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Les fantasmes de Maria...

Chapitre 1

Zoophilie
La voiture se mit à hoqueter et ralentir d’un seul coup, Marie réussissant juste à la garer sur le bas-côté avant que le moteur ne cale après avoir lâché un dernier râle caverneux. Malgré l’obstination de la jeune femme pour tenter de redémarrer, le véhicule resta muet et inerte sur le bord de la route.La belle brune sortit donc de l’automobile après avoir actionné l’ouverture du capot moteur et jeta un regard dubitatif sous celui-ci, se sentant bien incapable de trouver la panne et, plus encore, de la réparer… ce d’autant plus avec cette électronique omniprésente. Elle s’essuya les mains avec un chiffon et regarda autour d’elle pour constater qu’il n’y avait ni habitation, ni âme qui vive à l’horizon, de quelque côté que ce soit…
Elle attrapa son portable pour tenter d’appeler un dépanneur mais, évidemment, sur cette route de montagne éloignée de tout, il n’y avait aucun réseau… C’est à ce moment-là que Marie prit réellement conscience de la gravité de sa situation, surtout que la nuit ne tarderait pas à tomber et qu’il ne devait probablement pas y avoir beaucoup de passages sur cette route, passé une certaine heure !Elle se prit la tête entre les mains et soupira profondément, tout en essayant de réfléchir à la meilleure chose à faire. Oui, que pouvait-elle faire toute seule perdue au milieu de nulle part ? Une violente envie de pleurer la submergea… mais elle résista, consciente qu’il ne fallait surtout pas qu’elle craque. Après tout, elle avait déjà réussi à dépasser des épreuves de la vie beaucoup plus difficiles, en trente-cinq ans d’existence… se dit-elle pour se donner du courage !
Après un court moment de réflexion, la jeune femme décida d’aller voir un peu plus loin devant elle malgré ses chaussures peu appropriées à la marche, espérant tomber rapidement sur une habitation d’où elle pourrait appeler un dépanneur. Elle savait de toute façon qu’il n’y avait rien sur presque vingt kilomètres du côté d’où elle venait…Marie attrapa donc son sac avec ses papiers et une veste au cas où elle ait froid, vérifia que les portières de sa voiture étaient bien fermée et entama son périple.

Alors qu’elle marchait depuis presque une heure et qu’elle commençait réellement à désespérer de trouver âme qui vive, que la luminosité du jour déclinait maintenant à grands pas… la jeune femme entendit au loin le bruit d’une voiture. Elle se retourna et aperçu deux phares qui semblaient se diriger dans sa direction.Marie fut saisie d’un curieux sentiment de peur mêlée d’excitation, réalisant qu’il pouvait lui arriver n’importe-quoi et même le pire, là toute seule au milieu de nulle part ! Devait-elle se cacher dans le talus pour ne pas être vue du conducteur ou rester sur le macadam et tenter de faire arrêter le véhicule en tendant le bras ?! Elle était complètement indécise, un certain nombre de pensées malsaines se bousculant dans sa tête... alors que les phares pointaient maintenant au bout de la ligne droite.
Ce furent en fin de compte la fatigue, ses pieds qui lui faisaient mal et un goût immodéré pour les aventures en tout genre qui décidèrent pour la jeune femme. Elle resta donc sur la chaussée et fit de grands gestes des bras afin de se faire voir du conducteur. Le véhicule ralentit et stoppa juste à sa hauteur…
Le véhicule… une vieille Lada break a priori de teinte beige, mais dont la majeure partie de la carrosserie était bariolée de dessins et d’inscriptions de toutes les couleurs ! Cela ne rassura pas pour autant la jeune femme, surtout qu’elle distingua deux ombres s’agitant à l’intérieur de l’habitacle, le conducteur et quelqu’un assis sur les sièges arrière...La vitre côté passager descendit avec un léger grincement et le conducteur, un homme avec les cheveux grisonnants coupés très courts dont elle n’arrivait pas à définir l’âge dans la pénombre, tendit la tête…
— Hola !— Hola !
Tout en lui répondant, Marie se fit la réflexion qu’il ne devait pas être espagnol, sa prononciation du « hola » ayant une mauvaise accentuation… Que faisait un touriste tout seul à cette heure sur une route paumée du fin fond de l’Espagne, dans une bagnole tout droit sortie d’une autre époque ? Et l’ombre derrière qui continuait à s’agiter… La jeune femme regrettait presque de ne pas s’être cachée ! Il fallait néanmoins qu’elle donne le change…
— Français ?!— Oui !?... Je prononce si mal que ça l’espagnol ?... Française aussi ?!
— Non, non ! A la fois belge et espagnole…— Vous faites quoi toute seule sur cette route à la tombée de la nuit, alors qu’il n’y a rien nulle part autour ?! Je vous emmène où, belle jeune demoiselle ?— J’ai ma voiture qui est tombée en panne un peu plus loin et je cherche quelqu’un pour me dépanner ou me ramener chez moi, à côté de Benicarlo… Vous allez dans quelle direction ?— Dans la vôtre, pour vous déposer chez vous… Allez, montée ! Pour ce qui est de la mécanique, je n’y connais rien et ne vous serais d’aucun secours ! Moi, c’est Manu et lui, derrière, Rex Deus… mon fidèle compagnon ! Et vous ?— Marie… répondit-elle avec une voix toute effacée.
La jeune femme, pas rassurée du tout malgré le côté affable de son interlocuteur, entra néanmoins dans la voiture et découvrit l’énorme chien qui se faisait appeler Rex Deus… sans doute un dogue allemand. L’animal approcha d’ailleurs tout de suite son museau tout près de la tête de la belle brune, si bien que cette dernière sentait le souffle chaud au niveau de son cou et sa joue gauche. Était-il capable de la morde, se demanda-t-elle ?
— Allez, couché Rex !... N’ayez-pas peur, Marie… il ne mord pas ! Par contre, il s’attache vite aux jolies jeunes femmes et leur fait facilement des léchouilles baveuses… Il faudra l’excuser car il a été très mal élevé.
Marie resta sans voix… Que voulait-il dire par « s’attache vite aux jolies jeunes femmes » ?!
Alors que le véhicule redémarra, la jeune et belle brune aux yeux verts fut saisie d’un profond malaise, comme si son instinct lui disait de se méfier de son chauffeur et qu’elle était même en danger dans cette voiture, avec cet inconnu qui semblait pourtant sympathique de prime abord…N’étaient-ce pas aussi ces mots qui avaient réveillé son fantasme inavouable de se faire baiser par un chien, qui la mettaient tant mal à l’aise ?! La sensation que son intimité et sa petite culotte s’humidifiaient, n’arrangea en rien son émoi…
Manu, lui, conduisait tranquillement et jetait régulièrement des regards vers la jeune autostoppeuse, dont il essayait de distinguer les formes appétissantes dans la pénombre de l’habitacle. Elle semblait avoir une « putain » de paire de seins, à faire bander un eunuque. Il laissa divaguer son esprit et s’imagina lui arracher son corsage, puis prendre bestialement les deux superbes tétines dans sa bouche, les sucer, les mordiller… Oui, c’est ça, il avait une folle envie de la foutre à poil, de la baiser, cette jeune inconnue sortie de nulle part !Avec cette pensée érotique, il sentit son sexe se tendre presque immédiatement dans son pantalon. Peut-être devait-il tenter quelque-chose, lui glisser une main insidieusement entre les cuisses… et voir comment elle réagirait !? Tout se bousculait dans son esprit… submergé qu’il était par un flot de perversité dont il n’avait même pas conscience. Ses mains étaient devenues moites, il suait à grosses gouttes et, paradoxalement, sa bouche était toute sèche…
Pour autant, il perçut, toujours en conduisant, qu’elle se trémoussait légèrement sur son siège tout en croisant ses cuisses… comme si elle avait une envie pressante. Manu décida donc de s’arrêter sur le parking qu’un panneau indiquait à 500 mètres, afin qu’elle puisse se soulager… mais avant tout parce qu’il avait la ferme intention de tenter quelque-chose, de passer à l’action ! Il mit le clignotant à droite, malgré le fait qu’ils étaient seuls sur la route.
Un frisson d’angoisse parcouru Marie, qui se demanda pourquoi son chauffeur s’arrêtait d’un seul coup, si ce n’était pas pour la violer sur ce bord de route déserte ?! Tout son corps se crispa et son cœur se mit à battre la chamade… mais elle se surprit en même temps à être toute excitée par la situation et à presque espérer qu’il passe à l’acte ! Ce sentiment ambivalent accentua encore un peu plus son malaise.
— Pourquoi s’arrête-t-on ?— Eh bien, j’ai l’impression que vous avez une envie pressante depuis tout à l’heure…— Euh… non !...— Bon, je croyais ! Mais, de toute façon, le chien a besoin de se dégourdir les pattes, lui ! Nous repartirons dans quelques minutes…
Putain, ce con… ce n’était même pas pour la baiser qu’il s’arrêtait ! Presque frustrée par cette pensée, elle décida donc de sortir également de la voiture et d’aller pisser derrière un arbre, car elle en avait malgré tout envie.
Voyant le chien et son maitre s’éloigner le long de la route, elle remonta sa jupe et fit glisser sa petite culotte noire au niveau de ses genoux, avant de s’accroupir. Tout en pissant, elle se laissa aller à des pensées érotiques, cherchant quel copain elle pourrait appeler en rentrant, pour qu’il vienne s’occuper d’elle… puisque ce vieux con la dédaignait ! Et pourtant, depuis qu’elle était montée dans la voiture, elle avait bien remarqué qu’il ne cessait de la mater… comme peut-être tous les hommes le font, d’ailleurs !?

Elle s’apprêtait à se relever quand une brusque poussée la fit basculer vers l’avant et tomber les deux genoux à terre, le cul toujours à l’air. Une langue chaude et baveuse remonta le long de sa raie des fesses, la faisant tressaillir de tout son corps… C’était Rex Deus, l’énorme dogue allemand, qui se trouvait juste derrière elle.Elle voulut se redresser mais…
— Non, non… tu restes comme ça ! Mon chien est très gentil mais il n’aime pas du tout quand on lui retire sa gamelle avant qu’il ait fini de manger… si tu vois ce que je veux dire ?! Allez Rex, fais une petite gâterie à la belle Marie ! Je suis sûr qu’elle en a vraiment envie…
Marie n’osa pas répondre et resta donc à quatre-pattes, son cul tout offert à la langue râpeuse du canidé qui redoubla d’ailleurs d’ardeur dans ses caresses labiales. Elle mouillait maintenant de tout son antre alors que l’appendice de l’animal lui fouillait avec dextérité son intimité, léchant et aspirant ses fines lèvres vaginales en même temps que le précieux nectar.
La jeune femme tenta bien pendant un moment de refréner son plaisir, sentant le regard du fameux Manu épier la moindre de ses réactions et ne voulant s’exposer telle une chienne en chaleur… mais un violent orgasme la submergea et elle se mit à crier toute sa jouissance. Que la sensation était bonne… jamais personne ne l’avait léchée aussi bien, de tous les hommes et femmes avec qui elle avait déjà couché !
Marie ondulait maintenant de tout son corps et redressait au maximum ses fesses en arrière pour les écarter et inciter le chien à aventurer encore plus profondément sa langue dans son anus. Forcément, elle jouit de nouveau d’un second orgasme tout aussi puissant que le premier… et espérait maintenant de tout son corps et son esprit, que le beau Rex Deus la prenne comme si elle était sa chienne. Elle se tourna donc vers le maitre, debout en face d’elle et impassible, le suppliant du regard d’amener le chien sur elle.
Au lieu de cela, l’homme à qui elle donnait la quarantaine, s’accroupit au niveau du visage de Marie et lui passa une main dans ses cheveux, relevant les mèches pour découvrir le visage tout en sueur de la jeune femme. Avec son autre main, il approcha son majeur de la bouche de la belle espagnole, qui se mit à le sucer avec toute la sensualité dont elle était capable…
— Rex, stop ! C’est fini…
Puis se tournant de nouveau vers Marie…
— Pas tout… tout de suite ! Relevez-vous !
Il l’aida à se redresser sur ses jambes en lui prenant le bras mais, alors qu’elle s’apprêtait à remonter sa petite culotte, il rajouta d’un ton sec :
— Non, pas la culotte ! Elle ne vous servira plus à grand-chose ; donnez-la-moi ! Et puis votre soutif aussi !
Ne lui laissant pas le temps de réagir, il saisit le corsage et fit sauter les trois boutons du haut, puis arracha violemment le soutien-gorge, libérant de leur carcan deux magnifiques seins à la couleur laiteuse. Le dogue allemand, quant à lui, continuait à renifler et lécher les fesses toujours découvertes de la belle jeune brune, manifestement demandeur pour poursuivre le coït avec celle-ci !
— Allez, Rex, on remonte en voiture… mais ne t’inquiète pas, notre belle Marie va encore s’offrir à toi !
Récupérant la jolie petite culotte noire en dentelle que la jeune femme venait de retirer complètement, il posa sa main sur le cul et glissa d’un coup sec son majeur dans l’anus de cette dernière, encore tout mouillé de la bave de Rex Deus.
— Allez, ma belle Marie, nous allons trouver un endroit plus amusant et animé pour continuer ! Je suis sûr que tu es d’accord pour ça ?!— Ahhh !... Oh ouiii !...
Il l’embrassa alors à pleines lèvres sur la bouche, tout en faisant coulisser consciencieusement son doigt dans le conduit anal et en pelotant un sein de la belle brune avec son autre main. Marie s’abandonna complètement à son agresseur, impatiente de savoir où il allait l’emmener maintenant !? Elle était prête à le suivre dans n’importe quel voyage initiatique...
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