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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà

Chapitre 18

La journée des cadeaux ?

Divers
Je commence à m’inquiéter –Eva également- du retard de Jana, quand elle apparait à l’entrée du camping :« Enfin, la voilà ! Elle a l’air un peu fatiguée… » Dit Eva.
Nous nous levons et allons à sa rencontre :« Ouf ! Je suis un peu en retard, mais pas facile de me défaire de « lui »! Sinon ça va plutôt bien, même si je suis un peu fatiguée. J’ai eu beaucoup d’expériences excitantes, c’est sûr ! Je vous raconterai ça plus tard. Maintenant je voudrais surtout me reposer ! » Jana esquisse un sourire.
A ce moment-là, elle remarque qu’Eva tient une enveloppe dans sa main droite :« Qu’est- ce que c’est cette enveloppe, Eva ? »« Mirek me la remise quand il nous a vus nous assoir sur le banc, il y a une demi-heure. Je t’en dirai plus après ! »
Quand nous arrivons à la tente des parents, ceux-ci sont assis juste devant :« Ah ! Vous voilà ! Vous êtes un peu en retard ! Bonne promenade ? » Demande sa mère. Elle ajoute : « Vous pouvez aller vous baigner tous les trois, mais revenez vers 18h pour le dîner. »Son père ne dit rien, il est en train de lire. Jana arrive entre temps, s’étant changée. Puis nous nous dirigeons vers la plage.
Il y a pas mal de monde, mais on parvient à trouver un petit espace où nous pouvons nous allonger, Eva et moi, côte à côte et Jana face à nous :« Comment te sens-tu Jana, ça va ? » demande Eva.« Ne vous en faites pas, vous deux ! Je suis sûre qu’après une bonne nuit de sommeil, tout ira mieux. A mon âge, j’ai 19ans et demi, quand même, on récupère vite ! Au fait, c’est quoi cette enveloppe ? »
« Mirek me l’a remis comme je t’ai dit. C’est un peu mystérieux, je trouve. Imagine-toi, qu’on doit se rendre au bar restaurant du poste-frontière, remettre cette enveloppe sans l’ouvrir, à l’employée qui nous remettra un paquet… un paquet, Mirek n’a pas voulu en dire plus ! Et, en plus, nous devons nous adresser à la personne qu’il connait, pas à une autre. Celle que nous devons voir est de service la matinée de 6h à 14h. Donc il faudra aller le matin. On ira lundi ou mardi au plus tard puisque nous partons le mercredi ! Comme explication, il prétend qu’à partir du lundi 1er août, il ne sera plus là, et qu’il n’aura pas le temps d’aller le chercher. Bon… » Eva soupire… quelle surprise cela peut-il cacher ?
« Bien… on ira le chercher … Jana tu viendras avec nous ? Dis-je.« Oh, je veux bien oui ! Mais je préfèrerai mardi ! » Suggère Jana.« On va se baigner ? » me demande Eva, en se levant.« Allez-y ! Moi je me repose ici ! Je vous raconterai tout demain ! » Nous lance Jana.
Un moment après, vers 18h, nous regagnons le camping pour le dîner. Puis nous bavardons un moment, avec les parents. Vers 21 h 30, Jana annonce qu’elle va se coucher, disant avoir sommeil.
Lever ce dimanche 31 juillet vers 8h. Jana semble avoir récupéré. La journée se passera calmement, avec baignade le matin et l’après-midi. Je remarque qu’Eva a renoncé à la baignade. Pas de promenade non plus. Repos complet, donc.
Lundi 1er août. Mirek est bien parti, puisque le bureau d’entrée est maintenant tenu par un grand barbu d’une trentaine d’années. L’après - midi nous faisons une promenade, au cours de laquelle Jana nous raconte, dans le détail, comment s’est passé son samedi après-midi. Eva est estomaquée :
« Eh bien ! Tu peux dire que c’est une sacrée expérience ! Plus riche que la mienne, en tout cas ! J’ai l’impression que la séquence zoo était prévue… ce Boris est un malin… et en tout cas plus poli ! Mon type m’a demandé mon prénom mais il a oublié de donner le sien ! » Elle rit.
« A propos de Mirek… nous irons donc demain matin à ce fameux bar ? » demandai-je.« Oui, on pourrait partir d’ici vers 9 h, je crois qu’on est à 25km de la frontière ? » Dit Eva.« A peu près, oui. » répond Jana.
Sur le retour de la promenade, je prends Eva par le bras :« Eva, j’ai remarqué que depuis hier, tu ne te baignes plus… » Je laisse ma phrase en suspens.« Ah, mon pauvre Bob, la raison en est très simple : j’ai mes règles… ! » Elle sourit, puis rajoute : « Tu sais ce que c’est, j’espère ? »« Oui, oui, je sais ! » dis-je rapidement, gêné de ne pas y avoir pensé.« Si ça peut te rassurer, pour moi, ça dure autour de 4 jours, donc à partir de jeudi matin tout devrait être normal ! » Elle rit, faisant rire Jana qui a tout entendu.
Une fois revenue à la tente, Eva me suggère d’aller me baigner avec Jana. Ses parents suivent aussi, mais ils ne se baignent pas et je me retrouve dans l’eau avec Jana et son mignon deux-pièces noir et blanc.« C’est incroyable ce que tu as fait samedi ! Je suppose que tu as aimé… »
« J’avoue que ça m’a beaucoup excitée… et que j’ai beaucoup joui ! » répond Jana les yeux brillants. Elle ajoute, coquine :« Je me suis bien reposée depuis samedi, tu sais ? »
Je regarde autour de nous. Pas de baigneur à moins de 10 mètres. Et nous avons de l’eau jusqu’à la poitrine :« Tu es jolie… » Dis-je, en posant la main droite sur les bonnets de son soutien-gorge.« Tu veux voir mes seins ? Réplique- t-elle, tentatrice.« Bien sûr ! » dis-je, avec empressement.
Sans façon, Jana retire son soutien-gorge en le faisant passer par la tête, m’offrant ses affolants seins laiteux en forme de poire. Elle s’immerge dans l’eau jusqu’aux épaules, me laissant tripoter ses seins à ma guise.Puis je sens sa main droite se poser sur mon slip le tirer, et saisir ma bite à pleine main :« Tu aimes ça, n’est-ce pas ? » Elle me sourit et commence à me branler sous l’eau.« Jana ! Tu m’excites ! » Je me mets à lui sucer les tétons, au ras de l’eau. « J’adore tes nichons ! J’en suis fou ! … Demain tu ne mettras pas de soutien- gorge, oui ? »« Je veux bien te faire ce plaisir ! » répond-elle, amusée par ma demande.
Elle continue à me masturber, mais jouir dans l’eau… On se rapproche du bord, et je tourne le dos à la plage. La bite hors de l’eau, Jana m’astique très vite et je jouis dans sa main. Et cette adorable cochonne lèche mon sperme… Puis elle remet son soutien-gorge et nous sortons de l’eau. Peu après, ayant rejoint les parents nous regagnons le camping. Et le reste de la soirée se passa tranquillement.
Mardi 2 août. Au cours du petit déjeuner, nous annonçons notre sortie. Le motif principal est que je désire acheter quelques souvenirs et offrir quelques cadeaux, le poste-frontière possédant une boutique de souvenirs. En même temps nous traiterons notre affaire.
A 9h15, nous partons. Eva a mis la petite robe verte (qu’elle avait porté à Prague), mini à croquer : elle n’a pas à se pencher beaucoup pour qu’apparaisse un bout de sa culotte ! Quant à Jana, elle a revêtu une minirobe bleu foncé, presque aussi courte que celle d’Eva. Et la couleur foncée fait ressortir son teint clair… et il ne faut pas longtemps pour remarquer qu’aucune des deux n’a mis de soutien-gorge : leurs tétons pointent à travers le léger tissu de coton.
Eva installée à l’avant et Jana à l’arrière, je démarre. Et une demi-heure plus tard, je gare la voiture sur le parking de la douane. Nous nous dirigeons vers le bar restaurant. Au comptoir, une jeune femme brune, assez grande. Je lui tends l’enveloppe. Elle l’ouvre et lit la lettre qu’elle contient. Elle sourit et nous fait signe de l’attendre. Elle disparait et revient cinq minutes plus tard avec un paquet, plus grand qu’une boite à chaussures et assez lourd. Elle nous le remet, en nous faisant comprendre de le mettre à l’abri des regards, le plus vite possible. Je ressors donc avec le paquet pour le ranger dans le coffre de la voiture, et reviens vers les deux sœurs.
J’achète ensuite les souvenirs et offre à Eva, un petit sac brodé en toile ainsi qu’un pendentif. Pour Jana, c’est une paire de lunettes aux verres fumés. Puis nous nous dirigeons vers le bar. Nous nous asseyons à une table, commande faite.Les deux sœurs s’assoient côte à côte et moi face à elles. Elles offrent le joli spectacle de leurs cuisses un peu rondes quasi dénudées. En me penchant un peu, je peux apercevoir leur culotte… Comme je ne peux m’empêcher de regarder les tétons de Jana qui pointent, elle m’adresse un sourire complice. Pas dupe, Eva me sourit à son tour.Je tente un truc osé en passant ma main droite sous la table. Je touche les genoux d’Eva et tente de la glisser entre ses cuisses. Elle réagit…en les écartant (les tables, fixées au sol, sont assez étroites). Je vais jusqu’à lui toucher la culotte, sentant du coup, sous mes doigts, la forme du tampon… elle me sourit. Je fais la même chose avec Jana, allant cette fois jusqu’à tirer un bout de sa culotte avec un doigt. Deux adorables coquines !
Puis, il nous faut songer à rentrer, car il est déjà 10h et demie. Pour le retour, les sœurs échangent leurs places, Jana montant à l’avant, Eva à l’arrière.Je sais que Jana est un peu fouineuse : à peine avons-nous démarré qu’elle commence à s’intéresser au contenu de la boîte à gants, devant elle. Elle sort et replace diverses choses, avant de remarquer au fond, une boîte en carton, de forme allongée. Intriguée, elle la prend en main :« Je peux voir ce qu’il y a dedans ? »« Mais bien sûr, pas de problème ! » dis-je, tout en imaginant sa tête quand elle verra le contenu.
Elle ouvre la boîte et en sort un objet en plastique flexible : le vibromasseur, que j’avais mis là, sachant bien que si Jana se trouvait là, immanquablement, elle tomberait dessus !« Qu’est-ce que c’est ? On dirait un sexe, non ? » Elle est intriguée, curieuse aussi :
« C’est un vibromasseur : il y a des piles à l’intérieur et on le fait fonctionner avec le capuchon noir à l’arrière ». Je lui réponds, amusé, sachant qu’Eva l’a utilisé une fois et que depuis il est resté là.« Et… on le met à quel endroit ? J’imagine que c’est pour plutôt pour les femmes… ». La coquine, elle imagine bien l’usage qu’on peut en faire !
« Tu le rentres dans le vagin, puis tu tournes le capuchon et ça déclenche les vibrations. Après tu verras l’effet que ça fait ! » Dis-je.« Je peux l’essayer… tout de suite ? On va partir demain, et je ne sais pas si j’aurai le temps après… » C’est bien Jana !
« Ben… pourquoi pas ? » dis-je, essayant d’avoir l’avis d’Eva. Cette dernière lève les yeux au ciel : elle connait les lubies de sa sœur. Jana prend ça pour une acceptation :« Bon, alors tu t’arrêtes dès que tu trouves un endroit pour te garer ! »
Environ deux kilomètres plus loin, je trouve un terre-plein au bord de la route. A peine la voiture arrêtée, Jana ouvre la portière, descend, et, sans façon, retire sa culotte, qu’elle lance sur mes genoux. Comme nous avons l’air étonné, elle lance :« C’est plus pratique sans culotte, non ? »
Puis elle soulève sa minirobe, introduit le vibromasseur dans son vagin :« Il faut tourner le bouton à droite, oui ? » Et sur ma réponse positive, elle le tourne. Un bourdonnement se fait entendre.« Cela fait une drôle d’impression… comme une chatouille ! » Commente- t-elle.« Il faut aussi le bouger à l’intérieur : le faire coulisser, le faire tourner ! » ajoutai-je.
Elle le fait et l’effet ne tarde pas à se faire sentir :« Humm ! C’est agréable … excitant, pour tout dire ! Humm ! Comme une vraie bite… ou presque ! »Puis elle finit par se rendre compte qu’elle est debout, les jambes écartées et la robe relevée, en train de se faire plaisir :
« Je vous fais perdre du temps… » Elle sourit, puis se rassoit sur le siège, tenant toujours le vibromasseur en marche enfoncé dans son vagin. Elle garde les cuisses ouvertes pour plus de commodité. Le spectacle est fascinant :« Bon.. ; tu redémarres ! En attendant je continue avec ça »
« Tu as une jolie culotte, Jana ! » Je l’ai prise dans ma main, une culotte taille basse en coton bleu clair. Puis, mû par une envie irrésistible, je pose mes lèvres à l’endroit de la culotte en contact avec la vulve de Jana. D’abord surprise par mon geste, elle me lance, provocante:« Tu aimes ma culotte, Bob ? Tu veux la garder comme un souvenir ? » Elle se tourne vers Eva, tandis qu’elle retire le vibromasseur de son vagin :
« Je peux lui faire cadeau de ma culotte ? » Elle tient maintenant dans sa main, le vibromasseur tout luisant de sa mouille :« Et moi je te fais cadeau de ça ! » et, tendant à Eva le vibromasseur :« Hum ! Si tu léchais ma mouille, chérie ! » Lui dit-elle et Eva, après une brève hésitation, le lèche, comme si c’était une glace !
Aucune des deux ne semble s’être aperçue que, si j’ai bien redémarré, je roule lentement, à 30/40 km/h. Nous sommes environ à 10 km de l’arrivée, et je vois bien que la situation est en train d’évoluer. Jana est en train de se lâcher ; la culotte, le vibromasseur, puis :
« J’aime beaucoup ma sœur ! » Jana s’exprime avec une certaine fougue. Toujours tournée vers Eva, elle glisse sa main entre les sièges, et lui caresse les cuisses :« Elle est bonne, ma mouille, chérie ? » poursuit-elle, alors qu’Eva a posé le vibromasseur à côté d’elle. Eva a l’air gênée. Ce peut-il qu’elles aient des comportements de ce genre entre elles, dans l’intimité ? Et que cette gêne vienne du fait que je suis maintenant témoin de tout cela ?« Nous allons bientôt arriver ! » Dis-je, désireux de clarifier cette situation.
« Bien –reprend Jana- tu te gares un peu à l’écart des autres voitures… quelle heure est-il ? »« Déjà 11h20 ! » Jana réfléchit puis lance :« Bon on verra ça cet après- midi ! On rentre au camping ! »
Pendant que je récupère la boite dans le coffre de la voiture pour la mettre, discrètement, dans ma tente, les deux sœurs, à qui j’ai remis leurs cadeaux, bavardent avec entrain avec leurs parents. Puis nous allons faire un petit tour, tous les trois, sur la plage, avant le déjeuner :
« Au fait, il faudrait voir ce qu’il y a dans ce fameux paquet ! » lance Eva.« Je l’ai placé dans ma tente, en attendant. Mais je viens de me rappeler que je dois prendre de l’essence, et vous avez vu qu’il n’y a pas de station-service d’ici à la frontière. D’après la carte, il y en aurait une à 30 km, vers le sud ».« Bien, ça fera un but de promenade ! » conclut Jana qui semble avoir une idée en tête.
Après le déjeuner, nous bavardons avec les parents, à propos du départ, le lendemain. Je parle de la nécessité de trouver une station -service. Le père me fait savoir aussitôt qu’il en a bien une, à 30 km au sud. Les deux sœurs émettent le désir de m’accompagner, façon de sauter sur l’occasion !Auparavant, il faudrait connaître le contenu de cette fameuse boîte ! Aussi, nous allons tous les trois dans ma tente.
J’ouvre la boîte : d’abord il y a deux sachets, en plastique noir, un peu épais. Dessous, une bouteille de vin, et, sur le côté, des paquets de cigarettes, quatre au total, avec des allumettes. Emballée dans du papier, une petite bouteille de raki, l’alcool local.Je remarque un prénom écrit sur chaque sachet :« C’est pour vous ! Un pour chacune ! Les bouteilles c’est pour moi, et les cigarettes, sans doute pour vous, deux paquets chacun ! »
Elles ouvrent leur sachet : le contenu est identique pour chacune ! Eva en sort un maxi-t-shirt, d’un joli bleu roi, une grande serviette de plage, une casquette en toile, bleu et blanc. Puis encore un sachet. Eva l’ouvre :
« Ah ! Je m’y attendais, une idée de Mirek ! » Eva me montre un maillot deux-pièces, aussi bleu et blanc, un bikini en fait. De son côté Jana fait la même découverte.« Je n’oserais jamais mettre ça ! Tu as vu comme il est petit ? » Eva s’esclaffe en tenant dans ses doigts ce qui ressemble à quatre triangles de tissu reliés par des cordelettes.« J’ai le même, exactement ! En fait il nous a offert une tenue de plage complète ! Il tient à nous revoir, on dirait ! » S’amuse Jana.« Et pour toi, mon chéri ? » Eva regarde les deux bouteilles :« Je peux te dire que c’est du bon vin blanc qu’il t’a offert ! Et le raki aussi, un apéritif de bonne qualité ! J’espère qu’on le boira avant ton départ ! »
Elles se partagent les cigarettes, ainsi que les allumettes.« On laisse tout dans ta tente, et on prendra le paquet avec nous ! » dit Eva, l’air faussement mystérieux. « Il est presque 14 h… on va faire l’expédition à la station-service ? Nous sommes déjà habillés pour sortir… » Elles approuvent, bien que Jana, en souriant, lance :« Bob, au fait, ma culotte, où est-elle ? »« Elle est restée dans la voiture ; je crois que je l’ai mise entre les deux sièges… » Je suis un peu désarçonné par le naturel de Jana, qui ajoute :« C’est que je n’ai rien dessous, moi, maintenant ! Et de le savoir, ça te plait, hein ? Et qu’Eva n’ait pas de soutien-gorge, aussi, hein ? Coquin ! Tu as de la chance que ça ne nous dérange pas ! » Elle rit franchement.
Nous nous dirigeons vers ma voiture, une Renault 6. Eva laisse Jana monter à l’avant :« Tu vas d’abord faire le plein, après on fera une petite promenade ! » Jana prend les choses en main.Arrivé à la station, peu d’attente, et en 10 minutes le plein est fait :« Alors, où allons-nous maintenant ? » demandai-je.« Allons faire un tour aux Sables d’Or ! C’est à 15 km d’ici vers le sud ! Un bel endroit ! » Suggère Jana, très détendue.
Eva est un peu réservée, mais Jana donne le cap. Et vers 15h nous arrivons dans la station balnéaire des Sables d’Or :« On passe un moment ici et on rentre, pour au camping vers 17h ! » Jana agit en organisatrice. Nous n’avons plus qu’à suivre. On trouve une petite plage juste à l’entrée de la station. On se gare, puis nous nous y rendons.
« Parfait ! Il y a même des cabines pour se changer ! » Jana est satisfaite. Eva remarque alors que sa sœur a un sac en toile :« Qu’as-tu mis dans ce sac ? » demande Eva, intriguée.« Ca ! » Et elle montre, satisfaite de l’effet qu’elle va provoquer, les deux bikinis !« Le sac était déjà dans la tente de Bob ; je l’ai pris et je n’ai pas pu m’empêcher de récupérer les deux maillots. Bon, c’est après que je me suis souvenu que tu avais tes règles… mais, moi, j’ai bien l’intention de l’essayer ! Comme ça, en le voyant sur moi, ça te donnera une idée! »
Puis Jana se dirige vers une cabine et s’y enferme. Une dizaine de minutes plus tard, elle nous interpelle :« Hé ! Venez voir à quoi ça ressemble ! »Jana ouvre la porte de la cabine et en sort, de manière théâtrale :« Comment me trouvez-vous ainsi ? »
C’est un choc ! Si le maillot est joli, en bleu et blanc, il est vraiment très petit : le bas, deux triangles, réunis par une bande passant entre les jambes, couvre la moitié des fesses, d’un côté et un peu plus que le pubis de l’autre. Le tout réuni par cordelettes se nouant sur les hanches. Le haut, deux triangles réunis par un anneau et retenus par les cordelettes autour du cou et dans le dos. Autant dire qu’avec la poitrine de Jana, c’est la moitié des seins qui est exposée aux regards !
« Eh bien ! Comment oser porter ça ! » Eva fait la moue.« En attendant, tu es magnifique ! » dis-je, admiratif, à Jana.« C’est parce qu’elle est presque nue qu’elle est magnifique, hein ? Avoue ! » Me lance Eva, faisant semblant d’être courroucée. « Je ne sais pas si ce maillot résistera longtemps ! Avec les seins que j’ai, ces bouts de tissu qui servent de soutien-gorge ne tiendront pas longtemps ! » S’amuse Jana.« On pourrait commencer par une promenade au bord de l’eau. Il semble ne pas y avoir beaucoup de monde ! » Suggérai-je.
Nous nous dirigeons donc vers le bord, et nous entamons notre balade, avec en fond sonore, le clapotis des vagues. Spontanément, les deux sœurs m’encadrent : me voilà avec Eva à ma droite, qui me prend par la taille, tandis que Jana, à ma gauche, m’a pris la main, et patauge dans l’eau, dès qu’elle le peut. Les rares passants voient donc un jeune homme – j’ai 26 ans- encadré par une blonde en bikini, et par une fille aux cheveux châtain, arborant une robe très courte !Cela fait un quart d’heure que nous nous promenons en bord de mer, quand j’avise un des cafés qui bordent la plage :
« Vous n’avez pas soif, les petites sœurs ? » dis-je sur un ton affectueux.« Hé ! Moi, je prendrais plutôt une glace ! » Lance Jana, toujours prompte.« Pourquoi pas ? Je commence à avoir soif ! » Ajoute Eva.« Je ne pense pas que je puisse entrer là, avec ce bikini ! Eva, passe-moi ma robe qui est dans le sac. » Jana enfile sa minirobe et nous nous installons à une table sur la petite terrasse du bar.
Nous bavardons gaiement tout en consommant, Jana une glace, Eva et moi une limonade. Il va sans dire qu’elles exhibent largement, et sans complexe, leurs jolies cuisses un peu rondes. Jana est restée pieds nus, ce qui ajoute une petite touche d’érotisme au tableau. J’ai aussi l’impression que les quidams qui sont à proximité cherchent, sans oser l’espérer, à savoir si les demoiselles qui m’entourent ont une culotte, ou pas ! Et Jana qui corse le jeu, en s’arrangeant pour que sa minirobe remonte et dévoile un peu plus ses cuisses … la coquine ! Quant à Eva, elle n’est pas en reste : il suffit qu’elle croise ses jambes, pour faire apparaitre un bout de sa culotte !
Nous nous sentons si bien à cette terrasse de café, que nous y passons une demi-heure. Aussi, une fois pris connaissance de l’heure, 16h10, il devient évident qu’il faut rentrer !Nous retournons donc à la voiture, Jana se plaçant encore à l’avant. Et nous démarrons.A peine sommes-nous sortis de la station, que Jana retire sa robe, se retrouvant en bikini !« Nous rentrons demain, alors autant que j’en profite encore un peu, n’est-ce –pas ? ! » me dit-elle avec un sourire charmant.
Et comme à chaque arrêt ou ralentissement, je ne peux m’empêcher de lorgner ses cuisses et ses seins laiteux, elle ajoute :« Regardes la route, coquin, sinon je remets ma robe ! »De son côté, Eva ne laisse paraître aucune jalousie, souriant même aux propos provocateurs de Jana.Finalement, nous arrivons à 17h au camping.
Jana s’empresse d’enfiler sa robe, ajoutant :« Je passerai d’abord par ta tente pour retirer ce maillot ! Je n’ose imaginer la réaction de mes parents s’ils me voyaient avec ça ! »Alors que nous dirigeons vers l’entrée du camping, nous sommes interpellés par le conducteur d’un camping-car :« S’il vous plait, nous venons d’arriver … savez-vous si ce camping est équipé pour accueillir les camping-cars comme le nôtre ? »Nous savons que de l’autre côté du bureau d’accueil, une demi-douzaine de caravanes sont installées, mais pas de camping-car. Eva vient lui répondre :
« Il existe un petit coin pour les caravanes… je pense que ça doit être la même chose pour votre véhicule. Si vous voulez, je vais me renseigner ».« Si vous pouvez, je veux bien ! Ma femme et moi sommes allemands et c’est toujours difficile de se faire comprendre ici ! »Eva se dirige le bureau d’accueil. La réponse du nouveau gérant est simple :« Pas de problème ! Ils peuvent entrer avec leur camping -car. Il me reste deux emplacements de libres. »
Eva revient et renseigne les Allemands. Ceux-ci sont très satisfaits, d’autant plus qu’Eva s’offre à leur servir d’interprète.Finalement nous nous retrouvons tous les cinq dans le bureau et, une fois les formalités accomplies, le couple tient à nous remercier :« Nous vous invitons à dîner tous les trois, demain ! ! Et avec plaisir bien sûr »Le mari mate, sans se gêner, les cuisses largement dénudées des deux sœurs.« Demain, ce ne sera pas possible, car c’est le jour où nous partons ! Nos vacances sont finies ! » Répond Eva.
Visiblement déçu, notre homme fait alors une autre proposition :« Alors, ce soir ? Venez après le dîner ! Nous essaierons de bavarder, puisque vous parlez un peu allemand aussi ! » Ajoute -t-il en s’adressant à Eva.Les deux sœurs échangent quelques mots, cherchant comment répondre à cette invitation. Jana parait décidée, Eva beaucoup moins. Finalement, sachant que je serai là aussi, elle finit par se ranger à l’avis de sa sœur et donne sa réponse :« Bien… nous serons donc là, disons vers 20h30, et nous pouvons rester 2h, pas plus ! Il faut nous reposer, nous devrons nous lever tôt, demain matin ! »« Ce sera parfait ! Nous vous attendons donc, ma femme et moi ! » Conclue-t-il, visiblement satisfait. Et nous nous séparons.
Jana regagne discrètement ma tente pour retirer le bikini et enfiler le deux pièces noir et blanc.Après quoi, Jana, ses parents et moi, nous nous retrouvons à la plage pour une dernière baignade, tandis qu’Eva reste là, pour garder les tentes.Puis c’est l’heure du dîner, et à partir de 19h, nous entamons une dernière veillée. Vers 20h15 Jana, lance l’idée d’une dernière promenade avant le départ, prétexte pour rendre visite à nos hôtes. Les parents semblent un peu réticents, mais nous laissent aller, avec la consigne de ne pas rentrer trop tard, demain étant le jour du départ.
Furtivement, Jana se dirige vers ma tente. Nous la suivons, et y entrons tous les trois.Jana, retire son maillot deux-pièces noir et blanc et met juste sa minirobe bleu foncée qu’elle avait aussi laissée dans ma tente :« Tu ne mets rien dessous ? » Eva est dubitative, mais elle connait bien les fantaisies de sa sœur.« Tu as vu comment il matait mes cuisses ? » C’est juste pour l’épater ! » Jana, un peu ironique, ajoute :« Et toi, si tu gardais ta petite minirobe verte, si courte ? Il louchait aussi sur tes cuisses, grande sœur ! Bien sûr, tu peux garder ta culotte, à cause de tes … ! »
Finalement, les deux sœurs, revêtues de leur minirobe, sortent discrètement de la tente. Je les suis, ayant enfilé aussi un t-shirt ainsi qu’un bermuda.Puis nous nous dirigeons vers le carré réservé aux caravanes. Le camping-car de nos hôtes est facile à repérer, étant le seul au milieu des caravanes.Il est juste 20h30, quand nous toquons discrètement à la porte. Il nous ouvre, souriant, et nous invite à entrer. L’intérieur n’est pas très vaste. Il nous conduit dans ce qui tient lieu de salon : une table étroite de forme rectangulaire, avec de part et d’autre, une banquette en moleskine. Il fait assoir Eva et Jana sur la même banquette, tandis que lui s’installe sur l’autre, en face. Quant à moi, je m’assieds à côté de lui.
« Votre femme n’est pas là ? » s’étonne Eva.« Heu, non, elle a été invitée par des amis à elle, retrouvés quand on s’est installés ici ! » L’explication n’est pas très convaincante, mais maintenant que nous sommes là …
Puis nous échangeons des banalités, sur le temps, le pays, les vacances. Eva traduit comme elle peut. Au bout d’un moment l’homme se lève et on le voit revenir au bout de quelques minutes avec 4 verres et une bouteille de vin blanc. Je remarque que c’est le même vin que j’ai reçu en cadeau. « J’avais acheté ça pour plus tard … mais une telle occasion de bavarder avec des jolies filles comme vous, ça s’arrose !… Au fait, je m’appelle Hans, et vous ? » Dit-il, jouant le joli cœur. « Elle, c’est Jana, la cadette ! Moi, c’est Eva, l’aînée ! » Répond Eva.
Les verres sont petits, mais il les remplit généreusement. Je remarque, et j’imagine que les deux sœurs font de même, que notre hôte relève dans la conversation tout ce qui est motif à trinquer, et donc à boire. Résultat, au bout d’une demi-heure, la bouteille est vide !Nous nous sentons tous bien, Jana, elle, est euphorique.Puis l’homme se lève à nouveau, pour revenir avec un album photo, de petit format, et épais. L’air satisfait, il le pose devant les deux sœurs :« Permettez-moi de vous montrer le genre de photos que j’aime !»
Eva commence à feuilleter l’album et je vois son air stupéfait. Jana, qui regarde en même temps, est saisie d’un fou rire :« Vous n’avez pas honte de nous montrer des photos comme ça ? » ose Eva, qui voudrait rester sérieuse, mais, qui, gagnée par l’hilarité de Jana, finit par sourire.Eva me tend l’album. Edifiant : un album de photos pornos ! Un peu de tout : filles nues en train de se masturber – filles, visage en gros plan, en train de faire une fellation – des parties intimes du corps féminin prises en gros plan : vulves, seins, fesses, anus – hommes et femmes figés dans des accouplements parfois acrobatiques : femme prise par deux hommes, par trois hommes- anus féminins dilatés après une sodomie …
Satisfait de l’effet qu’il a produit sur ses hôtes, et s’adressant aux deux sœurs, il leur lance, se payant d’audace :« Alors ça vous a fait quelque chose, hein ? Peut -être de quoi mouiller vos petites culottes, si vous en portez, bien sûr ! »Les choses commencent à changer, quand il rabat la table, qui se plie, contre la paroi : du coup Eva et Jana sont face à lui, visibles entièrement.« Vous êtes vraiment mignonnes ! »
Il mate leurs cuisses, quasi dénudées :« Je vois bien que vous n’avez pas de soutien-gorge ni l’une ni l’autre … et de petite culotte ? » dit-il en appuyant sur les mots. Il regarde Jana :« C’est bien vous, Jana, la petite sœur ? Je peux deviner que vous avez des seins magnifiques… et que vous n’avez pas de culotte … je me trompe ? »Jana que le vin a rendu gaie, mais pas ivre, hésite à répondre, avant de lâcher :« Merci pour votre compliment sur mes seins… Je n’ai rien dessous ! C’était pour faire plaisir à l’ami de ma sœur, mais ça doit vous plaire, n’est-ce pas ? »
« Et vous Eva ? L’aînée ? Votre robe est si courte que je peux apercevoir votre culotte ! »Eva s’empourpre : « Oui, bien sûr, j’en ai une parce que, en ce moment, il le faut… »« Il le faut ? » fait Hans, intrigué.« Parce qu’elle a ses règles ! » répond Jana devant l’embarras de sa sœur.« Ce n’est pas un problème ! On mettra un chiffon… » Se contente- t-il de dire.
Ajoutant, dans la foulée : « Allons, toutes nues maintenant ! On va s’amuser un peu ! »Elles se sentent un peu prises au piège. Avec l’absence de la femme, elles se doutaient bien que quelque chose se préparait … Mais, maintenant qu’on y est, elles éprouvent une certaine gêne, hésitant à se dévêtir, alors, me prenant au jeu, je les encourage :« Allez-y ! Vous êtes adorables, toutes nues, et vous savez aussi que j’aime vous voir ainsi ! Vous êtes tellement excitantes ! »« Coquin ! Toi aussi ça t’excite de nous voir nues devant un inconnu ! » Eva a un petit sourire, et je devine que la perspective de s’exhiber en compagnie de sa sœur doit la titiller, quoi qu’elle en dise.
Jana a juste à retirer sa minirobe. Pour Eva, elle se sent un peu honteuse quand il s’agit de retirer sa culotte, munie du tampon. Puis elle s’assoit sur le chiffon. Hans plie soigneusement les deux robes, et place la culotte dans un sachet. Puis il dépose le tout, assez loin, sur un lit qui se trouve derrière une cloison mobile.
Puis il disparait un instant, tout en lançant un :« Maintenant on va passer aux choses sérieuses ! » Quand il réapparait, Eva ne peut se retenir de pousser un petit cri : Hans est nu et arbore un sexe de belle taille, un gabarit au-dessus du mien en longueur et en épaisseur. Il vient se placer devant les deux sœurs qui se sont assises entre temps. Elles ne peuvent échapper à la vision de ce sexe hors norme, raide, décalotté, et qui se balance doucement devant leur visage.
« Mon jeu préféré c’est le voyeurisme ! J’adore voir des femmes ou des couples faire des choses devant moi! Vous me paraissez assez délurées, malgré les manières que vous faites, pour accepter cela. J’imagine, en voyant le sexe de Bob, qu’il vous a déjà sautées et que d’autres ont dû vous sauter aussi ! Alors on va tous passer un moment agréable : vous, en baisant, moi en vous regardant ! »
Puis, il s’installe sur une chaise qu’il place contre la table repliée sur la cloison, entre les deux banquettes :« Bob, je voudrais que tu encules Eva, en levrette, son visage face à moi, pour que je vois bien ce que ça lui fait. Au fait, si tu le désires, tu as un gros tube de vaseline, sur la petite étagère, derrière toi. Et sans capote, s’il te plait ! »
C’est net et précis, et cru ; et il semble que le tutoiement soit maintenant de rigueur. Je tire Eva par la main et elle se retrouve debout, environ à un mètre de Hans face à lui. Je me penche pour injecter une dose de vaseline dans son petit trou. L’embout qui surmonte le tube est pratique pour cela. Puis j’en passe sur le bout de mon sexe. Puis je saisis Eva, qui ne peut réprimer un frisson, aux hanches :« Penche-toi, chérie ! » lui dis-je, tendrement, pour la rassurer. Ce qu’elle fait.
Puis j’enfonce d’abord mon index dans son anus, pour m’assurer que ça coulisse bien, puis le majeur en plus, pour élargir un peu l’orifice. Puis, je positionne le gland sur son cratère d’amour et je commence à pousser. Eva se mord les lèvres. La vaseline aidant, le gland finit par s’encastrer dans l’entrée de son anus. Je pousse encore, et ma bite s’engage dans le conduit. Eva pousse un petit cri, sentant cette colonne de chair qui comble son petit trou. Puis, lentement, je commence à la ramoner. Au début, ce ne sont, pour Eva, que des petits cris et des gémissements.
Notre hôte, n’en perd pas une miette. Il observe le visage d’Eva, et sûrement ses seins, qui ballottent un peu, maintenant que je ramone ma chérie ! Il se touche la bite avec ses doigts, puis réalisant, à moins que cela fasse partie du jeu, que Jana est assise tout près, il lui demande de le masturber. Jana se penche pour saisir la pine de Hans et le branler. Pendant ce temps, le ramonage anal que je fais subir à Eva, commence à agir. Elle gémit, glousse, râle. Les yeux mi-clos, elle bave de plaisir. Quant à Hans, toujours attentif, il fait assoir Jana sur ses genoux, fesses plaquées contre sa bite, pour une masturbation plus lente. Tous deux ne peuvent que voir le visage d’Eva ravagé par le plaisir.
Je commence à me demander si je dois aller jusqu’au bout, quand, déposant Jana, il se lève :« Arrête-toi … tu dois te réserver pour Jana ! Mais avant, je veux voir à quoi ressemble le cul d’Eva quand tu retires ta bite ! »Hans se penche, admiratif : « Hum ! Quel joli trou ! Enorme ! Parfait pour ma queue, maintenant ! »
Eva n’a pas le temps de comprendre ce qui lui arrive. Le gros chibre de Hans, se place aussitôt sur le trou béant qu’est, pour un moment, son anus. Ses mains s’accrochent à ses hanches… et il pousse. Dans le passage élargi, l’engin parvient à se glisser, sans trop forcer, dans le conduit anal. Eva pousse un cri, où sans doute, surprise et douleur se mélangent. Puis, il commence à la ramoner, avec douceur. Au début, Eva éprouve quelques difficultés à accepter cette grosse queue qui lui dilate le cul. Puis, elle parvient à se contrôler, pour ressentir les prémices de l’excitation. Hans est satisfait du plaisir qu’il donne avec sa queue en entendant les premiers gémissements d’Eva.
« Alors, ma poule, c’est bon de sentir une grosse bite dans son cul, hein ? Tu aimes te faire enculer ! Regarde ! Bob t’encule et tu gémis de plaisir ! Je t’encule et tu gémis de plaisir ! Tu as un cul à bites ! Tu es une belle salope, qui fait la mijaurée parce qu’elle a ses règles… en attendant, tu prends ton pied, hein ma cochonne ! »Hans ne fait pas dans la demi-mesure. Ce langage salace, brutal s’il en est, non seulement ne paraît pas choquer Eva, mais stimule son désir sexuel. Elle se lâche :« Hum ! Ouiiii ! J’aime me faire ramoner le cul par une bite, et même une grosse bite ! C’est fou ce que ça peut m’exciter ! »
Puis Hans se retire de l’anus d’Eva sans y avoir juté. Il tient à ce que Jana regarde le trou béant qu’est le cul de sa sœur, et l’invite même à y glisser deux doigts dedans. Ce cochon oublie toute retenue !
Puis Jana prend la place d’Eva, qui se retrouve sur les genoux de Hans, massant ainsi sa bite par le seul mouvement de ses fesses rondes. Puis, avec les mêmes précautions que pour Eva, je me mets en devoir d’enculer Jana, toujours face à Hans. Malgré la vaseline, le trou serré de Jana cède difficilement à mes poussées successives, et c’est par toute une série de petits cris qu’elle accompagne la progression de ma bite dans son anus. Il lui faut plus de temps pour commencer à connaitre l’excitation, mais celle- ci finit par arriver.Hans me laisse ramoner lentement le cul de Jana. Il profite de sa position pour mater les gros seins laiteux de Jana qui se balancent doucement. Quand il me demande d’arrêter, et qu’il se lève, je lis une certaine crainte dans le regard de Jana. Ce gros chibre, qui semble érigé en permanence, l’inquiète un peu… Mais elle sait que Hans va tenter quand même. Elle se rassure en se disant que le plaisir sera au bout.
Je retire ma bite du cul de Jana, aussitôt remplacée par celle de Hans. Elle ferme les yeux, serre les dents. Elle sent le gland s’encastrer dans ce trou béant qu’est devenu son « petit trou ». Des mains qui empoignent ses hanches et qui la tirent en arrière. Ce mandrin de chair qui veut s’introduire dans un trou trop petit pour lui. Jana pousse un cri quand l’engin parvient à s’engager dans le conduit anal. Elle essaie de respirer plus fort. « Masturbes- toi, ça va t’aider ! » le conseil de Boris lui revient en mémoire et elle essaie de se titiller le bouton de rose.
Hans se rend vite compte que Jana est en train de se masturber :« Reste tranquille, ma poule, c’est Eva qui va s’en charger ! »Et voilà Eva à genoux devant sa sœur en train de lui astiquer le clitoris avec sa langue. Tandis que la queue de Hans continue son laborieux ramonage anal. Je regarde les superbes nibards de Jana, et je n’y tiens plus : me voici, au -dessus d’Eva, en train de peloter avec ardeur ces gros pis laiteux.
Jana est « attaquée » de trois côtés : excitée par le léchage de son clitoris, excitée par le tripotage de ses seins, et aussi excitée maintenant par le lent et progressif ramonage de son cul. Elle devient presque folle de plaisir : elle crie, elle gémit, elle glousse, elle couine, elle se tortille sous ces multiples caresses.Je sens une main saisir ma bite : Eva, bien qu’occupée à astiquer le clitoris de sa sœur, a pu la voir, se trouvant à peu près à la hauteur de son visage. Elle me branle avec sa main gauche, tout en passant sa langue sur la vulve et le clitoris de Jana.
Je sens que Hans est prêt à vider ses couilles dans le fondement de Jana. Jana qui est en passe de devenir la jouissance personnifiée. Elle est en sueur. Et Hans qui reprend le couplet servi à Eva :« Alors, ma pute ! On aime se faire défoncer le cul par une grosse bite, hein ? Ça t’excite de sentir mon engin te remplir ton trou de balle ! Tu cries d’abord et après tu n’arrêtes pas de couiner et de glousser, tellement tu aimes avoir ton trou du cul occupé par ma pine ! Salope ! Salooope ! »Jana se sent emportée par un flot d’excitations. Elle sent un jet de foutre tiède suivis d’autres, envahir son antre intime. Hans vient de jouir dans son cul. En même temps elle glousse. Elle a chaud, elle transpire, mais elle a connu un orgasme, comparable à celui qu’avait causé le fameux concombre.
Elle va s’assoir sur la banquette. Hans, prévenant, lui apporte un verre d’eau. Pour ma part, je murmure à l’oreille d’Eva, qui me semble un peu frustrée :« Tu veux que je t’encule, ma chérie ? Et jusqu’au bout, bien sûr ! »« Hum ! Oui mon chéri ! » Dit-elle en fourrant sa langue dans ma bouche, me léguant du même coup, des reliefs de cyprine de sa sœur… Avec sa langue, elle l’avait faite jouir aussi, et Jana avait gratifié ses lèvres et sa bouche d’un petit jet de son liquide d’amour.
Puis devant notre hôte, rigolard et Jana qui nous adresse un petit sourire, je reprends Eva en levrette, et l’ayant pénétrée sans difficulté, je reprends le ramonage. Elle commence à gémir assez vite, les yeux mi-clos, la respiration saccadée. A un moment, elle sent une langue se mettre à laper sa vulve avec application : sa sœur a voulu qu’elle ait la même faveur qu’elle. Et voilà que ses nichons sont pris en main à leur tour : Hans est là, à malaxer ses mamelles qui se balancent à chaque coup de bite. Et je jouis dans le cul de ma chérie, tandis qu’elle glousse de plaisir.Quand Jana se relève d’entre ses cuisses, Eva se désole : sa sœur a des traces rouges sur les lèvres et le menton, mais ne s’en plaint pas. Ah, ces règles ! Mais que ce léchage de vulve fut délicieux et excitant !
Une petite horloge marque 22h20… Il faut songer à rentrer. Nous avons soif. Hans nous sert de l’eau à volonté. Il faut passer par les douches, pour nous rafraichir. Nous nous rhabillons. Et nous nous glissons dehors. Hans nous salue une dernière fois. Un souvenir inoubliable pour lui … et pour nous trois aussi !Nous passons d’abord par ma tente pour récupérer une serviette. Après le passage aux douches, nous nous retirons sans bruit dans nos tentes respectives. 22h40. Nous sommes fatigués, le sommeil va vite venir. Demain la route nous attend.
A suivre ...
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