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les fantasmes de Lisa

Chapitre 2

Divers
Séance vintage avec LARDOISAprès avoir retiré mes pinces, je me suis habillée selon les goûts particuliers de LARDOIS. J’ai posé un rouge vif et vintage sur mes lèvres puis j’ai pris un long fume cigarette. Me voir en femme fatale l’excitait. Devant chez lui, j’allumerai cette cigarette pour faire une entrée à la Greta GARBO.Cinq minutes après, j’étais devant la porte du vieux LARDOIS. J’ai allumé ma cigarette, une blonde américaine parfumée et j’ai sonné.« Entrez, je vous attendais ! » J’ai ouvert la porte. Toujours cette odeur de pisse de chat et de renfermé qui prenait à la gorge. Décidément, je n’arriverai jamais à m’y faire ! J’ai lentement refermé la porte derrière moi. « Venez! » Je suis allée vers la porte et je l’ai poussée. Le vieux LARDOIS m’attendait, sur son lit. « Approchez, vous m’avez manqué ; j’ai très envie de vous ! » Devant lui, je jouais à la femme fatale de série noire et ma jambe a fendu le faux cuir de mon imper. Il écarquillait les yeux. Je jouais avec mon porte cigarette de mes mains gantées.Il m’a demandé de retirer mon imper puis de faire un striptease pour bien commencer la soirée et je me suis exécutée de manière aussi excitante que possible pour lui et pour moi. Il avait les yeux écarquillés et la bouche entrouverte devant ce que je lui proposais. Ma robe est enfin tombée. Mon masque dissimulait mon visage. Devant lui, j’ai dégrafé mon soutien gorge et le lui ai remis. Il l’a porté à ses narines pour humer mon parfum. J’ai dénoué les petits lacets de mon nouveau string et le lui ai lancé. Il contemplait ma fente. J’ai vu son regard briller d’excitation. Le vieux LARDOIS tendait sa main alors je me suis approchée de lui et ai ouvert mes jambes. Sa main osseuse a fouillé ma fente humide. Ses doigts s’y sont incrustés. J’ai retiré mes gants. J’ai fait glisser la dentelle de mon gant sur sa queue et ses couilles.« Encore ! » J’ai recommencé puis je me suis mise à genoux au bord du lit et j’ai posé ma bouche sur son sexe. J’ai relevé la tête. « Que puis-je faire pour vous plaire, monsieur ? » « Retire ton masque ! » « Oui, monsieur ! » J’ai lentement retiré mon masque de plumes puis je l’ai regardé et l’ai caressé sur tout le corps avec les plumes et les perles. Il gémissait de bonheur et de plaisir. « C’est marrant, j’ai l’impression de t’avoir déjà vue quelque part ! » J’ai continué à la caresser avec le masque et ma bouche frôlait sa queue et ses couilles. « Vous voulez ma bouche ? »« Ouais, ta bouche, et aussi tout le reste, ne t’inquiète pas !» Je l’ai regardé en sortant le bout de ma langue entre mes lèvres.« Une petite langue, par exemple ?» Il a exigé que je l’embrasse ; j’ai posé le porte cigarette sur le gros cendrier d’albâtre puis ma bouche est venue se coller sur la sienne pour un long baiser. J’étais à lui ! Arnault m’avait bien commandé de me mettre à sa disposition. Il a exigé de longs baisers puis il a voulu que je le lèche et que je le suce.
« Viens t’occuper de moi avec ta bouche de salope, ma jolie ! » « Oui monsieur. » Ses yeux brillants scrutaient mon visage. Je me suis mise à quatre pattes sur le lit, entre ses jambes et, pour lécher sa queue et ses vieilles couilles fripées, j’ai écarté et remonté ses jambes. J’ai penché ma tête et ma langue a parcouru sa queue molle. Je me suis appliquée. J’ai recommencé à plusieurs reprises et du bout des doigts, lentement, très lentement, tout en fixant mon vieux des yeux pour bien l’exciter, puis j’ai décalotté le bout de son gland violacé pour le titiller du bout de ma langue. J’ai pris mon tout mon temps pour faire cela à ce vieux bougre, puis j’ai repoussé la peau, décalotté le gland et l’ai glissé entre mes lèvres qui se sont resserrées sur lui pour le savourer. Mes yeux ne quittaient pas les siens et le bout de ma langue jouait dessus en tournoyant autour de son gland luisant de salive. Je ressentais un réel plaisir à le lécher ainsi. Il a appuyé sur ma tête et sa bite s’est enfoncée dans ma bouche. Je l’ai sucée en lents va et vient. Il me donnait le rythme de ses mains posées sur ma tête. Pendant que je faisais cela, mes doigts jouaient avec couilles, ses cuisses, ses aines, et mon index est venu frôler le périnée et jouer avec les poils qui recouvraient son pubis et le sillon de son cul. J’ai pris tout mon temps pour le rendre fou de désir. Je m’appliquais à lui faire tout ce qui l’excite bien. Il a soulevé son bassin légèrement et mon doigt est venu dégager les poils humides de sueur et a atteint la muqueuse que j’ai explorée du bout du doigt. Je l’ai retiré pour le mouiller de salive puis de mon doigt humide, j’en ai doucement enduit le trou du cul de ce vieux squelette livré à ma lubricité puis mon doigt s’est lentement introduit en lui. J’ai relevé ma tête. « Comme cela? » Je le regardais. Il avait les yeux fermés. Il les a ouverts.« Oui ! Continue, et mets-en autant que tu veux, et après tu me lècheras le cul! » « Oui, monsieur, je vais faire tout cela. Regardez !» J’ai mis trois doigts dans ma bouche et les ai sucés et léchés comme on lèche une belle bite.« Comme cela ? »« Oui, encore ! »« Comme cela aussi ! » J’ai enfoncé à fond les doigts dans ma bouche et les ai pompés comme on pompe un sexe, puis j’ai sucé mes doigts avec application. Il gémissait à me voir faire. J’ai présenté mes doigts sur son anneau et les ai enfoncés. Il s’est cambré. « Cela vous plaît, monsieur ? » Je prenais mon pied à faire la chienne, à lui faire ça. J’aime faire ça, je le sais maintenant. J’ai entamé un lent va et vient. Mes trois doigts mouillés de salive s’enfonçaient en lui tandis que je suçais sa queue avec application. Je voulais le satisfaire et j’ai continué de branler sa queue doucement du bout des doigts jusqu’à ce qu’il relève ses reins de ses deux mains. Il appelait ma bouche. Elle est venue se poser sur son trou du cul pour un long baiser mouillé et ma langue s’est faufilée autour de son anus puis s’est glissée en lui, le plus profondément possible. Elle a forcé l’entrée de son anneau pour le faire gémir de plaisir. « Tu es la plus belle salope que je connaisse. Continue! »J’ai pris tout le temps pour le lécher. J’avais tout le temps. Je mouillais comme une folle. Satisfaire sexuellement ces vieux, difformes et incroyablement laids me rendait folle. Je voulais en profiter. « Bientôt », me suis-je dit, « Svet peut-être sera là pour partager ce plaisir avec moi et c’est elle qui léchera le cul de LARDOIS ou celui de SCHULLER pendant que je sucerai leurs tiges, ou l’inverse car leur enfoncer ma langue dans le cul m’excite vraiment. C’est sûrement vrai que je suis une chienne. Il faut que j’accepte cette vérité pour en profiter pleinement. » « Suce moi, salope, tu vas avaler la fumée. »J’ai relevé la tête. « Oui, monsieur, je vais tout avaler ; j’aime en avoir plein la bouche. » « Suce moi et après je te ferai minette et je vais lécher aussi ton petit trou et y enfoncer ma langue. » « Oui, monsieur, j’aimerai ça avec vous.» J’ai englouti sa queue et l’ai pompée longuement. Ma langue tournait en retournait autour de son gland. Mes doigts branlaient sa tige de plus en plus vigoureusement et j’ai senti qu’il allait venir, alors j’ai bien resserré mes lèvres et ma langue a joué avec son gland. Il a joui dans ma bouche et j’ai roulé le sperme en bouche en en rejetant exprès un peu sur mes lèvres et mon menton. J’ai relevé la tête. Je le regardais tout en touchant du bout du doigt le sperme qui avait coulé sur mes lèvres et mon menton. Je dégustais ce liquide que je recueillais pour le ramener dans ma bouche. Cela le rendait fou, je le voyais bien. J’ai ouvert la bouche et un peu tiré la langue. Il a vu son sperme et j’ai refermé ma bouche pour tout avaler. Puis j’ai planté mon index luisant de sperme et de salive entre mes lèvres et l’ai sucé.« Maintenant je vais la nettoyer ! » Mes yeux ne quittaient pas les siens. Je me suis penchée vers son bas ventre et ai entrepris de lécher et sucer sa queue pour recueillir et boire tout le sperme qui y était encore. Il gémissait et surtout lorsque de ma langue j’ai nettoyé son gland encore sensible. Il s’est adressé à moi. « Dis donc, Léon m’a dit au téléphone qu’il t’a fait boire sa pisse, c’est vrai ça ? » « Oui, monsieur, une fois ! « Ca te dit de le faire avec moi, je veux voir ce que ça fait ! » Je l’ai regardé. Visiblement, il guettait ma réaction. Je lui ai souri : « Oui monsieur. On va dans votre salle de bain ? » « Non, on reste ici, je ne peux pas bouger aussi facilement que toi, moi! » « Oui monsieur, pardon ! »J’avais gaffé et il fallait que je me rattrape. J’étais à lui et il pouvait tout exiger, tout, je dis bien tout, comme je l’avais promis à Arnault. J’allais pouvoir, encore une fois, me surpasser pour faire plaisir à mon maître et je me sentais forte. Je me suis mise à genoux devant lui, au bord du lit, et il s’est assis avec mon aide. Il ahanait. Il semblait perclus de douleurs et malgré cela, il parvenait à me prendre par derrière violemment, c’est cela qui était étonnant. Je me suis penchée vers lui et il a attrapé son sexe de deux doigts pour le glisser entre mes lèvres après l’avoir un peu décalotté. Il avait posé ses deux mains sur mes cheveux. J’étais sereine et le gland, la chair flasque du membre sont venus se poser sur ma langue. Quelques instants plus tard, son urine a envahi ma bouche bien refermée sur son sexe. Je ne voulais pas que cela coule sur le lit ou sur le tapis, sans doute mon côté maniaque de la propreté ! J’ai dégluti à plusieurs reprises pour avaler le liquide au goût extrêmement violent, acide et trop salé, puis le jet tiède, heureusement peu abondant, moins abondant que celui de Schuller, s’est tari, peu à peu. Il secouait sa queue pour faire venir les dernières gouttes. Il s’est retiré mais s’est ravisé et a réintroduit son sexe dans ma bouche pour que je le lave en suçant et en le léchant. « Vous aimez faire cela, n’est ce pas ? « « Oui, monsieur et je recommencerai si vous le demandez! » « J’ai bien aimé moi aussi et si je le pouvais, je t’appellerais chaque fois que j’ai envie de pisser ! » Il ricanait « Maintenant, allonge toi et écarte tes jambes le plus possible, je vais lécher ta fente.» « Oui, monsieur ! » Je me suis mise sur le lit, un coussin sous mes fesses à sa demande, puis j’ai écarté et relevé mes jambes. Il a pu me lécher la chatte, la fouiller de la langue aussi longtemps qu’il a voulu. Ensuite, alors que j’étais à quatre pattes, il m’a fourré sa langue dans le cul. J’ai adoré.Il m’a demandé de m’allonger à nouveau puis a fouillé ma chatte et mon cul de ses doigt noueux et comme il titillait et suçait mon bouton, j’ai fini par jouir et des deux mains, j’ai attiré sa tête sur mon bas ventre, doucement tellement c’était bon. Il faisait cela très bien. Il avait du beaucoup pratiquer.J’ai repris mes esprits, alors qu’il triturait le bout de mes seins.« Merci monsieur, c’était très bon ! » le goût de son urine, très fort et désagréable envahissait toujours ma bouche. « Je suis fatigué ma belle mais viens à genoux, j’ai envie de pisser encore un coup ! » « Oui, monsieur. »Je me suis immédiatement mise à genoux devant lui, au bord du lit. De nouveau, je l’ai aidé à s’asseoir puis je me suis penchée vers lui pour glisser sa queue entre mes lèvres et le liquide salé a de nouveau empli ma bouche. J’ai dégluti à plusieurs reprises pour avaler son urine. Un tout petit pipi, malgré tout. Il a secoué un peu sa queue pour faire venir les dernières gouttes qui venaient sur ma langue. Il s’est retiré, puis, pour lui faire plaisir, j’ai léché longuement sa queue molle. C’était délicieux de faire cela ! Il s’est allongé avec mon aide et quelques secondes après, il s’endormait déjà. Je l’ai recouvert avec le drap puis j’ai quitté son appartement sans bruit. Rentrée chez moi, j’ai tout relaté par un long message à Arnault. Celui-ci n’était pas connecté mais j’ai pris un plaisir inouï à tout décrire dans le détail, sans rien omettre de ce que j’avais fait, de ce que j’avais vécu et ressenti. J’ai pris une bonne douche, me suis lavée la bouche et les dents puis me suis endormie avec le gros plug en moi. Je ne l’ai retiré que plus tard dans la nuit. Pas de long message non plus le lendemain, juste un SMS : « Super ! Tout va bien ! Je suis ok ! RAS ! JTM». J’étais rassurée et heureuse. J’ai appelé Svet, pour la tenir informée de mes exploits. Elle écoutait avec attention et cela, me disait-elle, l’excitait à mort. Elle a avoué que pendant mes récits, elle se caressait et pensait de plus en plus à Arnault au point d’envisager de le contacter, si je le voulais bien. J’ai souri. Je me suis dit qu’il fallait juste la laisser prendre son temps, venir et que ce serait bon. (à suivre)
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