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Les larmes d'Aïsha

Chapitre 1

Erotique
Chapitre 1 : La vie de château
— Alexandre !!!
Le solide jeune homme qui farfouillait dans le bric à brac du grenier continua sa recherche, sans faire attention à l’appel qu’il venait d’entendre par le petit vasistas.
Il entreprit d’extirper d’un volumineux carton, sur lequel était inscrit “habits de vacances”, un grand sac de sport Nike rouge vif zébré de bandes or.Sur chaque côté du sac un écusson était floqué sur lequel on devinait l’esquisse d’une lampe de mineur ; 3 lettres, un R, un C, un L, disposés en triangle complétaient le logo du fameux club de football lensois, objet de vénération du grand père paternel de l’adolescent qui tenait a transmettre a son descendant ses valeurs ouvrières.Son propriétaire fit coulisser la fermeture éclair obturant le sac et entreprit de le vider. Quelques balles de ping-pong roulèrent sur le parquet lustré, et vinrent mourir sous le plancher d’une immense armoire normande. Puis il dégagea pêle-mêle, les raquettes de tennis de table correspondantes, un manuel de survie des Scouts et Guides de France, une ceinture de judo noire, 4 fléchettes usagées ainsi qu’un fouillis de shorts et tee shirts. Il trouva enfin ce qu’il cherchait, bien caché à l’intérieur d’une chemise bleu foncé : Le cédérom était encore en parfait état, protégé par son boitier de rangement.Alexandre le mit de côté, avec 4 shorts, 8 tee-shirts et une demi douzaine de chemisettes et remit tout le reste dans le sac. Il se dirigea vers l’armoire normande et l’ouvrit. Sans un regard vers l’arc de compétition qui était accroché sur son côté, il saisit une Maglite, une paire de sandales de cuir et 2 paires de baskets.
Alex!!!!!!!
La voix féminine qui venait de hurler à nouveau son prénom avait pris des intonations nettement plus impatientes.Alexandre adorait la propriétaire de cette voix, mais il se sentait saoulé depuis quelques jours. Rangeant ses emplettes dans une petite valise qu’il abandonna sur place, il entreprit la périlleuse descente vers le 5eme étage de la tour Fénelon.Celle-ci occupait le coin sud-ouest de l’immense château familial et la petite fenêtre devant laquelle se tenait Alexandre lui offrait un panorama majestueux sur la Dordogne qui coulait 90 mètres plus bas. Son œil de lynx remarqua sur celle-ci quelques kayaks qui descendaient la rivière et allaient peut-être s’arrêter au camping, situé à quelques encablures en aval.Ne s’attardant pas, il jeta un coup d’oeil rapide dans la pièce principale de ce niveau ou trônait le billard, puis fonça par l ‘étroit couloir desservant le 4ème étage. Il avait choisit de descendre par l’escalier Nord, avec la ferme intention de rejoindre l’écurie pour sortir Fra Diavolo, un westphalien qu’il adorait monter. Il n’en eut pas l’occasion : au moment où il sautait sur le palier du premier étage, un éclair rouge entra dans son champ de vision.
A 4 mètres de lui, sa soeur barrait le couloir qui communiquait directement avec le corps principal des écuries. Comment pouvait-elle deviner ses intentions ? Il est vrai que leur habituelle complicité les rendait très proches.Pour l’heure, ses yeux d’émeraude exhalaient une fureur qui contraria Alexandre...et l’encourageait à la prudence : mon dieu, qu’elle pouvait être belle avec cet éclat dans le regard. Mais ce qui caractérisait d’abord la jeune fille, c’était le flamboiement de sa chevelure. Salomé était une vraie rousse, dans toute sa splendeur. Les longues mèches qui lui descendaient jusqu’au delà des épaules formaient une cataracte de filaments tous plus incandescents les uns que les autres. Le pubis de sa jeune soeur arborait-il le même chatoiement enflammé, se disait-il à cet instant ? Il détestait les filles glabres et se demandait si l’adolescente qui se tenait devant lui appartenait à la catégorie désertique ou si elle laissait la forêt équatoriale envahir son entrejambe.Le jeune homme connaissait très bien la raison de l’animosité que sa soeur lui portait depuis quelques jours. Toute la famille devait partir 48 heures plus tard pendant 3 semaines, dans la propriété que leur père venait d’acquérir au Maroc, et les adieux que Salomé voulait faire à son petit ami devaient avoir lieu le lendemain.Alexandre prévoyait la même politesse à Sabrina sa girl-friend anglaise ce jour là. Il avait donc jugé que le Temps n’étant pas élastique (la suite de cette histoire lui donna tort), il se devait de préserver chaque instant passé avec sa jolie blonde, sans se soucier des besoins de sa frangine.
Il grommela préventivement : — tu me fatigues, Salomé, je t’ai déjà dit trois fois qu’il n’était pas question de t’amener demain chez Barnabé!!! Je ne supporte pas de voir ce type et puis je dois passer l’après midi (voir plus se dit-il in petto) chez ma copine.— personne ne t’a demandé de le voir s’énerva Salomé, mais simplement de me déposer là bas !!!!— au moins, tu as le permis, moi je ne peux pas y aller seule !!!— vas- y en bus, à cheval, ou en vélo…— tu te fous de moi, aller à Souillac à cheval ??? Il n’y a plus de bus depuis mi-juillet. Et pourquoi pas en gabarre d’ailleurs !!!— ça te musclerait, tiens, j’ai l’impression que tu as la cuisse qui se ramollit…
Un peu méchant, Alexandre ne pouvait pas décemment exprimer à sa soeur la vague pointe de jalousie qui l’étreignait dès qu’il savait sa cadette en promenade avec son petit ami.Suffoquée par ce dernier persiflage, Salomé sentit les larmes montait. Elle bouscula son aîné et, laissant ce dernier pantois, elle s’enfuit vers le 4ème étage, pour claquer la porte de sa chambre.
Pendant ce temps, à l’autre bout du second étage, Mathias le père de nos jeunes héros venait de démarrer l’après midi par une petite sieste crapuleuse, la tête enfouie entre les jambes de sa compagne. Richissime acteur de la finance internationale, pur produit de la méritocratie républicaine, il avait convolé en justes noces avec celle-ci un an après son divorce, oubliant ainsi une séparation douloureuse avec la mère de Salomé et Alex.Il avait obtenu la garde de ses enfants ce qui avait agrandi le fossé entre lui et son ex femme. Il ne regrettait rien. Alexandre ne l’inquiétait guère. Par contre sa fille chérie attirait toute son attention, surtout depuis qu’il avait remarqué les regards concupiscents du nouveau beau-père de la lolita.Revenu à son occupation actuelle, il se replongea dans le stupre, et le moins qu’on puisse dire était que sa vie sexuelle comblait ses immenses besoins.Les somptueuses jambes qui enserraient spasmodiquement ses oreilles appartenaient à Coralie, une sénégalaise de 26 ans rencontrée lors d’un vernissage nocturne au musée des Arts premiers : 3 heures plus tard elle broyait, pulvérisait, effaçait les 21 ans qui les séparait.Maintenant, c’était Mathias qui enflammait sa jeune épouse. Tour à tour ses emportements frénétiques soit fusillaient celle-ci, soit, par une savante lenteur, exaspéraient les désirs de la casamançaise. Et justement Mathias était en pleine période pianissimo. Il examinait l’intimité de la jeune femme avec une attention quasi gynécologique. son oeil dessinait en 3 D le contour du Mont de venus, très légèrement bombé, qui était surmonté d’une toison noire plus drue que la jungle amazonienne.S’approchant, il titilla d’un coup de langue un point juste à la commissure des grandes lèvres et de l’aine gauche, faisant réagir Coralie. Le corps de celle ci, stimulé par une puissante décharge électrique, s’arqua, puis s’affaissa a nouveau, attendant la prochaine attaque. Matthias dessina du bout de la langue tout le pourtour des grandes lèvres, sautant par dessus le clitoris frémissant, puis humant le musc des senteurs féminines, il s’enivra quelques secondes. Passant la langue à l’intérieur des muqueuses, il goûta le nectar perlant sur les bords de l’orifice vaginal.L’africaine ne savait plus si elle devait adorer ou abhorrer ce traitement : au bout d’une demi heure, elle était comme Saint Laurent sur son grill, attendant l’explosion de lumière qui lui offrait sa délivrance. Elle se mit à feuler, couiner, même roucouler ce qui décida Matthias à passer à la vitesse supérieure : il présenta son mandrin à l’entrée de la sombre intimité de sa tigresse, poussant d’un seul coup 20 centimètres de tison incandescent : en écoutant les cris de Coralie, il avait une bizarre impression de devenir zoophile.S’agitant de plus en plus, glissant, coulissant, il démarra une cavalcade forcenée. Aux portes de la jouissance, il se retira, et sans plus s’occuper du plaisir de sa partenaire, lui enfourna violemment dans la bouche son sexe palpitant.La fontaine de sperme faillit étouffer la jeune femme qui vaincue avala toute la liqueur, et se lécha les lèvres, repue.
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