Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 39 J'aime
  • 0 Commentaire

Les fantasmes d'Isabelle

Chapitre 5

Avec plusieurs hommes
Elle se retira un instant de cette étreinte buccale pour mieux avaler mon sperme, passant sur ses lèvres sa langue experte et faisant replonger dans sa bouche mon sexe soulagé, apaisé. Elle finissait de me nettoyer avec cette bouche divine. Je sentais venir d’elle l’odeur caractéristique de mon sperme.-Shuuutttt je vais écouter.-Je ne pouvais plus me retenir Fany !-Ce n’est pas fini.-Que font-ils ?-Il lui demande encore d’écarter les cuisses !-Ah...Ils remettent cela. ?Sans me répondre Fany se leva après avoir fait un bisou à mon sexe qui allait vers le repos et, ni une ni deux, retira son slip détrempé par son excitation. Maline elle me le fit sentir. Je lui retins la main afin de mieux m’enivrer de cette odeur où un parfum discret se mêlait avec son parfum de femme. Elle attrapa à nouveau mon sexe à demi détendu alors que je maintenais plaqué son string contre mon nez.Je me délectais de cette odeur et pour rien au monde je n’oublierai cette odeur si particulière qui vient du fond du sexe de nos amantes.Fany se mit face à moi et me demanda :-Tu me trouves jolie ?-Tu as un corps de top modèle Fany…j’aime ton sexe il est beau... ; comme je les aime.Fany se retourna pour me montrer toutes les facettes de son corps. Ses seins étaient de moyenne grosseur, pointus avec une pointe brune. Adorables. Je plaquais l’une de mes mains contre l’un deux, l’enserrant afin d’en apprécier la douceur et l’élasticité.-Attends je vais écouter.Accroupie je pus admirer le bas de son dos et ses fesses menues, merveilleusement cambrées.Les fesses d’une femme faite pour le désir des hommes, l’amour, les caresses. Elle était vraiment belle Fany et très classe…rien d’une femme vulgaire…la classe à l’état pur…une peau merveilleusement dorée à souhait sans l’ombre d’une marque de maillot.-Il lui dit qu’elle mouille comme une fontaine…il la suce. Viens écoute !Je m’approchais de la porte, le sexe toujours emprisonné dans la fine main de Fany et je plaquais avec mille précautions mon oreille contre le plat de la porte. Celle-ci faisait tympan et amplifiait à merveille les bruits venant de l’intérieur.J’entendis parfaitement les gémissements peu dissimulés d’Isa. Et les lapements que faisait la bouche de Jean Marc en se plaquant sur le sexe ouvert et inondé d’Isa.Ma réaction fut immédiate mon sexe se remit à grossir et à reprendre sa forme d’attaque.-Elle est en train de prendre son pied me chuchota Fany.-Elle adore se faire lécher la chatte... Elle est capable de prendre son pied une multitude de fois.-Moi aussi j’adore cela et j’espère bien avoir ma récompense tout à l’heure…-J’ai envie de te sucer si tu savais ! Tu m’as fait jouir comme un dingue !-J’adore le goût de ton sperme coquin !
Pendant que nous nous recollions nos oreilles contre la porte à l’affût du moindre bruit venant de l’intérieur du bureau, je me mis à caresser les reins de Fany, puis à descendre sur ses fesses, passer entre elles, toucher légèrement son anus, puis m’enfoncer en elle de mon index au moment où elle se mit à mieux se cambrer. Puis en me courbant je passais ma main entre ses jambes à la recherche de son sexe que je trouvais inondé comme une fontaine secrète. J’introduisis deux de mes doigts dans sa grotte intime les animant de petits va-et-vient.Appréciant cette initiative elle écarta les jambes en position et déposa sur mes lèvres un baiser, comme une récompense.-Alors ?-Il lui fait l’amour…-J’entends parfaitement Jean Marc souffler.-Dis donc il y va de bon cœur !-On entend son ventre battre contre les fesses d’Isa…-Tu l’entends elle ?-Oui elle pousse des cris étouffés comme si elle était sous un oreiller !-Non elle doit être la tête dans le fauteuil-Il est en train de la sodomiser on dirait…écoute ?-Elle se fait prendre…tout simplement.-Shuuuutttt.-Non je connais Isa... ; Quand elle pousse des petits cris comme cela c’est que le mec est dans ses reins !Je n’eus pas le temps de me recoller l’oreille contre la porte lorsque nous entendîmes nettement le feulement d’Isabelle en plein orgasme et les ahanements de Jean Marc poussés dans son action de pilonnage des fesses de cette femme offerte à son rut de mâle en chaleur.Isabelle se remit à jouir une deuxième fois au moment où Jean Marc dans un cri profond se vidait dans ses entrailles.A ce moment Fany…excitée me prit par la main, se baissa pour ramasser ses chaussures et ses vêtements éparpillés dans le couloir et m’entraîna avec elle…-Viens…je vais exploser…viens suis-moi.Nous entrâmes dans leur chambre à coucher.-Viens me faire l’amour me dit-elle en plaquant sa bouche contre la mienne et en enfouissant sa langue à la recherche de ses pulsions. Elle jeta à même le fauteuil ses vêtements et les miens suivirent sur les siens. Elle coupa la lumière, ferma le verrou de la chambre et m’entraîna vers le grand lit spacieux recouvert d’une multitude d’oreillers.Elle m’attira sur elle, me faisant littéralement tomber. Nos bouches ne se quittaient plus, nos langues se cherchaient se suçaient, s’enroulaient.Elle me branlait avec plus de violence, elle avait faim d’amour et de sexe…cette passion des femmes qui n’attendent que le mâle les prenne et les assouvisse…Je croyais être dans un rêve, bourré d’érotisme le meilleur film érotique de ma vie…J’avais une belle femme qui prenait son pied à côté avec un homme presque inconnu et j’étais dans cette chambre avec une femme délicatement belle au corps des plus beaux tops modèles.Je me dis que ce rêve était merveilleux et qu’il ne fallait pas qu’il s’arrête. Alors comme un fou j’embrassais ses seins, puis son ventre, j’écartais ses cuisses devinant dans la pénombre de la chambre un sexe entièrement épilé. J’embrassais l’intérieur de ses cuisses lui arrachant des gémissements de plaisir, je suçais ses doigts de pieds, pétrissais ses mollets puis je remontais vers le haut de ses jambes et après avoir respiré à pleines narines son odeur de femme transformée en femelle, langue tendue j’entrais dans son sexe bouillant et détrempé…comme un petit phallus …ma langue entrait sortait, entrait sortait, entrait sortait, écartait les lèvres de son sexe, suçait son clitoris tendu et affolé….elle se mit à jouir…proche du hurlement… Puis je recommençais à lécher ses muqueuses brûlantes et inondées de sève secrète …Je savais ce que l’on entendait par l’expression « une femme chaude ».Mon sexe se frottait contre l’édredon du lit comme si je lui faisais l’amour…je ne me contrôlais plus…j’étais devenu un sexe à moi tout seul et Fany aussi…C’était cela faire l’amour…et il n’y avait pas d’expression de « baise » dans cela…j’avais une sainte horreur de ce mot…je n’ai jamais « baisé » une femme…pensais-je…j’aimais avant tout lui faire l’amour, lui montrer et lui faire ressentir combien elle pouvait être femme…femme et encore femme…J’ai toujours aimé les femmes...Pour leurs secrets...Pour les mystères qui entourent leur vie…je les aime lorsqu’elles savent se lâcher ou se relâcher et lorsqu’elles savent se donner.Fany à présent me suppliait de la prendre, ses deux pieds posés sur le lit, elle balançait son bassin vers ma bouche, à la recherche du plaisir, de l’extase…l’atteinte vers l’éternité qu’offre la jouissance…elle explosa une nouvelle fois totalement dans ma bouche, secouée de spasmes en criant...-Nonnnnn Nonnnnn Nonnnn.Alors je la pris par les genoux et écartant ses cuisses à nouveau, j’approchais mon sexe vers le sien que je sentais ouvert à la pénétration. Je la pris par la taille et doucement je m’enfonçais en elle pour lui faire sentir le plaisir de la possession. Elle hoqueta dès qu’elle sentit s’enfoncer mon membre dans ses chairs brûlantes…Cette sensation que procure le sexe d’une femme sur notre membre lors de la pénétration est inoubliable, enveloppant, presque sécurisant…la rencontre qui sait donner la vie…chaleur, douceur, humidité, odeur...effluves…bruissements…chuintements…claquements des bourses chargées contre les fesses, dont la séparation est noyée de liquide de la femme femelle offerte.A cet instant présent avant que nos corps se donnent à coups de bassin…l’extase est à son comble...Je reste immobile en elle…appréciant me délectant de toutes ses sensations éperdues…goûtant avec bonheur le plaisir à l’état pur…celui que l’on dit la possession.-Nonnnnn NOnnnnn criait Fany….prends-moi prends-moi, viens jouir dans moi…je suis à toi…je suis à toi.. Sa voix chavirait comme un chagrin…Elle n’attendait à présent pour s’assouvir, que l’offrande de mon sexe à son sexe…de nos corps prêts à entrer dans la danse infernale de l’amour…Faire l’amour a vraiment sa vraie signification... ; et l’auréole d’humidité qui s’écoule du sexe de cette femme sur l’édredon et qui s’agrandit…est la preuve de son immense plaisir.Faire l’amour est un moment divin... le moment où l’on accède à l’univers, à l’immensité de l’infini…il y a Dieu près de ceux qui font l’amour me disait un sage un jour.Mais avant d’entrer dans cette danse particulière qui fait de la possession d’un corps, l’atteinte à la volupté et à l’extase, je me retrouvais à nouveau entre les jambes de Fany dans un tête-à-queue presque hystérique, où nos bouches n’avaient de cesse que de sucer, mordiller, lécher, gober, chacun de nos sexes. Je sentais Fany couler de chaque côté de ma bouche tant elle donnait son corps au plaisir. Je la sentais pomper mon gland avec ferveur, recherchant le goût de ma dernière jouissance…son vagin s’ouvrait pour mieux libérer sa chaleur et son parfum suave. Nous avons joué l’amour ainsi sans pudeur, sans retenue. Puis Fany se mit à 4 pattes sur le lit et m’offrit sa croupe cambrée à mes ébats. Je ne pus me retenir enfouissant ma langue dans son anus et la pénétrant par à-coups. Je sentais son anus se relâcher et se préparer dans cette excitation à une pénétration d’un membre calmant le feu qui naissait.Puis j’enfouissais ma bouche, mon nez dans cette fontaine infernale…j’en voulais encore et encore.-Viens…viens en moi…fais moi jouir je t’en supplie…viens.Alors la folie me reprenant dans mes entrailles, libre de toute conscience je plongeais mon sexe dans le sien qui se resserrait pour mieux l’appréhender…je le ressortais pratiquement détrempé et je m’enfonçais dans ses entrailles, forçant à peine ce petit anneau, quelques poussées de mon bassin pour la remplir et je replongeais dans son sexe…cet échange fut interminable passant de son sexe à son anus de son anus à son sexe…Au moment où j’allais à nouveau ressortir elle cria :-Nooooooooooooonnnn et agita plus fortement son bassin sous moi et je la sentis éclater dans un orgasme si fort que je restais planté en elle sans bouger.-Prends-moi, viens….défonce-moi…je t’en prie...La danse infernale recommença... ; son sexe son anus son sexe son anus…nouveau spasme nouvel orgasme de Fany la tête dans un oreiller…puis je sentis monter en moi, l’annonce de ma jouissance et m’éclatais en spasmes entre ses reins. Je la tenais par les fesses écartées et laissais mon sperme s’écouler totalement dans ses entrailles…J’étais à bout de souffle, couvert de transpiration mon ventre se vidait de façon interminable. Fany passa une main sous elle et me malaxa mes bourses.-Wouahhhhh fit-elle…quel pied ! Je suis heureuse de te connaître…mais d’où es-tu déjà ?-Je te l’ai dit je suis originaire de l’Ile Maurice. Mon village s’appelle Mont Choisy.Je relâchais l’emprise de ses fesses et doucement je retirais mon sexe de son petit puits encore animé de petites convulsions. Je me mis sur le côté regardant dans la pénombre Fany toujours dans la même position. Une déesse de l’amour.-Nous avions vraiment besoin de faire l’amour.-Oui, répondis-je l’excitation était trop forte trop intense !. Je posais ma main sur ses fesses et pour me rendre compte de ce que j’avais pu lui offrir, j’enfonçais simultanément un doigt dans son anus détendu et un doigt dans son sexe... ; deux sensations tout à fait différentes. Je sentais mon sperme qui s’écoulait lentement de son petit trou pour aller rejoindre les lèvres ouvertes de son sexe, puis s’étirer et tomber sur l’édredon.-Tu m’as remplie me dit-elle…je te sens couler !-J’ai joui merveilleusement.-Viens reposons-nous…Le calme était revenu…la tempête est passée.-Que font-ils ?— Ils prennent une douche tu n’entends pas…-Viens dormons un peu. Le temps adoucit les maux.Je pris Fany dans mes bras après qu’elle ait disposé autour de nous ses oreillers…je sombrais heureux, repu dans un lourd sommeil…le Nirvana.. ; était-ce cela ?L’extase. Fany s’endormit très vite sa main autour de mon sexe, maintenant au repos ?

(Nos histoires avec Isabelle sont des histoires vraies, nous aimons l’amour et le faire et c’est un hommage, avec son autorisation que je vous en raconte les plus belles saveurs. Ecrivez-nous si vous avez apprécié nos récits. Isabelle participe avec moi à ces rédactions et nous aimons nous retrouver autour de notre clavier et revivre fortement chacun de notre côté les vraies sensations qui nous conduisent au bonheur, celui d’aimer et d’être aimé).Notre mailjessey.connexion@gmail.com
Diffuse en direct !
Regarder son live