Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 61 J'aime
  • 0 Commentaire

Les fantasmes de Sylvie

Chapitre 1

Hétéro
J’ai fini ma deuxième journée de stage et je rejoins Sylvie dans son bureau. Elle range ses dossiers et me demande si on y va. Bien sûr qu’on y va. Elle va me ramener à l’hôtel comme la veille, et on espère passer à nouveau une nuit bien chaude.Elle fantasme autant que moi, elle a joué la pute pour notre plus grand plaisir, et je lui ai demandé de me proposer un autre plan. Elle pense à quelque chose mais n’ose pas m’en parler, c’est trop hard. Elle en a trop dit ou pas assez, et je veux savoir.On est à nouveau dans les bouchons et on a le temps de discuter. Je lui redis que je suis prêt à tout pour elle, puis pas à pas je l’emmène à se dévoiler. C’est vrai que son plan est chaud, mais si elle veut, je veux aussi. On tombe d’accord et on met au point les grandes lignes, sans entrer dans les détails pour se laisser un peu de liberté et d’imprévu.En résumé elle veut s’offrir un vieux cochon soumis, pour se venger de ce que certains hommes font subir aux femmes. On a besoin de faire des achats et on repart en ville, dans un sex-shop. On choisit ensemble, et elle se sert de l’argent que je lui ai donné la veille, en tant que pute, pour payer.Comme la veille je suis à l’hôtel, elle est partie chez elle et va me rejoindre vers 21h30. J’ai 58 ans, elle 28, et après une première nuit passée ensemble, je sais qu’elle ne va pas me poser de lapin.Elle frappe à la porte et j’ouvre. Elle me donne son vestiaire, sans un mot, puis s’affale dans le fauteuil. Elle passe une jambe sur l’accoudoir, sa jupe courte remonte au plus haut. Elle a des bas autofixants, pas de dessous, et commence à se caresser. Elle me demande de me déshabiller.Je suis nu comme un ver devant elle, elle a l’air contrariée et me parle sèchement:— C’est quoi ça?— Je me suis rasé, comme tu me l’as demandé, maîtresse.— Je vois bien, ce n’est pas de ça dont je parle. C’est quoi cette queue qui ose se dresser. Tu sais qu’elle doit se baisser devant moi, comme toi.Je m’excuse, lui dit que j’ai eu une rude journée, que je viens de rentrer, et que je n’ai pas eu le temps de me branler. Elle me donne cinq minutes pour me masturber et que ma bite insolente se prosterne. Je vais vers les toilettes mais elle me stoppe, elle veut que je me branle devant elle. Je lui fais remarquer que c’est de la moquette, et elle me rétorque de m’arranger pour jouir sur la table basse. Elle y a posé une grande poche dessus en arrivant et la débarrasse pour la mettre à ses pieds. Elle fouille dedans et en ressort un joli gode avec lequel elle commence à s’amuser, ainsi qu’une petite bouteille d’eau. Elle boit et se masturbe avec son joujou.. Je m’astique le manche de toutes mes forces, et elle me pose des questions:— Tu penses à moi quand tu te branles?— Oui maîtresse.— Et tu m’insultes je suppose? De quoi tu me traites?— Non maîtresse, je n’oserais pas.— Aller, dis le moi, je ne t’en tiendrais pas rigueur.— Je te jure maitresse, je te vénère, je te remercie de m’avoir pris pour être ton chien.— C’est bien, tu as bien appris ta leçon, même si je ne te crois pas, espèce de gros porc. Bon maintenant dépêche toi de cracher ton jus.Je redouble de vitesse et je décharge rapidement, éclabousse la table de mes éjaculations. Elle me demande de nettoyer, je vais à nouveau vers les toilettes pour chercher du papier, mais elle me stoppe à nouveau. Je dois nettoyer avec ma bouche, ma langue, qu’il ne reste aucune trace. Ca m’apprendras à lui obéir la prochaine fois. Je m’exécute docilement, lèche tout mon sperme, l’aspire, l’avale.et elle semble satisfaite.Je suis maintenant à genoux devant elle, et elle me tend sa jambe. Je caresse sa chaussure à talon haut, je l’embrasse, je la lèche. Elle a maintenant la pointe de sa chaussure dans ma bouche, et je posse mes mains sur sa cheville, les remontent sur son mollet, son genou, sa cuisse, jusqu’en haut du bas que je descend en le roulant. J’enlève alors sa chaussure, son bas, et j’embrasse son pied nu. Je le lèche, suce ses orteils, passe ma langue entre eux. Mes lèvres remontent le long de sa jambe, jusque presque sa chatte. Elle me repousse, me dit que ce n’est pas encore le moment, et me demande de lui remplir sa bouteille qu’elle a déjà vidée. Elle se masturbe toujours, et attaque sa deuxième bouteille. Elle me tend son autre jambe, et je vais m’en occuper comme de la première. Je suis à nouveau tout près de son sexe, et elle me demande une autre bouteille. Elle a les deux jambes relevées sur les accoudoirs, les cuisses grandes ouvertes, et je suis enfin autorisé à m’approcher. Elle retire sa main, laisse son gode entre les cuisses, et me saisit par les cheveux pour me plaquer contre elle. Je bloque la base de son jouet entre mes dents, et elle fait aller et venir ma gueule entre ses cuisses, ma gueule terminée en phallus. Elle boit toujours, me demande une quatrième bouteille, et on reprend.Elle a fini sa quatrième bouteille, 2 litres en peu de temps, et elle la jette. Elle retire le gode de sa chatte, et m’intime un ordre avant de le sucer:
— Bouffe moi la chatte fumier, et remercie moi pour le cadeau que je te fais. Tu ne la mérites pas, ordure.Je ne réponds et m’applique à la lécher, la dévorer, la boire, comme je sais qu’elle aime. Elle s’abandonne, jouit sans retenue, enchaîne orgasme après orgasme. J’engloutis sa mouille généreuse, la bois avec de grands sluppp bruyants et goulus. Elle n’en finit pas de dégouliner, se régale de ma langue qui la fouille, mais aussi de ce joli gode qu’elle suce. Je la lèche longtemps, aussi longtemps qu’elle le veut, puis elle met fin à la séance.Elle a beaucoup bu, de l’eau, et il faut qu’elle élimine. Elle enlève sa jupe, ne garde que le haut, et on va à la salle de bain. Il y a deux verres en plastique, sous sachet, et elle en déballe un pour se servir encore à boire. Elle entre dans la baignoire, puis monte sur les bords, jambes écartées. Il y a le mur d’un côté, le meuble du lavabo de l’autre, elle est bien calée et ne risque pas se casser la gueule. J’entre à mon tour dans la baignoire, tire le rideau, et m’agenouille assis sur les talons, face à elle.Elle s’adosse au mur, cambre ses reins, écarte ses lèvres et supplie sa chatte:— Pisse, pisse ma chérie, j’ai trop bu, j’ai mal au ventre, pisse ma belle, je t’en prie.Sa belle chatte lui obéit, et je reçois un premier arrosage, chaud et odorant, que j’étale sur mon corps en me caressant. Elle s’est un peu soulagée et sa source s’interrompt. Je sais par expérience qu’elle ne peut tout éliminer en une seule fois, et qu’il faudra qu’elle s’y prenne à plusieurs reprises, pendant pas mal de temps. Elle m’ordonne de la lécher.J’ai mes lèvres soudées aux siennes, pas les mêmes, et je réponds à sa demande. Elle pose ses mains sur ma tête pour me maintenir, et se remet à pisser, une pisse encore fortement parfumée. Je me dégage, recrache tout, tousse, et la traite de salope. J’ai à peine prononcé ce mot que je réalise mon erreur.Je me prend une grande tarte dans la gueule, et elle m’informe que je n’aurais pas dû, que je vais le lui payer. Je reviens brouter son minou, elle me maintient encore, et ouvre les vannes. Cette fois ci je ne fais rien pour me dégager et accepte son liquide toujours aussi chaud mais moins goûtu. Elle me repousse sans cesser de pisser, et m’asperge la gueule:— Ouvre la bouche, chien, et bois mon offrande.Je m’applique à lui obéir, engloutis son urine au maximum que je peux. Finalement son pipi est délicieux et je me régale à me désaltérer à sa source. Elle stoppe son jet légèrement doré, me félicite pour ma soumission, tout en me prévenant que ça ne m’empêchera pas d’avoir ma punition pour lui avoir manqué de respect.Plus de deux litres qu’elle a bu, et il va lui falloir du temps pour évacuer. Elle a envie, puis non, envie à nouveau, non, oui, non..... On reste longtemps dans la baignoire jusqu’à ce qu’enfin ses jets drus et puissants ne deviennent que tendres filets, puis goutte à goutte. Elle est soulagée, sors de la salle d’eau, et m’ordonne de me doucher vite fait.Je reviens dans le salon et vais devoir subir son courroux pour l’avoir insultée. Elle me fait mettre à quatre pattes sur la petite table, puis fouille dans la poche pour y récupérer de fins gants en plastique. Elle les enfile, me fouille le cul, puis se saisit de son gode. Elle le fourre dans mon cul, bien profond, puis l’agite sans ménagement. C’est bon, j’aime, et je me mets à bander; elle s’en aperçoit:— Tu aimes ça, enculé, je vais te faire triquer encore plus fort.Elle laisse son gode enfouis entre mes fesses, et refouille sa poche pour en retirer un gode ceinture, un super gode trop bien calibré, au delà de mes mensurations. Elle s’en équipe et se plante devant moi pour que je lui fasse une fellation. Je veux lui faire plaisir, et m’applique à la sucer en regrettant que ce ne soit pas une vraie queue. Elle me tire en arrière par les cheveux, pour que je la regarde tout en gobant son sexe fictif, et elle me crache au visage:— Je vais t’enculer vieux vicieux, te faire subir ce que tu fais subir aux autres, et en même temps ça me fait chier. Ca me fait chier parce que je me dis que tu es assez salaud pour aimer ça, et ce n’est pas le but.Elle se retire de ma bouche et viens derrière moi. Elle a remis ses chaussures à talons pour être à la hauteur, enlève le gode que j’ai dans le cul, et me plante le sien dans la seconde même. C’est tellement rapide que mon cri reste bloqué dans ma gueule ouverte. J’ai éprouvé une douleur fulgurante, suivie d’un immense bien-être. Elle se met en mouvement pour me défoncer, m’entend gémir, se doute de mon plaisir. Elle se penche sur moi, passe sa main sous mon ventre, et se saisit de ma bite:— Tu bandes salaud, tu as bien raison parce que je vais me servir de ta queue. J’ai envie moi aussi de quelque chose de bon dans mon cul, mais avec tes conneries mes godes sont souillés; tu vas les remplacer, être mon gode vivant.Elle me lime encore, et me branle en même temps. Elle se retire et je me lève avec ordre de me masturber, de na pas débander, de ne pas jouir. Il y a la porte d’entrée, puis comme un sas avec une deuxième porte sur laquelle est fixé un porte manteau. Je me plaque contre la porte et elle m’attache à l’aide de ses bas: un coincé dans la charnière et attaché à la poignée pour maintenir mes reins , l’autre autour de mon cou et au porte manteau pour maintenir ma tête. Elle se sert de mon slip pour ceinturer mes poignets et les accrocher aussi à la patère. Je suis immobile, à sa merci.Elle crache dans sa main, et la passe entre ses fesses. Elle crache encore et se fouille le cul, encore et me lubrifie la queue avant de me donner ses doigts à nettoyer.Elle me tourne le dos, se penche en avant, et se saisit de mon manche. Elle place mon gland sur son œillet puis pousse pour le faire pénétrer. Je suis en elle, et elle va aller et venir sur ma hampe, m’utiliser comme un objet de plaisir. Elle coulisse sur mon manche comme une possédée:— Elle est bonne ta queue, salaud. C’est injuste que ce soit des gros porcs comme toi qui aient de grosses bites, et pas les princes charmants. Alors j’obéis à mon cul, et c’est les chiens comme toi qu’il préfère...................Elle m’entend souffler, haleter, et elle se dégage pour ne pas que je jouisse, pas encore. Elle me détache, et je m’allonge sur le bord du lit. Elle est debout, à côté de moi, et m’enjambe pour être un pied au sol et l’autre sur le lit. Elle se saisit de mon sexe et se le remet dans le cul. Je ne dois pas bouger, la laisser faire. Elle va et vient rapidement sur ma hampe, m’écrase les couilles à chaque descente. Elle est hystérique:— Jouis, jouis salaud, je n’en peux plus de baiser ta grosse queue. Donne moi ton jus, gros porc..........Elle accélère le rythme, et je finis par décharger. Elle continue à me chevaucher, lentement maintenant, jusqu’à stopper. Elle m’ordonne d’ouvrir la bouche, se dégage, et viens s’assoir sur ma gueule. Je dois me placer bien dessous son trou pour qu’elle se vidange dans ma gorge, que j’avale tout, que je la nettoie. Elle se lève, fouille dans son sac, et me jette une poignée de billets, ceux là même que je lui ai donné la veille. La séance est terminée.
Finie la femme dominatrice et son client soumis, fini le jeu de rôle, on redevient nous même. Elle s’allonge contre moi:— Ca va? Je n’ai pas été trop dure?— Non, ça va, quoique c’était limite par moment.— Quand je t’ai enculé?— Non, ça allait. C’est plutôt ta gifle, tu t’es laissée aller, et surtout ta chevauchée finale. — Excuse moi, mais je me suis prise vraiment au jeu. Et puis ta queue est trop bonne.— Peut-être, mais tu ne l’as pas ménagée, il me tardait que ça finisse. Et puis j’avais peur pour mes couilles, tellement tu les claquais fort avec tes fesses. — Oh! pauvres petites coucouilles. Détends toi, je vais leur faire un câlin pour me faire pardonner.Elle s’installe et s’occupe merveilleusement de mon paquet, de mes boules qu’elles embrasse, lèche, gode avec beaucoup de tendresse, et aussi de ma queue qu’elle nettoie en douceur. Sa chatte a faim, mais ma bite reste désespérément molle. Du coup on décide de dormir, et elle me demande de ne pas hésiter à la réveiller si je bande dans la nuit.J’ai envie de pisser à mon tour, avec tout ce qu’elle m’a donné à boire. Je lui demande si ça l’intéresse, mais elle est trop fatiguée, et me dit une autre fois, si on a l’occasion. Je pisse tout seul, longtemps, et elle s’est endormie lorsque je regagne le lit. Comme toutes les nuits, je me réveille avec une trique entre les jambes, et je vais lui en faire profiter. Elle est à moitié endormie, et veut que la baise dans le noir, que je vienne sur elle pour qu’elle n’ait rien à faire. Je la besogne de mon mieux, et elle sort de sa torpeur, m’encourage, pousse des petits cris. Je soude ma bouche à la sienne pour la faire taire, ne pas alerter les voisins. Elle passe ses bras autour de mon cou, et ses jambes se referment sur mes reins. Elle est chaude, autant que moi, on baise comme des bêtes, et on échangent des baisers fougueux. Je vais éjaculer, et elle m’offre sa bouche pour me soulager, tout boire, et ne pas se lever pour se nettoyer. Elle me nettoie la queue, puis je lui nettoie la chatte. On se rendort jusqu’à ce que le réveil sonne.
On a quitté l’hôtel, encore et toujours des bouchons, et on discute. Elle me demande à quelle heure j’ai mon train, et me propose de changer d’horaire pour baiser une dernière fois avant mon départ. C’est mon dernier jour de stage, et on finit un peu plus tôt. A seize heures je suis dans le bureau de Sylvie. Elle me donne la clé des archives, et va me rejoindre dans quelques minutes, que l’on ne nous voit pas y aller ensemble. Je patiente quelques instants, et la voilà. On s’embrasse goulûment, puis on enlève le bas rapidement. Elle s’accroupit et caresse ma queue qui se dresse aussitôt:— Elle est belle ta queue, elle me plait trop, elle me rend folle.— Merci, et mes couilles, elle te plaisent?— Elles sont magnifiques. J’ai bien fait de te faire te raser, elles sont trop jolies comme ça.Elle pose ses lèvres dessus, les embrasse, les lèche, les suce, tout en me branlant. Elle se relève:— Baise moi, j’ai envie.— Tu ne me fais pas une petite pipe avant?— Non, je me réserve pour le dessert.— Tu as raison, rien ne vaut une bonne banane bien crémeuse. — On dirait du vécu. Tu suces des hommes?— Oui, je fais tout, comme toi.— Et c’est quoi que tu préfères?— Un truc que je n’ai jamais fait, baiser une collègue dans les archives. Une jeune et belle femme qui a le feu au cul.— Alors dépêche toi avant qu’elle ne s’enflamme.Elle se retourne et se penche en avant. Je frotte mon gland sur sa vulve, elle est toute mouillée, et je l’enfile sans problème. Elle est bonne, elle est chaude, délicieusement accueillante. Je la prends en levrette et elle serre les dents pour ne pas crier son plaisir. Je lui tringle la chatte de mon mieux, et elle veut que je l’encule, sans perdre de temps en préliminaire, que je l’encule à sec. Je lui dis qu’elle va avoir mal, mais elle s’en fout, elle veut savoir ce que ça fait; et puis ma queue est bien lubrifiée avec sa mouille, et ce sera moins sec. Elle s’avance vers une table, et se plaque contre, se penche dessus, pour ne pas pouvoir échapper à ma pénétration. Je reprends sa chatte pour m’huiler encore le manche, elle a récupéré sa culotte pour se l’enfouir dans la bouche et ne pas gueuler. Elle m’adresse quelques mots avant d’y mordre dedans:— Encule moi, casse moi le cul, j’ai envie de savoir ce que ça fait.Elle écarte ses fesses, est trop désirable, et je me laisse tenter. Je l’embroche d’un seul coup, et la lime sauvagement. Elle m’a trop allumé cette putain, tant pis pour elle, ou tant mieux, je ne sais pas puisqu’elle ne peut rien dire. Je me déchaine, et me libère entre ses reins, oubliant la pipe finale dont elle avait envie. Je reste en elle sans bouger, puis réalise:— Enlève ta culotte de ta bouche, salope, j’ai oublié ton dessert, mais il n’est pas trop tard. Je fourre mes doigts dans son cul pour récupérer mon foutre et lui donne à sucer. Je recommence jusqu’à la dernière goutte, puis lui donne ma queue à sucer:— Qu’est ce que tu m’a mis dans le cul, salaud! Tu me l’as défoncé.— Excuse moi, mais je ne voulais pas. C’est toi qui a insisté.— Oui, c’est vrai, mais je pensais que ferais moins mal.— C’était à prévoir. Ca va?— Oui, c’est douloureux au début, mais c’est bon ensuite.Je lui propose de lui bouffer le cul pour la soulager, et je finis de le vider de ma semence. On se rhabille, elle a prévue une culotte de rechange, et range l’autre dans son sac. Je l’attends à sa voiture pendant qu’elle ramène la clé des archives et range son bureau.
Elle me ramène à la gare, on se félicite pour ces heures passées ensemble depuis deux jours, et elle me demande quand est-ce que je reviens. Je n’ai rien de prévu et lui dit que peut-être jamais. Elle me propose alors de revenir en dehors du boulot, un week-end, qu’elle m’hébergera. Je suis ravi e son idée, et on se promet d’en reparler au téléphone. On est arrivé, on échange nos numéros de portable, on échange aussi un long et tendre baiser. Elle récupère sa culotte dans son sac, et me l’offre pour mieux penser à elle.
A suivre.................
Diffuse en direct !
Regarder son live