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Les jumelles

Chapitre 1

Orgie / Partouze
(Nous adorons parader, nues comme des vers sous le nez des hommes).
Depuis que nous sommes enfants, nos parents nous emmènent en vacances dans des camps de naturistes. La nudité est, à vrai dire, une seconde nature. Ma sour jumelle et moi-même avons découvert à notre adolescence que nous pouvions jouer avec les garçons. La naissance, ferme et pointue de nos seins, ainsi que la légère pilosité de notre bas ventre attiraient, de plus en plus, leur attention. Nous avons vraiment commencé à délirer à notre majorité sexuelle et cela fait maintenant quelques années que nous en profitons pleinement.
Nous sommes, maintenant des jeunes filles de vingt ans et notre physique a atteint sa plénitude dimensionnelle, voire surdimensionnée. Nous sommes très exhibitionnistes et nous adorons parader, nues comme des vers, sous le nez des jeunes hommes de notre âge. Cela ne nous empêche pas de voir les vieux nous mater à la moindre occasion. Ceux-la, nous les allumons surtout lorsque leurs rombières sont près d’eux et que l’on sait qu’ils vont se faire piquer à nous reluquer de travers ou en douce. Le résultat est imparable.
J’ai oublié de vous dire que ma sour se prénomme Aube et comme mes parents ont eu de l’humour lors de notre naissance, ils m’ont affublé de celui de Aurore. Tout cela pour se venger d’avoir obligé notre mère à nous faire voir le jour à cinq heures du matin.
Quant à notre corps, il ne manque pas d’intérêt. Nous sommes de vrais clones et mes parents ont énormément de difficulté à faire la différence quand nous le décidons. Sauf quand nous sommes nues car notre mère connaît tous les détails de nos corps. Nous sommes dotées d’une longue chevelure brune venant chatouiller la naissance de nos fesses rebondies. Nos yeux sont noirs et nos sourcils se rejoignent au-dessus de notre nez. Nos grandes bouches ourlées et magistralement dessinées donnent des idées évidentes à ces messieurs. Ils les voient bien coulisser en douceur et sensuellement sur leurs sucres d’orge de toutes tailles jusqu’à la libération de leurs sucs procréatifs. Le summum de leurs fantasmes se fixent sur nos superbes paires de mamelles, lourdes et impressionnantes, qui honorent des soutiens gorges d’une taille de bonnet 110 D. Notre taille de guêpe met encore plus en valeur le volume de nos seins et de notre arrière-train.
Lors de nos ballades dans les dunes ou sur les plages, ils se balancent paisiblement et nos larges mamelons bruns qui ornent ces globes bien blancs sont inévitables. Quand nous sautons dans les vagues de la mer, étonnement, nous attirons toujours une vague de baigneurs mâles aux yeux exorbités. Nos jeux aquatiques excitent vraiment tous les hommes quels que soient leurs âges mais ils énervent beaucoup leurs femmes. Certaines ne manquent pas de faire quelques commentaires bien acides et de nous rappeler que nous sommes jeunes et qu’un jour nous n’aurons plus ce succès tant jalousé. Nous, nous en fichons totalement et nous remercions Dame Nature de nous avoir si avantageusement dotée, pour l’instant, car nous sommes des jeunes filles sans cervelles.
Nous sommes également des folles de sexe et nous aimons échanger nos petits amis réguliers sans qu’ils s’en rendent compte. Quand nous sommes en vacances nous leur sommes fidèles à notre manière. Le soir, nous allons danser au bord de la piscine du camp. Dès que la musique techno explose, nos corps s’affolent par des soubresauts divers et incontrôlés. Nos poitrines se déchaînent et elles nous font parfois un peu mal lorsqu’elles se ballotent dans tous les sens. Cela est principalement du à notre trop plein d’énergie et à notre façon de danser un peu excentrique et provocatrice. Notre bas ventre à la toison triangulaire fournie et bouclée, cachée sous un paréo transparent se découvre de temps en temps lorsque nos mouvements de jambes écartent le léger tissu noué à la taille.
Quand vient le moment des slows, nous nous frottons langoureusement à nos partenaires. Comme nous sommes très grandes, puisque nous mesurons un mètre quatre vingt deux, nous préférons danser avec des hommes de notre taille ou plus petits. Ils ne se privent pas lorsqu’ils en ont l’opportunité de poser leur visage entre nos seins. Les plus audacieux n’hésitent pas à lécher leurs pointes. L’effet ne se fait pas attendre. Ils se mettent à durcir très vite, à vouloir presque sortir de notre corps. Nous en profitons, en leur posant une main derrière la nuque, pour maintenir leurs bouches sur nos aréoles et pour bien sentir leur langue nous titiller. Comme nous sommes très friandes de ces caresses buccales, nous ne restons pas insensibles. De leur coté, les garçons ont du mal à cacher leur émotion, car nous sentons leurs sexes se presser fermement sur nos cuisses. Quand nous sentons que la pression monte dans leur colonne de chair, nous changeons de cavalier et nous laissons nos partenaires précédents dans une situation inconfortable au milieu de la piste. Le moment venu, nous, nous échappons de la zone de danse pour courir dans les dunes, main dans la main, avec ma sour, en riant a tue-tête.
Nous savons que les plus frustrés vont tenter de nous suivre et nous l’espérons sincèrement car nous savons que, lorsque nous sommes dans cet état d’excitation, nous faisons que commencer notre soirée. Nos ombres furtives s’éloignent dans la nuit éclairée par une pleine lune magnifique. Ceci explique cela. Il leur est très facile de nous localiser mais nous essayons tout de même de jouer au chat et à la souris. Nous savons qu’ils attendent que nous nous arrêtions pour venir mater en douce. Quand ils s’approchent de trop près, nous les repérons et nous repartons car ils sont encore trop nombreux. Nous souhaitons conserver les plus acharnés dans notre sillage. Nous avons le temps et toute la nuit est pour nous.
Le moment venu, nous nous fixons et nous détachons nos paréos que nous étalons sur le sable. Entièrement nues et offertes à toute convoitise visuelle, nous nous allongeons et nous attendons face vers le ciel en admirant les étoiles. Des bruits furtifs ne tardent pas à venir jusqu’à nos oreilles. Les voyeurs arrivent. Nous distinguons, par un balayage du regard quelques formes humaines dont la virilité ne laisse aucun doute quant à leurs sexes. Ils restent à distance respectable mais comme nous ne bougeons toujours pas, les plus timides s’approchent des premiers. Je dois dire qu’ils sont assez nombreux des petits comme des grands, des gros comme des maigres. Peu importe tant qu’ils restent à leur place.
Je me retourne et je me retrouve la tête aux pieds d’Aube dans la même position qu’elle. Je pose ma main sur son pubis. Elle en fait de même sur le mien. Simultanément, nos pouces disparaissent entre nos jambes. Nous ne bougeons plus, nos yeux fixés vers ces hommes qui nous entourent sans rien dire. Nous percevons leur respiration et certains ont déjà une main active sur leurs membres tendus. Nous admirons le spectacle en ombre chinoise. De notre coté, nous ne restons pas inactives l’une envers l’autre. Nos pouces glissent doucement jusqu’à notre périnée et remontent jusqu’à notre petit bouton sensible. Les voyeurs ne peuvent qu’imaginer nos caresses très intimes car nos doigts et nos cuisses cachent la vision de nos sexes.
Certains tentent de s’approcher pour mieux voir. Nous ne sommes pas encore prêtes et, encore moins, assez excitées. Nous arrêtons nos mouvements et de notre main libre, nous leur faisons signe de rester où ils sont. Tels des chiens de chasse, ils se mettent à l’arrêt. Nous reprenons nos manipulations vaginales. Notre plus gros doigt coulisse sur nos lèvres et notre clitoris avant de pénétrer dans notre vagin. Nous, nous connaissons par cour et nos mouvements sont identiques. Notre liqueur commence à inonder notre entrejambe quand nos pouces exercent une rotation précise sur notre point G. Nos ventres réclament plus. Nous écartons les jambes et nous nous enfonçons deux doigts, puis trois doigts dans la chatte. Nous effectuons des va et vient par saccades. Nous jouissons sous nos propres caresses.
Quand nous ouvrons les yeux, les mateurs nous entourent d’assez près pour ne plus voir la Lune. Eux, ils voient les nôtres. Nous sommes dans notre trip exhibitionniste. On les laisse se masturber mais ils n’ont pas le droit de nous toucher. Je me redresse au dessus de ma sour, mon sexe sur son visage. J’écarte complètement ses jambes afin d’exhiber son gros bouton turgescent. Je joue d’abord avec en le suçotant savamment afin de le porter à explosion. Je sens le ventre d’Aube se tortiller de plaisir. Un jeune homme, plus curieux que les autres s’approche pour mieux voir. Je le regarde et je sens qu’il espère pouvoir mettre sa langue dans cette touffe accueillante. Je ne le dissuade pas. Je recommence à pénétrer le vagin offert avec mes doigts et je m’active avec violence. Aube a lâché mon clitoris et s’est mise à crier en balançant son bassin. C’est le moment que je choisis pour la libérer de mes phalanges. Un jet de cyprine explose de son sexe et vient terminer sa course sur le visage du curieux. Il a un mouvement de recul compte tenu de l’effet de surprise. Il s’essuie le visage sous les sarcasmes des autres et disparaît. Les jambes de ma sour sont incontrôlables durant quelques secondes. Elle est épuisée mais elle continue de me lécher. Je la laisse récupérer et je ne touche plus à son sexe car je sais qu’après chaque éjaculation de jouissance, elle a besoin d’être prise par un sexe d’homme. Or, nos petits amis ne sont pas là et il est hors de question que ces hommes profitent de nos orifices. Elle a compris la situation et elle veut maintenant me donner du plaisir. Je pose ma tête sur le haut de sa cuisse à la hauteur de ses délicates bouclettes odorantes par son flot de plaisir. Sa langue va et vient entre mes lèvres et son index tourne autour de ma petite rosette. Les sexes ne sont pas loin de mon fessier. J’adore me faire prendre analement et j’imagine un de ces hommes en train de me forcer les sphincters. C’est un simple doigt qui est enfoncé au plus profond de moi. Un deuxième l’accompagne et s’active dans mon fondement. Aube a avalé mon clitoris et elle est en train de me défoncer l’anus. Je jouis comme une folle et je propulse mes fesses vers ses doigts pour qu’ils s’enfoncent encore plus loin et encore plus vite. Je ne suis pas la seule à apprécier car je sens des flots de sperme exploser sur mon dos et mes fesses et couler vers le long de ma colonne. Je me libère de l’emprise d’Aube et je m’assieds à coté d’elle.
Je regarde les sexes encore tendus de ces hommes et je propose à ma sour de les masturber pour qu’ils éjaculent sur nos seins sans qu’ils aient le droit de nous toucher. Aussitôt dit, aussitôt fait. Nous avons libéré tous ceux qui se sont présentés à nous et nos grosses mamelles étaient couvertes de jute.
La petite opération terminée, nous nous sommes embrassées. En nous levant, nous avons frotté nos corps, l’un contre l’autre, pour mélanger les liqueurs et nous avons couru jusqu’à la mer pour nous nettoyer. Dans l’eau j’ai passé ma main entre les cuisses de Aube. Elle était encore si excitée et prête à se donner que je l’ai raccompagné vite fait à notre bungalow. Nous avons bien dormi dans les bras l’une de l’autre jusqu’à l’heure de l’apéro.
Le lendemain midi, quand nous sommes arrivés au bar de la piscine, le serveur nous a annoncé que nous avions un Open Bar car nous avions des verres offerts par des hommes qui voulaient rester anonymes. Nous avons souri et nous, nous sommes tapé dans la main. Nos vacances semblaient prendre un bon départ et nous n’étions pas au bout de nos fantasmes exhibitionnistes.
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