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Les hauts et les...bas

Chapitre 3

Travesti / Trans
TravestiLes hauts et les bas 3Jeannedorée

En attendant, dans ma maison, je me sens de plus en plus libre de faire la folle par moment. D’accueillir notamment Béatrice, la femme de ménage qui est entrée dans mon jeu sans protester la dernière fois...L’effet de surprise probablement mais je crois que cette sainte nitouche a pris goût à ce type d’apparition sexuellement trouble lorsque j’apparais vêtue ( et dévêtue) en femme descendant comme une diva l’étage des chambres ou quand je l’accueille en string et résilles à la porte d’entrée. En temps normal je descends en jean et basket de l’étage pour la saluer, comme dans un rituel. L’autre jour j’avais mis des talons pour marcher de façon plus sonore sur le plancher du haut puis je suis descendu en mocassins. J’ai eu le sentiment que son visage s’est éteint.« Ah j’ai oublié », lui dis-je... Alors je remonte, je marche à nouveau quelques instants avec des talons puis je redescends toujours en mocassin et dans tenue normale avec juste un peu de rouge à lèvres rose. « Dommage » soupire-t-elle. J’avais bien vu!

« Regardez moi de plus près Béatrice. Je l’invite à observer et à toucher mes lèvres et j’en profite pour lui faire poser sa main sur mon pantalon... Elle sent la marque des bas et elle tressaille. J’ouvre ma braguette pour qu’elle touche mon joli slip en satin. Elle est émue et aussi sec, je lui touche les seins. — « Vous aimez ? » lui dis-je— « Oui, et tout le reste aussi... »— « Bien ... Alors mardi, vous viendrez vous aussi en tenue ? »— « Moi ? » Me dit elle — « Oui avec d’autres chaussures, des bas et des vêtements amples pour que je nous puissions nous gouiner pendant le repassage ». Elle rougit... — «  Mais mon mari va le remarquer et je n’ai pas tout ? »— « Commencez progressivement certaines choses et pour le reste vous vous changerez en arrivant. De toutes façons, il faudra bien qu’il s’y fasse. Et puis, utilisez le temps dans le bus, faites glisser ce qui ne vous sert plus à rien comme votre culotte. En vous tortillant...vous verrez c’est excitant. Je vous aiderai financièrement pour les achats. D’accord ? »Elle m’embrasse furtivement et va reprendre son travail. Je pars pour le mien. 48 heures à attendre pour voir si la graine a continué à pousser!
Trans...figurée
Le surlendemain elle arrive et sonne puisque j’ai laissé la clef sur la serrure
J’ai enfilé un ensemble de sous-vêtements pailletés d’or avec une jupe longue noire largement ouverte sur des bas à fines résilles. Des talons qui n’en finissent pas...des chaussures aux brides multiples. Je me glisse et ondule jusqu’à la porte dans un frottement de matières plus excitantes les unes que les autres. Le bruit de mes talons sur le dallage...je joue la montre.
« bonjour !!! ». Pas d’accent traînant ni de lassitude ce matin et un vrai sourire éclatant...  « je suis déjà prête » me dit-elle et elle s’engouffre dans la maison.Le zip de sa doudoune légère s’ouvre et c’est une jolie poupée que je vois sous ses cheveux lâchés et sous un visage discrètement maquillé. Un chemisier couleur chair laissant devenir en légère transparence un soutien gorge noir redresseur de petites pointes, une jupe noire un peu plus courte et ample que d’habitude et de jolis talons. « Ceux-là, me dit-elle, je les ai mis en route... au moment où j’ai enlevé ma culotte ». Et elle retrousse un instant sa jupe : sa chatte se découpe entre les bas tirés par des jarretelles... Bandante la petite, littéralement transfigurée. — « et votre mari, il vous a vue ? »— « je lui ai dit que c’était le printemps et je l’ai laissé m’enfiler une banane juste après le repas hier soir. Un de ses vieux fantasmes que je lui refusais... je me suis dit que c’était mieux pour nous deux d’acheter la paix de ce coté là. Je pense que j’aurai droit à d’autres introductions mais bon, ça fait de l’exercice. Ensuite une pipe et au lit ».
Elle jette enfin un regard sur ma tenue. « Vous êtes classe...un peu salope si j’ose, mais classe ».Nous nous étreignons et nos mains parcourent nos corps, petites têtes chercheuses d’étonnement, de sensualité et d’interdit. Ses seins et les miens qu’elle sait stratégiques, sa jupe et le haut de ses bas, sa bouche un instant.
La chatte contre le tibia
Béatrice veut se mettre en blouse pour se mettre au travail et passe dans le vestiaire pour y déposer aussi sa doudoune. Je trouve que c’est un peu dommage jusqu’à ce que je la voie ressortir... La blouse est aussi fine que courte, elle est portée sans jupe et sans chemisier, comme une nuisette. Ses talons paraissent encore plus hauts et sa chevelure plus angelique. Ou diabolique. Je mouille et elle s’agenouille. « Ta queue de femme, donne-moi ta queue de femme.... » me dit-elle. Ses mains partent à l’assaut de mes fesses et de ma raie. Elle passe de la position à genoux à celle où elle est accroupie ce qui fait qu’elle me dévore mais réussit en même temps et à se frotter la chatte contre mon tibia gainé de résille.... impossible de reconnaître la timide employée d’il y a quelques semaines. En cinq minutes elle assure les finitions et part repasser. Un ange est passé... peut être un démon !
Tout cela s’est déroulé tellement vite. Je titube sur mes talons, me sens un peu cloche face à elle. Envie de la trousser, de la sauter, de lui défoncer le cul, de lui planter moi aussi une banane dans la chatte...à moins que je n’aie surtout envie de me faire prendre et violer, de me faire traiter comme une chienne mais faut que je me calme. Je remonte dans la chambre et me pose sur mon lit. Elle poursuit son repassage, le cliquetis du fer, le bruit de la vapeur....
Les chaines de la consolation
Je l’appelle, elle monte et me trouve allongée, les pieds en dehors du lit. Elle me console sans dire grand chose et se glisse auprès de moi. Sa blouse, ses seins, ses jambes fines et le souvenir de la femme prude qu’elle était me font reprendre vigueur. Elle sort de la poche de sa blouse une petite boite. Ouverte elle révèle, comme un bijou, de fines chaines qui se terminent par des pinces. « J’avais remarqué me dit-elle que tu es fou de tes seins, tu te les touches sans arrêt comme si cela allait les faire grandir. Les miens sont plutôt petits aussi. Alors, en les mettant ensemble peut être ». Elle pince un de ses tétons et accroche l’autre bout de la chaîne au mien. Idem pour le deuxième... Nous sommes liés l’un à l’autre dans une liberté toute limitée. Elle se recule un peu pour tirer sur nos poitrines, c’est une jouissance interne et du regard...
Elle déplace avec précaution le bas de son corps, me libère de ma jupe, me chevauche suffisamment pour glisser mon sexe dans sa chatte trempée et commence des petites séquences de haut en bas, limitées par les chaines qui nous tiennent. L’excitation des seins nous fait vite hurler, je l’insulte de bonheur tellement c’est bon: « petite salope tu me tiens par la queue et les nichons ». Elle me répond qu’il faut que tous mes bouts grandissent, : «  je vais t’apprendre moi à te tripoter et à jouer les divas sur tes talons. Tu veux être femelle, tu vas l’être et en attendant tais toi ». Du tiroir elle extrait une culotte de ma femme et me la fourre de la bouche.

Son regard brille de mille audaces et plus précisément d’une nouvelle idée je le sens. Et ne suis pas étonnée qu’elle me décroche mes tétons. « Mets toi à quatre pattes » me dit elle. Placée derrière mon cul voilà qu’elle se penche, me prend les bourses à pleines mains et je sens qu’elle les pince. Une de chaque coté, elle me tient les couilles en bride. Nous sommes à nouveau reliés et elle entreprend de me fouiller le cul d’une main pendant quelle me branle de l’autre. Beatrice rigole en me disant qu’elle n’a pas de banane sous la main mais y va de bon coeur.... Elle règne sur mon cul comme sur ma personne. Elle m’enlève mes chaussures aux brides multiples. La chienne que je suis a dégusté comme elle me l’avait promis.

Jeannedorée
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