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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà

Chapitre 12

Camping sauvage en Bulgarie

Divers
Je regarde Eva remonter le sentier. Sa culotte moule ses jolies fesses. Et comme elle se déhanche un peu, j’y vois la  promesse de futurs ébats, tout aussi torrides, sinon plus… En attendant l’heure du déjeuner, je reste donc avec les parents et Jana.Nous quittons la plage peu après midi. Jana est restée parfaitement naturelle, comme si rien ne s’était passé auparavant. Nous retrouvons Eva assise sur une chaise pliante, en train de lire.
Après le déjeuner, moment de repos, puis retour à la plage vers 15h30, cette fois pour la bronzette et la baignade classiques.Après le dîner, les parents décident d’aller faire une promenade. Ils me proposent de les accompagner, les deux filles gardant le campement. Comment refuser ? Sans doute ne comprendraient-ils pas. Quand nous revenons de cette balade, il est 22h30. C’est ainsi que finit cette première journée de plage.     Jeudi 21 juillet. Lever vers 8 heures. Vers 9h, alors qu’Eva, sa sœur et moi s’apprêtons à descendre à la plage, un monsieur d’un certain âge, un Tchèque se présente. Sa voiture, une Trabant, est en panne. Il sait où il y a un garage à Varna mais il faut amener la voiture sur place. Il a aussi  bien remarqué la voiture des parents : se faire remorquer avec ne devrait poser aucun problème. D’ailleurs, il possède une barre de remorquage. Celle-ci s’adaptant aux deux voitures, son père accepte de l’aider. Il demande à Jana de l’accompagner, car elle parle le russe, langue bien comprise ici. Visiblement, cela n’enchante pas Jana.Restés donc avec sa mère, Eva et moi  l’aidons à assurer l’intendance. A 11h tout étant en ordre, madame Uzakovà  nous laisse libre d’aller nous baigner.   Nous descendons donc le sentier, mais c’est pour constater qu’il y a du monde sur la plage. Eva, me dit avoir repéré une petite crique isolée, tout près d’ici. Pour y accéder, il faut descendre un petit chemin accidenté. Une fois sur place, une espèce d’auvent naturel devrait nous abriter des regards. Eva dépose son sac plastique contenant les flacons d’huile solaire et deux serviettes.
Elle contemple un moment la mer, et jette un regard sur les hauteurs de la crique. Puis, lentement, elle dégrafe son soutien-gorge, l’ôte, et fait glisser sa culotte sur le sol. Après quoi, elle range soigneusement son maillot dans le sac. La voici nue. Et comme mon étonnement est visible, elle dit avec un petit sourire malicieux :
«  Eh bien, quoi ? Tu dis toujours que tu adores me voir nue ! Alors me voilà nue ! Ici, on peut, n’est-ce pas ? »
Puis, tout en m’observant, elle ajoute : «  Et mets-toi nu aussi ! Ce sera plus simple, chéri ! »
Très vite, mon maillot rejoint celui d’Eva dans son sac…et il ne faut pas longtemps pour voir mon sexe se dresser :« Je t’excite, hein ? » ajoute -t-elle, un brin provocante, en voyant ma queue raide.
Puis elle se tourne à nouveau vers la mer, debout, immobile, semblant attendre quelque chose. Alors, je me place dans son dos, et,  me plaquant contre elle, je l’enlace. Elle est radieuse. Puis mes mains parcourent son corps, tandis que je lui chuchote des propos brûlants :
« Tu ne sais pas combien tu es jolie…c’est vrai que tu m’excites ! Tes seins, ton ventre, ton minou … tes fesses, tes cuisses, tes hanches, ton petit trou … j’en suis fou ! Tu sens ma queue entre tes fesses ? »
Elle me répond par un « oui » fiévreux.
« J’adore ta façon de jouir… ces halètements, ces cris, ces gémissements… ça me donne encore plus envie de te faire jouir ! Et j’aime aussi quand tu te donnes du plaisir avec ta main. Quand je vois tes doigts fouiller ta chatte, puis s’activer sur ton clitoris. Quand je vois ton excitation monter, que tu astiques ton clito comme une folle, ça me rend dingue … »
« C’est joli que tu me dises cela, chéri ! Et moi, je peux te dire que, maintenant, je me sens prête à découvrir des choses nouvelles. Au début, ça me gênait; je n’avais pas trop envie. Mais tu dois être patient avec moi, surtout pour les choses osées. J’avoue que quand tu as voulu que j’essaie avec Rex, j’ai d’abord trouvé ça dégoûtant… J’ai honte de dire que maintenant, je trouve ça excitant ».
« Hum ! J’aime ce genre d’aveu, chérie ! Je sens que tu peux aller très loin dans le sexe … je vois déjà  ça avec ta sœur… Tu l’as laissé me sucer, hier… J’aime ce jeu trouble… J’avoue à mon tour que j’ai bandé quand Jana a passé sa main enduite d’huile sur tes fesses… »
« Vraiment ? Je sais que je suis troublée par cela aussi… ma sœur est audacieuse, je le sais. » Puis elle ajoute : « je n’ai pas l’audace de ma sœur, mais j’aime le sexe … sais-tu que j’ai le Kamasoutra à la maison ? »
« En tout cas, au début, tu me semblais bien réticente, n’est-ce pas, Eva ? »
« Oui, je sais, mais j’ai eu une éducation assez stricte. En plus, j’ai toujours peur qu’on nous surprenne quand je fais l’amour avec toi… ou quand je baise avec toi, comme tu dis ! »
Je recevais tous ces confidences d’Eva, tout en sentant la douceur de sa peau contre la mienne et ma queue, bien au chaud, dans la raie de ses fesses. Je commençais à entrevoir ce que serait la suite : Eva était, dans une certaine mesure, soumise. Encore fallait-il que j’agisse avec elle avec doigté. Ainsi, je parviendrai à lui faire accepter bien des choses. Et j’espérai bien faire entrer Jana dans ce jeu, sans pour autant savoir de quelle façon … pour le moment.Le silence s’installe, tandis que je sens Eva remuer ses fesses contre moi ; cette coquine m’excite  à sa façon, me masturbant avec ses fesses :
« Ca te plait, chéri ? » Je sens ses melons fermes masser ma bite, la rendant raide et dure.
« Humm ! Ca oui !  … et j’aimerais que tu te tripotes le minou ! »
« Bien, Bob, mais on va s’assoir, alors ! »
Nous nous installons, adossés à la paroi. Je me place à sa gauche. Ainsi, elle peut fouiller sa chatte avec sa main droite, tandis que sa main gauche empoigne ma bite pour une lente masturbation :« Tu aimes que je te fasse ça, hein ? »
« Humm ! ouiii ! Et aussi j’adore voir la mouille couler de ta chatte ! »
Je suis tellement excité que je jouis très vite. Eva a l’air déçue, aussi  je lui dis :« Recommences à me masturber… ça va revenir ! »
Eva reprend ma bite ramollie dans ses doigts et s’active dessus tout en commençant à titiller son clitoris. Il ne faut pas longtemps pour sentir ma queue se redresser. Je regarde Eva : elle a les yeux mi-clos, elle gémit doucement. Je sens qu’elle s’applique à bien se masturber, pour me satisfaire au maximum.
Nous sommes si occupés à notre plaisir, que la surprise est totale, quand nous entendons des pierres rouler sur le sentier. Eva s’interrompt aussitôt, mais trop tard : face à nous, l’air goguenard, deux individus pas ordinaires du tout, car ce sont deux policiers. Ils commencent d’abord à parler en bulgare. Eva leur fait signe qu’elle ne comprend pas, et leur parle en russe. Le plus jeune répond aussitôt et une conversation s’engage. Au ton employé par l’agent, je sens bien que la chose ne doit pas être bien grave.
Puis Eva se tourne vers moi :« Il dit que nous avons commis deux infractions : la première c’est de s’être installé en dehors d’un camping officiel. La deuxième c’est de faire du nudisme ; c’est interdit ici. Il dit que nous allons devoir payer une amende, seulement pour le nudisme. Pour le camping, ils nous demandent simplement de partir… »
Je sens Eva  préoccupée. La police est habilitée à percevoir  les amendes ici, mais nous n’avons pas d’argent sur nous ! Il faudrait remonter, accompagnés des deux policiers, jusqu’à la tente. Pas évident … Sans compter le petit scandale, car notre mésaventure ferait vite le tour du campement… Ne parlons pas de ses parents ! Car il était prévu qu’après le séjour en Bulgarie, Eva et moi devions faire un petit détour par la Roumanie avant de rentrer. Ce projet pouvait tomber à l’eau.
Les policiers n’ont toujours pas évoqué le montant de l’amende. Il est visible qu’ils n’ont pas  l’air intransigeant comme le seraient des Tchèques, même s’ils ont leur carnet de contraventions en main. Et comme Eva voit bien qu’ils matent son corps avec délectation, elle se dit, malgré la gêne qui la gagne,  qu’elle a une carte à jouer.    Si elle leur propose quelques faveurs sexuelles, elle peut se sortir de ce mauvais pas.Son intuition lui dit qu’en leur proposant d’emblée une fellation, ils devraient accepter. Ce qui est le cas, bien qu’ils y ajoutent un petit plus : elle devra, ensuite,  se masturber devant eux tout en me suçant. Ils s’amusent de cette exigence en disant que je ne dois pas être oublié !
Ils se placent eux-mêmes sous l’auvent de pierre, debout tandis qu’Eva se met  à genoux face à eux. Elle est un peu inquiète car c’est une première fois pour elle. Ils sortent  leurs queues, déjà toute raidies et décalottées. Celle du plus jeune est d’une taille normale, tandis que celle du plus âgé est déjà plus impressionnante.  Eva a maintenant  les deux bites face à son visage. Elle m’adresse un regard désolé, comme pour s’excuser de devoir faire ça.
Elle prend la plus petite bite dans sa bouche et commence à la sucer lentement, mais, très vite, l’autre réclame son tour ; Eva doit  enfourner cette  grosse bite qui déforme  sa bouche. Elle a les yeux larmoyants, mais elle continue, passant d’une bite à l’autre suivant leurs désirs. Voyant qu’elle n’utilise que sa bouche, le plus âgé (sans doute plus vicieux) prend sa main pour qu’elle lui masse les couilles… et l’autre, du coup, demande le même traitement. Elle a maintenant une paire de couilles dans chaque main, et suce les glands décalottés à tour de rôle…. Jusqu’à ce qu’ils finissent par jouir. Ils ne se gênent pas pour tenir la tête d’Eva, afin que les giclées de foutre qu’ils larguent  lui arrivent en plein visage. Quand ils se sont bien vidés, ma chérie a la figure tapissée de foutre gluant : sur les joues, le nez, le menton, les lèvres et même les cheveux.
Puis c’est mon tour. Elle me suce, tandis que sa main gauche me tripote les couilles et que sa main droite astique son bouton d’amour. Je regarde ce foutre « étranger » dégouliner de son visage  sur ses seins et ses cuisses …et ça m’excite… Je finis par juter à mon tour : elle en reprend sur les lèvres, le menton et la joue droite. Ensuite, il ne lui reste qu’à atteindre la jouissance en se masturbant énergiquement. Elle gémit, oubliant même la présence des deux policiers. Ces derniers l’observent avec gourmandise, jusqu’à ce qu’elle émette un gloussement jouissif, suivi d’un petit jet de cyprine. Visiblement satisfaits de la prestation d’Eva, ils rangent le carnet de contraventions.  Et ils font même la révérence, avant de faire demi-tour.
Je vois bien qu’Eva se sent coupable et ça me désole beaucoup. Au bout de cinq minutes, le temps que les policiers se soient éloignés, elle rentre dans l’eau  pour asperger abondamment son visage, et faire quelques brasses. Puis, elle s’essuie avec la serviette  et remet son maillot de bain. Il est à peu près midi, quand nous remontons le sentier, toujours en silence. Ce n’est qu’une fois en haut qu’elle consent à dire :
« Eh bien ! Quelle journée ! Mais ça aurait pu être pire ! Pas un mot là-dessus, hein ? Cela doit rester entre nous… »
«  Je serai muet sur ce que j’ai vu….sois tranquille ». Dis-je.Nous retrouvons sa mère qui attend toujours le retour de son mari et de Jana. Finalement, ils reviennent un peu avant 13h, et nous pouvons déjeuner. Cette attente permet à Eva d’évacuer le stress.
Vers 16h, on se prépare à nouveau pour la plage, quand se présentent deux policiers. Ils font savoir que le camping sauvage est interdit, et invitent les personnes présentes à évacuer les lieux avant demain midi.Ce remue-ménage terminé, nous allons nous baigner. Après le dîner, les parents vont tout de même se promener, emmenant Jana cette fois. Eva et moi gardons le campement. En se basant sur la veille, nous devrions être tranquilles durant deux bonnes heures.
Dès qu’ils se sont hors de vue, Eva me fait entrer dans la tente des parents, plus spacieuse. Elle porte un t-shirt jaune par-dessus son maillot de bain. Aussitôt, elle retire tout, se retrouvant nue, à nouveau :
« Ces idiots ont gâché notre matinée, alors nous allons la reprendre ! » dit-elle sur le ton de la plaisanterie Elle s’assoit sur le tapis de sol de la tente, excitante à souhait. Je m’assois à côté d’elle, et caresse ses seins :« Mets-toi nu aussi, Bob ! On a du temps….et j’espère que nous n’aurons pas la visite de la police ! » Elle rit.
Je me mets nu à mon tour… Eva, me regarde, puis regarde ma bite : « Tu as apprécié ce matin, n’est-ce-pas ? »
Elle joue avec ma queue, la palpant ; la serrant entre ses doigts, l’empoignant à pleine main :« Tu aimes ma bite ? Tu mouilles pour elle ? » Dis-je en passant deux doigts sur les poils de sa chatte.
« Hum ! Oui ! J’aime ta bite comme tu aimes ma chatte ou mon petit trou ! » Elle dit cela avec fougue.
« Tu veux que je te montre quelque chose ? C’est bête de n’y avoir pas pensé à la maison, mais je l’ai emmené avec moi ! » Dis-je, un brin mystérieux.« Un autre cadeau pour moi ? »  (Je lui avais apporté des disques)
« Pas exactement un cadeau, mais ça peut ressembler à cela ! »
« Alors, va le chercher ! Remets ton slip tout de même ! On ne sait jamais ! » Elle sourit.
Je reviens avec une boite en carton léger, de forme allongée. Je l’ouvre et en sort une sorte de cylindre en plastique d’environ 20cm de long sur 3,5cm de diamètre. L’embout est arrondi et un peu effilé. «  Qu’est-ce que c’est ? » La curiosité d’Eva est attisée.
« On appelle cela un vibromasseur. Comme tu vois, il a la forme d’un sexe d’homme. C’est pour toi. Tu peux le rentrer dans ta chatte…ou dans ton anus. Après tu tournes le couvercle rond au bout : marche ou arrêt. Tu vas adorer ! »
« C’est plutôt rigide… la surface est molle. C’est  du caoutchouc ? Et ces rainures qui dépassent ? Ca doit faire mal, non ? » Eva est dubitative.
« Tu l’essaies et tu verras de suite comment c’est !  » Je cherche à la décider.
« Il y a des piles ? » Elle tourne le couvercle dans un sens, déclenchant une sorte de bourdonnement aigu. Elle pose un doigt dessus :« Ca vibre beaucoup ! On ne peut pas le régler ? »
« Euh…non… pas celui-là en tout cas ! » dis-je, espérant qu’elle se décide.
« De toute façon, tu as envie que je l’essaie, hein ?… Alors dis-moi comment on fait ! »
« Tu te mets debout, tu écartes les jambes et tu le rentres lentement dans le vagin. Tu le fais toi-même, c’est mieux. Après je le mets en route ! »
Eva se lève, ouvre ses jambes, enfile le vibromasseur, qu’elle enfonce peu à peu dans son vagin :« Attention, je le mets en route ! » Dis-je en tournant le capuchon. A nouveau, le bourdonnement se fait entendre. Au début, Eva ne réagit pas. Puis elle lâche : «  Hum c’est agréable ! »
« Fais –le aller et venir dans ton vagin ! C’est comme ça que c’est le mieux ! »  Eva obéit. Elle ressent vite une excitation  intense, due aux vibrations, tandis que les rainures  provoquent des sensations en frottant les parois du vagin : «  C’est pas mal ce truc ! » Et elle le retire.
« Tu veux essayer l’anus aussi ? » je la tente. « Ce n’est pas facile pour moi….et pas pratique à mettre ! »«  Mets-toi en levrette ! Je vais le placer moi-même ! »
Voyant que j’y tiens, elle se met en levrette, tandis que je commence par lui doigter le cul.« Ouvres- toi, jolie rondelle ! » Je rentre deux doigts dans son anus et les tourne dedans. Elle gémit. Puis, je passe le bout du vibromasseur sur sa chatte humide, avant de le placer sur l’orifice anal. Puis je commence à pousser. Eva gémit, se mord les lèvres. Je pousse plus fort. Elle étouffe un cri, tandis que le vibromasseur s’enfonce, écartant les parois de son anus. Quand j’en ai mis la moitié – 10cm- je préfère arrêter. Et je remets le moteur en marche. Eva sent les vibrations envahir son cul. Après quoi j’essaie de le tourner :
« C’est bon…ça fait des choses agréables … c’est même mieux  que dans le vagin… »
Eva commence à onduler du cul : «  Si tu marchais avec ? » Dis-je, toujours à la recherche de nouveautés :« Je ne vais pas l’abîmer ? » Elle se lève et fait quelques pas, en tenant le vibromasseur en place avec sa main gauche.« Hmmm ! Là ça excite vraiment ! C’est bon ! Hmmm ! »
Elle le garde un petit moment puis l’enlève précipitamment :« Bob ! J’ai envie de faire pipi … vas voir s’il n’y a personne devant… je n’ai pas le temps d’aller jusqu’au bois ! »
J’enfile mon slip de bain, et jette un coup d’œil : personne à proximité. On entend juste un groupe, chantant et parlant à une  trentaine de mètres de là. Elle sort, nue, passe derrière la tente, s’accroupit et pisse. Je vois ses jolies fesses rondes  et je devine le jet de pisse qui gicle.Elle se relève et revient dans la tente. Et là je fais quelque chose qui la surprend : je passe ma main sur sa chatte, comme pour essuyer les gouttes qui perlent encore :
« Bob ! Que fais-tu ? C’est sale ! » Dit-elle, gênée par mon geste imprévu. « Je ne veux rien ignorer de ton intimité… je veux connaitre tous tes orifices ! » lui dis-je.
Elle rougit, mais je sens bien que son côté soumise est  réel. Aussi ne dit-elle rien quand je lui propose de l’enculer tandis qu’elle s’enfoncera le vibromasseur dans la chatte.« Montres-moi ton trou du cul ! » J’en viens à  me montrer plus exigeant…et plus cru.
Elle se penche en avant et écarte ses fesses avec ses mains. Ayant déjà reçu le vibromasseur, son trou de balle est plus souple, et ma bite ne force pas trop :« Maintenant bourres ton con avec le vibro ! Tu vas connaître le paradis ! »
Eva pousse un petit cri quand ma bite s’enfonce dans son cul, tandis qu’elle parvient à mettre en route le  vibreur. Prise des deux côtés pour la première fois, Eva alterne petits cris et gémissements répétés :« Tiens bien le vibro dans ton con, chérie ! »
Eva le tient à deux mains. Elle sent son anus ramoné par ma bite, tandis que le vibromasseur  excite délicieusement son vagin. Elle couine, gémit…Elle a du mal à maîtriser son excitation. Quant à moi, je me lâche :« Salope ! Cochonne ! Je te défonce ! Je te ramone le trou du cul ! »
 Penchée en avant, en levrette, je devine les nichons d’Eva qui ballotent et ça m’excite encore plus :« Putain ! Chienne ! Salope ! Je t’encule ! Je remplis ton trou du cul ! »
Puis, au comble de l’excitation, je gicle mon foutre dans son anus ; puis je saisis le vibro à deux mains  essayant de le lui enfoncer encore un peu plus. Elle a un cri étouffé. La mouille coule entre ses cuisses. Puis, venant me placer face à elle, je retire le vibro et plaque ma bouche sur sa chatte et lui lèche longuement le clitoris. Puis elle émet un gloussement presque bestial, tout en lâchant un petit jet de cyprine. Eva est en sueur, épuisée par cette séance de baise un peu brutale. Sa chatte et son entre cuisses sont gluants de mouille. Elle s’essuie comme elle peut avec des mouchoirs en papier.
« Eh bien ! On peut dire que tu en avais vraiment envie ! Qu’est-ce que j’ai pris ! » Mais elle tempère aussitôt :« Mais j’ai adoré cela… Tu m’as donné un plaisir fou, chéri ! Je me sens prête à recommencer… mais une autre fois, car, tu vois, j’ai très chaud ! En tout cas cette chose – elle montre le vibromasseur- est vraiment bien ! »
Elle observe son bas ventre, ses cuisses :« Je me suis essuyée, mais je me sens toujours collante et je sens ton sperme en train de sécher sur mes fesses… Je crois que je vais aller prendre un petit bain dans la mer… Tu m’accompagnes ? On a encore un peu de temps. »
Nous enfilons nos maillots, refermons la tente, et d’un pas rapide nous gagnons la plage, déserte à cette heure-ci. Eva entre dans l’eau :« Elle est même encore un peu chaude ! » dit-elle.
Puis elle s’éloigne, se plonge entièrement dans l’eau, barbotte un moment, puis revient sur la plage. Elle saisit la serviette que je lui tends et s’essuie avec soin.  Puis elle regarde  vers le large. Doucement, je l’enlace. Elle me laisse faire, ajoutant quand même :« Bob, il faut que nous soyons sages… et puis ta chérie est fatiguée… ça compte, non ? »
Elle m’adresse un sourire désarmant, et nous retournons à la tente. Vingt minutes plus tard, Jana et ses parents reviennent de promenade.

A suivre…

                        
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