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Les fantasmes de Maria...

Chapitre 2

Zoophilie
Marie marcha jusqu’à la voiture avec toujours enfoncé dans son anus le doigt de cet homme qui lui était encore inconnu il y a une heure en arrière… Même si ce ne fut que sur quelques mètres, la sensation fut réellement exquise… pas loin même de lui provoquer un nouvel orgasme ! Elle n’espérait plus qu’une chose, c’était qu’il n’attende pas plus longtemps et la prenne là, tout de suite, farouchement sur le capot de la bagnole… Lui et son gros chien, d’ailleurs, car ce dernier qui continuait à tourner autour de la jeune femme, la langue pendante, en cherchant comment lui grimper dessus, déployait maintenant un énorme sexe qu’elle voulait absolument sentir au fond d’elle !
Il n’en fut rien, Manu l’invitant sèchement à se rassoir sur le siège avant de la Lada après lui avoir malgré tout ouvert la portière et retiré son doigt qu’il lui donna à sucer. Elle s’exécuta sans rechigner, espérant même le faire changer d’avis. En vain, malheureusement…Quant au fameux Rex Deus, manifestement déçu de ne pas avoir pu saillir sa chienne, son maitre le fit monter sur le siège arrière sans ménagement…
Marie aurait bien rejoint l’animal derrière pour lui faire une fellation et avaler sa semence afin de savoir quel goût cela avait réellement… mais elle n’osa pas contrarier l’homme, qui lui faisait de plus en plus peur en même temps qu’il l’excitait.

La voiture redémarra alors que la nuit était maintenant complètement noire… La jeune brune se sentait étrange, comme dans un état second. Tout l’incitait à fuir cet homme qui transpirait la perversion et le vice, mais elle voulait aussi voir jusqu’où il était capable de l’emmener !? Cette excitation malsaine prenait le dessus et annihilait toutes ses peurs...Elle avait également envie d’en connaitre un peu plus sur lui et tenta donc d’engagée la discussion car, hormis le bref échange quand il s’était arrêté à sa hauteur pour la prendre en stop, il n’avait rien dit sur lui. Elle ne savait presque rien de cet homme sorti de nulle part.
— Vous êtes en vacances, Manu ? Vous habitez où en France ?
L’homme à la mine austère se tourna vers elle sans ralentir pour autant sa vitesse, et posa sa main droite sur la joue de la jeune femme…
— Tu peux me tutoyer, maintenant que tu es à moi, Marie ! Relève ta jupe afin que je voie bien ta jolie petite chatte, et caresse-toi !... Et puis roule une pelle à Rex ! Il adore !...— Mais…— Allez, Marie !... Ne fais pas ta petite timide !...
L’énorme dogue allemand dut comprendre qu’on parlait de lui car il se redressa immédiatement sur son séant et amena sa gueule haletante, à l’haleine fétide et repoussante, juste à côté du visage de Marie. Cette dernière eut un mouvement instinctif de recul et un haut-le-cœur rien qu’à l’idée de devoir mêler sa salive à celle du chien. Elle ne pouvait quand même pas faire ça ; c’était absolument répugnant !?...
La jeune femme, terrorisée à l’idée de ce qu’il lui demandait de faire, tenta de déceler la pensée du conducteur mais celui-ci semblait toujours impassible, le regard de marbre… même s’il continuait à jeter des regards réguliers sur elle, comme un prédateur qui attend les réactions de sa proie traquée.Elle ne savait plus du tout ce qu’elle devait faire… ses pensées s’entrechoquaient tel un immense domino.


Après quelques longues secondes sans bouger, Marie laissa glisser une de ses mains vers son entrecuisse, remontant sa jupe avec son autre main jusqu’à son nombril. Ses doigts commencèrent un délicat massage de son Mont de Vénus, lui provoquant tout de suite des frissons de plaisir. Elle ferma les yeux…Et puis, comme si elle était aimantée, la belle brune approcha à l’aveugle sa tête du museau de l’animal, jusqu’à sentir le souffle chaud sur son visage. Le chien, appâté par l’offrande, commença à lécher le joli minois avec sa langue râpeuse et baveuse…
Après un dernier moment d’hésitation et avec les yeux toujours clos, Marie ouvrit la bouche et tendit la langue jusqu’à entrer en contact avec celle de son amant du moment. Contrairement à ce qu’elle appréhendait, ce ne fut pas si désagréable… si bien qu’elle y retourna beaucoup plus franchement, cette fois-ci les yeux ouverts. Même si la jeune femme avait déjà embrassé des choses plus ragoutantes, elle se fit la réflexion que certains des mecs avec qui elle avait baisé, puaient encore bien plus de la gueule ! Elle se laissa donc aller dans ce balai de langues, essayant de résister à celle plus puissante de Rex Deus. Dans le même temps, elle s’introduisit deux doigts dans son con dégoulinant de cyprine, afin de parfaire son plaisir…
Manu, ravi de voir la belle espagnole céder aussi facilement à ses propres injonctions, continua de rouler à vive allure en direction de Vinaros, profitant des portions un peu moins tortueuses de la route pour glisser deux de ses doigts aux côtés de ceux de Marie, dans son vagin. Contrairement à la jeune femme qui se caressait plutôt délicatement, lui préféra la doigter frénétiquement, l’obligeant à soulever son bassin et à écarter encore plus les cuisses. Elle couinait, elle criait sa jouissance de toute sa voix… malgré la langue du chien qui continuait à la lécher.

Marie eut donc plusieurs orgasmes coup sur coup, ne faisant plus du-tout attention à la route. Elle avait d’ailleurs perdu toutes notions de temps et d’espace… Tout juste avait-elle aperçu par moment des lumières de lampadaires défiler lors de la traversée de villages !C’est pourquoi elle fut complètement surprise de reconnaitre la petite place de la Constitution, au centre de Benicarlo, quand Manu gara la voiture dans la rue contigüe. Son premier réflexe fut de ramener son chemiser sur ses seins et sa jupe vers le bas, au moment où elle aperçut des gens sortir du restaurant, à l’angle.Un moment d’effroi glaça la jeune femme à l’idée que quelqu’un puisse l’avoir vu en train de baiser fougueusement avec le clébard et y prendre un plaisir non dissimulé ! Car, elle devait bien l’admettre, ça plus les doigts dans son sexe lui avaient fait frôler l’extase à plusieurs reprises… Elle regarda machinalement son portable pour voir l’heure… il était à peine plus de onze heures et demi. Pas si tard que ça, en fin de compte !
Marie, reprenant peu à peu ses esprits, s’apprêtait donc à remercier son sauveur et à descendre de la Lada, réajustant sa jupe et son chemisier tout en réfléchissant qui elle pouvait appeler pour la reconduire chez elle, à quelques kilomètres de là. En effet, elle ne tenait pas à emmener son inconnu dans son petit nid secret, même après ce qu’elle venait de vivre avec lui...Peut-être allait-elle néanmoins lui laisser son numéro de portable, au cas où il repasse dans le coin !?

Seulement, l’homme ne l’entendit pas ainsi…
— Marie, ce n’est pas terminé ! Nous en sommes seulement au hors-d’œuvre…— Hein !?...— Ben oui, Marie… tu as excité à mort Rex Deus ! Alors maintenant, il attend son dû !... D’ailleurs, toi aussi, tu en as envie, de ce qui va suivre !… Tu en rêves depuis des années, je le sais !— Mais…— Chut ! Marie !... Nous allons descendre ensemble de la voiture, avec Rex… tous les trois, pour un grand moment de jouissance !... Tu peux laisser ton sac et tes affaires à l’intérieur, c’est plus sûr !
Il l’embrassa alors délicatement sur la bouche, puis rajouta :
— Alors Marie, es-tu prête pour ce passage obligé dans ta quête d’absolu ?!... Oui, je le sens à ton corps qui tremble d’excitation. Allez, on y va, ma belle !
Il ne lui laissa pas le temps de répondre, sortant rapidement de la voiture pour en faire le tour et ouvrir la portière côté passager. Marie hésita quelques secondes puis se leva du siège, le regard un peu inquiet. Qu’osera-t-il faire en plein milieu de la ville ?Elle était inquiète mais aussi terriblement excitée par la situation. Le fait de ne rien contrôler amplifiait encore ce sentiment d’excitation intense.
Alors qu’il faisait sortir le chien, la jeune femme regarda autour d’elle en espérant ne pas tomber sur une de ses connaissances. Elle eut d’ailleurs un moment d’effroi à cette pensée...

Manu ferma la Lada à clé et prit la main de la jeune brune, lui caressant au passage les fesses. Il ne fit que quelques pas avec elle et le chien juste à côté, jusqu’à la partie arborée de la place, puis choisit un banc… pas le plus visible mais pas le plus excentré non-plus ! Il se baissa alors pour se mettre accroupi devant Marie, lui saisit les hanches et la fit se tourner dos à lui. Méthodiquement, il commença à retrousser la jupe pour découvrir deux magnifiques fesses rebondies et, sans aucun préalable, il se mit à les lécher, écartant les lobes avec les pouces pour atteindre le petit œillet légèrement plus foncé.
Le chien dut comprendre que ce serait bientôt à son tour de profiter de la jeune femme, car il devint complètement hystérique, sautant dans tous les sens et poussant des jappements de joie.Quant à Marie, elle n’osait pas bouger et n’en avait d’ailleurs pas envie, son corps de nouveau parcouru par des frissons de plaisir… Elle écarta néanmoins ses fesses en se cambrant légèrement pour inviter son amant à fouiller son intimité encore plus profondément avec sa langue. Elle adorait car l’homme savait y faire, sa langue dardant l’anus de sa partenaire au point qu’elle sentait ce dernier s’ouvrir tout seul, comme par magie.
La jeune femme était toute proche d’un énième orgasme mais Manu s’arrêta net et se redressa. Il prit alors le bras de la belle espagnole et l’incita à se mettre à genoux sur le banc, les fesses en arrière. A peine en position, le dogue allemand se mit à lécher avec délectation l’intimité offerte de Marie, encore toute souillée par les nombreux orgasmes qu’elle eût pendant le voyage. Elle sentait sa mouille couler de son vagin, directement aspirée par l’animal… et, pour qu’il ne laissât perdre aucune goutte du précieux nectar, elle se déhanchait de plus belle. Elle couinait du plaisir de ces fabuleuses caresses !
Seulement, le maitre du chien ne le laissa pas continuer, le choppant par la peau du cou pour le faire grimper sur le dos de cette dernière, les pattes avant sur le banc, une de chaque côté de la femelle en chaleur.Rex Deus, guidé par son instinct primaire et excité par les phéromones sexuels dégagés par la belle petite chienne, commença à donner de grands coups de reins de façon complètement désordonnée et frénétique... n’arrivant pas, de fait, à pénétrer ni l’un ni l’autre des deux orifices. Le molosse haletait, s’énervait et grognait… Manu, voyant la bite du canidé rater immanquablement sa cible et buter sur ce corps dénudé, s’apprêta à guider son fidèle compagnon mais… la verge gonflée et veinée de sang s’engouffra juste avant d’un seul coup dans l’anus de la jeune femme, lui arrachant un cri de douleur ! L’homme sauta tout de suite derrière son chien pour éviter qu’il ne recule et ressorte son sexe, l’incitant même à rentrer plus profondément.
La belle brune crut s’évanouir tellement la pénétration fut brusque. Elle en avait le souffle coupé… Néanmoins, la douleur de Marie se transforma très rapidement en un intense plaisir, celle-ci sentant ses muscles se contracter au fur et à mesure que la bite de l’animal la pénétrait et continuait à prendre du volume. Les sensations étaient divines, des spasmes de jouissance lui secouant tout le corps. De nouveaux, plus rien d’autre que son plaisir n’existait, oubliant tout ce qui pouvait se passer autour d’elle !Elle faisait corps avec le molosse dont la bite paraissait énorme, gigantesque… dans son joli petit trou du cul. Elle en voulait encore et encore, faisant donc des « va-et-vient » pour sentir bouger la colonne de chair dans son propre corps… Ce fut à ce moment-là que Manu, complètement excité par la scène sodomique qui se déroulait devant lui, se posta devant la jolie jeune femme, sortit sa queue déjà bien raide et l’engouffra sans ménagement dans la bouche de celle-ci. Marie, bien que surprise par la soudaine et violente intrusion, ne tarda pas à sucer goulument cette belle verge, espérant la faire éjaculer dans sa bouche en même temps qu’elle aurait un nouvel orgasme…

Effectivement, tout se passa en même temps… ou presque ! Elle sentit Rex Deus se raidir tout en grognant… et de longues giclées envahir son fondement. Cela ne s’arrêtait d’ailleurs pas, comme s’il se vidait littéralement en elle ! Etant donné que le chien tenta tout de suite de se retirer, la résistance de l’énorme bite encore enchâssée dans son anus, déclencha chez Marie un orgasme encore plus violent et intense que les précédents… Elle jouissait de tout son corps, de tout son être ! Pour autant, la jeune femme n’eut pas le temps de crier sa jouissance car Manu se mit à jouir également et lui remplit la bouche de sperme chaud et visqueux…
Ce fut là qu’elle aperçut les ombres de quatre ou cinq personnes à quelques mètres d’eux, qui les regardaient tout en parlant entre eux…
— ¿ Observa que es, allí ?— ¡ No, pero no es verdadero !
Marie, en même temps qu’elle avalait le sperme dans sa bouche, reconnut l’intonation de cette voix si familière… Tout s’effondrait autour d’elle !
— ¿ Es ti, Maria ?— ¿ Pero qué hace allí, Maria ?... rajouta l’un des hommes, apparemment sonné par cette découverte.
Manu fit comme si de rien n’était, retira sa bite de la bouche de Marie, puis se mit accroupi en face d’elle et l’embrassa avec fougue, lèvres contre lèvres… Enfin, il lui susurra dans l’oreille quelques mots.
— Ce sont des amis à toi, Marie… enfin, Maria ?!... Eh ben, ils tombent particulièrement bien... car nous ne faisions que commencer et ils peuvent donc se joindre à nous ! Tu peux faire les présentations, ma belle espagnole ?!
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