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Les fantasmes de la notaire

Chapitre 5

Orgie / Partouze
Puis le trio fit se replacer les deux jeunes brunes ; ils les obligèrent à se rapprocher, et c’est serrées flanc contre flanc, toujours à quatre pattes, qu’elles continuèrent à se faire défoncer leurs deux orifices par Moussa et Assane.Ces deux-là, comme par jeu – un jeu joyeux et lubrique – échangeaient régulièrement de fille, et c’est avec un plaisir non dissimulé qu’ils plantaient leur gros gourdin tantôt dans leur minou, tantôt dans leur petit trou. Les deux amies s’en prenaient plein la rondelle, leur chatte rose avait viré au rouge corail à force d’être limée, et Hamidou se faisait pomper par une bouche puis par l’autre.
Finalement, Moussa (le plus vieux et certainement le plus expérimenté et le plus imaginatif question vice) eut une idée salace qui amusa beaucoup les deux autres compères, qui, de plus en plus excités décidèrent aussitôt de la mettre en pratique (ce qui leur permit, dans le même temps, de faire une pause de quelques minutes car ils montraient tout de même des signes de fatigue) :
ils ordonnèrent aux deux belles femelles de s’allonger toutes les deux et de se positionner en 69. Les deux copines eurent un moment d’hésitation (après tout, bien que n’ayant rien contre des petits plaisirs saphiques, elles n’avaient jamais joué à ces jeux toutes les deux), mais après tout, au point où elles en étaient... Et puis elles pensèrent que si elles obéissaient à ces trois mecs cela atténuerait leur responsabilité et se sentiraient ensuite moins coupables.
Elles s’installèrent donc, Marie-Cécile sur le dos, Stéphanie l’enjambant se plaça tête bêche au-dessus de sa meilleure amie.
« - Allez, » rigola Assane, « bouffe-lui la chatte à ton amie, c’est son anniversaire, tu lui dois bien ça ! »
Ils rirent tous de bon cœur, mais la vision de ces deux jolies filles qui commençaient à se gougnotter avec application les excita encore plus.Ils les contemplèrent tous les trois, s’astiquant lentement la colonne, jusqu’à ce qu’Assane ne résistant plus, se mit à genoux devant la croupe de Marie-Cécile et lui enfila la chatte d’une seule poussée. Stéphanie continua à lui lécher le bourgeon, et lapait au passage la grosse hampe qu’elle voyait entrer et sortir entre les petites lèvres de son amie. Elle poussa un grand cri car Hamidou venait de lui enfoncer son membre monstrueux dans la chagatte et ses grosses et puissantes mains s’étaient refermées sur ses hanches. Il se mit à la besogner sans relâche.
Assane ressortait régulièrement sa queue et, empoignant Stéphanie par la tignasse, il lui relevait la tête et la lui enfonçait dans la bouche qu’il se mettait à baiser avec la même ardeur. Hamidou faisait de même avec son gourdin et le faisait disparaître de temps à autres dans la jolie bouche de Marie-Cécile.
Soudain, il frotta son membre large comme son pouce contre le sillon fessier de Stéphanie et ce qu’elle redoutait tant arriva : il commença à lui forcer la rosette, enfonçant lentement son énorme gland dans le petit cratère froncé. Elle hurla, la douleur était terrible, elle se sentait littéralement déchirée : la disproportion entre les dimensions de la monstrueuse queue du Black et de sa petite rondelle de jeune femme semblait évidente à l’œil nu, mais c’était elle qui s’en rendit compte le plus intensément en la ressentant dans sa chair. Le jeune Noir athlétique était à la peine, et malgré ses efforts surhumains n’arrivait pas l’empaler... et soudain il jura :
« - Ah merde, ah putain... ! »
Et son gros vit envoya des giclées puissantes de foutre blanc dans la raie des fesses de Stéphanie qui échappa ainsi à son supplice.
Moussa prit aussitôt sa place, et après quelques allers-et-venues dans sa jolie chatte, il l’enfonça lentement dans son petit trou, resté encore endolori par la tentative forcée mais heureusement avortée du plus jeune.Il lui besogna un court moment le fondement de quelques vigoureux coups de pine, puis, soudain, la ressortit à la surprenante et gicla en plein dans le visage de Marie-Cécile :
« - AAAH tiens ! V’là ton dessert Banania, v’là la crème fouettée, v’là ton gâteau d’anniversaire, salope ! Te voilà entartrée ! »
Assane, excitée par ces cris lubriques, n’en pouvant plus, sortit son gros chibre de la chatte de Marie-Cécile et l’enfourna dans la jolie bouche de Stéphanie, toute échevelée, et le lui enfonçant jusqu’aux amygdales, se répandit à longs jets puissants :
« - Tiens, v’là ma crème Mont Blanc ! Allez avale-là, ma crème dessert, petite pute !Ah, gourmande... »Il réalisait en effet que Stéphanie, qui n’était pas du genre à se dégonfler, était en train de l’avaler à longs traits et qu’elle n’allait pas en laisser une goutte.
« - Quelle pipeuse, celle-là ! » ajouta-t-il admiratif, et en la regardant presque tendrement.

Les trois mecs, la pression enfin relâchée, sentirent soudain une lassitude leur tomber lourdement dessus ainsi que sur leurs muscles endoloris, et après un moment à être restés sur place, assis ou affalés à genoux contre les fauteuils, ils finirent par se lever.Ils ne demandèrent même pas à prendre une douche. Ils remirent leurs slips sur leurs bites poisseuses et leurs vêtements sur leurs corps tout en sueur.
Stéphanie, qui avait autre chose que les muscles d’endolori, se leva aussi tant bien que mal et donna une enveloppe à Moussa (la petite prime.) Celui-ci partagea les billets avec les deux autres, et dès qu’ils eurent remis leurs chaussures ils se dirigèrent vers la porte.Moussa claqua le joli cul de Stéphanie deux ou trois fois un peu vigoureusement mais affectueusement : « Merci, ma belle. »Et tous trois passèrent la porte.
« - Au-revoir les petites salopes » lança Hamidou, goguenard avant de disparaître.
Les deux filles, nues, étaient debout. Elles se regardèrent - Marie-Cécile avait encore le visage couvert de sperme – et elles éclatèrent de rire.
« Quel anniversaire ! » s’exclama Marie-Cécile. « Merci, ma chérie !— Ah non, ne m’embrasse pas. Tu es encore couverte de crème... !— C’est pas de la crème, c’est du sirop de cordum. — Ohhh...— Et si on allait se prendre une douche toutes les deux... ?— Toutes les deux ? Ensemble... ? Ne me dis pas que tu as encore envie qu’on se fasse des papouilles... ?— Non mais par contre, on pourra se nettoyer l’une l’autre... »
Elle prit Stéphanie par la taille et l’entraîna vers la salle de bain.
« - Toi, ma vieille, pour tes quarante ans, je ne sais pas ce que je vais te réserver, mais tu vas avoir intérêt à préparer ton cul...— Ça va, j’ai encore huit ans...— Oui, mais commence déjà à te le dilater.— Ah bon, mais qu’est-ce que tu m’offriras ? Un éléphant ?— Au moins douze mecs, douze superbes étalons, encore mieux membrés.— Ben dis-donc, faudra que tu les cherches... et que tu les paies ! » rajouta-t-elle.« - T’inquiète pas, j’ai les moyens de payer. »
Et elles partirent d’un même rire cristallin.

FIN
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