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Les femmes de papa

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Si je pouvais me présenter, caché derrière un écran, je laisserais libre cours à mon imagination en disant que je suis beau, grand et fort. Rien, hélas, n’est plus éloigné de la réalité que cela. Ce n’est pas que mes parents soient en cause; maman est une très belle femme encore à 45 ans et papa, et bien...il est tout ce que je ne serai jamais. Mais laissez-moi vous conter mon histoire.
Cela nous reporte à quelques mois d’ici, au printemps. A la fac, plusieurs cours avaient été suspendus suite à l’absence de nombreux profs. C’est pourquoi je suis rentré plus tot. Arrivé chez moi, le sac à dos jeté dans un coin, je prends une bière dans le frigo, j’allume la télé et m’installe dans le canapé. Au moment des pubs, je décide de monter dans ma chambre et, du bas des escaliers, j’entends des gémissements, presque des feulements d’animaux. Je gravis les marches en silence et, arrivé sur le palier, je vois que la porte de la chambre de mes parents est ouverte. A cette heures, mes parents travaillent...Un bref coup d’oeil par l’une des fenêtres et je m’aperçois que mon père n’est pas parti travailler.
La peur au ventre, tirailler par ce que je risque de voir, je m’approche de la porte sur la pointe des pieds. Avec précaution, je jette un oeil dans l’embrasure de la porte et j’aperçois mon père nu, les fesses appuyée sur la commode. Il ressemble à un colosse, une statue bardée de muscles. La tête rejetée en arrière, ses pectoraux puissants et poilus dansent la gigue tandis que ses abadominaux se contractent et se relachent à mesure qu’une fille exécute sur lui une fellation qui semble l’envoyer aux enfers. Cette fille je la connais, elle travaille à la boulangerie du quartier et distribue souvent le pain.
Moi je suis là, paniqué et en même temps excité, pris entre un sentiment de frustration et de dégout, dégout de savoir ma mère bafouée, frustré de ne pas être mon père aussi. Mais je ne fais rien, je n’interviens pas. Dans la chambre, mon père continue de gémir tandis que cette gamine d’à peine 18 ans avale mon père, centimètre par centimètre. Agenouillée, elle ne semble pourtant pas souffrir de la position inconfortable, pas plus qu’elle ne semble gênée par le pieu de chair qui lui force les lèvres et les mandibules. Tandis que sa bouche est tout affairée à la gaterie paternelle, ses mains aux ongles vernis explorent le corps musclé de mon géniteur: depuis ses cuisses de footballeur jusqu’à ton torse de rugbyman en passant par ses fesses rebondies et ses abdominaux ciselés. Comme la vie est injuste: pourquoi moi, étudiant au physique ingrat, suis-je le rejeton de cet homme au corps de dieu?
Les voilà qui bougent, ils se déplacent vers le lit. Mon père s’allonge adossé sur quelques oreilles amassés à la tête du lit. Son sexe est raide et noueux. Là, vu de profil, il donne l’image d’un héros de la mythologie avec sa barbe en pointe et ses sourcils épais de méditerranéen, sa peau tannée et son physique surentrainé avec, en son centre, un sexe d’acier prêt pour un corps à corps guerrier. La boulangère dénudée et lascive vient le rejoindre. Et alors qu’il allume une cigarette en la regardant le sourire en coin, elle s’empale en douceur et lentement sur le pieu de chair palpitant. De leurs gorges s’échappent un gémissemnt d’extase.
Cette position a duré une dizaine de minutes puis mon père s’est levé et s’est dirigé vers la commode dont il a ouvert un tiroir. Là, il a sorti une capote d’une boite et l’a déroulé sur sa queue énorme. Cela fait, il a enlevé la ceinture de son jeans et est venu se placer derrière la jeune garce qui semblait toutefois désarçonnée et inquiète, comme je l’étais moi-même. Mon père avait rallumé une clope et fit mettre la boulangère à quatre pattes. Il passa la ceinture autour de la taille de la gamine et présenta son sexe contre son anus. Elle eu un mouvement de panique suivi d’un recul mais mon père tira sur la ceinture de son bras puissant et empêcha dès lors toute manoeuvre.
J’entendis alors le son de sa voix:
"Non, s’il vous plait, pas ça. Je refuse la sodomie à mon mec en plus!"
Mon père ne sembla pas entendre, ou plutot si, il entendit mais se borna à esquisser un sourire carnassier. La gamine avait beau vouloir se débattre, c’était peine perdue: les biceps, pareils à des vérins hydrauliques se contractaient et ramenaient vers le bas ventre du père l’anus qui allait être meurtri.
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