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Les jeux d'Alexandra

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Après d’innombrables nuits d’insomnie, après l’attente qui me paraissait interminable, nous étions enfin le jour J ! Il devait arriver en fin de matinée.Mais bien sûr les choses ne se passent jamais comme on l’avait prévu, son premier avion avait eu du retard, du coup il avait loupé le deuxième… Au final je devais le récupérer à Lyon, à 19h30 précise. Toute l’après-midi je me suis préparé, afin d’être impeccable. La veille j’étais allé chez l’esthéticienne pour une épilation intégrale des parties intimes, des jambes. J’avais acheté dans la semaine un porte-jarretelle en dentelle rouge, ainsi qu’un soutien-gorge assorti. Je décidais de mettre une petite robe en voile, avec mes petits dessous, et comme il l’avait exigé la veille, que je ne porte pas de culotte. Donc me voilà partie, avec ma petite robe, mes porte-jarretelle (sans culotte), en talon aiguille.
J’arrivais devant le terminal quinze minutes avant l’heure dite. Je restais debout à attendre. Je sentais quelques regards, visiblement ma petite robe faisait son effet.Le vol avait encore pris du retard, à cause de valises échangées à l’arrivée. A force d’être debout, je commençais à avoir mal aux jambes et au dos, je décidais d’aller m’asseoir à l’extérieur, ainsi en profiter pour fumer une cigarette. Je me rendis vite compte que l’opération était assez compliquée, en effet ma robe était assez courte, donc dans cette position, le tissu remontais et laisser entrevoir ce qui était caché dessous. Il y avait des groupes de jeunes à proximité, des hommes seuls, qui ne perdaient pas une miette du spectacle, moi seule était gênée par la situation. Enfin gênée… je me comprends, moi qui n’avais pas fait l’amour depuis plus d’un mois, sentir tous ces regards sur moi. En plus comble de perversité, le banc sur lequel j’étais assise était fait en barreau, donc j’avais une barre en pleins entre les lèvres. Je faisais des petits mouvements (que je simulais comme de l’impatience) pour me caresser doucement.
Au bout de quelques minutes, je décidais de rentrer à l’intérieur du terminal, pour avoir des nouvelles. Et là mon téléphone portable se mis à sonner, c’était mon compagnon, Julio.Je décrochais avec hâte.
— Mon amour ! Tu es arrivé ça y’est ? — Oui oui, répondit-il d’une voix fatiguée, je suis juste derrière les portes, j’attends ma valise.
Il était là, à quelques mètres de moi. J’étais excité comme une puce. Puis les portes s’ouvrirent, et des voyageurs commencèrent à sortir. Puis ce fût autour de Julio de sortir. Je lui sautai dans les bras, ravie de le revoir, je l’embrassais à pleine bouche. Mais je remarquais assez rapidement que ce voyage qui avait duré en tout 24h, avait laissé des traces. Julio avait une mine fatiguée, il avait mis ses lunettes de repos, bon ce n’était pas ça le problème, mais il sentait fort la transpiration, et avait une haine assez forte. Bon je ne pouvais pas lui reprocher, avec toutes ces heures d’avion, il n’avait pas pu faire autrement.
Nous prenons la navette pour aller récupérer la voiture, dans le bus bondé de monde, Julio profitais de notre proximité pour m’embrasser et me caresser doucement les seins, il me disait qu’il me trouvait sublime, et me demanda si j’avais bien fais ce qu’il m’avait demandé, je lui répondais en passant ma langue sur ma lèvre supérieure. Je le sentais très excité, et ravi de la répondre. Nous descendions à notre arrêt, et Julio me plaquais contre l’arrête de bus, et m’embrassais avec fougue, j’étais excité et en même temps assez dégoutée de cette haleine plutôt forte. Je fis mine d’avoir peur d’être surpris pour me dégager.
Arrivé à la voiture, Julio continuais de m’embrasser, et quand je me dégageais encore une fois, il me demandé la raison, je lui expliquais toute gênée le pourquoi du comment. Julio ouvrit la porte arrière de la voiture, m’invita à rentrer. Il se plaqua très près de moi en me disant. « Alors petite chienne, tu n’aimes pas mon odeur de mâle ? Je sens trop fort pour toi ? Pourtant regarde comme tu es habillée, passant une main sous ma jupe, tu es habillée comme une vraie salope ! »Il m’attrapait par les cheveux, mis ma tête sous ses aisselles, en m’ordonnant de respirer, puis d’une main il dégageait son sexe raide, et l’enfonçait dans ma bouche.Son sexe non plus n’avait pas été lavé depuis un moment, il sentait très fort, un mélange de transpiration, d’urine. J’eus envie de vomir, j’avais des haut-le-cœur. J’aurais espéré qu’en entendant mes bruits Julio m’enlève son sexe de la bouche, mais non, il continuait à m’enfoncer son sexe au fond de la gorge. Je l’entendais me parler, il me disait que ma bouche de suceuse lui avait manqué, je le sentais caresser mes fesses, il me giflait le derrière. Au bout d’un petit moment, je ne ressentais plus de dégoût, pire la situation m’excitais. Habillée de la sorte, les fesses à l’air, entrain de sucer un sexe sale, enivrée par l’odeur de transpiration, me faisait me sentir comme une grosse cochonne.
Voyant que je commençais à prendre du plaisir à le sucer, à la vue de mes gloussements, Julio me lâchait, je m’appliquais à faire glisser son sexe au fond de ma gorge, en le regardant de mes yeux larmoyant. Au bout d’un certain temps je me redressais, et me mis à califourchon sur lui. Comprenant mes intentions, ce fût lui qui eut un moment de recul.
— Pas ici ma belle, nous sommes sur le parking de l’aéroport, il y a des caméras partout, et des gens passent en continu !! — Je m’en fiche, lui ai-je répondus, tu m’as excité à mort, j’ai trop envie de te baiser maintenant, tais-toi et assumes.
Je prenais son gros sexe dégoulinant de salive, et je m’empalais dessus. « Hum qu’il m’avait manqué » Je commençais à onduler sur son sexe, sans cacher le plaisir que je ressentais. Je l’embrassais goulûment, je lui disais à son oreille « Hum que ta grosse bite est bonne mon amour, tu sens comme elle me fait du bien ? »A cette cadence, il mit très peu de temps à jouir, il se crispait en m’attrapant les fesses, et il lâcha toute sa semence dans un râle presque animal. Nous restions plusieurs minutes à nous embrasser, et à profiter de ce moment.
Quand il fallut prendre la route, il refusait que je m’essuie la chatte dégoulinante. « Reste comme ça, au moins jusqu’à la prochaine aire de repos. »
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