte ouverte :
« Pour mieux les entendre quand ils arriveront ! » justifie- t-elle.
Puis, comme si elle prenait son temps, elle défait un à un les boutons qui ferment sa minirobe, avant de la retirer et de la déposer sur le lit, apparaissant en culotte et soutien-gorge. Et elle se colle contre moi. Mes mains emprisonnent ses hanches avant de se plaquer sur ses fesses. Eva me masse doucement au niveau de ma braguette avec son ventre. Je commence à bander sérieusement. Puis je glisse mes mains dans sa culotte pour palper ses fesses nues. Elle me laisse faire. A peine réagit-elle quand j’essaie de faire glisser sa culotte sur ses cuisses ; pendant un bref instant elle me retient, avant de laisser faire…jusqu’à ce que la culotte tombe sur ses pieds.
Avec gourmandise, je lui palpe les fesses à deux mains, les tripote. Je l’attire contre moi pour bien sentir son bas ventre contre ma braguette. Ma queue est dure et raide et elle doit bien la sentir aussi. Puis je louche sur son soutien-gorge :
« Enlèves-le, s’il te plait ! J’ai hâte de te voir de nouveau toute nue ! » Eva sait que le temps est compté, aussi ne tarde- t-elle pas à se défaire de son soutien-gorge, dévoilant ses affolantes mamelles laiteuses qui font une partie de son charme.
« J’adore ça ! Tes beaux seins …Un régal ! » dis - je, en me mettant à sucer les tétons déjà dressés.
Eva m’adresse un sourire bienveillant, appréciant ce genre de caresse, puis elle s’écarte un peu de moi, pour glisser sa main droite sur ma braguette. A travers le tissu, elle palpe ma queue, qui se trouve de plus en plus  à l’étroit. Puis, toujours en me regardant, elle ouvre ma braguette, écarte mon slip et finit par se saisir de ma queue qu’elle sort à l’air libre, déjà raide et congestionnée. Elle commence à me masturber, lentement.
« Attends, je vais t’aider ! » … et je défais mon pantalon et baisse mon slip. Mon sexe, libéré, se dresse vigoureusement et mes couilles pleines sont accessibles.
« Je voudrais que tu regardes ce que tu me fais ! Tu sais que ça me plait ! » dis-je, voyant Eva continuer à me regarder les yeux dans les yeux. Elle me sourit et penche la tête pour observer sa main droite me masser doucement la verge.
« Touches moi les couilles avec ta main gauche ! » ce qu’elle fait sans presqu’hésiter. L’espace d’un instant, j’imagine qu’elle désire être guidée, et cette idée m’excite. Mes mains sur ses fesses, je l’attire à moi, si fort que le gland entre en contact avec son bas ventre.
« Bob…il ne faut pas… pas encore… tu n’as pas de préservatif et tu sais que je ne prends rien pour… »
« D’accord  - dis-je – alors tournes toi et colles toi contre moi. Je vais mettre mon sexe entre tes cuisses et me masturber comme ça… et je vais te masturber en même temps ».
Eva se colle contre moi, me tournant le dos. Je sens ma queue dure emprisonnée entre ses cuisses satinées ; Ma main droite cherche son clitoris,  tandis que ma main gauche s’active sur ses seins. Puis sa respiration s’accélère ; elle commence à gémir doucement ; mes doigts s’activent sur son clitoris qui commence à prendre du volume. J’accélère le mouvement tout en faisant faire des aller -retour à ma queue entre ses cuisses.
Je suis le premier à jouir. Je jute très fort, et, par réflexe, Eva met la paume de sa main droite juste en face du gland et recueille une bonne partie du foutre sur sa main. Et dans la foulée, elle jouit à son tour, en gloussant, engluant mes doigts d’une mouille abondante qui glisse sur ses cuisses.
« Eh bien, quand tu jouis, tu ne fais pas semblant, Eva chérie ! »
«  Et toi alors ! » dit-elle en me montrant sa main gluante de mon foutre.
« J’espère qu’il n’y en n’a pas sur le tapis… »  s’inquiète - t- elle, en regardant le sol.
« En attendant, fais-moi plaisir ! Lèches ce que tu as dans la main ! Comme l’année dernière ! »
Et pour l’encourager je lèche sa mouille recueillie sur mes doigts. Après une brève hésitation, elle finit par lécher mon foutre étalé sur sa main, jusqu’à la dernière goutte.
« Merci, chérie ! » et je l’embrasse à pleine bouche et longuement. Nos langues se mêlent. Un baiser  fougueux, interminable.  Puis il faut bien se résigner à se rhabiller… Le bon moment, car des voix se font entendre au rez-de-chaussée.
Et après s’être assuré que tout était en ordre, il ne nous restait plus qu’à descendre, rejoindre le reste de la famille.
Fin du premier épisode de 1973….à suivre.

 
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